Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Les élites burkinabè, précocement, ont été très politisées au contact du syndicalisme militant conforté par les motifs politiques de luttes sociales des deux grands Joseph. A la Jo Weder et à la Joseph Ki-Zerbo. Ces deux ténors ont donné une orientation revendicative des intérêts matériels et moraux des travailleurs et avec en prime, les revendications de droits civils et politiques des Africains qu’incarnait alors l’historien Ki-Zerbo avec son Mouvement de Libération Nationale, créé en 1957.
Ils sont les animateurs du soulèvement populaire de 1966 qui a amené l’Armée au pouvoir pour ne plus le quitter. Ensuite, les élites ont exacerbé les conflits de leadership entre Jo Weder et Kango Ouédraogo engendrant le renversement des institutions de la III ème République en 1980 par le Colonel Saye Zerbo (la gauche représentée par Ki-Zerbo était jubilante) lors même que nous étions en passe de réussir durablement la transition politique pacifique. Nous étions dans la même configuration, à quelques nuances près lorsque les oppositions CFOP +MPP avaient lancé leur marche- saveur insurrection suivie de meeting en janvier 2014. Voici il me semble, la toile de fond des prises de position politique ou sociale des intellectuels burkinabè de ce moment. La première génération d’intellectuels de gauche inspirée des luttes d’indépendance ou de défenseurs intransigeants de meilleures conditions de travail et de vie des travailleurs va donner naissance à une flopée de mouvements de gauche, dans tous les secteurs de la vie socio-économique. Même une institution comme l’Armée fut séduite par ces mouvements dits socialiste africain, marxiste-léniniste, maoïste. Il y eut même des rêveurs jubilants pour le « modèle » albanais. Ces différentes gauches ainsi, vont dominer la scène politique burkinabè sur près de deux générations.
Histoire politique et ancrage des convictions des intellectuels
Il s’ensuit que les prises de position des intellectuels étaient d’abord fondées sur les convictions philosophico-idéologiques. La plupart du temps, ces intellectuels, du point de vue historique distinguaient la petite bourgeoisie africaine regroupée au sein du RDA que dirigeait Félix Houphouët-Boigny. Elle la dénonçait pour n’avoir pas revendiqué plus vigoureusement le projet indépendantiste lorsqu’il s’est agi de se prononcer oui ou non contre le projet constitutionnel d’inspiration gaulliste de 1958. Ce faisant, ces intellectuels minoraient le rôle émancipateur du syndicat agricole, crée pour en finir avec le travail forcé. Il n’est un secret pour personne que pendant longtemps, les élites pro-Houphouët-Boigny, étaient pourchassés, quel paradoxe, comme des communistes notoires au point où, plus tard, ils durent engager le processus dit de désapparentement définitif le 18 octobre 1950 d’avec les communistes au Palais Bourbon. Il faut dire que le discours du syndicaliste et chef du RDA, Houphouët-Boigny, après les répressions de ses militants et emprisonnements des siens de Grand-Bassam à Treichville, prêtait le flanc. Il déclarait ceci le 18 juillet 1949 à Treichville :
« Le moment n’est pas encore venu de pleurer nos martyrs. Le mouvement viendra après la mise à mort de la gent colonialiste, et, à ce moment-là seulement, vous pourrez sécher les larmes des veuves et consoler leurs enfants. » in Félix Houphouët-Boigny. Biographie. Fréderic Grah Mel. éd., du Cerap, Abidjan, 2003. P. 579
Les intellectuels de gauche de cette période se réclamaient et se considéraient comme des patriotes africains pour l’indépendance immédiate. Ce courant était représenté par le syndicaliste Ahmed Sékou Touré et Bakary Djibo, chef de la Sawaba au Niger. Au Burkina, outre le MLN, le PAI (Parti Africain de l’Indépendance) revendiquait lui aussi l’attache de gauche. De sorte que lorsque De Gaule retira les cadres français de Guinée après le retentissant Non de Sékou Touré à De Gaule, des patriotes africains comme Ki-Zerbo du Burkina Faso, mon beau-père Yao N’go Blaise de Côte d’Ivoire rejoignirent la Guinée de Sékou Touré comme cadres africains prêts pour la relève des administrateurs et cadres français retirés par le Général. Quelques humanistes et amis français restèrent comme le Professeur Jean-Suret-Canale, menacés pourtant de perdre leur nationalité française s’ils ne partaient pas, illico presto. Toutes les prises de position intellectuelle des uns et des autres, répondent de ces deux présupposés philosophico-politiques.
De Maître Hermann Yaméogo, ancien patron de l’ADF- RDA et recyclé à la tête de l’UNDD, l’on voit le lien amical et fraternel entre son père Maurice Yaméogo et Houphouët-Boigny, les deux Premier Président du Burkina Faso et de Côte d’Ivoire, deux pays qui en sont un, hélas, avec deux présidents condamnés à s’entendre sinon à constater les dégâts de leur mésentente. L’histoire en témoigne. Son challenger au sein de l’ADF-RDA et actuel chef de ce parti avec 17 députés à l’Assemblée Nationale, Noël Ouédraogo, fils du grand politique Kango Ouédraogo, l’on voit bien la filiation au libéralisme depuis le désapparentement du parti-mère, le RDA en 1950 des cercles communistes. Le fait que ces deux formations historiques de la droite burkinabè soient rejointes par l’UPC (Union Pour le Changement disposant de 18 députés) du néo-libéral et ex Chef de file de l’opposition politique, Zéphirin Diabré. Le courant libéral est ainsi constitué par ce tricycle voguant sur des eaux tourmentées par des rivalités de leadership personnelles.
Les intellectuels, ayant majoritairement stigmatisé le RDA comme la droite collaborationniste et réformiste depuis sa création en 1946 à Bamako, ce tribunal de la réalité socio-politique d’antan, continue de hanter ce parti historique et ses descendants légitimes, illégitimes et ses avatars. Rares sont les intellectuels de la première cuvée suivant l’Indépendance de 1960 qui se reconnaissent dans ce courant libéral. Il est aisé d’observer que même le troisième cru des élites, celui des années post-révolution de 1983, ne défendent pas majoritairement le libéralisme.
D’ailleurs, les Révolutionnaires de 1983, par leur ancrage marqué à gauche, voire à l’extrême- gauche (trotskistes et fous admirateurs de Enver Hoxha d’Albanie pour certains) ont ruiné les fortunes intellectuelles libérales. Pour les Révolutionnaires, il était impossible, conceptuellement, que d’autres lieux politiques ou espaces socio-économiques où se constituent des pensées non communistes ou de gauche. Même le socialisme démocratique que représentait le Professeur Ki-Zerbo n’était pas assez digne de créance à leur sens. L’exil fut son lot et le saccage de sa riche bibliothèque. Une véritable et irrémédiable idiotie semblable à ces autodafés dont les censeurs de tous poils au moyen-âge et des nazis et fascistes des années 30 en Allemagne et en Italie organisaient pour une soi-disant politique de la table rase.
Sankara et le Discours d’Orientation Politique
Mais les Révolutionnaires, deuxième génération de politiques burkinabè, tantôt à Dakar, Abidjan ou en France pour le cycle supérieur, ou au Maroc, Madagascar ou ailleurs, ont échoué à redéployer ou à réinventer la définition du communisme suivant nos vécus sociaux ( est-ce possible vu que le communisme dogmatique se veut scientifique et n’accepte d’application alternative que comme déviance du modèle standard classique) encore moins à le redéfinir comme un projet de société, un corpus d’idées qui subsume des concreta africains tels que l’agir, le culturel et l’échange économique, le déficit d’infrastructures au service du désenclavement, hormis la bataille du Rail, j’en passe. Précisément, cette bataille du Rail fut une prodigieuse trouvaille comme volonté de régenter un développement endogène par nos moyens propres, même si sa mise en route dénota une contrainte, une action forcenée. L’obligation des grandes administrations, par exemple, à y consacrer des journées de travail, finit par convaincre ses plus ardents défenseurs, que la conviction n’y était point. Les couches populaires chuchotaient, murmuraient : est-ce le retour des travaux forcés, de triste mémoire ? On ne peut revigorer la gauche révolutionnaire que par le renforcement, l’éducation au libre consentement.
Tout se passait comme si, la conviction heideggérienne était à l’œuvre voulant qu’une pensée unique, explicitée et confondue avec l’Histoire de l’Etre, déterminait le destin de l’Humanité et subséquemment des processus qui en sont surdéterminés. Intellectuels de gauche, il était pourtant disponible pour cette idéologie dominante jusqu’à nos jours, un contre-exemple sinon une mise en alerte critique que la pensée de Hegel offrait. Ayant rêvé, dessiné et Voulant réaliser en lien intime avec le concept de génie créateur libéré cher au Président Sankara, historiquement, le contenu du programme d’émancipation humaine que décrivait le Discours d’Orientation Politique (D.O.P), il sautait aux yeux, qu’au-delà de l’idéologie du progrès coextensive aux tenants et aboutissants de ce discours, l’Histoire -ou les petites histoires vécues ou anticipées- était la juste mesure tant de la portée que de la signification première de toute pensée.
En n’y prêtant pas assez attention, peut-être que du fait du rythme imposé, le temps mathématique manquait- l’on rompait ainsi les amarres avec la catégorie vérité que procure le tribunal de la réalité vécue. Le DOP devint ainsi une juxtaposition théorique avec une réalité vécue. L’une attestant contre l’autre et alternativement. Ce qui était de prime abord très louable, apparut très vite dans toute sa laideur morale. Liberticide en tous points. En cela, tout le jugement contrasté des acquis de cette période historique : les fruits n’ont pas tenu la promesse des fleurs. Pour les uns sous la Révolution, l’Etat disposait du peuple. Pour d’autres, le Président Sankara est le fétiche, le mythe tandis que pour certains, toujours au sein de la même famille idéologique dominante, seule la mise à mort de ce processus fatigué et désormais forcené et corrompu par les milices CDR qu’il conduisait et qui avait oublié autrui comme irréductible horizon de sens, d’alternatives et d’oppositions, constituait le saut salutaire. Du reste, il suffisait de sortir de la révolution comme idéalité mécanique à reproduire pour rencontrer autrui au moyen de l’expérience vécue du monde. Pour autant, je n’appelle pas révolution, ce processus que la phénoménologie héritée de Husserl, école philosophique qui exigeait le retour aux choses exclusivement en les laissant apparaître comme variations, pour ensuite les décrire comme phénomène, enfin les surplomber vers leur eidos comme invariance. En politique, cet horizon de sens comme présence incompressible d’autrui, il me semble, induit qu’il se peut que l’expérience du monde en cache une autre ; celle des idéaux et notamment la question de la liberté.
La phénoménologie appelle ces choses sensées, les horizons de coprésence. C’est pourquoi, cette Révolution Démocratique et Populaire, aurait dû, primordialement, être celle des gens pour incarner la substance de l’avènement énorme. L’exultation populaire comme fulgurance instantanée n’est pas fondatrice de sens ultime d’une historicité. Il faut aller au-delà pour rendre durable cette explosion de joies, liée parfois soit aux effets d’imitation sociale du Fait nouveau soit à l’opportunisme politique et clientélisme dont les bureaucratiques sont si friands dans nos contrées, pour construire et engager les enjeux du consentement libre et citoyen. Or seule la question de la liberté lui offrait ce sursaut-statut, l’extirpant du même coup des griffes acérées du dramatique des révolutions réalisées dans des histoires comme celles d’Albanie de Hoxha, de Staline de l’Union Soviétique ou de Haïlé Mariam d’Ethiopie. Ces trois histoires se sont vite muées en scléroses autoritaires, hypostasiant le mépris pour la vie humaine.
Précocement, il fallut opérer la déconnexion d’avec celles-là et, par là même, obtenir la rognure du dramatique au profit des politiques publiques populaires fondées, en l’absence d’une majorité prolétarienne, sur le libre consentement des gens, ce que le gouvernement de Front Populaire réalisa en France en 1936 comme rattachement symbolique à 1848 lorsque la République devint révolutionnaire. Hélas ! Les libertés publiques furent singulièrement réduites comparativement à la vitalité qu’elles avaient connue sous la III ème République du sage Général, le Président Lamizana. Or se voulant une Révolution restauratrice de la dignité africaine, les droits humains étaient d’office inscrits, philosophiquement, au cœur de son projet politique.
Droits des gens et socle culturel
Au-delà des droits naturels auxquels fait écho l’article 2 de la Déclaration de 1789, la mise en relief du lien viscéral entre liberté et égalité aurait dû être alors le suprême enjeu. De sorte que, ce qui est égal, c’est ontologiquement pour ainsi dire notre liberté comme principe et non comme égalitarisme. La hardiesse consistant à généraliser le mot de camaraderie pour tous, quel crime de lèse-majesté que celui d’un brave moaga invité à s’adresser au Mog Naba en le traitant de Camarade Mog Naba exactement comme cette autre mort symbolique qui conduirait un kamikaze japonais à traiter de camarade, le dieu vivant, l’Empereur Hirohito. Il subsiste donc de ces sacralités trans-générationnelles donatrices de sens pour en imposer aux scientificités advenues dans les sociétés humaines. De la matrice culturelle à l’assise psychologique du moaga, c’est impensable que le Mog Naba ne soit le suprême Commandeur sui generis. Ce maudit mot de camaraderie à l’endroit du vénéré Mog Naba est logé dans les rébus de l’ineffable. Or donc, la culture est une condition sinon la condition essentielle du développement. Ignorer les habitus et vitalités culturels d’un peuple d’un environnement, c’est s’abonner à l’aveuglement universaliste. Se voulant Révolution restauratrice de la dignité africaine, elle imposait de facto de sortir de cet aveuglement universaliste pour prendre en charge l’altérité, le terroir qui comprend les faibles et les puissants, les violents et les résignés, les velléitaires et les audacieux, pourquoi pas, les révolutionnaires et les réactionnaires. Le DOP aurait dû recourir à des sommités comme Maître Pacéré Titinga, Ki-Zerbo (qui ont fait le parcours des universaux et le retour aux singularités coutumières pour discriminer la singularité universelle africaine) et autres pour avoir toute prégnance sur le vécu social et psychologique des gens.
A l’inverse de cette importation de professeurs de dogmatique idiote et déifiée de Kim IL Sung qui nous donnaient des cours au département de philosophie de l’Université de Ouagadougou en 1986. La réalité vécue par les gens et que leurs droits structurent n’est jamais surfaite voire construite comme s’il s’agissait d’un modèle mathématique. Elle est faite de la combinaison de tous ces éléments, non pas comme invariants absolus mais comme décrivant des dynamiques qu’il faut savoir décrypter pour engager le peuple dans quelque projet que l’on voudrait au service des gens. Alors, il est juste de dire que le simple surgissement de la parole autorisée n’assure pas l’égalité encore moins la liberté. Encore que la parole surgit et autorisée est celle du CDR. Dénoncer ensuite les « CDR- brouettes » comme autocritique faite par le Président Sankara, c’est uniquement condamner le canal de communication, et non libérer intégralement la parole pour dépasser la pensée unidimensionnelle dont parle Marcuse.
D’où ce sentiment d’inachevé, d’improvisation, d’impatience, de frustrations sédimentées et le tout, dans des débats idéologiques puérils que seuls les étudiants des premières classes affectionnent tant ils sont encore sous le charme des belles idées extraverties. Personne ne met en cause la sincérité des actes, le vouloir c’est pouvoir et la floraison sémantique romantique par endroit. Les élans et les airs à la Che Guevara, nous ramènent au fait incompressible que le processus lors même qu’il est poussif, a rebroussé chemin : celui de la réalité vécue des peuples pour se réfugier dans le verbe. Le dire, ce n’est point l’invite au retour révisionniste. Mais que les belles idées trouvent leur fortune dans la réalité comme le professait le père du pragmatisme, William James. Est vrai, ce qui réussit. Ce qui réussit, c’est ce qui nous vient du monde. Le Président Compaoré résume ce jugement contrasté : « Il y a le mythe et il y a la réalité » in Jeune Afrique no 2792 du 13 au 19 juillets 2014. Parfois vouloir incarner l’histoire, c’est comme nos us et coutumes qui nous laissent voir, permettent aux identités et autres projets alternatifs se chevaucher, se titiller, se croiser, se rencontrer et pourquoi pas, se féconder tandis que le sujet de l’histoire, lui-même, s’efface subrepticement mais efficacement.
Est-ce là, accepter de jouer avec équité, les facilitateurs visionnaires, engagés, qui les pieds fermes sur le sable fin du Sahel, accueillent les attentes légitimes de la population, l’horizon d’attente dessinée par la justice, les droits humains, les systèmes de santé et d’éducation performants, pour mieux organiser leur alchimie, leurs combinaisons au service du mieux- être individuel et collectif de la société. Ce leadership-là est d’excellence et seuls les meilleurs d’entre nous y parviennent. Il faut trouver un mécanisme pour garder le plus longtemps possible les meilleurs d’entre nous. Ceux des nôtres qui ont ce dévouement nous assurent la sécularisation de nos institutions démocratiques qui sont en devenir et par là même, le régime des libertés fondamentales. Les ruptures de cycle de maturation institutionnelle comme ce le fut en 1966 et 2014, sont contreproductives sur le cours long de l’histoire politique. Leur maturation a besoin donc de temps vécu et ce temps vécu n’est pas nécessairement le terme constitutionnel puisque par le consensus hors constitution, par le dialogue fraternel, il est possible de déterminer des modus vivendi pour réactualiser, réadapter et nous réapproprier des advenues vécues pour qu’ensuite le législateur les fixe dans l’architectonique juridique comme normes.
La République, c’est alors, un équilibre dynamique entre les impatiences, les innovations socio-économiques advenues, les droits des gens et les bris de volonté politique nommés insurrections ou coup d’Etat tandis que les sécularisations institutionnelles se consolident tant que la violence n’est pas notre passage obligé. Seules la République et la Constitution réhabilitent notre volonté de vivre ensemble, restituent notre citoyenneté et restaurent notre prospérité dans la paix et la stabilité. Il en est ainsi que si l’on asserte que le Président Compaoré a brisé sa parole en introduisant le projet de loi modificatoire de l’article 37, le peuple lui aussi dans une partie de ses composantes, a perpétré le bris de sa volonté majoritaire ante (légalité républicaine et respect dû aux institutions démocratiques du Faso) par la perpétration d’un crime contre la République avec l’incendie de l’Assemblée Nationale. Il faut éviter, au seuil des échéances électorales constitutionnelles, à notre patrie commune un autre traumatisme, un autre renversement de situation pour le plein rétablissement de la légalité républicaine. Sortons des impasses subversives pour des élections incontestables parce qu’inclusives et transparentes.
La sagesse nous invite, pour arracher les échéances électorales de 2015 des tourbillons de soucis, vendettas et retournements de situation, à perpétuer et à fidèlement offrir au peuple souverain, non point des agendas de vindication, de détestation comme exclusion ou comme confiscation de droits civiques de certains Burkinabè, mais assurément, comme ouverture à la tolérance, à la fraternité et au partage pour que la justice, celle que nous voulons équitable pour tous, régente nos vies. Le vaillant peuple burkinabè saura, génération après génération, par qui faire prospérer et perpétuer, cet héritage de paix et de concorde.
Mamadou Djibo, PhD
Philosophy
Vos commentaires
1. Le 18 août 2015 à 19:14, par Nabonsss saw En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Tu ne pouvais pas être plus simple dans ton point de vue.
2. Le 18 août 2015 à 20:11, par yé ! En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
L’écriture ! Elle est hachée, désordonnée, décousue, insaisissable, elle interpelle et elle énerve. Les idées sont lancées, parfois justes. Puis elles sont malmenées, sans pour autant avoir prise réelle sur elles. Elles sont enfin abandonnées sans avoir été vidées de leur substance. On ressort de cette lecture sonné comme le spectateur d’un opéra dirigé par un schizophrène.
Djibo, delirium tremens ?
3. Le 18 août 2015 à 21:10, par nato En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Encore toi ? On était contents de ne pas te revoir.
4. Le 18 août 2015 à 21:26, par Un Autre Docteur En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Djibo, je n’ai rien compris de ton ecrit. Veritable salmigondis indigestible !. Je ne parlerai pas d’ emphase. Il n’ y a rien de lyrique. Ecrit sans point focal. On ne sait pas ce qu’ il veut realiser. Avec un francais vraiment lamentable et qui se veut philosophique, donc intelligent ? Que non ! Tout ce qui est clair s’ annonce aisement et les mots pour le dire arrivent aisement.
Tu n’ es ni philosophe, meme si je ne suis rien pour dire que tu ne merites pas ton doctorat en philosophie(tu dis que les gens agissent sur des bases ideologiques et philosophiques comme si ca pouvait etre autrement). Tu n’es pas litteraire non plus(parce que tu n’as aucune grace de l’ ecriture, la bonne ecriture etant avant tout l’ ecriture simple, pas les amphigouries dans lesquelles toi meme tu t’ emmeles). Tu ne maitrises meme pas les theories sociales et politiques et meme la realite sociale en pensant que des admirateurs de la RDP pouvaient etre des admirateurs de Enver Hoja. En fin, tu es une honte pour les diplomes burkinabe qui seduisent d’ habitude. Tu n’as pas honte de supporter des causes decadentes de ce genre ? Serais- tu en train de toucher le fond et donc pret a faire la manche pour survivre ? Je n’ arrive meme pas a avoir pitie de toi. Ecoute ! Quand on est dans un puits, on arrete de creuser davantage. Sis un peu malin. Tu as revolte des milliers de burkinabe quand tu faisais tes sorties hasardeuses sur des sujets dont tu as tres peu de maitrise. Je reviendrai car je suis pres a sortir pour vivre avec le peuple.
5. Le 18 août 2015 à 22:14, par SONDE En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Hum, Mr PhD en Philosophie ! On dirait que vous avez changé de sujet de dissertation ?
C’est pas mieux ainsi ? On ne vous a pas connu sur ce registre dès ! AH les hommes !
Quel équilibriste ! Comme le vent a changé de direction, Mr PhD change sa manière de braire !
Du courage, on dit que seuls les imbéciles ne changent pas. Allons seulement
6. Le 18 août 2015 à 22:23 En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Mamadou Djibo, Phd, Philosophie, STP, tu nous fatigues. Nous ne sommes pas à un cours d’histoire. Les élections c’est dans quelques semaines, alors si tu n’as rien de sérieux à dire, il faut laisser le peuple tranquille, car il y a des tensions dans l’air et tu nous casses les pieds.
7. Le 18 août 2015 à 22:52, par Figo En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
J’avoue que quand j’ai vu la photo du mec, je n’ai pas eu le courage de lire l’article. Je me rappelle de la façon dont il a utilisé son intelligence il y a tout juste 10 mois.
8. Le 19 août 2015 à 02:50, par Trahison En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Ouais ! Bravo, Djibo. Tu es fort. Tu es meme fortissime. Mais comme tu as ecrit pour nous communiquer un message, moi et les autres abrutis qui venons nous prosterner devant telle sommite, pouvez- vous nous resumer en 5 lignes, ce que tu voulais dire ? Pardon, je sais que tu as appris papier et que tu es trop trop fort. Ce que je te demande est dur parce que qui peut le plus ne peut pas le moins. Mais pardon, descends de ta tour de philosophie pour toucher des intouchables mentaux comme nous et resume nous en une phrase ce que tu voulais nous faire comprendre mais que notre cerveau crepusculaire ne pouvait laisser entrer. Ce n’est pas de notre faute. C’est de la faute a nos papas qui se sont contentes de nous mettre a l’ ecole Kiltivatere FJA afin qu’ on evite ce que tu es en train de faire : Brasser du vent et de l’ air chaud. Sans resultat. Eux, nos papas eux- memes abrutis, n’ ont pas attendu de lire Williams James, Charles S. Pierce pour comprendre intuitivement l’ utilitarisme. Le vrai, c’est qui reussit, c’est aussi ce qui sert. Ton ecrit- la sert a quoi ? Donc il est faux. Malgre le bling- bling de mots. Tu as perdu ton temps. Pire, tu as gache le mien. That’s not fair. Tim ist mony, jah. Pardonnes- moi mon franglais et autres melanges qui ne plairont pas a une Luminosite comme toi.
L’ Analphabete Utilitariste et Consequentialiste qui sait qu’ on parle pour se faire comprendre
9. Le 19 août 2015 à 04:51 En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Il refait encore surface celui-là. J’espère que le camerounais Nyamsi aussi ne va pas revenir. De grâce, laissez-nous en paix.
10. Le 19 août 2015 à 06:19, par gangoblo En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Encore et encore vous ? On vous voit venir. Vous avez philosophé avant les 30 et 31 octobre et vous connaissez la suite. Vous êtes encore de retour, en ignorant que les mêmes causes produisent les mêmes effets . Que Dieu nous protège.
11. Le 19 août 2015 à 07:50, par sawadogo Boureima En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Monsieur Mamadou, merci pour cette analyse critique de l’histoire politique de notre pays. je suis d’accord également avec votre conclusion sur l’inclusion pour des élections apaisées.
Bref je pense que l’envie du pouvoir ne doit pas amener les politiciens jusqu’à ce niveau de divergeance. au contraire compte tenu de la méfiance des citoyens de la politique ( confer enrolement biométrique complementaire) il apparticiens aux acteurs politiques de prouver leur envie de servir et non se servir .
12. Le 19 août 2015 à 09:15 En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Mamadou Djibo Philosophy writes to impress, not to express himself. What a waste ! All gibberish, a hotch potch , mishmash of cock and bull story.
Mr Djibo Philosophy ecrit pour impressionner, pas pour s’ exprimer. Quel gachis ! C’est du baragouin, du fatras dans un langage tarabiscote, du coq a l’ ane, quoi ! L’ esthetique n’ y est pas. Pire, meme le fond. Il ne suffit pas de s’ en prendre a tes professeurs, ceux qui ont fait que tu es ce que tu crois etre aujourd’ hui pour convaincre.Le vrai syndicalisme peut- il ne pas etre militant ? Le vrai syndicaliste peut- il ne pas avoir une culture politique ? Peut- il ne pas defendre les interets moraux et materiels des travailleurs ? Les syndicalistes voltaiques, puis burkinabe, ont fait ce qu’ ils pouvaient. Je suis fier d’ eux malgre leurs limites. A l’ etranger on admire notre haute culture politique et civique. Toi tu fais la honte des philosophes. Tu es en train de braire pour avoir du foin, comme l’ane de Buridan, mais c’est peine perdue.Tu es venu sur le lieu de la soupe au moment ou cette soupe a ete renversee par un peuple voyant. La soupe etait faite avec la chair des enfants du pays. Donc pas bien a consommer. Cette soupe a ete renversee sans autre forme de proces, pardon de phoulosophie. Primo vivere, deinde philosophare.Vivre d’ abord, philosophie ensuite.
13. Le 19 août 2015 à 11:13, par Drabo Cheick Oumar En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Mon frere, pourquoi tu te comportes come un mossi comme ca ? Tu vas faire les mossiguin- la vont descendre encore sur toi mal encore.Ne joue pas le Bouanga, Parent ! Chaque fois tu casses des verges pour leur donner. Ils vont te mater avec alors que eux - memes sont de voleurs.
14. Le 19 août 2015 à 11:55 En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Je n’ai rien appris dans ton écrit.
15. Le 19 août 2015 à 12:10, par Angelique En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Post 2,4,7 quelle haine !lui au moins ecrit donne son point de vue comme citoyen dans un style poli et respectueux des autres et vous ?une clique d,analphabets violents Bref.des petits esprits.La republique cesse d,etre un espace de liberte lorsque les aveugles pretendent guider les voyants.Pauvre Burkina.
16. Le 19 août 2015 à 12:19, par Fulgence T En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Merci Dr,voici qlqs rares beaux textes a lire,ca raffraichit la memo dans un style pose.Il faut de temps en temps nous entretenir sur les grands sujets.
Ton ancien eleve au lycee C.F.P-Pantin en banlieue parisienne.j,espere que vs vs rappelez de moi.Felicitation prof
17. Le 19 août 2015 à 12:20, par sang En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
critique des tendances libérale et du socialiste dans la politique du faso pour finir par encenser la blaisie de façon masquée. vs croyez q c monsieur a changé ? Dr. Christophe Dabiré au sécours. le demon est de retour.
18. Le 19 août 2015 à 12:25, par Yako En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Toi Figo tu as ql niveau meme, Un CAP en compabilite ?Quand on est pas a la hauteur on se tait.Bien a toi
19. Le 19 août 2015 à 12:25, par Tonton En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Philosophe de la misère. Ta sébile tendue avant le sursaut populaire n’as pas pu calmer le hurlement de tes intestins fragiles, et comme frappé d’amnésie tu reviens avec des sorties puériles. Tiens pour dit que jamais un "seigneur" ne sera reconnaissant vis-à-vis d’un griot. Parole de Tonton
20. Le 19 août 2015 à 12:33, par Sanou Rochelle En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
@un autre docteur,je retiens seulement la derniere phrase de votre reaction qui resume en gros votre etat d,esprit:Haine,jalousie,intolerance bref ,un homme triste.En fin,apprenez a faire des propositions constructives au lieu d,injurier nos braves penseurs.Meged
21. Le 19 août 2015 à 14:43, par pays reel En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
L’exultation populaire comme fulgurance instantanée n’est pas fondatrice de sens ultime d’une historicité.Quelle belle plume n,en deplaise aux jaloux.
22. Le 19 août 2015 à 14:44, par pays reel En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
L’exultation populaire comme fulgurance instantanée n’est pas fondatrice de sens ultime d’une historicité.Quelle belle plume n,en deplaise aux jaloux.
23. Le 19 août 2015 à 16:03, par Artson En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Plus c’est long, plus ça fait Phd, donc intellectuel...
Djibo, continue à nous pondre des textes aussi longs juste pour nous expliquer que seul Blaise Compaoré a raison. Et pendant que tu es occupé à les pondre, nous on avance.
Je parie que pendant que la rue grondait tu étais enfermé dans ta chambre à écrire un très très long texte pour justifier Blaise Compaoré et son système. Et je parie aussi (naturellement) que ce texte n’a pas été publié et qu’il ne le sera jamais puisque la foule a eu le temps de chasser ton champion avant que tu ait fini ta rédaction. Si j’ai un conseil à te donner ce sera celui-là : sache très très peu de Burkinabè vont se décarcasser pour lire un texte de cette longueur.
Ce qui fait que c’est vraiment bien de ta part d’écrire de si "très longs" textes, car cela nous enlève (à nous qui voulons rien savoir de la perfection de Blaise Compaoré) l’envie de les lire jusqu’à la fin. Mais l’avantage majeur reste que même ceux qui pourraient être sensibles à tes vues ne les lisent pas. C’est tout bénef pour tous. Bonne suite.
24. Le 19 août 2015 à 16:48, par Yack En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Si tu pouvait vrement te cacher un peu de ce journal, ca allait nous faire du bien cher "PHOULOSOPHE". Tu as defendu Compaore et son projet de monarchisation du pays en vain ! Et la tu deviens plus ’historien que philosophe. Ce n’est pas toi hoo. Tu es vaincu dans tous les sens.
25. Le 19 août 2015 à 17:30, par Cheikh En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
En réalité, moi je préfère que ce Monsieur continue à servir plutôt de sa plume la Côte d’Ivoire, pays de son beau père comme il le souligne lui même. Mais qu’il laisse le Burkina et les Burkinabè en paix maintenant, pour n’avoir pas su jouer sa partition, au moment où nous avions le plus besoin de lui. Mon frère Djibo laisse nous en paix, car avec toi, nous en avons eu suffisamment notre claque. Joins à toi plutôt à Niamsi ton alter égo, pour défendre à présent Alassane et Soro, car ce sont eux qui ont le plus besoin des gens comme vous actuellement, avocats de partout et de nulle part.
26. Le 19 août 2015 à 20:11 En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Ce pauvre garçon n’a-t-il pas de famille pour le soigner ?
27. Le 19 août 2015 à 20:31, par Tamou En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
J’avais pourtant conseillé à ce type de lire, lire et lire encore davantage, s’il veut réussir un jour à savoir bien écrire. Je croyais qu’il mettrait à profit sa retraite post-révolution pour lire. Eh bien non, il nous revient encore plus filandreux, avec son galimatias saturé de redondances, à vous donner des migraines, tant ce qu’il écrit n’a ni queue ni tête. II est tellement intellectuellement complexé qu’il est convaincu qu’il passe pour intelligent quand il écrit compliqué. Mais mon gars, la marque de l’intelligence, c’est la cohérence, la logique, c’est-à-dire la simplicité, tout ce qui manque dans tes écrits.
Quoi, Djibo, tu n’es même pas assez intelligent pour savoir que tu es bête ?...
28. Le 20 août 2015 à 21:30 En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
En toute honnete, ce monsieur Djibo est un vaurien. Je l’apele pas docteur. Il est docte en quoi ? En gros mots ? C’est un gromologue partisan de la gromologie. Mais ila eu sa part. On l’ a encore bien sonne mais comme c’est un ane qui tient a sa farine, il va ressortir le naseau encore et comme le peuple est plus "tetu" que lui, il sera encore assomme. Vat- en, vaurien. Tu as perdu toute ta dignite. Et tu te leves toi- meme pour ecrire des postes qui simulent tes anciens eleves en francais comme pour dire que meme des francais t’ admierent. Tu as rate ta vocation a philosopher.
29. Le 21 août 2015 à 01:23, par Un Autre Docteur En réponse à : Comment arracher les élections de 2015 des tourbillons de soucis ? Les élites burkinabè et la critique de la souveraineté du peuple comme manque
Un homme triste ? Que savez vous de moi triste homme, soit disant Sanou Rochelle ? Tu n’as meme pas le courage de signer Djibo Mamadou philopsohy en plus. Perdant que tu es !!!
Jaloux d’ un idiot comme ce zero- la ?