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Lettre ouverte à monsieur le maire de Ouagadougou : Appel pour l’éclairage de la route de Saponé

Publié le mardi 11 septembre 2012 à 23h14min

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Lettre ouverte à monsieur le maire de Ouagadougou : Appel pour l’éclairage de la route de Saponé

Dans la déclaration ci-dessous, Bernard Convolbo, un citoyen travaillant à Kosyam et résidant à Nagrin, lance un appel au maire de Ouagadougou, Simon Compaoré, afin qu’il électrifie la route de Saponé.

Force est de constater, monsieur le maire de Ouagadougou, que de nombreux usagers de cette voie sont chaque jour, victimes d’accidents très graves, généralement mortels, une fois la nuit tombée. Il s’agit plus précisément de la portion de la route de Saponé qui va du rond-point de l’avenue Pascal Zagré et du boulevard France-Afrique (feux tricolores de la cité AZIMMO) à la bifurcation allant à l’hôpital national Blaise Compaoré, et en passant devant le cimetière, route de Saponé. Une route à double sens bitumée depuis maintenant des années.

Ces accidents ont pour principale cause, le défaut d’éclairage public sur cette voie. Aussi, nous, usagers et riverains, sollicitons de votre bienveillance, monsieur le maire Simon Compaoré, l’éclairage de cette grande voie. Il vous plaira de constater avec nous, que de toutes les voies qui bordent la zone de Ouaga 2000, cette partie reste la seule à ne pas être éclairée. Et puisque le tronçon qui mène à l’hôpital national de référence Blaise Compaoré est déjà éclairé, il ne reste plus qu’à faire la jonction.

Un adage populaire dit qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Nous espérons sincèrement monsieur le maire, qu’en répondant favorablement à notre requête, non seulement ces multiples accidents mortels seront évités mais aussi vous contribuerez à sécuriser la partie non encore habitée de Ouaga 2000 qui est devenue aujourd’hui un repaire de drogués et de délinquants.

Du reste, à la tombée de la nuit, l’incivisme dans la circulation, les défauts d’éclairage public et de certains engins à deux roues combinés aux excès de vitesse font de cette voie, le « boulevard de la mort » à Ouagadougou.

Bernard Convolbo
Travailleur à Kosyam
Résidant à Nagrin

Sidwaya

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