Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Depuis une semaine, il ne se passe pas un jour sans que le président de l’Assemblée nationale de Côte d’ivoire ne soit objet d’attaques et de calomnies sur les réseaux sociaux, voire sur les sites Burkinabé et ivoiriens. Informations parfois reprises par certaines presses ivoiriennes. Son crime : pourquoi avoir plaidé pour un climat de paix au Burkina Faso, un pays, jadis havre de paix et qui risque un embrasement si l’état actuel du climat socio politique demeure.
On le sait et ce n’est secret pour personne, le président de l’assemblée nationale de Côte d’ivoire voue un grand respect au Chef de l’état du Faso, un homme qui a joué un rôle très important dans le dialogue inter ivoirien surtout avec la sortie de crise signée à Ouagadougou le 4 mars 2007 et qui réunifiait le pays, la Côte d’ivoire, en réconciliant les frères ennemis d’hier.
Fallait-il être uniquement ivoirien pour se rendre compte des bonnes intentions du président Compaoré quand on sait qu’au-delà de la Côte d’Ivoire, celui-ci fut un artisan de la résolution de plusieurs conflits dans la sous-région ? Les cas du Togo et du Mali sont encore récents. Et, si des natifs du Burkina Faso peuvent trouver dans la démarche de M. Soro, un soutien à un « dictateur » qui refuserait une éventuelle alternance, avec la modification de l’article 37 de la constitution, alors même que ce dernier (Blaise Compaoré) n’aurait pas encore prononcé un seul mot concernant une quelconque révision de la Constitution Burkinabé, encore moins sur une éventuelle candidature pour les présidentielles de 2015, il est maladroit et méprisant que certains détracteurs burkinabé se laissent manipuler par une certaine classe d’individus en mal de publicité en Côte d’Ivoire.
Car une chose est de dénoncer une quelconque ingérence dans les affaires intérieures d’un pays par un non national, mais l’autre chose reste aussi de garder toute la lucidité en ne versant pas dans la manipulation, signe d’une immaturité donc, une injure à une intelligence personnelle ou collective. Malheureusement c’est ce à quoi nous assistons en ce moment au Burkina Faso avec l’affaire « Immixtion de Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso ».
Et à notre curiosité de nous renvoyer sur les différents post et partages sur « Facebook », devenu aujourd’hui un outil privilégié pour tous ceux qui voudraient s’adonner à l’art détestable de la calomnie à visage masqué.
Les faits
Le 10 janvier 2014, un jeune Burkinabé du nom de Aziz SANA, Doctorant en Economie et membre du « Mouvement ça suffit » adressait une lettre ouverte à M. Soro et appelait à une implication pour une transition politique apaisée au Burkina. « (…) Je sais compter sur vous, vous connaissant et vous admirant depuis mes bancs au Lycée moderne de Gagnoa dans vos prises de position courageuse que vous allez dans une parfaite clairvoyance et objectivité conseiller au président de Faso de ne pas s’accrocher au pouvoir. » plaidait en substance M. Aziz Sana.
Dans une réponse à cette requête en date du 12 janvier, le président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire interpellera à son tour la jeunesse burkinabè sur la bonne lecture qu’il faut avoir de la conjoncture politique actuelle.
« Il y a des demandes légitimes qui ne peuvent rester sans réponse, au risque d’entraîner le juste courroux de la conscience universelle. C’est donc avec un profond enthousiasme et avec un intérêt certain que j’ai pris connaissance de la lettre ouverte et courageuse que vous avez bien voulu m’adresser, suite à la mission fraternelle que j’ai conduite récemment au Burkina-Faso, sous les hautes recommandations du Président de la République de Côte d’Ivoire, S.E. Alassane Ouattara » a introduit M. Soro et d’ajouter : « Mon cher Aziz, vous m’avez parfaitement mis à l’aise pour vous donner sans m’ingérer bien sûr dans les affaires politiques de l’Etat frère du Burkina Faso, mon humble point de vue sur les voies et moyens d’une possible consolidation de la convivialité et de la confiance dans la démocratie burkinabè (…). » Et de terminer : « En plus des liens historiques indéfectibles qui jumellent de longue date la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso dans une puissante communauté destinale, vous n’êtes pas ignorant des raisons qui font qu’avec le président du Faso, S.E. Blaise Compaoré, pour qui mon exceptionnelle admiration est connue, j’ai une connaissance suffisante de l’élite politique burkinabé actuelle qui a essentiellement émergé dans son sérail. Roch Christian Kaboré, l’ancien président de l’Assemblée Nationale du Faso, est un ami et doyen qui a accompagné mes premiers pas à la tête du Parlement ivoirien. Je ne saurais donc parler du Burkina Faso sans avoir toute la délicatesse d’un vrai fils adoptif de ce pays-là, mien aussi par le destin et par la fraternité qui m’y lie à ce qu’il a vraiment de grand et de meilleur (…) Votre lettre, par ailleurs, revêt pour moi un intérêt évident. Non seulement, j’ai parfaitement pris conscience de la tonalité insistante de votre Mouvement ça suffit, mais en outre, je sais qu’à travers la présente réponse à votre lettre, je m’adresserai de fait à ces millions de jeunes Burkinabè qui ont le regard tourné vers mes actes et paroles, moi dont ils admirent massivement l’engagement depuis plus de deux décennies pour la démocratisation intégrale et effective de la Côte d’Ivoire ».
Il n’en fallait pas dire plus pour attirer foudre et magnans sur M. Soro. Mais de toutes les réactions, celle qui a retenu notre attention fut, la réaction intitulée « Réaction de la Jeunesse Burkinabè à la lettre ouverte de monsieur Guillaume Soro » rédigée à Ouagadougou le 13 janvier 2014 et signée par un certain Charles Ouedraogo et enfin publiée hier mercredi 15 janvier 2014 sur facebook et reprise par certains sites ivoiriens.
Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro
En effet, il a suffit de jeter un coup d’œil sur les post sur facebook d’hier pour se rendre compte que le nommé Docteur Doumbia Major a été très actif dans le partage du lien de l’article en réaction de la jeunesse Burkinabé non sans en laisser quelques commentaires du moins intrigants. Et comme pour achever son forfait, le nommé errant Doumbia Major induira la jeunesse burkinabé en erreur en leur faisant avaler sa tasse de thé habituellement servie sur sa page facebook ou sur son site internet au début de ses embrouilles avec M. Soro avec qui il a partagé des moments glorieux de la rébellion de 2002 à Bouaké : La mort de ses proches, IB (dont il fut le chargé de mission pendant des années), mais aussi de jeunes combattants, Koné Moussa, Bamba Kassoum et surtout le jeune Koné Morel dont Doumbia Major portera la responsabilité à jamais pour avoir recruté en personne ce jeune étudiant pour le compte du MPCI.
Il n’est donc pas étonnant de lire dans cette lettre ouverte au Président Guillaume Soro le passage suivant :
« (…) Vous êtes conscient qu’après avoir assassiné des hommes comme Coulibaly Ibrahim, Koné Moussa, Koné Morel, Bamba Kassoum et des centaines de jeunes nordistes qui ont été mis dans des containeurs, vous n’êtes pas assuré d’avoir les voix des nordistes et des musulmans de Côte d’Ivoire lors d’un scrutin libre, démocratique et ouvert ! Vous savez aussi que vous êtes vu par les Sudistes et les hommes de l’ouest de votre pays, comme celui qui a orchestré de nombreux charniers à l’Ouest de votre pays et dans la région d’Abidjan. Il ne vous reste donc plus que la violence comme seule stratégie pour accéder au pouvoir, et c’est pour ça que vous avez besoin de Blaise Compaoré qui doit de votre point de vue demeurer au pouvoir, pour permettre à vos ambitions personnelles de se réaliser ».
Quel tissu de calomnies sans le moindre début de preuves ! Bref, ainsi Doumbia Major réglait ses comptes avec son compagnon de la FESCI, puis de la rébellion de 2002. Mais si Doumbia Major s’est empressé de partager ce premier lien du journal en ligne www.connectionivoirienne.net autour de 13h25, et 16 minutes après la publication par connectionivoirienne (13h09) sous le titre de : « Les jeunes burkinabés répondent à Soro : gardez vos propositions lugubres », le Docteur Doumbia Major va être trahi par le génie du Web. Alors que le site internet toujours ivoirien : www.Ivoireinfo.com reprenait le même article autour de 15h, l’ennemi juré de Soro partagera une seconde fois le même article, cette fois en ajoutant un commentaire des plus révélateurs : « Je n’avais pas lu entièrement cette réponse des jeunes burkinabés à Soro parce que je n’avais pas d’ordinateur et que je lisais sur mon téléphone. Maintenant que j’ai accès à un ordinateur et que je lis de manière calme et sereine ce courrier, tout ce que je peux dire c’est que Soro aurait dû éviter de se mêler publiquement à cette affaire. Il a peut-être sous-estimer l’intelligence de la jeunesse de ce peuple ;, il a eu une réponse dont il se souviendra pendant un long moment !http://ivoireinfo.com/archives/36337 » dixit Docteur Doumbia Major.
Pourquoi tant de haine pour celui qui a fait de vous ce que vous êtes aujourd’hui, grâce à qui vous bénéficiez en ce moment d’un statut de réfugié politique en France et qui vous permet de faire le tour du monde sans être inquiété ?
Mais Doumbia Major n’a pas de haine que pour son frère d’arme d’hier. Dans un post toujours sur sa page facebook en date du 8 janvier 2014, celui-ci écrivait :
« Blaise Compaoré est aujourd’hui une véritable gangrène pour la démocratie en Afrique. Il est évident et clair pour nous que la démocratie ne peut émerger et se consolider dans toute la sous-région Ouest africaine avec un tel individu au pouvoir dans son pays qu’il utilise comme plate-forme de déstabilisation sous régionale dans le but d’installer au pouvoir des régimes qui lui sont soumis et redevables et dont ses proches se servent pour s’enrichir dans une dynamique militariste. C’est au regard objectif de la nocivité de ce monsieur pour toute l’Afrique et pour la démocratie que nous soutenons sans faille les opposants burkinabès qui demandent son départ du pouvoir. De mon point de vue tous ceux qui souhaitent plus de démocratie en Afrique devraient en faire autant. #BlaiseCompaoreDoitPartir ».
Mise en garde
Nous, ressortissants du Burkina Faso, résidents en France, venons par cette note, vous informer cher Doumbia Major que tous vos faits et gestes sont minutieusement suivis par nos soins et que nous ne saurions tolérer une quelconque manipulation de nos consciences et de nos populations en parfaites symbiose avec leur Chef, SEM Blaise Compaoré. Aussi, si vous pouvez parler sans remords de vos camarades de la rébellion ivoirienne dont vous portez aussi la responsabilité, vous êtes singulièrement mal placé pour juger la gestion de notre président, qui a quant à lui, une grande estime pour l’élite politique ivoirienne actuelle.
Pour votre gouverne, sachez que voilà 27 ans que le président Blaise Compaoré se bat pour le bien-être du peuple Burkinabé.
Les acquis de 27 ans de gestion rigoureuse avec une émergence du pays, jadis enclavé, au plan économique et social ne sauraient être niés sous aucun prétexte, fût-il électoraliste.
Car ce dont nos populations ont besoin aujourd’hui en Afrique, ce n’est pas de savoir qui les dirige ou qui va les diriger, mais bien qui va leur permettre d’accroitre leur revenu, dormir décemment, avoir une portion de terre cultivable, manger à sa faim et circuler librement et en toute sécurité.
Et ce défi, le président Blaise Compaoré l’a relevé durant les 20 dernières années. Ce qui place le pays aujourd’hui en pole position parmi les pays de la sous région les plus stables. Cette stabilité a permis au président du Faso de bénéficier de la confiance de ses pairs chefs d’état de l’Afrique voire d’Europe.
Préoccupé par la paix et la sécurité indispensable à tout développement économique pour son pays et pour son peuple, le président Blaise Compaoré fut plusieurs fois désigné comme médiateur dans des conflits en Afrique. Le cas de votre pays la Côte d’Ivoire, du Togo et du Mali sont des exemples de réussite de cette médiation qui a permis à ses pays frères de retrouver une certaine stabilité politique.
Aussi, avec une infrastructure innovante (route, logement…) et un pouvoir d’achat bien supérieur à la moyenne dans la sous région, le Burkina Faso est aujourd’hui cité parmi les prochains pays qui seront émergents en Afrique d’ici 2030.
Tous ces acquis sont bien à mettre à l’actif de la politique d’un homme : le président Blaise Compaoré.
Balayer donc d’un trait ces acquis socio-économiques et ses acteurs sans la moindre préparation des consciences pour une alternative crédible et responsable dans un pays où l’opposition fuit ses responsabilités est pour nous, un acte suicidaire non seulement pour le peuple burkinabé mais aussi pour toute l’Afrique.
Et nous, fils et filles burkinabé de la diaspora, conscients que c’est dans l’entente et l’unité que le peuple burkinabé relèvera les défis de la mondialisation, ne saurions rester inactifs face à une éventuelle dérive d’une quelconque opposition attirée uniquement par le gain personnel et sans réel projet de société.
C’est pourquoi, nous nous levons depuis la France, pour dire NON à un risque d’embrasement dans notre pays si le président arrivait à être contraint de quitter le pouvoir sans avoir achever cette noble mission qui est de faire du Burkina Faso, un pays émergent d’ici 2030.
Enfin souffrez M. Doumbia Major que nous saluions et félicitions le président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, S.E.M Guillaume Soro qui fut la toute première personnalité de son rang à fouler notre sol en vue de trouver une solution rapide à une crise qui si on n’y prend garde risque de nous plonger dans des affrontements meurtriers comme ce fut le cas dans votre pays la Côte d’ivoire. Mieux vaut prévenir que guérir ! Et la présence du Président Soro dans le débat Burkinabé ne saurait souffrir d’aucune illégitimité ni ingérence dans les affaires intérieures au Burkina Faso, tant la Côte d’ivoire et le Burkina sont liés à jamais. Deux peuples frères pour toujours !
Mariam Ouédraogo, Le Blanc-Mesnil(France)
Mail : mariam.ouedraogo72@gmail.com
Vos commentaires
1. Le 17 janvier 2014 à 08:41, par le sage cibal En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Madame mariam ouedraogo, avec tout le respect que je vous dois, souffrez que l’on puisse jeter un regard sur votre analyse ; en effet,honnêtement dit, je ne connais pas les dessous de la visite de soro à blaise et pour cela, il est déplacé ,dangereux et même suicidaire de s’aventurer sur un terrain inconnu et méconnu,je vous concède donc cette partie du disc, peut être effectivement que par les liens séculaires qui unissent les 2 nations soeurs(RCI et BF) ; la visite de soro pourra être d’un apport inestimable et il qu’il conveint donc de ne pas la dédramatiser, ce faisant, on s’attaque donc à la partie essentielle de ce feuilleton, en effet, vous dites en substance que le départ de blaise sans une préparation conséquente de la relève pourrait entrainer des conséquences fâcheuses, puisque vous dites clairement que des acquis sont engrangés sous le régime de blaise et qu’il faut attendre 2030 pour voir le burkina immerger, calculons donc , de 1987 à 2013,cela fait 43 ans selon, vous qu’il faut pour emmerger un pays, faites un regard sur les pays qui ont connu un boom extraordinaire, il n’ya en a pas qui en ont mis 43 ans pour sortir de leur sous développement, reconnaissez madame que’il n’ya pas d"acquis substantiels à prouver si on intègre pas la corruption,les detournements de fonds, l"incivisme, la clientélisme et d’autres maux qui sont à mettre à l’actif de ce régime, en 4 ans , sankara à contribuer à rendre les burkinabè fiers et honnêtes et travailleurs, les acquis sautent à,loeil regardez vous même, et le comble du malheur est ce que vous dites la même chose que tandja au niger qui voulait terminer ses chantiers, madame, que faites vous donc du principe de la continuité de l’administration ? vous l’avez fouler au pied , alors reconnaissez qu’on a pas besoin de 43 ans pour sortir un pays du sous développement, sankara l’a témoigner,vous êtes sur les chantiers de quelqu’un et laissez la place à d’autres sur vos chantiers, madame qui a dit à blaise de partir avant la fin de son mandat en 2015 ?, vu les agissements tous azimuts des prédateurs qui ne se cachent même plus pour prober cette forfaiture consistant à pratiquer une chirurgie à la constitution pour que blaise se présente en 2015, il est tout a fait logique et normal qu’on rappelle les termes du bail à votre mentor, 2015, terminus, blaise descends
2. Le 17 janvier 2014 à 19:28, par pisoopatrick@yahoo.fr En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
VOUS N ETES PAS AU PARFUM DE L ACTUALITE DU BURKINA . BLAISE A DIT DANS SON DISCOURS DU 11 DECEMBRE ET DU NOUVEL AN(JE VOUS INVITE A LE LIRE ,DANS lefaso.net )QU IL METTRA EN PLACE LE SENAT ET QU IL CONSULTERA LE PEUPLE EN REFERENDUM POUR LEVER L ARTICLE 37.lisez et faites lire lefaso.net et arretez VOTRE DEFENSE AVEUGLANTE.
3. Le 17 janvier 2014 à 19:52, par Jean En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
C’est facile de vivre en France et de conclure que le pouvoir d’achat des burkinabés augmente.
4. Le 17 janvier 2014 à 20:04, par Tonton En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Quand le ridicule se le dispute à l’inintelligence. Mariam, tu parles au nom de quelle diaspora ? Aveugle d’une époque révolue, tu fais simplement pitié et couvres les burkinabé de France de honte. Parole de Tonton
5. Le 17 janvier 2014 à 21:20 En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
n’insultez pas l’intelligence de la jeunesse burkinabé. nous ne pouvons être manipulés par qui que ce soit. on ne demande que le respect de notre constitution et elle sera respectée ; y a quoi même ? il n’y aura pas de guerre au Burkina. c’est compris ? c’est surestimer les capacités de Soro que de croire qu’il peut influer sur les affaires du Burkina. Aussi c’est pas un chef rebel qui donnera des conseils à la jeunesse du pays de Sankara.
6. Le 17 janvier 2014 à 21:35, par Panthere revolte En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Mariam Ouedraogo, épargnez nous des débats creux. Cet article n’a rien de constitutif. Webmaster désormais il faut censurer ces genres d’article. L’heure est actuellement grave qu’il faut se focaliser sur ce qui est important (Non au SENAT et pas de modification de l’article 37) au lieu de perdre le temps des lecteurs sur " je sais qui a rédiger ce message". Si vous été détective alors vous n’êtes pas au bon endroit. Blaise n’a pas dit qu’il va rebeloter, mais il n’a pas non plus dit qu’il ne va rebeloter. Tout un peuple ne peut pas se laisser aller à ce jeu dont seul Blaise et Francois connaissent les règles.
7. Le 17 janvier 2014 à 21:53, par Brocoli En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Lorsque Guillaume Soro vient soutenir que Blaise qui est au pouvoir depuis presque 3 décennies doit le demeurer, parce qu’il ne faut pas un départ précipité, il quitte ipso facto le camp des démocrates. C’est normal que les gens lui répondent. En quoi cela constitue t-il des attaques, puisque Soro est un homme public, qui se permet, lui, de donner son point de vue et de trancher en faveur du dictateur local à qui il doit tout. Et puis, qui a fait venir des griots comme Franklin Nyamsi (un analphabète qui se dit professeur agrégé en philo) sur la toile pour insulter les burkinabè qui ont montré logiquement que Soro est un ennemi de la démocratie. Madame Ouédraogo, ou vous faite semblant d’être stupide, ou vous l’êtes vraiment.
8. Le 17 janvier 2014 à 22:23, par job En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Mariam si on t’a payé pour faire les éloges de ton président Blaise de grace laisse le Burkinabè du Burkina gérer ses problèmes. Si tu penses que Blaise est bon il faut l’appeler il viendra rester auprès de Hollande chez vous . Hé pardon chez eux car bientôt on te chassera de la-bas et tu ne pourras même pas revenir aussi dans ton Faso . N’importe quoi
9. Le 17 janvier 2014 à 22:26, par abass En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Je souscris entièrement à l’analyse de M.Doumbia.soro ne peut pas régler une crise au sein d’un parti politik fut-il presidentiel.pourquoi lui il a pris les armes pour combattre M.Gbagbo qui est un monsieur simple et bon nationaliste populaire et l’obliger par la suite à partager le pouvoir avec lui et nous conseille d’accepter cependant d’applaudir le forceps de l’article 37.si roch SALIF etc nous disent aujourd’hui que ça ne va pas au cdp et entre en dissidence où se trouve la faute de doumbia ? Toi Mariam tu n’as rien à dire.Alassane a fait une augmentation de 12%.pourquoi ton faiseur d’émergence nargue les fonctionnaires depuis des années ? Je sais même pas pourquoi je te parle.soro est un rebelle et tu ne peux pas obliger quelqu’un à l’aimer. Je te conseille de lire la leçon de vie que lui a enseignée Sarah sereme sur le Faso.net.soro soro mon oeil.s’il a pu piétiner des ivoiriens il aura du mal à le faire au grand pays des hommes dignes et intègres.et puis c’est la marmite qui se moque du foyer.un réfugié devenu sauveur de notre nation.
10. Le 17 janvier 2014 à 23:11, par memer vovor En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Cette mari âme parle de quel Burkina ? le burkina de la france ou le Burkina (ex Haute Volta) !
Viens vivre 3 mois et on verra si ton langage sera le même, si tu diras la même chose sur ton bc
11. Le 17 janvier 2014 à 23:11, par Karissa En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
Chère Madame, merci de nous édifier sur les crimes de Monsieur Soro. Les règlements de comptes entre ce Monsieur et ses anciens compagnons ne nous intéressent pas au Burkina, de même que vos délires sur les prétendus bienfaits du règne du clan COMPAORE.
Ce qui est inadmissible c’est d’insulter l’intelligence de ceux qui ont réagi à la sortie malheureuse de Monsieur Soro, en estimant qu’ils sont des « détracteurs (qui) se laissent manipuler » et que cela est « signe d’une immaturité ».
Sachez qu’il ne sera permis à aucun aventurier de venir solder ses comptes au Burkina, que ce soit à l’égard de ses concitoyens ou de son parrain.
12. Le 18 janvier 2014 à 11:46, par intelligent En réponse à : Affaire « immixtion de Guillaume Soro dans les affaires intérieures du Burkina Faso » : Doumbia Major, le petit cerveau des détracteurs du Président Soro démasqué
mariam a tu des échos de la marche contre la modification de l’article 37 ce matin 18janvier ? Le peuple burkinabé veut prendre son distain en main