La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
A quelques encablures de l’élection présidentielle du 11 octobre 2015, un citoyen s’autorise au nom de la liberté d’opinion d’analyser la situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation des 25 et 29 août 2015 de certaines candidatures aux élections législative et présidentielle et les chances de succès de ces candidatures à la Présidence du Faso.
Commençons par le CDP nouvelle version, de Monsieur Eddie KOMBOÏGO : Quel dommage pour notre pays ! Pour quelles raisons le Congrès Pour La Démocratie et le Progrès (CDP) d’antan n’a pas, en dépit des mises en garde diverses des uns et des autres, renoncé, ab initio, à la modification de l’article 37 de la Constitution en proposant, directement, la candidature de Monsieur Wend-Vennem Eddie Constance Hyacinthe KOMBOÏGO à la présidentielle de 2015 ? Pour aller de l’avant et préserver la paix, il ne faut pas s’appesantir sur ces erreurs du passé, même si cette question va tarauder encore pendant longtemps les militants du CDP dont certains, étaient farouchement opposés à une quelconque inopportune modification de l’article 37 de la Constitution. Eh bien oui, sachez-le, à l’intérieur du CDP ancien, il y avait de nombreux militants qui étaient contre cette légale mais illégitime modification constitutionnelle n’en déplaise à tous ceux qui prônent, à l’heure actuelle, honteusement, tout azimut, la politique d’exclusion de certaines candidatures, et ce, malgré les termes clairs, nets et précis de l’arrêt de la Cour d’ABUJA de la CEDEAO du 13 juillet 2015. L’interprétation partielle, partisane, erronée et hasardeuse que font certains pseudo juristes à la semaine de cet arrêt est tout simplement une forfaiture juridico-politique. La vérité finira par l’emporter.
En rappel, cet arrêt de la Cour d’ABUJA a gentiment invalidé, sans même sourciller, la loi dite « Shérif » du nom du Président actuel du Conseil National de la Transition du 7 avril écoulé qui excluait, de façon impersonnelle et générale tous ceux qui auraient participé à l’entreprise de tentative de révision constitutionnelle ayant abouti à l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014. Sur un plan strictement juridique et au nom du principe de la non rétroactivité des lois, une telle disposition sectaire, postérieure aux faits qu’elle incrimine pouvait-elle s’appliquer à des faits commis avant sa promulgation soudaine et rapide par le Président de la transition ? Autant de principes que les députés du Conseil National de la Transition (CNT) ont foulé au pied de la démocratie, et ce, au mépris de la sauvegarde de la paix dans notre pays. Sans aucun doute, cet arrêt de la Cour d’Abuja du 13 juillet 2015, contrairement à l’avis de certains souverainistes a rendu un grand service à la paix dans notre pays ?
Cet arrêt est définitif et s’impose en raison des engagements internationaux de notre pays à l’Etat burkinabè. Le débat était donc définitivement clos eu égard au caractère supranationale de l’arrêt de la Cour, d’autant plus qu’aucune disposition législative électorale ne saurait intervenir à moins de deux mois (25 août 2015) de l’élection présidentielle.
Mais à peine un tel arrêt salvateur, pacificateur, au demeurant définitif et revêtu de l’autorité de la chose jugée (donc sans aucun recours) rendu par la Cour d’ABUJA, et les listes électorales définitivement arrêtées par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), que certains fantaisistes, antidémocrates, hors-la-loi et surtout amateurs d’une exclusion haineuse se sont crus devoir saisir le Conseil Constitutionnel qui les a d’ailleurs légalement renvoyés gentiment dans leurs gaules en déclarant leurs recours purement et simplement irrecevables.
Et tout à coup, patatras ! Le même jour, le Conseil constitutionnel, prenant entre autres, motif erroné de ce que le Gouvernement n’aurait pas fait application de l’arrêt d’Abuja du 13 juillet 2015 a invalidé 42 candidatures et, dans la foulée, pour le même motif erroné, a invalidé plusieurs candidatures dont, notamment, celle d’Eddie KOMBOÏGO du CDP et de Gilbert OUEDRAOGO de l’ADF/RDA.
La motivation du conseil constitutionnel est pour le moins surprenante puisque le Gouvernement de la transition a indiqué dans un communiqué rendu public qu’il a fait application de l’arrêt du 13 juillet 2015 de la Cour d’ABUJA. Qui croire donc ? Le conseil constitutionnel ou le Gouvernement de la transition ?
Si l’on excepte le fait que le gouvernement de la transition n’est pas à sa première cacophonie à la tête de l’Etat, le moins que l’on puisse dire c’est que la motivation du Conseil constitutionnel est non seulement erronée mais surtout contradictoire. Et très curieusement, les éminents juristes de la transition sont drôlement « taisants » sur cette contrariété de motivation du conseil constitutionnel. En effet, le conseil constitutionnel ne pouvait, sans se contredire, exclure des candidats au motif de leur participation au conseil des Ministres extraordinaire ayant adopté le principe de la modification constitutionnelle (M. Diemdoda DICKO) et, en même temps, maintenir provisoirement, les candidatures de deux ministres qui étaient pourtant sensés être membres du Gouvernement de l’époque et, à ce titre auraient effectivement participé à ce conseil des ministres spécial. Tous juristes rigoureux ne pourraient que perdre son latin.
Dès lors, toutes quelconques exclusions des candidatures aux élections législatives et présidentielles constituent incontestablement une forfaiture juridictionnelle et de nature à créer une grave entorse non seulement aux futures échéances électorales mais à la paix sociale. La campagne d’invite du Gouvernement au respect des décisions du conseil constitutionnelle ne serait qu’une vile compromission à Canossa et à laquelle tous ceux qui sont épris de paix et de justice sociale doivent s’y opposer.
La meilleure solution pour sortir de cet imbroglio juridico-politique est que le Conseil constitutionnel rapporte, c’est-à-dire retire purement et simplement ses décisions d’exclusion puisque ces décisions ne sont susceptibles d’aucun recours. Ce qui nous permettra d’éviter toutes difficultés ultérieures et qui nous amènera à la table des négociations après de terribles empoignades fraternelles.
Certes, même le Conseil des sages serait incapable de contester les décisions du Conseil Constitutionnel même si celles-ci sont de nature à altérer la paix sociale tant souhaité par l’ensemble de la classe politique. Il n’y a pas d’avenir personnel pour quiconque sans avenir politique de tous pour ne paraphraser que M. Tahirou BARRY, Président du PAREN.
Autant la modification de l’article 37 de la Constitution était illégitime, autant l’exclusion de quiconque du processus politique actuel, qui n’avait pas vraiment une certaine dose de pouvoir de décision est à bannir. M. Gilbert Noël OUEDRAOGO n’était pas membre du gouvernement à l’époque de la décision de modification de la Constitution et rien ne pouvait attester formellement que des députés comme M. Bouba YAGUIBOU de voterait effectivement cette modification constitutionnelle légale, mais illégitime. Rappelons-le.
Il en est de même d’Eddie KOMBOÏGO qui n’avait aucun pouvoir décisionnel dans la sphère politique de l’époque. Le pouvoir réel de décision devait être le critère d’exclusion par le Conseil Constitutionnel. Que nenni !
Que des dirigeants comme MM. Assimi KOUANDA, Toussaint COULIBALY et bien d’autres caciques du CDP, ancienne version soient écartés des futures élections électorales, cela pouvait se concevoir aisément parce qu’ils avaient au moins, sur le plan statutaire un réel pouvoir de décision.
En revanche, venir exclure des candidats qui ont assisté passivement dans un coin du palais à ce conseil des Ministres maléfique ou qui n’avaient aucun pouvoir de décision au sein du parti, le conseil constitutionnel a fait preuve d’une mauvaise appréciation erronée.
Et sur ce point, le Conseil Constitutionnel devait faire preuve de clairvoyance afin de ne pas compromettre la paix dans notre pays en s’opposant comme il l’a fait dans ses motifs erronés, contradictoires, discriminatoires, partiels et partisans à l’arrêt de la Cour d’ABUJA du 13 juillet 2015. Pour la liberté de pensée, osons courageusement émettre un autre son de cloche : Il s’agit là, d’une discrimination aveugle et massive, contraire à l’arrêt de la CDEAO du 13 juillet 2015, n’en déplaise aux partisans de la pensée unique qui croient avoir raison sur toute la ligne. Certes le CDP ancien nous a fait subir certaines frustrations inacceptables, mais devons-nous être pire que ce que nous avons vécu ? Il serait donc de bon ton de laisser chaque candidat se faire sanctionner par le peuple souverain du Burkina Faso si tant est que le pouvoir soit l’émanation de ce même peuple. « Allons seulement » est désormais l’expression triviale à la mode et « Toun nan tuma tuma », sa réplique musicale !
En réalité, et pour être objectif dans l’appréciation des forces en présence sur le terrain politique, ces velléités d’exclusions de candidatures ne sont justifiées que par la spectaculaire remontée du candidat du CDP, M. Eddie KOMBOÏGO dans la course à la Présidence. Personne ne doit se méprendre…
Au départ, et avant le congrès de désignation de Monsieur Eddie KOMBOÏGO, certains militants du MPP n’hésitaient pas à évoquer l’idée de « quart de tour » pour remporter l’élection présidentielle prochaine.
Mais c’était sans compter avec l’état d’esprit de l’électorat dans nos campagnes. Qu’on ne s’y méprenne pas, le CDP nouveau est encore bien vivace et solidement implanté dans les campagnes et les régions burkinabè pour la simple raison qu’on ne déboulonne pas aussi facilement un mammouth ou un mastodonte de 27 ans. Quoi qu’on dise, nombreux sont encore les burkinabè qui ont une sympathie et une nostalgie naturelles pour l’ancien régime pour des raisons diverses….
Mais la véritable chevauchée et remontée spectaculaire du CDP est surtout liée au leadership personnel de Monsieur Eddie KOMBOÏGO.
Mais qui est Eddie KOMBOÏGO, candidat du CDP nouveau à l’élection présidentielle d’octobre 2011 ?
Né à Ouagadougou le 11/09/1964, d’un père lui-même comptable, ce brillantissime esprit a connu une carrière professionnelle fulgurante puisque parmi tous les vingt-deux (22) candidats à l’élection présidentielle dans notre pays, il est le seul à avoir enseigné à l’Université de Ouagadougou pendant plus de vingt ans. Nombreux sont aujourd’hui ses étudiants qui exercent la profession de magistrats, d’avocats, d’experts-comptables et la liste n’est pas exhaustive. Membre fondateur du Cabinet d’Audit-financier et d’Expertise-Comptable – KOMBOÏGO et Associés, (CAFEC-KA) Eddie KOMABOÏGO est aujourd’hui, incontestablement, un homme d’affaires accompli. Elu député CDP du PASSORE lors de la législature de 2012 d’où il est originaire. Eddie KOMBOÏGO n’a pas vraiment exercé au préalable une fonction significative de direction ni dans le Bureau du CDP ancien et encore moins exercé une quelconque attribution dans l’exécutif des différents gouvernements de Blaise COMPAORE. A ce titre, il n’a jamais été Ministre d’un quelconque gouvernement du Président Blaise COMPAORE pendant les 27 années. Dès lors, cette exclusion ne repose sur aucun fondement juridique sérieux. L’institution du conseil constitutionnel a donc péché par excès et l’intérêt supérieur de notre pays recommande que ces décisions soient purement et simplement retirées par le conseil constitutionnel puisqu’elles sont insusceptibles de recours. L’autorité de la chose jugée attachée aux décisions du conseil constitutionnel ne peut, en aucun cas servir l’altération de la paix dans notre pays. Aucune catégorie du peuple ne peut dominer une autre partition du peuple. Le peuple burkinabè est un et indivisible…
Que reprocherait-on d’ailleurs à un Ministre d’un gouvernement de Blaise Compaoré qui assiste passif, sans broncher de peur pour sa vie à un Conseil de Ministre qui décide de la modification de l’article 37 de la Constitution. C’est justement cet amalgame et surtout cette discrimination impersonnelle et générale que la Cour d’Abuja dans son arrêt du 13 juillet 2015 a voulu éviter en rendant ainsi ce grand service pour la paix dans notre pays.
Dès lors, que les partisans de l’exclusion et autres pêcheurs en eaux troubles qui n’aiment pas en réalité notre pays ne viennent pas nous servir des inepties, en déblatérant que le Président Eddie KOMBOÏGO a dirigé quoi que ce soit ou a signé quoi que ce soit pendant les 27 années de pouvoir du Président Blaise COMPAORE.
C’est la raison pour laquelle la candidature d’Eddie KOMBOÏGO, constitue juridiquement et c’est le moins qu’on puisse dire, crédible et opportune. Son invalidation est une grave erreur judiciaire du conseil constitutionnel qui risque de se payer cash…
Que les burkinabè ne se méprennent pas : le CDP d’Eddie KOMBOÏGO n’est pas le CDP D’Assimi KOUANDA avec tout le respect qu’on puisse avoir pour Monsieur Assimi KOUANDA qui a fait ce qu’il a pu ou ce qu’on a voulu lui dicter.
Quoi qu’il en soit, avec la candidature d’Eddie KOMBOÏGO, le CDP nouveau, ou CDP, nouvelle version ou nouvelle vision doit « compétir » incontestablement dans la course à l’élection présidentielle. Cette candidature pourrait même constituer, peut-être la surprise de cette élection présidentielle sans précédent à défaut de jouer l’arbitre central, avec comme arbitre de touche l’ADF/RDA. Ce sont les réalités actuelles des forces politiques sur le terrain politique au Burkina Faso même si le MPP a bien grignoté quelques terres du CDP . Que celui qui n’y croit pas soit attentif aux résultats du premier tour.
En effet, de mémoire de voltaïque ou de burkinabè, ce sera la seconde fois de l’histoire politique du Burkina que nous risquerons d’avoir un second tour à l’élection présidentielle. Qu’on se le tienne pour dit, aucun parti politique à la date de ce jour ne pourra remporter l’élection présidentielle du 11 octobre 2011 au premier tour. C’est pourquoi le CDP se doit de participer aux élections législatives et présidentielles. Dès lors, c’est au parti ouvert largement aux alliances qui risquerait de remporter cette élection.
Excepté la victoire désormais compromise du MPP au premier tour, ce qui est loin d’être plausible, eu égard aux foisonnements actuels des partis politiques et surtout de la remontée spectaculaire du CDP d’Eddie KOMBOÏGO, deux principales hypothèses semblent plausibles :
1. Le MPP et le CDP arrivent au second tour de l’élection présidentielle : Dans ces circonstances, le CDP de Monsieur Eddie KOMBOÏGO (à travers des alliances sincères et sérieuses avec l’ADF/RDA, le Front Républicain, les partis de l’ancienne mouvance présidentielle et une partie de l’électorat UPC) est sûr de remporter l’élection présidentielle au second tour.
2. Le MPP et l’UPC arrivent au second tour de l’élection présidentielle. L’UPC est sûr de remporter l’élection présidentielle parce que le CDP et ses partis satellites ainsi que l’ADF/RDA, l’UNIR/PS et bien d’autres nouveaux partis voteront certainement pour l’UPC qui incarnerait dixit une majorité d’intellectuels, le « vrai » changement, contrairement au MPP, qui est issu incontestablement de la scission du CDP.
Il appartient donc au Conseil constitutionnel de rapporter, sans délai, les décisions entreprises sous peine de voir s’installer la chienlit dans notre pays.
A défaut, le conseil constitutionnel supportera seul et exclusivement les conséquences de ces décisions partisanes, partielles et discriminatoires à plus d’un titre. Pour ne pas avoir été réceptif aux différents conseils que lui prodiguaient gentiment certains observateurs de la vie politique burkinabè, le Président Blaise Compaoré a été contraint de démissionner avant la fin de son mandat à la suite de l’insurrection populaire pourtant prévisible des 30 et 31 octobre 2014.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il est loisible au conseil constitutionnel, compte tenu de l’impossibilité d’exercer un recours à l’encontre de ses décisions qu’il se dédit en retirant purement et simplement les décisions d’invalidation des 25 et 29 août 2015. Cette institution ne sortira que grandie dans la préservation de la paix sociale dans notre pays. Personne ne pourra opiner que le conseil constitutionnel n’a pas été prévenu.
Sidwaya Venegda
Cabinetconseilpolitique@gmail.fr
Vos commentaires
1. Le 31 août 2015 à 03:06, par Aime En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Quelle malhonnetete intellectuelle !rien que des affirmations gratuites et des interpretations partisannes. Dites moi Mr du cabinet, Mr Eddie Komboigo faisait-il partie oui ou non des deputes CDP qui ont au cours dune rencontre demander publiquement a lex president Blaise Compaore de convoquer le referendum ?En realite,ce sont des conseillers comme vs qui avez chasse Blaise prematurement du pouvoir. Continuez seulement,vs allez definitivemen enterre le CDP. Pour ce qui est de vos assurances quant a lissu de lelection presidentielle de 2015, jaimerais vs dire tout simplement qu’octobre nest pas loin.
2. Le 31 août 2015 à 04:22, par Hess En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
C’est certes une opinion, même une opinion très partisane. Mais parler d’analyse est purement un abus éhonté de langage car de l’analyse il n’y a pas !
Je ne suis pas sûr de lire les prochaines publications annoncées.
3. Le 31 août 2015 à 04:37, par sidbale En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Quel drôle d’analyse de la situation politique de notre pays. Vous en faites avec une telle léger te et simplicité que vous déduisez toute honte bue, occultant sciemment le poids des différents partis politiques en compétition, et surtout insinuant que tous les partis politiques voteront contre le MPP en cas de second tour.Croyez vous que tous les militants des partis politiques suivront tous les consignes de vote de leurs partis ? Arrêtez d’infantilIser les burkinabe. A vous lire, on pourrait déduire sans risque de se tromper que votre cabinet est une succursale de CAFECA ou tout au moins un cabinet dont CAFECA en est l’auditeur. Avec de telles analyses on comprend aisément comment le CDP a été déroute. Merci de nous avoir étalé la biographie essentielle de la vie de Eddie.
4. Le 31 août 2015 à 06:08 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
votre analyse est trop partisane pour être crédible. Dommage !
5. Le 31 août 2015 à 06:42, par wonou En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Analyse très partisane. Son intérêt réside en ce qu’elle laisse percevoir les souhaits du CDP.
6. Le 31 août 2015 à 06:56 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Comment peut-on oser dire qu’il s’agit "d’analyser la situation politique actuelle au Burkina Faso" alors que cet article n’est que propagande électorale ???
7. Le 31 août 2015 à 07:18, par karimof En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
"requiem pour un gros parti"
8. Le 31 août 2015 à 07:48, par kato En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Très pauvre comme analyse. Veuillez chercher les attributions d’un député et d’un ministre au Burkina Faso avant de faire vos analyses.
Un ministre est un serviteur de la nation, il ne peut en aucun cas dire qu’il n’a pas de pouvoir de décision.
Un député est un élu du peuple, il représente valablement un grand nombre de burkinabé. Il a donc plus qu’un pouvoir de décision.
9. Le 31 août 2015 à 07:56, par kouadio En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Belle analyse qui tient compte de la realite du terrain. Jeune Afrique l’ a si bien dit. Dans certaines contrees du Burkina les populations ne savent pas que Blaise Compaore est parti. Ca veut dire que le CDP reste majoritaire au Burkina. S’il participe aux elections il va les remporter car il a un bilan. C’est surtout la sanction contre les traitres et les voyous de la transition et le role flou de certains leaders religieux qui veulent enfin se venger des ’’revolutionnaires’’ d’hier. Ils ont oublie que c’est grace a Blaise Compaore que bcp de choses positives ont ete accomplies pour la poursuite de leurs activites
10. Le 31 août 2015 à 07:56, par Vrai En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Une tres bonne analyse.qui vivra verra
11. Le 31 août 2015 à 08:00, par KDG En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Mr SIDWAYA vous n’êtes pas un analyste politique mais un griot des temps moderne.
Cherchez plutôt un micro pour faire un atalakou sur Mr EDDY KOMBOÏGO.
12. Le 31 août 2015 à 08:24, par SAMBIGA En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
vous avez tout dit sauf biensure les faits reproches a ces recales au plan juridique et social.
13. Le 31 août 2015 à 08:29, par SAMBIGA En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Et si ces recales sont vetus d’un caractere qui garantit les interets generaux du peuple ils doivent proceder aux remplacement des personnes frappes par l’invqlidites surtout que leur partis regorge de potentialites.
14. Le 31 août 2015 à 08:35, par le sage En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Un message anti- MPP qui rend très subjective cette analyse !
15. Le 31 août 2015 à 08:43 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
A lire cet écris on connais votre camps. Pourquoi ne pa accepter cette patience de 5 ans seulement pour revenir aux affaire. Si tout le peuple à pu patienté pendant 27ans pour pouvoir dégagé votre idole Blaise et doit encor atendre de longue années pour se liberé de son système qui est enraciné dans tous les services pour ne pas dir tout le pays ; pourqoi vous à votre tour vs refuser cette patience ? Eddie est toujour jeune, et 5 ans sè pas long. Si vous pouvez au nom de la paix patienté, pourquoi pas aligné vos voix derrière celui que vous penser k’il prepareras le terrain pour vous ds 5 ans ? Que DIEU protège le Burkina contre toute mauvaise chose qui se tramera pour troubler notre Paix. Sachez que l’occident n souhaite que cela, que ns ns rentrons dedans et sa fera un bon marché pour les grande sté d’arme qui natente k cela et les pilleur d ressource profiterons d la richesse de notre sol sans frais. A bon entendeur salu. K DIEU nous protège et bénisse le Burkina.
16. Le 31 août 2015 à 08:55, par André En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Vous feriez mieux de vous taire ... Cela vaudra mieux ... que raconter ce que vous dites.
17. Le 31 août 2015 à 09:27, par ragomzanga En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
un déluge de mots dans un désert d’idées !
Il faut sauver l’intellectuel africain....
ça fait pitié et ça fait mal au coeur et à l’âme !
Ragomzanga
18. Le 31 août 2015 à 09:31, par yammuss En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
a vous lire on a l’impression que vous etes deconnecter des réalités du pays, analyse pathétique faites un effort ou taisez vous
19. Le 31 août 2015 à 09:38, par royal En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Il faut avoir un peut de respect pour les gens. C’est vrai que gâter n’est pas difficile, mais quant on sais que c’est des frères qui se sont battu pour en arriver là, il faut mesurer ses propos avant.
20. Le 31 août 2015 à 09:49, par Youbnar En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
c’est l’herbe tout ça et il faut reconnaitre que ce n’est pas le CDP qui constitue le peuple burkinabé.celui qui était à Ouagadougou les 30 et 31/10/2014 ne dira pas le contraire.Ouvre bien tes yeux et vois la vérité en face, cher analyste. Nous vivons tous un printemps burkinabè, un révolution, un grand changement ouvrant ainsi de nouvelles horizons, de nouvelles perspectives pour notre Pays. Mais c’est les vrais burkinabés qui peuvent se soucier des problèmes des burkinabés. Les burkinabés de sources multiséculaires ne peuvent pas comprendre cela.
21. Le 31 août 2015 à 10:15, par Humour En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Cette analyse ne traduit pas du tout ce que le peuple vit rellement !
22. Le 31 août 2015 à 11:43, par kouadio En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Les Hin Hon Hin des uns me rappellent Gbagbo et ses gros bras. Eux aussi parlaient au nom du peuple...Le CDP va remporter les elections, vous verrez
23. Le 31 août 2015 à 12:41, par youl En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Tu nous coupes l’appétit avec ton analyse insipide !!
24. Le 31 août 2015 à 13:13 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
internaute n° 23, @Youl et tous ceux qui réfutent l’opinion de Siwaya Venegda, cet article n’était pas fait pour favoriser l’appétit des partisans de la pensée unique, mais pour annoncer un autre son de cloche, la vraie. Oui, l’article est partisan, partial et subjectif mais a au moins le mérite d’énoncer des vérités juridiques incontestables puisque la vérité politique n’existe nulle part au monde. C’est pourquoi M ; VENEGDA, vous devez accueillir favorablement ces injures parce que leurs auteurs, à défaut de pouvoir analyser eux-même la situation politique prétendent sans en apporter la preuve que ce n’est pas une analyse et ceux qui réfutent les termes même de cette analyse savent ce que c’est que la malhonnêteté intellectuelle. En fait, depuis l’avènement des cntistes, c’est la victoire des vainqueurs qui s’applique en politique. C’est avoir le courage de dire cette vérité juridique que les nouveaux arrivants ne veulent pas entendre. Mais le mensonge a beau courir, la vérité finit par le rattraper en une enjambée. Le Sage
25. Le 31 août 2015 à 15:31, par par dazougou ouedraogo En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Être un homme c’est accepter dire la vérité quoi cela lui coût et Mr VENEGDA est un homme.
Je dis le Président Kafando n’est pas un sage
26. Le 31 août 2015 à 15:51 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@ internaute numero 21 c’est pourtant ça le droit pur. Pas le droit des vainqueurs. Le peuple c’est toi, c’est moi, c’est nous tous. Vous voulez la paix ou la guerre ? Moi je veux la paix par l’inclusion de tous les Burkinabè je crois en l’union de toutes les filles et fils du Burkina.
27. Le 31 août 2015 à 17:01, par fasolais En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Vous parlez d’elections d’octobre 2011 au moins à 2 reprises dans cet article..Erreur de frappe me direz vous, mais ca prouve quand meme un manque de serieux...
Vous annoncez le MPP toujours perdant, mais c’est le seul parti que vous voyez à coup sur arriver au second tour... soit mpp-cdp, soit mpp-upc..alors pourquoi pas cdp-upc ?...
Eddy est le seul à avoir enseigné à l université pendant 20 ans...Il devrait donc prendre la place de Blaise depuis longtemps, car le Blaiso n’a pas ce niveau intellectuel...
Vous dites que les ministres et les deputés avaient peur pour leur vie et devraient se conformer à la volonté des caciques... Donc vous declarez qu’avec Blaise c’etait pas la democratie mais plutot la dictature ?.(car dire non pouvait conduire à la mort). en meme temps vous affirmez que les RSS du mpp ont risqué leur vie, et meritent le respect des insurgés ?...Vous contredisez votre idole Eddy qui chante donc les louanges du democrate Blaise...?...
28. Le 31 août 2015 à 17:52, par SOME En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
quelle misere intellectuelle ! bon dieu !
SOME
P.S L’UNIR/PS vous surprendra tous ; cela vous fait peur n’est ce pas ? Vous n’avez pas fini de trembler
29. Le 31 août 2015 à 18:02, par savant En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
mr ziri waya ; vous feriez mieux de changer de prénom ; adresser simplement votre requête au président du Tribunal compétent pour voir déclarer celle-ci fondée car vous ne méritez pas ce nom. votre analyse me déçoit énormément même les griots de votre race remuent la langue sept fois avant de crier ou chanter les éloges de quelqu’un. c’est la vomissure tout simplement.
30. Le 31 août 2015 à 18:11 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@ internaute n° 1 Aimé va se retourner dans sa tombe, tellement il aimait la vérité juridique comme son prénom. En fait, tout comme les dignitaires du régime Compaoré, vous, arrivistes notoires, avez goûté au pouvoir et vous êtes déjà devenus fous avant un an. Donc, vous ne raisonnez plus en juristes mais en vainqueurs au gros dos rond ayant goûté aux délices maléfiques du pouvoir. Il suffit de voir vos interventions arrogantes à la télé. Que Dieu me préserve du pouvoir en général ; et du pouvoir maléfique en particulier qui fait perdre la boule rasée par rapport aux normes juridiques et ce, au profit d’intérêts bassement matériels et égoïstes. Vous reviendrez très bientôt sur terre in challah par la grâce de Dieu tout comme les anciens dignitaires et autres caciques du CDP si vous n’êtes pas incarcérés à la MACO. Au lieu d’apporter une analyse contradictoire, tu te bornes à soulever une malhonnêteté intellectuelle dont tu n’es que le piètre auteur principal. un peu de décence ne te fera pas de mal. AA
31. Le 31 août 2015 à 18:17 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Maitre Kéré, alias le Sage, arrête de nous pomper l’air ; si ça se trouve c’est toi-même l’auteur de l’article ; mais nous en s’en fout de ce que tu racontes ; viens nous rejoindre ici au Faso ; après tu pourrais bien écrire
32. Le 31 août 2015 à 18:53, par AS En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Quand j’ai lu au début : A COMMENCER PAR LE CDP .... je m’attendais à lire une analyse sur chaque parti un par un, mais hélas.
Çela me rappelle une anecdote à l’école primaire. Un élève qui avait bossé par coeur sa leçon sur l’organe OEIL, s’attendait bien sûr à ce que l’examen de science au CM2 porte sur l’oeil. Mais malheureusement pour lui la question était : Décrivez l’organe du corps humain OREILLE. Et sa réponse était : L’oreille est un organe très important du corps humain car il nous permet d’entendre, mais n’oublions pas l’oeil, ...et l’élève se mit à verser son boilot sur l’oeil.
A bon entendeur salut !
33. Le 31 août 2015 à 19:20 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
RIRRRRE.VOICI ENCORE UN MENSONGE.TU NE CONNAIS VRAIMENT ¨PAS LHISTOIRE DE LA REUSSITE DE TON PROTEGE.DEMANDE DS LE MILIEU FINANCIER ET DES ENTREPERENEURS.TU COMPRENDRA QUE TON EDDIE EST UNE SANGSUE.TU A CONNU LES HUILERIES JOSSIRA ????
34. Le 31 août 2015 à 21:39, par Niko En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Si vous n’en êtes pas un vous-même, vous semblez cautionner l’impunité. Dès lors, vos réflexions ne peuvent être que biaisées. Sachez que nul ne doit se prévaloir de ses propres turpitudes. Le CDP, ses adeptes et candidats le retiendront pour l’avenir. Les ministres poltrons, on les a vu après la chute de leur mentor. De couards, ils ont brusquement retrouvé leur hardiesse et ont même commencé à rêver de Kosyam...... Attitude triste ou comique ? En tout cas ce n’est pas avec des gens de cet acabit qu’on peut construire notre cher BF. Idem pour ces députés qui ont, sans honte largué femme et enfants à leur domicile pour une nuit à Azalai bien arrosée de vins et de champagnes et le tout couronné d’une vlop de 5 briques voles certainement sur nos deniers. Quel déshonneur pour ces députés qui ont piétiné leur propre personnalité ou ce qui leur en restait encore ? Quelle morale peuvent-ils ensuite défendre et inculquer après de telles forfaitures ? Je conclus en affirmant que notre beau pays a besoin de mieux. Que nul ne s’y trompe. La vérité rattrape toujours le mensonge.
35. Le 31 août 2015 à 21:45 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@ SOMÉ, dès qu’on abonde pas dans le sens de l’UNIR/PS, c’est "la misère intellectuelle..." et tout le tin toin. Si Me Sankara Bénéwendé arrive à Kossyam, il devra se méfier des ignares comme vous, borné, ignorant, narcissique, intolérant, constipé, mal luné et qui se prend pour le nombril de la terre. Des concitoyens de votre ordre devraient faire preuve de plus d’amour et de simplicité pour nous permettre d’avancer. Ou bien ?
36. Le 31 août 2015 à 21:56 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@ AS internaute numéro 32. A commencer par le Cdp après MPP, UPC, les parties républicains, L’ADF RDA, tu n’as pas pu lire ça dans le papier ? Deuxième tour MPP Cdp ou MPP UPC tu n’as pas vu ça aussi ? Alors on n’y peut rien vraiment pour toi, mais il faut du tout pour faire le monde... Baguin.
37. Le 31 août 2015 à 22:39 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@internaute n° 33, toi qui sait tout sur le parcours de Monsieur Eddie Komboïgo au point de le traiter de "SANGSUE", raconte-le nous au lieu de venir étaler ton ignorance au grand jour. Je pense que Monsieur Eddie Komboïgo que je connais quand il avait 13 ans et moi 15 est un garçon de nature calme, pondéré et serviable. C’est une affirmation gratuite que tu viens de faire. Pourquoi avant l’analyse tu n’as rien écrit ? Bande de connard caché derrière l’écran de l’ordinateur et lâche devant l’éternel. Dieu te voit et voit le coeur de Monsieur KOMBOÏGO. Eh, le burkinabè ???? les trois MMM (méchant, mesquin et médiocre) j’ajoute, jaloux, injuste et haineux.
38. Le 31 août 2015 à 23:11 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@ internaute n° 27 : L’analyse concerne effectivement les élections du 11 octobre 2015 et pas 2011. C’est donc une erreur de plume et merci d’avoir relevé cette erreur.
En revanche, j’ai relu l’article mais je n’ai pas vu une quelconque référence aux trio dirigeants du MPP identifiés par les lettres RSS. C’est exact que sans la scission du CDP, il n’y avait pas de salut pour l’alternance. Norbert ZONGO l’a dit avant tout le monde. Conservons donc la paternité de cette idée à lui et pas à quelqu’un d’autre.... Gloire soit rendu aux martyrs, y compris ceux qui se fait écrasés par des sacs de riz au magasin d’Inoussa Kanazoé. Ils avaient faim.
39. Le 1er septembre 2015 à 00:19 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Diarrhée de mots qui jaillit paradoxalement d’une constipation d’idées. le poisson des idées a été noyé dans les flots de la littérature. c’est beau comme francais. ca sonne bien comme un tambour. mais rapellons que c’est parce que l’intérieur du tambour est creux que son son est bon. courage. ca fera bientôt un roman.
40. Le 1er septembre 2015 à 06:53, par AS En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Que de louanges. A moins que ce ne soit un message subliminale.
Dans l’article, j’ai compté :
16 fois Eddie COMBOIGO
24 fois CDP
6 fois MPP
4 fois ADF/RDA
4 fois UPC
...
Vive la liberté d’opinion
Sans commentaires
41. Le 1er septembre 2015 à 11:57, par siberthsky En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Tout sauf une analyse de notre situation politique actuelle.Parlez plutôt de la propagande de votre expert comptable. merci quand même mais sachez que rien de ce qui est dans votre tête ne se produira dans ce pays que Dieu a béni.
Un parti politique ne se limite pas à une seule personne. Si vous êtes toujours sûrs de vos forces comme vous le signifier dans vos écrits, placez d’autres personnes et démontrez cela dans les urnes. Réfléchissez-y d’avantage.
42. Le 1er septembre 2015 à 14:58 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Vraiment j’aurai aimé que les juristes de la transition apportent un autre son de cloche à cet écrit.
Hélas, on les cherche en vain.
Il n’y a que des aigris qui lancent des sourates et ça, je suis déçu qu’il n’y ait pas eu de contradiction strictement juridique à cet écrit. Donc l’écrit est juridiquement vrai même s’il fait un peu la place belle à Eddie Komboïgo. Mais ne le mérite t-il pas puisque c’était un illustre inconnu ? A vos plumes pour apporter la contradiction. On verra. Le conseil constitutionnel a intérêt à retirer avant la crise électorale les deux décisions sinon, n’gaw !
43. Le 1er septembre 2015 à 18:10, par fasolais En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@Intervenant 38. (Auteur de l’article certainement).. En parlant du trio RSS, je veux dire que votre declaration selon laquelle les deputés ont peur de dire non pour leur vie, signifie que vous reconnaissez que ce trio qui a fait mieux que dire non en quittant le parti a risqué sa vie et merite le respect des insurgés...Votre article, pour qui sait lire entre les lignes ne rend pas service à ceux que vous defendez... bien au contraire.. En resumé on vivait dans une dictature selon votre article..Quand on dit la verité sans l’avoir voulu,c’est que c’est vraiment la verité. Depuis le depart du trio, aucun article, aucune declaration du cdp sans faire allusion à eux... Chose qui a fini par convaincre ceux qui etaient sceptiques au depart, que la demission du trio n’etait pas un montage...votre article aussi est allé dans le meme sens..
44. Le 1er septembre 2015 à 21:01, par Encore, encore En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Et pourtant, lanalyse est juste. En cas de second tour cdp/ upc, le mpp soutiendra lupc et upc gagne.si le mpp arrive au pouvoir en 2015, cest que le cdp nest pas garcon.
45. Le 1er septembre 2015 à 22:58 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
@internaute 43. Mais justement l’article ne défend personne ni n’incrimine personne. C’est une analyse objective et en même temps subjective pour certains. Si vous voulez, Fasolais faites un article de 10 pages sur le trio RSS, personne n’y verrai un quelconque inconvénient. C’est bien que vous aviez vu que l’article comportait une part de vérité inconsciente. Tant mieux. L’exclusion est toujours un mauvais choix, celui des pauvres esprits. Je doute que vous en soyez un. Lisez bien entre les lignes s’il vous plait car l’article fait la part belle au MPP qui sait que dans les deux hypothèses, il sera battu au second tour. Donc le MPP va redoubler d’effort. Voilà déjà que CMRK fait la cour à l’unir/ps de me Sankara. L’article est intéressant à plus d’un titre pour le MPP. Les esprits primaires ne voient pas ça....A qui la faute ? Le citoyen
46. Le 2 septembre 2015 à 16:26, par espoir 9° En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Ne vous servez pas de votre pauvre intelligence pour allumer le feu. Vous étiez où au moment où Blaise voulait passer le pays du feu à la braise. En tout moi, personnellement, je n’ai jamais pu lire avant vos écrits tendant à raisonner qui que ce soit. Et quand le pays prendra feu, sachez que c’est vous autres qui l’on allumer quelque part. Pourquoi offusquer vous à donner raison à ceux qui on eu tort. Les dizaines de morts n’ont pas encore franchi toutes les frontières du ciel, mais vous les avez déjà oubliés comme si vous étiez immortels et que la mort quelle que soit sa nature, quelle que la personne qu’elle est toujours atroce.
Intellectuels malhonnêtes, épargner nous car c’est quand vos propres intérêts sont menacés qui vous avez le courage de raisonner. Thomas Sankara s’est laissé tué pour le peuple, vous, vous ne le ferez au grand jamais surtout si vous êtes sortis des lombes de Blaise comporé.
47. Le 3 septembre 2015 à 14:45 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Espoir 9°, ah ça oui, personnellement, je me laisserai pas tuer pour quiconque ou par quiconque surtout pas par vous. Ma vie, comme celle de Thomas est sacrée. Allez-y vous faire tuer si vous le voulez en révélant votre identité, pauvre lâche. Pour tenir les messages que vous tenez, vous devez au moins avoir l’assurance de la connaissance de la personne qui a écrit l’article. Vous avez quel âge pour avoir une telle suffisance et une telle arrogance qui frise le mépris de votre propre personne ? En 1983, je tenais une kalachnikov pour faire la révolution d’août 1983. Vous aviez quel âge ? C’est là que vous devriez vous positionner surtout en faisant attention à votre pauvre orthographe qui, visiblement ne vous autorise pas à porter un jugement de valeur sur qui que ce soit ou pour quoi que ce soit. Vous aussi... soyez humble, répondez à la critique de l’écrit mais ne versez pas dans le dénigrement systémique. Pauvre type....
48. Le 5 septembre 2015 à 11:02 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Espor n° 9 avez-vous suivi le recours d’Ablassé contre la candidature de Rock ? Vous verrez où l’exclusion va nous conduire : dans l’abîme au fin fond du trou.
49. Le 6 septembre 2015 à 16:55 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
C’est en cela que l’analyse de Sidwaya Venegda est pertinente malgré les critiques ignobles qui sont passées à côté avec des attaques personnelles au leiu d’attaquer le fond de l’article. L’article a été écrit le dimanche 30 août 2015. Moins d’une semaine après, voilà que le problème de l’exclusion de Rock se pose avec accuité. on sait où ça démarre l’exclusion, mais on ne sait ps où cela pourrait s’arrêter... La solution que l’article de M. VENEGDA propose est la meilleure : Soit, toutes les candidatures sont validées et Rock sera candidat, soit le conseil constitutionnel maintient ses décisions d’invalidation des 25 et 29 août 2015 et la candidature de Rock doit être impérativement invalidée. C’est aussi simple que ça. La loi est dure, elle demeure la loi. Un citoyen lamda.
50. Le 7 septembre 2015 à 20:23 En réponse à : La situation politique actuelle au Burkina Faso après les récentes décisions d’invalidation du Conseil Constitutionnel des 25 et 29 août 2015
Le conseil constitutionnel dispose d’un délai de 3 jours pour statuer sur l’inéligibilité de Rock. Rendez-vous mercredi si ce n’est fait avant.