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Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

Publié le mercredi 22 octobre 2014 à 12h06min

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Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

Hier, le 21 octobre 2014, le gouvernement a décidé, à l’initiative du président Compaoré, de soumettre un projet de loi portant modification de l’article 37. Sans en connaître la teneur exacte, je puis affirmer sans me tromper que l’objet de cette révision va consister à modifier l’article 37 pour permettre à l’actuel président Compaoré au terme de 28 ans de pouvoir de se représenter.

Ses partisans qui ont animé un point de presse hier, l’ont affirmé. Ce projet de loi opère un changement anti constitutionnel au sens de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance signé en 2001 et ratifié par notre pays en 2010. Nous sommes dans le cas d’espèce d’un coup d’Etat constitutionnel.

En faisant appel au titre XV de la constitution, le gouvernement sème la confusion dans l’opinion, notamment l’opinion internationale. En effet, les Burkinabè savent très bien qu’il n’y a rien de légal dans cette opération. Non ! Cette opération de modification de la constitution n’est en rien légale. Ce que le gouvernement vient de faire est qualifié par les juristes constitutionnalistes de fraude à la constitution. En effet, une constitution, ce n’est pas seulement la lettre, mais c’est surtout l’esprit qui est fondamentale. La procédure du titre XV n’a pas été prévue pour servir des intérêts personnels. Or, ce qui vient de se passer hier consiste à utiliser un mécanisme légal pour assouvir des intérêts personnels. En droit administratif, on parlerait de détournement de pouvoir.

Aucun juriste digne de ce nom ne va se contenter purement et simplement de la lettre d’un article de la constitution pour en faire une interprétation. Si le rôle du juriste ne consistait qu’en cela, il n’aurait pas été utile de faire des études de droit tant l’exercice serait facile. Voilà pourquoi on a assisté ces temps-ci à la naissance de génération spontanée de juristes.

Il faut interpréter la constitution en la considérant comme un tout. Isoler les articles pour les interpréter conduit souvent à un non sens juridique. En combinant divers articles de la constitution, les auteurs du présent projet de révision de la constitution auraient compris son inconstitutionnalité. Il faut interpréter l’article 37 à la lumière des articles 165, 167 et 168 de notre constitution sans oublier aussi les engagements régionaux ou internationaux. Mais ceux qui ont décidé de passer par la force n’ont cure du droit ! C’est pourquoi ils feignent d’ignorer que notre constitution consacre la forme républicaine de l’Etat et proscrit toute idée de pouvoir personnel.

Comment permettre au président Compaoré de se représenter sans violer ces deux principes constitutionnels ? On nous répondra que le peuple n’est pas obligé de le voter. Ce n’est peut-être pas faux, mais dites moi comment celui qui prend autant de libertés avec la constitution peut-il encore garantir l’organisation d’un scrutin crédible et transparent ? Il ne s’agit pas de dire que les élections sont organisées par une CENI. Une élection crédible et transparente, ce n’est pas seulement l’organe en charge des élections, c’est tout un dispositif qui hélas n’existe pas encore dans ce pays.

Les auteurs ou complices de la forfaiture en préparation devront répondre de leurs actes aujourd’hui ou demain. Au sens de notre constitution, ils viennent ainsi de commettre l’infraction de trahison de la patrie et de l’atteinte à la constitution qui sont les crimes les plus graves que l’on peut commettre contre un peuple.

Hélas notre pays s’enfonce inéluctablement dans l’abîme. En effet, maintenant que le gouvernement lui-même a décidé de sortir de la légalité, on voit difficilement comment on pourra exiger des Burkinabè que ceux-ci respectent les lois de la République.

Cependant, il n’y a pas de raison de désespérer. Monseigneur Anselme Sanou disait des Burkinabè en 2005 qu’ils n’étaient pas des ressorts amortis. Les Burkinabè ont démontré à plusieurs reprises leur capacité à résister contre les lois iniques. Nous devons rester mobilisés et très bien organisés pour empêcher à tous les prix que notre pays ne se transforme en une monarchie permettant l’exercice d’un pouvoir personnel. L’histoire nous enseigne que les dictatures les plus féroces ont toujours capitulé face à la détermination des peuples organisés !

Abdoul Karim Sango

Juriste

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Vos commentaires

  • Le 22 octobre 2014 à 12:31, par Wakat tamé En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Un coup d’Etat constitutionnel, c’en est vraiment un !
    On en dira pas plus Monsieur A-K SANGO.
    Malheureusement c’est comme un rêve et pourtant.
    Il ne reste plus qu’un sursaut d’orgueil et de dignité pour le peuple pour contrecarrer cette forfaiture.
    Que Dieu sauve le peuple souverain du Burkina faso. Amen.....

  • Le 22 octobre 2014 à 12:38, par Burkinbi En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Bonjour,
    Merci pour votre contibution.
    Nous les générations conscientes, disons NON à ce holdup constitutionnel !
    Non au pouvoir à vie !
    Non à la monarchisation du Burkina !
    Non à toutes les crimes impunis !
    Non Non Non !
    Nan lara an sara !
    La Patrie ou la mort, Nous vaincrons !

  • Le 22 octobre 2014 à 12:39, par Antoine En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Je suis tellement déçu par ce que j’ai entendu hier que je reste sans voix.
    En tout cas, j’espère et surtout je prie de toutes mes forces que cela n’aie pas lieu car ce sera nous soumettre à l’esclavage.
    Aux Assami et compagnie, je les fais savoir que le peuple les fera repondre tôt ou tard de cela et il en paieront le prix fort.
    Dieu protège le Burkina et les Burkinabè de nos mecreants de dirigeants.

  • Le 22 octobre 2014 à 12:41, par Le Vigilent En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Il a tué son ami et plus que frère pour s’accaparer du pouvoir et il veut maintenant sacrifier tout un peuple pour le conserver ad vitam aeternam et le transmettre a son frère utérin.
    Il fait pire que les coupeurs de routes !
    Dieu sauve le Burkina !

  • Le 22 octobre 2014 à 12:41 En réponse à : Non !

    Bien dit. Il ne manqud plus que la détermination pour faire accepter l "NON" du peuple. NON ! NON ! NON ! e NON !... yaa ya boin !

  • Le 22 octobre 2014 à 12:41, par Doum Neko En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Voilà un intello qui vient de mettre à nu toute cette bande de violeurs de la constitution.Dieu n’est jamais préssé pour punir tout ceux qui font du mal à leur peuple et nul n’est éternel ici bas.L’avenir nous dira la vérité inchalla !!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 22 octobre 2014 à 12:42 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Bonjour SANGO

    Merci pour ce combat noble. Que DIEU vous bénisse. Nous défendrons la constitution par tous les moyens. L’A37 ne sera jamais modifié au plaisir de quelqu’un ou d’un clan. Nous gagnons ce combat pour la vraie démocratie.

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA. AMEN
    PAIX ET JOIE A TOUS LES BURKINA. AMEN

    NON AU REFERENDUM
    NON AU SÉNAT
    NON A LA RÉVISION DE L’A37
    NON AU POUVOIR A VIE D’UN PRÉSIDENT
    VIVE LE PEUPLE BURKINABÉ
    VIVE LA DÉMOCRATIE A 2 MANDATS
    VIVE L’ALTERNANCE 2015

    ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS
    Partisan inconditionnel de l’Alternance

    ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS
    NB
    Un plaisantin utilise mon pseudo pour s’amuser sur le forum et écrire des bêtises. Le vrai ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS que vous connaissez est farouchement contre le referendum contre le sénat et contre la révision de l’A37. Je suis pour l’Alternance. Merci

  • Le 22 octobre 2014 à 12:48, par vision En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Nous avons une justice aux ordres donc le débat juridique est perdu d’avance, aussi flagrante qu’apparaisse la forfaiture ! La disparition du juge Nebié n’a rien d’ordinaire, on fera ce qu’il faudra pour justifier l’injustifiable. Merci quand même d’essayer

  • Le 22 octobre 2014 à 12:49, par N’ZUEBA En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Que Dieu protège notre chère patrie

  • Le 22 octobre 2014 à 12:50, par goiiin En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    les règles c’est pour les autres !!!!, à bien y regarder si on ne se prend pas pour Dieu,or on ne saurait l’être, reste à y voir un esprit malin qui pactise avec le mal, le mensonge. mais quelle que soit l’avance du mensonge la vérité fini toujours à le rattraper.

  • Le 22 octobre 2014 à 12:51, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Et que dit que la ceni ,va organiser ce referendum,cette organe dont on dit que des bulletins ont été confectionnés à son insu ? Et même si elle venait à être chargée de l organiser,ses membres relevant de l opposition accompagneraient-ils cette forfaiture ? Que vaudra les résultats d un referendum déjà illégal,avec une liste électorale comportant des inscrits à l âge mineur jusqu en novembre 2015 ?

  • Le 22 octobre 2014 à 12:56, par Tin kuum Waya En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Hier , un jeune qui exerce dans le petit boulot dans le secteur informel plaignait le sort de Blaise Compaore comme quoi il a trop de charges sur les épaules et cela se ressent sur son physique. Je me suis marré jusqu’aux larmes ,ayant jugé ses propos provenant d’un insensé qui, au lieu de prier Dieu pour sa pitance journalière , a le temps de pleurer le sort du Président ! j ’ai compris par la suite que l ’heure est vraiment grave pour le Faso et pour le PF car même ceux qui se cherchent pleurent le Président qui ne voit pas les choses venir.

  • Le 22 octobre 2014 à 12:57 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Qu’est ce que tu attends pour démissionner de la CENI ? C’est facile de dénoncer et en même temps continuer de bénéficier des avantages d’un système avec UNE CENI qui servira la cause des révisionnistes.

  • Le 22 octobre 2014 à 12:59, par d8d8 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    vive le referendum oui au referendum

  • Le 22 octobre 2014 à 13:01, par Hamado ouédraogo En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Très bonne initiative monsieur Kouanda Mais faite attention au rancunier du MPP qui ne veulent que votre malheur.Au regard des liasses de billets qu’ils ont eu a partager hier dans la soiré nul ne doute actuellement de leur mauvaise fois. Nous lançons un appel fort en vers votre personne pour mettre a échec leurs projets de mettre le pays a feu et a sang.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:06 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    "Pas un instant, je ne saurais reconnaître pour mon gouvernement cette organisation politique qui est aussi le gouvernement de l’esclave. (…) Je pense qu’il n’est pas trop tôt pour les honnêtes gens de se soulever et de passer à la révolte. Ce devoir est d’autant plus impérieux que ce n’est pas notre pays qui est envahi, mais que c’est nous l’envahisseur."
    Henry David Thoreau (1817-1860), La désobéissance civile : Du devoir de désobéissance civique

  • Le 22 octobre 2014 à 13:07, par commando invisible En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    On ne peut pas parler de coup d’Etat constitutionnel car c’est la constitution même qui le permet,arrêtons de jouer les bébés gâtés on sait bien tous que c’est bien légale,le référendum pour modifier l’article 37 ainsi que la mise en place du sénat.Il y’a donc qu’un d’affronter la réalité,la vérité et cela ne peut empêcher donc l’application de ces lois.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:09, par Aline En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    N’importe quoi monsieur Sango !!!oubliez vou donc qu force reste à la loi et au peuple souverain !!!!le referendum est consigné dan cette mème constitution et de l’esprit de l’Art 36 le president est le garant de l’unité nationale !le referendum n’a rien d’illegal et rien ne pourra empècher sa tenue sale constitutionnaliste.VIVE LE REFERENDUM !!!!!!

  • Le 22 octobre 2014 à 13:09, par john En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    On verra bien quel grenouille va barrer la route au référendum ! Les faux démocrates sont ceux qui refusent le référendum !

  • Le 22 octobre 2014 à 13:10, par 4- 8 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Le pays nous appartient a nous citoyens de ce pays.Il nous appartient évidemment de décider du sort de ce pays.Il n’est pas question de remettre en les mains d’opposants déboussolés,malhonnetes et incompétents a la fois le destin de notre très cher pays.Vive le président Compaoré.Vive le référendum.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:10, par ouattara En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Respectons la constitution ! cela est bien normale Oui il faut respecter notre lois mère. Et si la lois mère dit que le référendum est permis par la constitution alors nous devons aller au référendum

  • Le 22 octobre 2014 à 13:11, par dabo clement En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    c’est la même musique on a assez entendu ça , le referendum rien que le referendum pour que triomphe la volonté populaire dans les urnes , dans les respect strict des règles de la démocratie chacun son bulletin vive le referendum .

  • Le 22 octobre 2014 à 13:11, par theo En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    tout ce que vous avez est tres dexceptionel je suis contre l,article 37 le president compaore doit cedé le pouvoir enfin qu,une autre le prend pour que le pays puisse avoir un changement

  • Le 22 octobre 2014 à 13:11, par cogito ergo sum En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Notre politique doit s’inspirer de notre culture,de nos valeur sociale,c’est pourquoi nous voulons que les gens comprennent qu’elle est fait et est d’une façon pragmatique c’est dire la simple capacité à s’adapter aux contraintes de la réalité ou encore l’idée selon laquelle l’intelligence a pour fin la capacité d’agir, et non la connaissance.Le référendum doit se tenir et le souhait donc est que tout se passe dans les normes,chacun doit se rendre sagement au moment venu dans le urnes pour se prononcer !!!voila l’acte citoyen dont on vous demande !!!!

  • Le 22 octobre 2014 à 13:11, par article 37 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Le CDP, la FEDABC et Blaise lui même, sont des traitres à la constitution. Je me rappel que le même régime en treillis avait fait payer de leur vie à des gens, que le système vait traité comme traitre.

    Toute personne personne reconnue de haute trahison subira la même peine qu’on a fait subir à des gens. A la guerre comme à la guerre. Il faut souvent rappeler certaines choses à certaines personnes dont l’âge n’a malheureusement donné la sagesse.
    TOLÉRANCE ZÉRO POUR LES TRIPATOUILLEURS DE NOTRE CONSTITUTION.
    Alléluia.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:14, par burkinbila En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    C est une belle de legistique que vient de donner monsieur sango a ce gouvernement, en particulier a ce juriste- ministre qui a tout dans son ventre et sous sa culotte. En tant au expert en legistique, diplôme de l ENA de Parisen , praticien de droit depuis 15 ans bientôt, je confirme l intégralité de l argumentaire. Blaise et ses complices répondront de cet entêtement égoïste devant l histoire et la justice burkinabè.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:14, par gros bras mince En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Restons mobiliser pour soutenir le président COMPAORE ,je suis convaincu que le monsieur Zeph finira par comprendre et donner son accord pour que tout le monde se rendent dans les urnes en toute tranquillité.Comme ça beaucoup comprendront qu’une personne qui se souci de l’avenir de ce pays n’a pas de raison de rejeter ce projet qu’est le référendum !!!

  • Le 22 octobre 2014 à 13:14, par Ablo En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    merci Mr Sango pour votre analyse.
    je rappel que chaque peuple mérite ses dirigeants. si LE PEUPLE SOUVERAIN veut que les mandats présidentiels soient illimités, ils le seront. Dans le cas contraire iles seront limités et respectés. Que tous les patriotes progressiste, démocrates se lèvent et mènent le combat pour la dignité, la justice sociale et pour faire barrage à l’imposture et au parjure.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:15, par hashirama En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Est ce que la constitution ne s’applique plus a une personne qui ait fait 28 ans de règne ? Non vue que vous invitez Blaise COMPAORE a respecté la constitution ! Chose que je suis d’accord cependant refus le référendum qui est permis par la constitution car Blaise a déjà fait 28 ans de règne est plus que pathétique. Est ce que dans l’article 37 le non de Blaise y figure ? Non donc respectons la constitution et allons au référendum

  • Le 22 octobre 2014 à 13:19, par Gargo En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Merci camarade SANGO
    Le sieur compaoré a osé franchir le rubicon. Les différents partis de l’opposition doivent résserer encore plus ; les rangs.
    En attendant de connaitre le contenu du projet de loi pour la modification de l’article 37, nous devons nous préparer à une résistance féroce afin de barrer la route à la naissance de la dynastie compaoré.
    Le peuple finit toujours par triompher
    ication

  • Le 22 octobre 2014 à 13:19, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    C’est triste pour mon pays de voir qu’aucun ministre n’a jusque-là rendu sa démission quand on sait que le gouvernement regorge de nombreux intellectuels. Je n’ose pas croire qu’ils ont vendus leurs âmes au diable pour ne penser qu’à leur seul intérêt. BC vient de démontrer aux yeux des Burkinabè que nous ne sommes rien et que nos cris de cœur lancés depuis plusieurs mois, n’ont aucun effet sur lui. Comment après 28 ans de pouvoir, il ose demander à briguer un autre mandat en toute violation de notre loi fondamentale ? Oh mon Dieu qu’ai-je fais pour être né dans ce pays.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:20 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Anonyme de 12h58, sauf erreur de ma part A. K. SANGO n’est plus membre de la CENI. Il y étais. Il n’est plus du PAREN mais de la société civile.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:22, par KALAN TE BAN En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Un élément sur le forum se fait appelé Article 37 là,lui est un trou du cul ou il est cul du trou.En tout c’est l’un ou l’autre forcément.Combien de fois il faudra dire que le référendum est légal.Ou bien tu viens là.Ne viens pas nous embrouiller avec tes insuffisances mentales là.Tout ce qui est légal et prévu par la constitution doit être appliqué et le référendum en est un.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:23, par Guideal Wallas En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Bonjour chers tous,
    Il faut comprendre que cette modification de "l’article 37" n’a aucun effet négatif sur le BF.
    Je suis très surpris de la réaction des uns et des autres car il ne savent pas ce que c’est que de vivre dans un climat d’instabilité totale.
    Il faut vraiment être très sélectif dans certains combats ,car parfois avoir la paix est mieux que d’avoir raison"

  • Le 22 octobre 2014 à 13:23, par Le Camarade En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Ce raisonnement m’étonne de la part d’un juriste si aller au référendum permis par la constitution est un coup d’état constitutionnel alors aller aux municipales aux législative tout comme aux présidentielles l’est aussi. Donc ce fait le respect de la constitution n’a jamais eu lieu depuis la création de la Haute Volta mais comme cela ce passe dans tous les pays donc dans le monde entier personne ne respect la constitution. De ce fait le USA se réclamant pays le plus démocrate au monde n’et entrain de se leurrer l’esprit. L’imminent juriste je me demande qui a bien pu vous former. Vivons nous réellement sur la même planète. Arrêtez de délirer

  • Le 22 octobre 2014 à 13:24, par Zena Zena En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    le président a le droit de demander la modification de cette article et la mise en place du senat qui est dans la constitution. ce serait donc de la dictature que de l’empêche de jouir de la liberté de faire ce que les loi permettent.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:27, par conscience En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    ah oh , on a compris , vous savez c’est justement ceux dont les etudiant de droit de l’UO2 ont besoin il vous seront très reconnaissant si vous leur octroyez ce privilège de leur donner deux heures de cours , cependant , apprenez mon cher monsieur que la réalité et la théorie dont vous venez de faire le vomissement sont carrément opposés alors revenez sur terre , et prenez votre carte d’électeur vive le referendum !!!

  • Le 22 octobre 2014 à 13:27, par Verdad En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    L’opposition burkinabè  : la mise en place du Sénat, elle n’en veut pas. Le référendum sur l’article 37, elle n’en veut pas. Que veut-elle  ? Descendre dans la rue. Que Blaise Compaoré et son parti leur offre le pouvoir en 2015 sans discuter en aucune façon sur leurs chances de la conserver. Et le peuple des électeurs  ?

  • Le 22 octobre 2014 à 13:28, par Amimata Zida En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    le référendum est le seul moyen pour que le peuple s’exprime librement et démocratiquement sur cette question. chers leader de l’opposition arrêter de lavez l’esprit du peuple et les inciter a la désobéissance car le président est dans ces droits.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:28, par Tomnaba En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Un proverbe populaire le dit : "tous les jours pour le voleur et un jour pour le propriétaire". Laissez - les faire comme ils veulent. La force qu’ils ont ne dépassera jamais celle de Allah.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:28, par hamed En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Vous savez nous ne sommes plus des gosses ! il faut que l’on nous prennent au serieux ou du moins que vous arrêtez de délirer. Si appliqué la constitution est faire un coup d’état constitutionnel alors ne pas l’appliqué l’est plus. Il ne s’agit pas de dire que l’on est juriste pour que les gens vous prennent au sérieux mais il s’agit d’écrire quelque chose de senser. Veuillez revoir vos cours avant d’écrire vos tête car vous êtes en plein délire

  • Le 22 octobre 2014 à 13:29, par réciproque fausse En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    C’est a surtout ce trio de RSS qu’il faut craindre,ces gens sont prêt a tout pour le pouvoir,ils sont actuellement prêt et attendent la moindre faille pour profiter,l’opposition dans sa démarche doit faire très attention a ces gars là surtout Salif qui n’a que des discours révoltants.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:31, par fofana drissa En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Monsieur Sango après 28 ans de pouvoir le président Blaise Compaoré a t il cessé d’être Burkinabè ? Vive le referendum même si c’est pour sa candidature , quitte à celui qui ne le supporte plus de voter contre lui c’est ça la démocratie

  • Le 22 octobre 2014 à 13:45, par Freeman En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Bel analyse. J’aime bien les deux dernières phrases : "Nous devons rester mobilisés et très bien organisés pour empêcher à tous les prix que notre pays ne se transforme en une monarchie permettant l’exercice d’un pouvoir personnel. L’histoire nous enseigne que les dictatures les plus féroces ont toujours capitulé face à la détermination des peuples organisés !"

    Merci M. Sango et que Dieu sauve le Burkina !

  • Le 22 octobre 2014 à 13:47, par Tandja le Sage En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Merci Mr Abdoul Karim SANGO. J’ai beaucoup apprécié votre analyse, c’est bien triste que les partisans du referendum ne s’aperçoivent pas de la fourberie employée par Compaoré et Compagnie.
    Que le Bon DIEU sauve le Burkina.

  • Le 22 octobre 2014 à 13:56, par oui En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Pauvre de nous. Pendant que les voisins s’activent à faire face une épidémie à virus EBOLA, nous réflichissement incessemment à comment nous entretuer. La honte ! Si l’idée du sénat et de la modification de A37 est si pertinente et "divine" comme le prétendent certains qu’ils laissent les situation se calmée et on verra peut-être en 2015 ou après 2015.Mais tout nous penser que les manoeuvres interminables se résume en un seul point : comment permettre au Président Blaise Compaoré se présenter au terme de ses 28 ans de règne à l’élection de 2015. Sinon comme je le disais tantôt si l’idée est vraiment ce que la majorité prétent, avec ou sans Blaise le Burkina reviendra la dessus.Gallilé affirmait que la terre tournait ; à l’époque on ne l’a pas cru et il a même perdu la vie. Mais aujourd hui dans toute les écoles du monde on apprend aux enfants ce que leurs grands parents avaient cru faux. On ne peut mettre un pays à feu et à sang pour satisfaire un seul individu. "Si nous ne luttons pas nous mourrons certainement" : un sage

  • Le 22 octobre 2014 à 13:57, par Roch Marck Christian Kaboré En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Maintenant chacun parle comme il veut et il suffit tout simplement de le dire et de prendre ses sous. QU’allons nous léger a nos enfants si l’on continue de penser ainsi ? personne ne s’en soucie l’essentiel c’est le moment présent. Mais le faso ne sera jamais un monarchie car l’on continuera d’avoir des élections municipales législatives et présidentielles demandez aux chefs traditionnel si ils se font élire chaque cinq ans par des élections ? Demandez leur ce que veut dire monarchie ?

  • Le 22 octobre 2014 à 13:59 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Quand un groupe de mafiosi s’empare d’un pouvoir d’Etat, voilà ce à quoi il faut s’attendre ! L’erreur c’était depuis la dernière révision où on l’a accepter comme quoi la nouvelle Loi de 5 ans de mandat renouvelable une fois n’était pas rétroactive !!!
    Ce n’est pas exemplaire et c’est très dangereux, car si le peuple ne réagit pas, après lui, celui qui viendra sera aussi tenté de manipuler la constitution à son avantage ! Et quand ça devient comme ça ce n’est plus pour construire le pays, mais plutôt comme ce que vous le savez tous !! Nan laara an saara !!!! Malheur à ceux qui opprime leur peuple !!!!!!!!!!

  • Le 22 octobre 2014 à 14:00, par Souké En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Merci M. SANGO ! Merci pour votre analyse. Jamais nous ne resterons les bras croisés et accepter cette forfaiture qui est en cours. Nous sommes plus que jamais déterminer pour barrer la route à toute idée de révision de l’article 37 de notre constitution. NAN LARA AN SARA !

  • Le 22 octobre 2014 à 14:03, par BAMOS En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Il n’y a bien rien de légal dans cet referendum de Blaise Compaoré. C’est dangereux pour ces juristes qui font une interprétation littérale de la constitution seulement pour satisfaire les intérêts d’un seul individu. Si nos dirigeants prétendent être en droit de violer la loi, le peuple aussi est en droit de ne plus leur obéir. Les luttes a venir seront féroces.

    PEUPLE DU BURKINA, JEUNESSE DU BURKINA L’HEURE DU CHANGEMENT A SONNE ET TOUT LE MONDE DOIT ÊTRE TÉMOIN DE CE CHANGEMENT.

  • Le 22 octobre 2014 à 14:08, par la nature En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Si cela n’est pas de la mauvaise fois depuis quand les juristes qui se disent digne confonde monarchie et démocratie. Depuis quand la modification de l’article 37 va empiété sur la tenue des élections ? Arrêtons de prendre nos spéculation pour des conclusions. Dans une monarchie il n’y a pas d’élections présidentielles hors au Burkina Faso il y en a et il y en aura donc arrêtez de divertir l’opinion

  • Le 22 octobre 2014 à 14:14, par Sud Soudanais En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Maintenant que l’appel a ete lance l’heure doit etre a la mobilistion generale pour que le non l’emporte sur le oui. Et cela est possible malgre les fraudes. Economisons donc l’energie des manifiestations, desobeissance civile qui n’aboutiront a rien et rentrons dans les villes et campagnes pour sensibiliser pour la victoire du "non".
    Merci Parent pour cette brillante contribution mais c’est vous les jusrites qui nous faites tourner en rond avec des tounures du genre "C’est legal mais c’est juste ou bien c’est juste mais c’est legal"

  • Le 22 octobre 2014 à 14:18, par Gomissida 1er En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    ce qui me fait rire, est qu’il y a des gens qui ont été payés pour dire oui au référendum sur les fora. ils changent de pseudo pour donner l’impression qu’ils sont nombreux, mais par leur façon d’intervenir on peut facilement les distinguer. honte à vous.

  • Le 22 octobre 2014 à 14:34, par Voix du peuple En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    La vérité est qu’une partie des Burkinabè, les partisans de l’opposition, minoritaires à l’Assemblée nationale, joue à faire peur aux autres Burkinabè transformant le débat politique,  en une guerre de tranchées où ceux qui se prennent pour les bons citoyens exècrent les mauvais qui seraient ceux au pouvoir et y usent de manœuvres dilatoires pour s’incruster. 

  • Le 22 octobre 2014 à 14:45, par Yeux ouvert En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Pourtant, il faut le redire, le référendum est un instrument d’expression de la volonté du constituant originel, le peuple. Aussi, c’est une contradiction flagrante pour nos chers opposants de se proclamer démocrates et républicains et être contre l’organisation d’un référendum dans les conditions prévues par la loi.

  • Le 22 octobre 2014 à 14:47, par l’enfant du pays En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    la vérité, ce refus du référendum traduit la peur de se faire désavouer par le peuple des électeurs et réduit la démocratie à des logorrhées verbales ou les meilleurs à gouverner seraient ceux qui crient le plus fort et monopolisent l’attention des médias. C’est là, plus qu’une méprise. C’est une grave erreur d’infantiliser le peuple au point de vouloir se substituer à lui, allant jusqu’à lui refuser le droit de s’exprimer par les urnes.

  • Le 22 octobre 2014 à 14:48, par Paul Paré En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Bravo et merci pour cet éclairage lumineux qui donne encore plus de force au peuple burkinabè dans l’organisation de sa résistance. N’est pas juriste celui qui possède seulement entre ses mains, un parchemin académique. N’est pas juriste un magistrat aux ordres d’un régime, N’est pas juriste, un magistrat qui ne connait que la lettre et pas l’esprit de la loi. N’est pas juriste un magistrat qui obéit à la lettre de la loi mais qui juge sans consulter sa conscience....De même n’est pas intellectuel celui qui est seulement lettré.... Ce qui vient de se passer est un coup d’Etat constitutionnel, et le peuple est dans son bon droit : organisons la résistance à travers tous les moyens en notre possession : manifestations, déclarations, et surtout la DESOBEISSANCE CIVILE, à travers les formes diverses et variées comme i’ont conseillé les OSC....La patrie ou la mort, nous vaincrons !!!!

  • Le 22 octobre 2014 à 14:55, par Dire En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Ce que je sais c’est que dans pareil situation c’est la jeunesse qui se fait massacré dans la rue et après les politiciens trouvent un terrain d’entente.

  • Le 22 octobre 2014 à 15:00, par baz En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    non sango est toujours membre de la CENI

  • Le 22 octobre 2014 à 17:07, par le buffle bleu En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Mr Sango, tu dis tout sauf le droit. Lis l’Opinion de la semaine (887) en pages 11-13, tu comprendras que se baser sur le titre XV de notre Constitution pour la réviser n’a rien de contradictoire avec la charte africaine de la démocratie. Pouvoir personnel ? soyons sérieux, si c’était le cas, la CENI n’allait même pas exister à plus forte raison organiser des élections législatives permettant à l’UPC d’avoir 19 députés. Aucunement rien ds notre système démocratique empêche l’alternance qui passe par les urnes.

  • Le 22 octobre 2014 à 17:16, par Pat Le Démocrate En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Je réponds à KALAN TE BAN qu’il ne s’agit pas là de la légalité mais de la légitimité de la constitution. Tu dis bien que "Tout ce qui est légal et prévu par la constitution doit être appliqué et le référendum en est un". C’est vrai, mais, si le peuple n’est pas d’accord, ça devient illégitime et son application est inutile sinon pour créer une guerre.

  • Le 22 octobre 2014 à 17:23, par @lpha2014 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    A quel moment la Cour Constitutionnelle intervient-elle dans ce processus ? Dans l’état actuel de nos textes, notre C-C a-t’elle la capacité d’autosaisine ? Je ne suis pas juriste, mais je crois que modification de l’article 37 ou pas, en vertu de la jurisprudence née de l’arrêt de la C-C qui a autorisé Blaise à être candidat en 2005, celui-ci ne peut plus être candidat en 2015, quelle que soient les modification apportée à la Constitution. Pourquoi ne saisi-t’on pas la C-C de cette affaire. Certains pensent qu’elle est acquise surtout depuis la mort de Nébié (il se murmure même que Nébié a été occis pour faciliter l’acquisition de la C-C), mais qu’est ce que cela nous coûte de la tester ? Ce que nous gagnont peut-être, c’est l’économie d’un référendum inutile, car si Blaise ne peut pas être candidat en 2015, à quoi servirait le référendum ?

  • Le 22 octobre 2014 à 17:28, par REVOLUTION En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Mais mon type la jeunesse est morte depuis longtemps. Observe un peu autour de toi le nombre de diplômes sans emplois qui jouent aux clochards dans nos cités... C’est très très pitoyable. Au lieux de cela on veut prendre des milliards pour engraisser des gens inutilement. Mon frère si tu te plais dans ta situation actuelle penses au moins à la majorité de tes concitoyens. Le printemps burkinabè a commencé et cette lutte nous allons la mener jusqu’au bout. Elle est légitime.

  • Le 22 octobre 2014 à 17:45, par Centy En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Quel est l’avis du conseil constitutionnel dans tout ça ?
    Les juges constitutionnels vont ils laisser NEBIE mourir pour rien ?

  • Le 22 octobre 2014 à 17:49, par Gaoussou En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Quand on ne veut plus de coup d’Etat militaire dans le monde, la communauté internationale l’ONU en tête devrait enlever toute envie aux tripatouilleurs dictateurs de perpétrer d’autres formes de coup d’Etat (constitutionnel) notamment.

  • Le 22 octobre 2014 à 18:50, par Okapi SAvadogo En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Courage, je crois également que le Burkina continuera d’exister sans cet Homme et il faudra que tout le peuple se lève comme un seul être pour le lui signifier.
    "Il faudra bien que tu partes un jour" et ce moment est arrivé, 27 ans, ce n’est pas 2 ans. C’est tout une génération quant on voit que 60% de la pop à moins de 25 ans. Peut-être que le Burkina a avancé durant ces 27 ans de pouvoir sans partage peut être pas, mais ce qui est sure : tu ne pourras pas faire PLUS que tu n’es pu faire durant ces 27 ans en voulant rester 5/10 ans de plus avec cet âge. Autrement dit, nous savons qu’avec toi, on ne fera plus miracle dans le développement MAIS avec une autre personne, il y’ a une chance et c’est sur cette possibilité non nul qui devient notre espoir pour un Burkina Meilleur.

  • Le 22 octobre 2014 à 19:16, par Okapi En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Courage, je crois également que le Burkina continuera d’exister sans cet Homme et il faudra que tout le peuple se lève comme un seul être pour le lui signifier.
    "Il faudra bien que tu partes un jour" et ce moment est arrivé, 27 ans, ce n’est pas 2 ans. C’est toute une génération quant on voit que 60% de la pop à moins de 25 ans. Peut-être que le Burkina a avancé durant ces 27 ans de pouvoir sans partage, peut-être pas ; mais ce qui est sure : tu ne pourras pas faire PLUS que tu n’es pu faire durant ces 27 ans en voulant rester 5/10 ans de plus avec cet âge. Autrement dit, nous savons qu’avec toi, on ne fera plus miracle dans le développement MAIS avec une autre personne, il y’ a une chance et c’est sur cette possibilité non nul qui devient notre espoir pour un Burkina Meilleur.
    Le combat également sera de rappeler avec vigueur à la communauté internationale de respecter les principes de démocraties et d’alternances qu’ils appliquent bien chez eux, nous m’attelle à longueur de tempos dans les conférences internationales, etc. C’est le moment d’être crédible : Allez-vous donnez cet exemple aux béninois, togolais ou congolais qui se battent également contre les tripatouillages de constitutions ? Allez-vous laisser faire ?
    Blaise Compaoré ne s’aventurera point dans une telle démarche s’il n’a pas la validation au moins de PARIS au regard de tout c’est passé récemment (printemps arables, Coup d’état TANDJA au Niger, e tc). C’est pourquoi, je crois que la première MARCHE de l’opposition et de tous ceux qui sont contre ce projet est de le faire auprès des ambassades de FRANCE, USA, UK afin leur signifier de demander à leur amis Blaise que le pouvoir à vie n’est pas de la démocratie. Si c’est vos intérêts que vous protéger, nous voulons bien le comprendre mais pas avec celui-là et pas dans ces conditions. Il ne fait plus l’unanimité d’antan car la peur à changer de camp et elle doit le demeurer, le peuple commence à se réveiller, à se détacher des ballonnements.
    Lève-toi Burkinabè, ne laisse pas raconter ton histoire, l’histoire du FASO. Raconte là et fait la raconter par tes enfants/petits enfants et dit également comment tu y as participé.

  • Le 22 octobre 2014 à 20:22, par Ka En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Messieurs les députés de la majorité, monsieur le premier ministre, monsieur le président de l’assemblée, vous êtes le miroir et le répondant du pouvoir du président Blaise Compaoré, en modifiant l’article 37 par la pression à violer la limitation du mandat présidentiel rendu obligatoire par la constitution de 1991, votre manipulation établira votre volonté de mettre le feu au pays que nous aimons tous, et souhaite son développement par l’alternance politique et économique qui est la base de l’émergences d’un pays qui attend un chiffre de taux de croissance pour l’avenir de sa jeunesse. La communauté internationale, l’UA, la communauté Européenne, sont témoins de vos actes criminel qui est de modifier un article de loi pour l’intérêt d’un seul individu et non de ce qui est mieux pour une nation et son peuple. Vous mettez mal à l’aise a tous nos valeureux juristes et magistrats qui ont œuvrés pour créer des institutions qui protèges le peuple. Dans les mois à venir vous serez comptable des crimes qui vont suivre à un soulèvement populaire. Ne croyez pas que ça arrive seulement ailleurs et non au Burkina, le peuple Burkinabé de 2014 n’est pas celui de 1987, il est mur, et prêt a laisser sa vie pour son intérêt. Cette phrase a été dit à Mr. Laurent GBAGBO en 2011 dans un site d’information des réseaux sociaux en ligne.

  • Le 22 octobre 2014 à 20:25, par doudouno le cobra En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Sango arrête ta comédie tu as été en Algérie observer des élections déjà pipés à l’avance.Tu es mal placé pour ce que tu dits.Tu aime l’argent comme tous ces faux intellectuelles Burkinabé.

  • Le 22 octobre 2014 à 21:35 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Blaise depuis 27 ans passe son temps à dribler le peuple à commencer par son coup d’état un certain 15 octobre en affirmant que son ami et frère était un renégat et autre nom... alors que lui-même était coresponsable en tant que N°2 du régime. Bref, à force de trop tirer sur la corde, elle va se fracasser sur le mur Tandja. Et, les sinistres qui ont acceptés d’avaliser le conseil extra d’hier devront également en répondre car, s’ils n’étaient pas d’accord, la démission s’impose. Mais, ici, apparemment, un ministre ferme sa gueule au lieu de démissionner. On dirait que chaque sinistre a des dossiers sales qui l’empêche de le faire. Tant pis, pour eux car demain, celui qui viendra commencera par auditer tous ces ministères où beaucoup de choses pas catholique se passent. Bref, la 1ère bataille a été gagné par Blaise avec son conseil.... mais la guerre ne fait que commencer contre son propre Peuple...

  • Le 22 octobre 2014 à 23:25, par Zereson En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Chers frères n’évoquez plus le nom de Dieu dans cette affaire.des criminels, les pires de l’histoire que notre pays ait connus, veulent nous emmener dans leur enfer (et dire que Assimi K.se dit musulman ! A tag fourlahi !).Il appartient à chacun de savoir que l’heure n’est plus à la passivité.Pour la première fois vous verrez des attentats au Burkina Faso.Ce n’est pas de la paisantérie.

  • Le 23 octobre 2014 à 00:17, par TITUS En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    nulle n’est sûre que le peuple ne veut pas de blaise. s’il est vrai que la démocratie c’est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, cela signifie qui si le peuple veut qu’il se représente il n’y a aucun incontinent a cela. le blaiso a dit qui si le peuple veut qu’il se représente il le fera. alors allons au référendum si le peuple refuse qu’il se représente, alors les débats seront définitivement clos.

  • Le 23 octobre 2014 à 00:22, par OUATTAO En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    nous sommes prêts pour mourir en martyre, pas de referendum.Nous nous battons jusqu’au dernier goute du sang.

  • Le 23 octobre 2014 à 00:27 En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Mlaheureusement, les cas a qui le CDP a paye des tablettes ne savent pas ecrire. Ils ne comprennent pas francais et ils n’ ont pas le cerveau. Donc, ils n’arrivent pas a mouiller le maillot. Tout ce parti est gripppppppeeeeee.
    C’est la poisse.

  • Le 23 octobre 2014 à 01:36, par baziebi En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Je suis Burkinabè mais j’ai parfois honte des dirigeants de mon pays. Comment les citoyens peuvent _t_ils être honnêtes alors que les premières autorités garantes des libertés n’ont d’égard pour la LOI FONDAMENTALE ?
    Le minimum de preuve de bonne éducation aurait consisté au respect du contrat social, de la parole donnée ! Au nom de quelle stabilité sous-régionale Blaise compaoré soutient_il une violation constitutionnelle au Burkina Faso ? A t_il oublié son conseil à Mamadou Tandja du Niger.? Où sont passées les gloires des médiations ? Pauvre président !!!
    Vient_on démocratiquement au pouvoir pour s’y éterniser après 27 ans de règne sans partage ? Et on vient ajouter et imposer encore 15 ans de vassalité au peuple souverain ! Doit-on tenir pour vrai ce dicton selon lequel le poisson pourrit par la tête ?

  • Le 23 octobre 2014 à 15:34, par Martial HLPGD En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Je suis sidéré de voir le CEFOP se contenter de conférences de presse et de renvoyer le début de la mobilisation jusqu’au mardi 28 octobre. Il faut battre le fer pendant qu’il est chaud. La réaction aurait dû être immédiate et farouche. C’est important parce que ça donne toute la mesure de ce qui va suivre et ça amène l’adversaire à douter de ses certitudes. Il est connu, la meilleure des stratégies pour la conquête et la victoire, c’est l’attaque car elle déstabilise.
    Si l’on se complaît dans des civilités, ce dont ceux d’en face se moquent royalement, on brouille le message qu’on a déjà délivré au citoyen patriote. Ensuite on va être débordé par ceux d’en face parce qu’on leur donne tout le loisir de lire, à travers ces comportements, des hésitations et des retraites qui ne veulent pas dire leur nom.

  • Le 23 octobre 2014 à 18:40, par kmb En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Et puis tu es fière de signer que tu es juriste ????????Honte à toi !!!!!!!!
    C’est de la mauvaise foi en voulant parler de monarchie dans notre système de multipartisme !
    Arrêter de dire divertir l’opinion nationale. Ça suffit maintenant !!!
    Je ne suis pas un juriste mais, en tant que agent de santé j’admets que le droit est également une science !
    Je sais également que tout médecin n’est chirurgien, tout pharmacien n’est pharmacologue ; en même tant tout juriste n’est constitutionnaliste !!!!
    Je sais également, qu’à l’état actuel de la constitution du BURKINA FASO, rien n’empêche juridiquement le président de la République de recourir à la consultation directe du peuple à travers le referendum pour réviser l’article 37 de la constitution.
    Les seules limites au pouvoir de révision sont ceux prévues à l’article 165 de la constitution notamment : ●La nature et la forme républicaine de l’Etat ;
    ●Le système multipartiste ● L’intégrité du territoriale nationale.
    Contrairement à la Constitution ivoirienne (art 35), la constitution Burkinabé ne prévoit aucune procédure de révision spécifique à un élément précis de la loi fondamentale.
    En droit constitutionnel Burkinabé, la procédure de révision est simple (voir les articles 161 et suivant) le projet de révision est soumis à l’assemblée nationale (article 163) puis au referendum (article 164) il peut même être adopté sans referendum par le parlement lorsque la majorité qualifiée des 3/4 est atteinte (article 164 alinéa 3 Loi N° 002/97/ADP du 27 janvier 1997).
    La démarche juridique se veut scientifique et souvent mécanique. En droit, je dis bien en droit, dans la démarche juridique, rien n’empêche le président du Faso de soumettre la révision de article 37 à un référendum. Le président peut à tout moment consulter le peuple pour quelques questions que ce soit chaque fois que la situation politique l’exige.
    Au lieu de dire la vérité au peuple vous êtes la à divertir les gens !!!
    Je reconnais en revanche que la solution au problème Burkinabé n’est pas que juridique au sens mécanique du terme.
    Il faut aller dans le sens de l’apaisement politique. Opposition et CDP doivent accepter de "s’asseoir et discuter" afin de trouver un compromis qui sauve le Burkina.
    D’ailleurs cette situation que nous vivons aujourd’hui a été l’œuvre des gens qui sont maintenant dans l’opposition et qui ont en son temps fabriqué cette bomme a retardement avec une intelligence machiavélique. L’histoire rattrape toujours !!!!! En politique, je dis bien en politique, BLAISE COMPAORE ne fait profiter de cette situation floue floue préparée par ceux là !!!
    De toutes les manières quant cette bombe éclatera on ne saurai son périmètre de champs d’action.

  • Le 23 octobre 2014 à 19:03, par KMB En réponse à : Révision de l’article 37 : Un coup d’Etat constitutionnel selon Abdoul Karim SANGO

    Et puis tu es fière de signer que tu es juriste ????????Honte à toi !!!!!!!!
    C’est de la mauvaise foi en voulant parler de monarchie dans notre système multipartiste !
    Arrêter de dire divertir l’opinion nationale. Ça suffit maintenant !!!
    Je ne suis pas un juriste mais, en tant que agent de santé j’admets que le droit est également une science !
    Je sais également que tout médecin n’est chirurgien, tout pharmacien n’est pharmacologue ; en même tant tout juriste n’est constitutionnaliste !!!!
    Je sais également, qu’à l’état actuel de la constitution du BURKINA FASO, rien n’empêche juridiquement le président de la République de recourir à la consultation directe du peuple à travers le referendum pour réviser l’article 37 de la constitution.
    Les seules limites au pouvoir de révision sont ceux prévues à l’article 165 de la constitution notamment : ●La nature et la forme républicaine de l’Etat ;
    ●Le système multipartiste ● L’intégrité du territoriale nationale.
    Contrairement à la Constitution ivoirienne (art 35), la constitution Burkinabé ne prévoit aucune procédure de révision spécifique à un élément précis de la loi fondamentale.
    En droit constitutionnel Burkinabé, la procédure de révision est simple (voir les articles 161 et suivant) le projet de révision est soumis à l’assemblée nationale (article 163) puis au referendum (article 164) il peut même être adopté sans referendum par le parlement lorsque la majorité qualifiée des 3/4 est atteinte (article 164 alinéa 3 Loi N° 002/97/ADP du 27 janvier 1997).
    La démarche juridique se veut scientifique et souvent mécanique. En droit, je dis bien en droit, dans la démarche juridique, rien n’empêche le président du Faso de soumettre la révision de article 37 à un référendum. Le président peut à tout moment consulter le peuple pour quelques questions que ce soit chaque fois que la situation politique l’exige.
    Au lieu de dire la vérité au peuple vous êtes la à divertir les gens !!!
    Je reconnais en revanche que la solution au problème Burkinabé n’est pas que juridique au sens mécanique du terme.
    Il faut aller dans le sens de l’apaisement politique. Opposition et CDP doivent accepter de "s’asseoir et discuter" afin de trouver un compromis qui sauve le Burkina.
    D’ailleurs cette situation que nous vivons aujourd’hui a été l’œuvre des gens qui sont maintenant dans l’opposition et qui ont en son temps fabriqué cette bomme a retardement avec une intelligence machiavélique. L’histoire rattrape toujours !!!!! En politique, je dis bien en politique, BLAISE COMPAORE ne fait profiter de cette situation floue floue préparée par ceux là !!!
    De toutes les manières quant cette bombe éclatera on ne saurai son périmètre de champs d’action !!!!

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