ET FAISONS LA DECLARATION SUIVANTE :

Ø Aucune église, Communauté, Mission Evangélique ; aucun pasteur ou la fraternité Evangélique du Sénégal, ne s’est réuni le 02 juillet 2005 pour demander le départ du Pasteur Abel du Sénégal

Ø Le pasteur Abel et sa Famille ont une bonne réputation au Sénégal.

Ø Seul Dieu décide dans quel pays Il veut que nous le servions

Ø Les Evangéliques règlent leurs difficultés entre eux et pas sur Internet au vu et au su de tous

Ø Si cet individu a des problèmes avec le Pasteur Abel qu’il les règle en privé avec le concerné ou qu’il vienne rencontrer les autres pasteurs s’il en a le courage

Ø La Bible enseigne de ne pas parler mal des conducteurs spirituels (« Tu ne parlera pas mal du chef de ton peuple » « Ne pas toucher aux oints de l’Eternel » (Exode 22 :28 ; 1Chroniques 16 :22 ; Psaumes 105 :15 ; 1Samuel 24 :7-8 ; Actes 23 :5)

Ø Cette lettre contenant de violentes accusations contre un serviteur de Dieu et son épouse attribuée aux pasteurs, diacres...n’a pour auteur authentique qu’un individu dangereux, sans scrupule, n’ayant pas l’Esprit de Christ et ne cherchant qu’à manipuler, à désinformer, à déstabiliser...

Ø Le rédacteur de cette lettre n’est pas un Evangélique authentique

Ø L’auteur de cette lettre cite des noms de personnes et des institutions évangéliques sans autorisation préalable. Il y a même impliqué des états africains. CE QUI EST TRES GRAVE !

Ø Cette personne payera les conséquences spirituelles et disciplinaires de tels actes portant atteinte à la vie de l’Eglise.

Ø En traitant Abel de Mossi du Burkina/chef du Mossi, l’auteur incite au tribalisme et au racisme dans notre pays de paix, le Sénégal où n’existe ni conflit ethnique ou racial. Notre chère première dame est « sénégalaise d’ethnie française » comme elle aime bien le dire.

Ø Cette « intoxication » a suscité des réactions de personnes n’ayant rien à voir avec cette affaire et qui ont gravement injurié les Evangélique et les Sénégalais, ceci pouvant ternir les bonnes relations entre deux pays frères que sont le Sénégal et le Burkina Faso

Ø Il a « signé » DIOP SARR (DEUX PATRONYMES- ce qui existe, mais quand même rare au Sénégal). Ceci n’est pas son vrai nom. Nous ne connaissons personne de ce nom dans toute la Communauté Evangélique du Sénégal. Il ne figure sur aucune liste de membres (ou d’assistants) des églises Evangéliques.

Ø Une étude du Style de la lettre et certains lapsus et erreurs comme « le Temple Emmanuel » révèlent le vrai rédacteur et nous orientent vers le vrai auteur (des investigations suivent leur cour)

Ø Il n’y a pas de « Temple Emmanuel » au Sénégal

Ø La vérité est que l’auteur authentique de la lettre n’est pas sénégalais.

Ø L’auteur risque de payer les conséquences juridiques (car le Sénégal est un pays de droit) en s’attribuant une « nationalité » qu’il n’a pas, en portant atteinte à la paix sociale et à la bonne harmonie entre les différentes confessions religieuses, en s’arrogeant des prérogatives de l’état en demandant à quelqu’un de quitter le Sénégal, et en portant atteinte aux bonnes relations entre deux états frères africains appartenant à la même sous région, à la CEDEA0, à L’UEMOA, à l’UA... Il porte atteinte à l’Union et à l’Unité Africaine

Ø Pasteur sénégalais moi-même (né au Sénégal, de nationalité sénégalaise, mais d’origine d’un autre pays africain), je témoigne que les Sénégalais ne sont pas racistes, mais qu’ils savent bien accueillir les étrangers par la Téranga sénégalaise. Tous les Africains se sentent chez eux au Sénégal. Comment en serait autrement avec un chef d’Etat Panafricaniste Comme Maître Wade ?

NOUS CONCLUONS AINSI :

Ø Nous condamnons tout individu non autorisé et auquel nous n’avons donné aucun ordre (Actes 15 :24) et qui refusant d’obéir aux ordres de l’Eglise se lance dans des actions subversives contre l’Eglise mais aussi contre la Nation en évoquant des conflits religieux

Ø Nous livrons à Satan (1Corinthiens 5 :5) toute personne cherchant à faire du mal à l’Eglise de Dieu en la déstabilisant et nous ôtons le méchant du milieu de nous (1Corinthiens 5 :13)

ET POSONS CES DEUX QUESTIONS SUIVANTES :

Ø Pourquoi l’auteur ne révèle t-il pas sa vrai identité ?

Ø Pourquoi l’adresse e-mail donné n’est-elle plus active ?

Pasteur Michel S. ANDRADE,

Président AACCE

Tel. (221) 824-42-15

(221) 559-03-83