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Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

Publié le vendredi 1er juin 2012 à 12h18min

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Madame la ministre,

Par dépit d’être la victime de considérations à des fins dilatoires, je me vois dans l’obligation d’attirer votre attention et celle de l’opinion publique nationale et internationale sur les dérives malicieuses d’une enquête judiciaire partisane à dessein.

Je m’insurge contre une procédure judiciaire à deux vitesses où je crains rai-sonnablement pour ma vie, vu la complaisance accordée aux infractions de mon cohéritier, la subordination de complices actifs, l’implication connu d’un individu se réclamant du corps des auxiliaires de justice et actant mafieusement à mon domicile, le silence de l’autorité pu-blique vis-à-vis des manipulations insupportables et inquiétantes de l’adjudant chef de gen-darmerie Sawadogo Noufou, commis à la tâche d’enquêteur .

Il est inconcevable que dans le même temps où le droit et les preuves de droit sem-blent incapables de solutionner urgemment une affaire toute banale (qui oppose deux héritiers tous majeurs au moment des faits) de détournement, d’usurpation et de séquestration d’hérédité, l’autorité laisse courir imprudemment des infractions à mon encontre, telles : l’abus d’autorité, l’abus de droit , l’empiètement et la contrainte, la fraude et la compli-cité de fraude, la menace et l’intimidation, les complicités actives (ex de Drabo Adama, Yaméogo Evariste et un soit disant huissier de justice) et j’en passe…

En effet, voilà une année que j’ai introduit une plainte (le 10/04/11) auprès du procu-reur du Faso pour détournement, usurpation et séquestration d’hérédité, pour harcèlements à dessein (la contrainte, l’abus de droit, l’empiètement etc.…) par mon cohéritier.

Le 04/12/2011 (après une année d’enquête), j’attirais l’attention du procureur du Faso sur certaines dérives et manquements de l’enquête, l’indélicatesse des propos et com-portements de l’adjudant chef de gendarmerie Sawadogo Noufou chargé de la dite enquête. En effet ,ce dernier s’est inventé une guerre dilatoire à la mesure de ses ambitions, et où il s’y est cru le droit et le devoir de s’octroyer un rôle de conciliateur . La pierre d’achoppement entre ce monsieur et moi trouvera sa source dans mon refus de collaborer en dehors de toute gouverne objective du procureur .

Le 05/12/2011 j’interpellai une fois de plus le procureur du Faso quant à l’inopportunité de la descente mafieuse d’un soit disant huissier de justice à mon domicile. Celui-ci, munie d’une correspondance que mon cohéritier a adressé à l’adjudant chef de gendarmerie Sawadogo Noufou, procèdera à une intrusion musclée et intimidante dans mon intimité. Ce dit huissier de justice était accompagné de Yaméogo Evariste, complice actif incriminé dans ma plainte initiale. Il est à noter que le sieur Yaméogo Evariste est un des fils adultérins de feu notre père, s’impliquant activement et avec prétentions dans une affaire de succession maternelle .

Pourquoi l’intervention dudit huissier n’a-t-elle pas bénéficié de la supervision de la gendarmerie ou de tout autre fonctionnaire de police ? Qui a donné l’ordre au dit huissier pour acter à mon domicile ? A quel moment un jugement a été prononcé au parquet à mon insu ? Que d’interrogations restées jusque là sans réponses. Qu’est-ce à dire ?

La manœuvre implique quatre acteurs connus que sont : Yaméogo Evariste, l’adjudant chef de gendarmerie Sawadogo Noufou, le soit disant huissier de justice et Yaméogo Abraham dont la lettre est truffée de faux et à dessein .

L’occasion a été donnée (de Décembre à Mars) de vérifier les tenants et les aboutis-sant de cette manœuvre indélicate car mon cohéritier qui habite en France était en vacances au Burkina Faso trois (3) mois durant. Alors, madame la ministre, je voudrais que l’on éclaire ma lanterne sur l’objectivité d’une telle démarche .

Je prends l’opinion publique nationale et internationale à témoin que maintes fois j’ai eu à attirer l’attention du procureur du Faso sur la menace que faisait planer sur ma vie les considérations subjectives de la procédure .

J’accuse donc la contrainte exercée sur ma personne au vu et au su de l’autorité publique . Car, le parquet, l’enquêteur Sawadogo Noufou, sont bien au fait de l’accusation antérieure ( « Tentative d’Assassinat par préméditation ») portée contre ma personne par mon cohéritier ; et que cette accusation dont le dossier est en cours d’instruction au cabinet du juge Sékou Traoré, m’astreint à la discrétion et à la rési-gnation. Alors pourquoi tant de complaisance et de frilosité dans le solutionnement d’une situation qui est source de conflit, et ce d’autant plus que nous ne sommes que deux héritiers ?

- Je refuse d’être la victime de magouilles sournoises qui bénéficient de com-plicités avérées, persistantes, voire tolérées.
- Je refuse de me faire assassiner par la négligence et la complaisance d’une enquête et d’une procédure judiciaire à deux vitesses.
- La tolérance à l’égard des manœuvres malicieuses de Yaméogo Abraham et de toute la chaîne de complices indélicats évoqués dans mes différentes correspon-dances, et dont l’appât du gain est le seul leitmotiv, est suspecte et criminelle.

Madame la ministre, il me plait d’attirer votre attention sur ce fait passé..

Le courrier arrivée au Tribunal de Grande Instance de Ouagadougou stipule que ma plainte contre l’intervention dudit huissier de justice a été reçu le 05/12/2011 S/N 6518 . Le service du courrier me donne rendez-vous le 21/12/2011 à 15H00. Un rendez-vous qui n’aura jamais lieu jusqu’au moment je rédige cet écrit, car dans un cafouillage empreinte de frilosité, il me sera avoué avec délicatesse au cabinet du procureur du Faso, que m’a plainte aurait été transmise le 08/12/2011( soit trois jours après l’enregistrement au courrier arrivée du parquet) à la Compagnie de gendarmerie du Kadiogo sous l’immatriculation ST N° 3916 du 07/12/2011. La décharge aurait été signée par un certain MDL Napon . Je serai alors balloté pendant quelques jours, entre le parquet et la compagnie de gendarmerie du Kadiogo, qui finira par m’assurer que mon dossier serait en possession d’un certain adjudant Woba à la gendarmerie sis à Paspanga.

L’adjudant chef de gendarmerie Sawadogo Noufou, l’enquêteur qui avait suspendu toute communication deux à trois mois auparavant (bien avant l’intervention délinquante dudit huissier de justice, et après que je lui aurais signifié mon incompréhension que ne soit pas consigné son passage à mon domicile avec le sieur Yaméogo Evariste le Samedi matin16/07/2011 ) refait surface subitement en tentant de me joindre à plusieurs reprises ! Je n’ai pas accédé à son insistante sollicitation téléphonique. Quelques jours après l’adjudant chef de gendarmerie m’enverra un SMS le 25/01/2012 à 09H:47:28 de son numéro portable : 76404728,stipulant que : « votre dossier est transmis au parquet le 24/01/2012, référence PV 261 du 27/12/2011 accusé bonne réception AC SAWADOGO SR Ouaga. Ex-péditeur : Adjudant Sawadog » .

J’avoue que j’ai le sentiment d’être balancé comme « une balle de ping-pong », entre les humeurs d’un adjudant chef de gendarmerie qui s’est crée sa guerre, faite de dilatoire, et la bonne foi d’un autre adjudant (chargé d’enquêter sur l’objectivité des travers de son supé-rieur hiérarchique ( !!!)

Madame la ministre, j’assiste (relégué au banc de touche) à une procédure qui s’est inventée sa guerre, qui la nourrit et qui la façonne. Elle n’a que faire de ce que je sais, de ce que je dis, et surtout du boycott actif et humiliant de mon intégrité humaine par le statu quo qu’elle impose subjectivement ( ???). Cette attitude de boycott cons-tant et conscient de mon intégrité humaine, me parait compter sur l’usure du temps pour venir à bout de ma détermination à être rétabli dans mon droit.

L’autorité publique portera toute la responsabilité d’un drame qui viendrait à survenir du fait de sa non réactivité ; car je ne permettrais plus jamais qu’un héritage qui jusque là a emprunté des chemins de traverses à mon détriment, continue de per-turber effrontément et indéfiniment mon existence . Si l’autorité ne peut pas ou ne sait pas résorber la crise en se prononçant urgemment sur le droit des uns et des autres, laissant se perpétrer et se perpétuer les infractions suscitées à mon encontre, elle devrait s’abstenir de toute intervention ultérieure. J’ai déjà fait les frais de manœuvres identiques .

Le discrédit que l’accusation de mon cohéritier a jeté sur ma personne, donne lieu à une banalisation entêtée et imprudente du dossier. Il me plait donc d’attirer votre attention sur le fait que je suis un fonctionnaire de catégorie A1 depuis 1994 au Ministère de la Culture. Après un DEUG en Anglais à l’université de Ouagadougou en 1988, j’ai poursuivi des études de musique et musicologie (BAC+5ANS) pour être professeur certifié de musique des lycées et collèges . la rédaction d’un mémoire de fin d’étude intitulé : « Le rôle et la Place de la Musique dans le Développement Socio-économique du Burkina Faso » Septembre 1994, a été mon mémoire de fin d’étude . Je ne suis ni l’indigent, ni l’analphabète que l’on vou-drait faire passer pour.

C’est pour vous dire que la mauvaise foi ou l’ignorance des uns et des autres, l’idée que l’imagerie populaire se fait de l’artiste ou du musicien, ont été et continuent d’être une entrave majeure à une calibration décente et appropriée de ma lettre de plainte . Des esprits non avertis tentent imprudemment de m’opposer des arguments dénudés de bon sens et de fondement juridique .

J’ai fait preuve de respect et de patience à l’égard des supputations et de la banalisa-tion des uns et des autres. Puissions-nous dorénavant nous mettre au diapason de l’intelligemment correcte. On ne saurait continuer à m’opposer un abus de droit et d’autorité intransigeant soit par ignorance, soit par indécence voulue .

Tout affrontement qui viendrait à survenir dans la copropriété de la villa N°94 de la cité Songtaaba serait le fait de complaisance avérée et de subordination de preuves . Mon contrat de bail d’avec le Fonds de l’Habitat de l’époque, date de 1996 ( document disponible si l’autorité veut se donner la peine de vérifier).

- J’accuse donc le silence assourdissant de l’autorité publique, devant les ma-nœuvres dilatoires et subjectives de l’enquête, qui perturbent avec insouciance mon droit de jouissance.

- J’accuse la complaisance qui relèguent au second plan les infractions pénales commises par mon cohéritier à mon encontre.

-  Je dénonce la complicité d’auxiliaires de justice, agissant frauduleuse-
ment.
-  Enfin, je tiens l’autorité publique responsable de toute atteinte à mon inté-grité physique, que l’ardeur des complices du sieur Yaméogo Abraham laisse présager. La prime à l’impunité accordée par l’adjudant chef de gen-darmerie Sawadogo Noufou aux différents indélicats actifs depuis le début de l’enquête, en porte les germes .

Je voudrais terminer, madame la ministre, en partageant avec vous cette observation d’un imminent penseur dont le constat me semble à propos : « La méfiance de nos évaluations antérieures s’accentue jusqu’à oser la question : toutes les « valeurs » ne sont-elles pas des moyens de séduction, pour faire traîner la comédie en longueur, mais sans que le dénoue-ment approche ? Cette durée, avec un « en vain » sans but ni raison, paralysante, surtout lorsque l’on comprend que l’on est dupé, sans avoir la force de ne pas se laisser duper » .

Au risque d’avoir frustré ou égratigné la sensibilité de mes amis et de mes proches, de toute personne de bonne foi, des hommes de loi et de droit intègres et sincères, je me devais de porter sur la place publique ce que plus d’une décennie de délicatesse, de discré-tion et de persévérance, une année entière d’enquête n’a pas su ou ne sait pas, n’a pas voulu ou ne veut pas solutionner. Je ne suis pas un sujet d’expérimentation à qui on doive opposer une jurisprudence d’exception. Je réitère donc que je ne suis pas en sécurité et je ne me sens pas en sécurité tant que le droit ne sera pas dit ; et peut-être même que je ne le serai jamais plus, vu les implications multiples qui ont tant bénéficié et bénéficient tou-jours de l’impunité .
Un détournement, une usurpation, une séquestration sont des infractions relevant du pénal si je ne m’abuse (…).
Veuillez agréer, madame la ministre, l’expression de ma haute considération.

Yaméogo Sosthène,
Professeur de Musique
des Lycées et Collèges
Ministère de la Culture et du Tourisme/
Cenasa
Ouagadougou-

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Vos commentaires

  • Le 1er juin 2012 à 12:38 En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

    Mon ami,

    il faut bien preciser les noms des gens que tu accuses. Moi je connais un Yameogo Evariste qui n’a certainement rien a voir avec vos detournements. De plus il est ton homonyme (Sosthene) mais a la seule difference que lui a un additif de nom du terroir (Wends...).
    Vous donnez les noms vaguement et vous risquez de jeter le discredit sur le Eva que moi je connais (on etait promotionnaires en Allemagne).
    Il y a des noms trop populaires comme Ouedraogo Madi, donc quand vous ecrivez de telles lettres, ajouter les noms vernaculaires du terroir pour faire la difference.

    • Le 1er juin 2012 à 14:29, par Malick En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

      Ton Yameogo Evariste est-il adjudant chef ? De toute les façon, les compaoré blaise, il y ’en partout dans le pays mais chacun sait faire le distingo

      • Le 1er juin 2012 à 16:19 En réponse à : c est Sawadogo Noufou l adjudant chef

        Illettre la,

        on voit que tu n as pas compris son ecrit. Ce n est pas l adjudant chef qui s appelle Yameogo Evariste. Relis bien le texte.
        "Yaméogo Evariste, l’adjudant chef de gendarmerie Sawadogo Noufou

    • Le 1er juin 2012 à 14:44 En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

      M. Yaméogo, je ne me prononce pas bien entendu sur le fond, mais sur la forme de votre lettre ouverte, il y a pas mal de choses à dire : le lecteur ne sait pas de quoi il s’agit exactement ; on voit bien qu’il s’agit d’une affaire d’héritage, mais vous citez des noms n’importe comment et on ne sait pas comment votre problème est posé ; rappelez les faits pour qu’on comprenne en quoi vous êtes victime d’un injustice. Pour un prof, c’est grave

      • Le 1er juin 2012 à 15:41, par Le moine En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

        C’est plutôt toi qui devrais aller apprendre le francais, Ce n’est pas ton niveau,mais ceux qui sont moins incultes que toi comprennent aisément.

      • Le 1er juin 2012 à 16:31 En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

        Cette lettre assez longue est bien plus claire que votre courte intervention.

        L’objectif est d’attirer l’attention de tous sur des abus et nous prenons note

        • Le 2 juin 2012 à 14:25 En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

          Que penserez-vous de son Excellence Blaise Compaoré comme Ministre de la Justice après la pacification du Ministère de la Défense. "ça va mieux marché la Justice". Rappelez-vous c’était le Numéro 2 du CNR et le Ministre de la Justice sous le CNR.

    • Le 1er juin 2012 à 17:56 En réponse à : Precisez les noms quand vous accusez

      En tout cas, je n’aimerais pas être à la place de YAMEOGO W. Evariste Sosthène qui n’a rien à voir avec le YAMEOGO Evariste et le YAMEOGO Sosthène dont il est question dans cet article qui ne sent pas bon. Une famille qui se déchire pour une question d’héritage ! A votre âge, cherchez pour vous même au lieu de vous entre-déchirer à cause d’un héritage maternel ! Je ne comprendrai jamais cette mentalité là et j’ai honte.

  • Le 1er juin 2012 à 13:38, par rodriguez En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Ceux qui connaissent ce Monsieur sauront lire la sincérité dans son écrit.
    je suis tenté de dire qu’il paie sans doute pour son humilité débordante...

    saches que tes admirateurs te soutiennent dans ce combat juridique. un peu plus de patience et tout rentrera dans l’ordre. Mme la Ministre va s’intéresser à ton cas ; j’en suis sûr !
    Good luck and good life

  • Le 1er juin 2012 à 14:04 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    oh.....sosthène yaméogo,je n’ai pas bien compris le fond de l’affaire qui t’oppose avec ton cohéritier mais je compatis tout de meme à tes souffrances. quand quelqu’un me parle de ses difficultés avec la justice dans ce pays,j’ai des frissons car elle est trop corrompue pour être crédible.
    courage

  • Le 1er juin 2012 à 14:29 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Quel est le problème au juste
    On ne comprend rien dans tout ça pour être des temoins de quoi que ce sois demain.

  • Le 1er juin 2012 à 15:19, par Le Burkinabé En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    J’ai subi un traitement pareil de la part d’un président de tribunal, procureur et aussi gendarme.
    Mon frère, sans comprendre les détails, je te comprends et te soutiens.
    Que le Seigneur te donne sa grâce. La grâce de Dieu te suffit contre tous ceux qui croient être des super humains.
    Que le seigneur te bénisse et te protège.

  • Le 1er juin 2012 à 15:43 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Il faut expliquer simplement ton probème pour qu’on comprenne, au lieu de te noyer dans un "gros français" juridique.

    • Le 1er juin 2012 à 20:24, par Madame En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

      M. YAMEOGO, je compatis à votre douleur générée par la soif de justice. Mais je crois qu’il faut être un peu claire. Peut-être que le problème n’est pas simple à résumer mais la longueur de votre lettre ouverte aurait pu servir à expliquer brièvement le problème, pour que l’opinion publique que vous prenez à témoins puisse trouver son mot à dire. Sinon, on ne pourra que vous plaindre dans votre souffrance alors qu’on aurait pu peut-être vous conseiller ddans le sens d’un meilleur dénouement de votre problème.
      En plus, je crois savoir que dans nos sociétés africaines et même aux yeux de la loi, même celui que vous qualifiez d’"enfant adultérin" a le même droit que vous et votre frère qui vit en France. Vous êtes donc 3 héritiers au lieu de 2. il devrait comme l’a dit un forumiste, respecter la mémoire de son père et évitant le mot "adultère". Bref, je vous souhaite courage et bonne chance pour la suite.

  • Le 1er juin 2012 à 16:09, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    - SOSTHÈNE, n’écoute pas certains forumistes aigris.

    Il fallait faire des copies aux Institutions suivantes :

    - M. le Président du Faso : 1
    - M. le Président de la Cour Supprême : 1
    - M. le Présidenat de la Cour des Droits de l’Hommes aux Nations Unies : 1
    - Mme la Présidente de la Cour Pénale Internationale

    Par Kôrô Yamyélé

    • Le 1er juin 2012 à 17:20 En réponse à : KORO YAMYELE BALLE A TERRE

      Pardon Koro Tu es dépassé.

      Pour un probleme si banal il faut ameuter toute la terre. Sosthene lui meme n’est pas en mesure d’exposer clairement les faits.
      La gendarmerie dispsoe d’un service des enquetes internes. Il n’a qu’à saisir le CEMGN.

      • Le 1er juin 2012 à 21:14, par KABRE En réponse à : KORO YAMYELE BALLE A TERRE

        LA GENDARMERIE EST POURRIES,LES GENDARMES NE FERONT PAS D’ENQUETTE INTERNE TANT QU’IL YA PAS MORT D’HOMMES ET ILS S’ENTRE AIDEENT ENTRE GENDARME.

        • Le 6 juin 2012 à 11:08 En réponse à : KORO YAMYELE BALLE A TERRE

          c’est dingue de dire de telles saloperies, vous voulez qu’ils se mangent les gendarmes ?

        • Le 6 juin 2012 à 14:44, par Le Pacifique En réponse à : KORO YAMYELE BALLE A TERRE

          Kabré, tu as raison ; c’est ce qui se passe actuellement à Dédougou où une policière municipale a été tuées par bastonade par son concubain gendarme à son domicile dans un célibatorium. La BT de gendarmerie où le présumé coupable travail l’a aidé à dissimuler l’idée du meurtre pour faire croire à sa famille et à l’opinion qu’elle a été transportée vivante et décedée par la suite dans l’infirmerie militaire de la ville. Ceci avec la bénédiction du chef de corps du camp militaire, un colonel qui a été saisi et mis au courant de l’astuce. Mais la vigilance des voisins, des gens raisonables et de la famille a permis de découvrir la supercherie. Une enquête judicaire a été ouverte. Wait and see. Car à Dédougou la population est aux aguêts, et risque de s’embrasé si il n’y a pas de vigilance. Le suspect n’est pas encore arrêté, et les gens en parlent.

  • Le 1er juin 2012 à 16:12 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    c’est curieux mais dans son récit tous les acteurs sont nommés sauf l’hussier de justice qui apparemment est un fantôme.

    bref monsieur donnez tous les détails au ministre pour qu’elle vous prenne au sérieux, sinon....

  • Le 1er juin 2012 à 16:16 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Monsieur le professeur aurait pu poser la problématique de l’affaire qui l’oppose à son frère cohéritier enfin que nous puissons cerner les contours et en jury populaire sur Lefasonet,chacun pouvait se prononcer selon son intime conviction.Hélas tel n’est pas le cas mais comme tu as osé prendre l’opinion publique à témoin en te posant en victime,je te donne raison.Sûrement que ton frère qui est en France est venu corrompre ces petits fonctionnaires qui n’arrivent pas à subvenir à leurs besoins.C’est minable de la part de ton frère parceque je ne crois pas qu’en France il est permis de faire ce qu’on veut jusqu’à recruter des tueurs à gages.C’est la mafia qui fait des trucs pareils mais si tu te fais prendre,tu restes en taule jusqu’à la fin de tes jours.
    Aussi j’aimerai savoir si tu as pris un avocat car nulle part tu ne parles de lui.Si tu ne l’as pas,je te conseille d’en prendre un,il pourra toujours t’aider comme par exemple la rédaction de ta lettre ouverte à la ministre de la justice.
    Courage

  • Le 1er juin 2012 à 16:22, par Tengembiiga En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Koro sosthène,
    Je comprends et compatis avec toi car ce genre de situation d’injustice fait mal. Par contre, je ne suis pas d’accord avec toi sur certains points commpe la manière dont tu désigne ton frère. J’ai un énorme respect pour toi depuis Koudougou, mais je pense que tu ne peux pas qualifier Evariste de "fils adultérin" de feu votre père, car cela reviens à juger celui qui t’a mis au monde. Il n’est plus de ce monde et tu dois honorer sa mémoire. Tes problèmes avec tes frères (et je ne parle pas de demi frères car cela n’existe pas dans nos cultures africaines) devait se laver en famille. Si cela a pris cette ampleur, c’est que l’affaire a pris des proportions telles que le cadre familial ne pouvait plus la gérer. Néanmoins, je t’encourage à faire valoir tes droits s’il sont bafoués, mais, s’il te plaît, dans le respect de la mémoire de tes géniteurs.

  • Le 1er juin 2012 à 16:33, par omar En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Parmi le peu de lettré qui te lisent tres peu savent de quoi tu parles,si ta lettre est adressée uniquement à la ministre de la justice ou prouver à tes detracteurs que tu connais molière et bien bravo car juriquement inpeccable,mais si c’est pour prendre l’opinion à temoin tu as trop elévé le niveau.Ensemble nous sommes contre l’injustice,en attendant de bien cerné ton problème tu as mon soutien car "le pire n’est ps la mechancété des gens mauvais mais le silence des gens bons"

  • Le 1er juin 2012 à 17:21, par Le Sage conseiller En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Mon ami, pourquoi ne pas aller voir Maitre Bénéwendé Sankara pour ta défense ? Je pense qu’il pourrait être d’une grande aide pour ta cause. Si tu t’assois dans ce pays là pour attendre une quelconque justice, c’est pour toi qui partira ! Alors lève-toi dèh !!!

  • Le 1er juin 2012 à 17:52 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    "un des fils adultérins de feu notre père"
    ce terme a tout gâté. Beaucoup de bonne personnes dont tu as besoin de leur soutien sont issus de ce genre de relation. Mais es-ce pour autan qu’ils sont mauvais ? ont t-ils décidés de naître d’une telle relation ? Je ne suis pas content de la phrase, car je me sent toucher. un peu de respect pour ton défunt père ! Sans rancune !

  • Le 1er juin 2012 à 17:54, par Bibega En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Bonjour vos propos sont confus, pour qu´on puisse vraiment comprendre votre problème une genèse du conflit nous aurais permis de mieux vous suivre.

  • Le 1er juin 2012 à 19:14, par OK En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Sur la forme :
    Ces propos ne sont pas confus, c’est juste de l’excellent francais.

    Par ailleurs il s’adresse a une "autorite" mais nous prend a temoin.

    Le courrier est toutefois quelque peu lyrique a mon gout et peu faire croire qu’il s’agit la d’une manoeurvre visant a detrouner l’attention du probleme veritable. Il aurait gagne a etre plus concis et synthetique, mais je crois que c’est le cri du coeur d’un artiste.

    Sur le fond :
    1- Il est en litige pour des questions de successions.
    2- En parallele au litige en cours, je crois qu’il subit une sorte de harcelement de differentes parties prenantes
    3- Il s’en est plaint aux autorites (procureur du faso) mais celles si ne reagissent pas.

    La conclusion :
    Il tient pour responsable l’Etat s’il devait lui arrive malheur (assassinat par exemple)car bien qu’il ait fait connaitre sa situation, il semble que l’Etat par ses differents organes ne lui porte pas l’assistance necessaire.

    J’espere que c’est clair a present. (Sinon je n’ai peut etre rien compris...)

    Du courage en tous cas.

    OK

    • Le 2 juin 2012 à 17:46 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

      Je ne prejuge pas du fond de l’affaire, mais si c’est ainsi que Sosthene veut se faire comprendre du public, c’est lamentable. Surtout pour un prof, le recit est un cafouillis crepusculaire, fait dans un alignement de mots inappropries. L’auteur parle le francais mais est loin de comprendre le francais. Les quelques gros mots jetes ca et la dans une grammaire lamentable ne font pas honneur a la profession enseignante. Sosthene, je reagis sur cette forme cahotique parce que vous assez signe come etant un professeur, fut- il de musique(d, ailleurs, la musique se veut symphonie et ne s’accommode point de cacophonie), ce qui engage la responsabilite morale de tous les professeurs. Pourquoi n’avez - vous pas sollicite l’aide d’ un relecteur ? Attention, le fond, c’est aussi la forme. Et dire que des incultes naifs y voientdisent de l’excellent francais ! C’est vrai, ce mensonge ? Une question ? Etre fils adulterin, terme d’ailleurs a definir dans notre contexte culturel, donne -t- il moins de droits que le fils "enfanterin" que tu es ? Cette petite expression me donne l’ impression que c’est vous, du haut de votre"legimite" autoproclamee, qui vous etes coalises dans un mouvement de bien- pensants pour depouiller celui que vous ne croyez pas devoir faire partir de la famille. Cette phrase sera certainement utilisee contre vous par votre frere adulterin[sic].Quel fils digne qui voudrait heriter de la parcelle de Papa vilipenderait ainsi le meme homme ? Moi je ne savais pas que ton frere etait adulterin comme tu le dis. Du coup, c’est la memoire de ton papa que tu souilles, pas l’ honneur de ton frere qui est un enfant comme tout autre. Il n ’ a pas choisi les circonstancs dans lesquelles il devait naitre. Ainsi que toi. Donc, ou es ton statut de priviligie ? Vous [les legitimes autoproclames]qui ressemblez a un preux chevalier de la morale, sachez que vous aurez toujours un demi-frere adulterin. Ce qui ne vous honore pas puisque blessant votre code moral de prude.
      Lingani O. Patrice

  • Le 1er juin 2012 à 19:34 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Vous auriez dû utiliser un style accessible à tous pour recueillir le maximum de réactions à votre problème

  • Le 1er juin 2012 à 19:35 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    chers amis du forum il n’a pas écrit pour que vous jugiez ! puisque la justice est déjà saisie même si elle laisse à désirer c’est juste pour vous prendre à témoin et une façon d’impressionner les gendarmes et autres auxiliaires de justice qui apparemment prennent partie on dirait contre lui ! en tout cas ceux qui s’intéressent à Fasonet sont informés donc partisans de l’autre camp soyez justes !

  • Le 1er juin 2012 à 20:30, par wanemalgré En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Primo,j’ai été choqué par les propos de Mr yaméogo qui qualifie son frère de "fils adultérin" de son défunt père. il s’agit là d’un manque de respect pr son défunt père, d’un manque de respect pr sa belle mère,et son frère. cs’il se base sur le fait que son frère n’est pas issu d’un mariage pour l’écarter de la succession,il est en tort car depuis longtemps la loi de fait plus de différence entre enfant légitime et naturel ou adultérin comme il le désigne.
    combien de burkinabé son nés dans un deuxième foyer ? et puis au temps de son papa, est ce que cé pas le droit coutumiers qui était en application ?
    secondo,il ne nous parle pas du fond de l’affaire, si j’étais la ministre j’allais jeté son papier aux accents de pédant.
    on n’a pas besoin de ce français pour se faire comprendre.
    tertio, il se met a insulter les officiers de police judiciaires, il ne sait pas qu’il commet des infractions ?
    en conclusion, il n’a qu’à poser clairement son problème et se remettre à la justice. c’est pas tous les gens de là bas qui sont tous pourris.

  • Le 1er juin 2012 à 20:48 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Primo,j’ai été choqué par les propos de Mr yaméogo qui qualifie son frère de "fils adultérin" de son défunt père. il s’agit là d’un manque de respect pr son défunt père, d’un manque de respect pr sa belle mère,et son frère. cs’il se base sur le fait que son frère n’est pas issu d’un mariage pour l’écarter de la succession,il est en tort car depuis longtemps la loi de fait plus de différence entre enfant légitime et naturel ou adultérin comme il le désigne.
    combien de burkinabé son nés dans un deuxième foyer ? et puis au temps de son papa, est ce que cé pas le droit coutumiers qui était en application ?
    secondo,il ne nous parle pas du fond de l’affaire, si j’étais la ministre j’allais jeté son papier aux accents de pédant.
    on n’a pas besoin de ce français pour se faire comprendre.
    tertio, il se met a insulter les officiers de police judiciaires, il ne sait pas qu’il commet des infractions ?
    en conclusion, il n’a qu’à poser clairement son problème et se remettre à la justice. c’est pas tous les gens de là bas qui sont tous pourris.

  • Le 1er juin 2012 à 23:36, par Man En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Je serai condamné pour non assistance en personne en danger si je ne dis pas un mot de cet écrit du professeur.

    Premièrement je comprend la longue lettre du sieur car il est en besoin de justice et malgré ses parcours rien n’est toujours pas fait. Et donc il se sent humilier devant ses frères et tous les complices.

    Deuxièmement, dans sa démarche d’une bonne compréhension de l’opinion publique, mon professeur et artiste nous a livré une parti de se qu’il a en coeur sinon ce n’est pas tout. Il a eu pitié non seulement au Ministre mais aussi aux lecteurs pour se limiter sur ces mots. Mais c’est propre.

    Troisièmement et enfin l’intellectuelle (Bac + 5 ans) veut montrer à ses adversaire qu’il n’est pas un illettré et que en matière de juridiction il connait bien les procédures à suivre pour aboutir au résultat. Il veut également montrer à l’opinion qu’en cas de mort suspect de sa personne, c’est le dit affaire qui l’aurait terrassé et qu’il demande secourt avant le drame.

    Mon cher professeur sache que ce genre de problème a atteint une allure et que malgré je pense la médiation de la famille vous aviez trop tirer sur le problème et d’un coup vous n’aviez plus de soutien ni en famille et vous refuser de prendre un avocat. Mais si tu arrivais à solutionner cet affaire sache qu’à la longue le même problème viendra un jour parmi vos enfants. Ce ne sont pas des injures mais la réalité. Je vous conseil de laisser l’affaire se reposer dans le tiroir du procureur car de tel genre il en voit en quantité. Eux mêmes ils craignent leur vie.

  • Le 2 juin 2012 à 13:51, par Liberty En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Ecrit flou, creu, dénudé de tout intérêt et exhalant par lui-même un désir de saper la procédure administrative. Je ne dis pas que l’autorité n’est pas en tord (l’être humain ayant ses bassesses qui ne transparaissent que quand il pose des actes), mais le "plaignant" n’est pas clair du tout et dénote simplement une chose : une envie, un désir irrépréssible de provoquer un "braquage collectif des mentalités, voire une émeute, autours de son problème, sans donner tous les éléments expliquant son état d’ulcération émotionnelle avancée !"
    Mon ami, le peuple, disons ceux qui, comme mois, ont bien voulu perdre du temps à te lire ne sont pas dupes... TU AS QUELQUE CHOSE A TE REPROCHER ET/OU A REPROCHER A TON CO-HERITIER, ALORS QU’EST-CE QUE C’EST, DIS-LE !!! Pour espérer avoir un peu de notre soutien moral.
    Pour ma part déjà, vous, en tant que personne, êtes extremement petite... J’en prend pour preuve votre expression "le sieur Yaméogo Evariste est un des fils adultérins de feu notre père..."
    Cette phrase, sans intention aucune de vous donner une lecon de francais (vous semblez au contraire expert dans ce verbe), dénote très bien votre dégout de votre demi-frère (qui n’est qu’un inconnu, un "sieur"), dégout lui-meme n’étant causé que par son ascendance illégale (au civil, au religieux et/ou au traditionnel). Ne pouvant donc être "raciste" (vous êtes de la meme couleur), vous vous cacher derrière vos faux principes d’illégitimité de la naissance de votre demi-frère, qui je le précise, n’a rien à y voir... Le seul pendable à cette histoire est votre producteur familiale d’"enfants adultérins" dixit votre père (qui soit dit en passant, vous a préparé une "bombe familiale" en ne sachant pas le parder dans son pantalon : Assumez-donc et arrêtez de nous bassiner les oreilles (et le yeux) !
    Pire, par cet écrit, je vous accuse de préparer un crime de sang en initiant à l’avance votre défense, publiquement, par voie de presse (mais très mal) !
    Et comme vous ne voulez rien dire, je spéculerai en vos lieu et place !

    Hey lecteur, je te prend à témonin. Il s’agit surement d’un leg de type immobilier pour ce "sieur" [pour moi en tout cas], "Yaméogo Sosthène, [petit] Professeur de Musique des Lycées et Collèges, Ministère de la Culture et du Tourisme/ Cenasa Ouagadougou" a eu le pactole et ne veut pas le lacher !!!
    Si la resolution du contention passe par la vente et le partage du prix de vente, ce "sieur" là s’y refuse en pretextant que son cohéritier est :
    1. de mère différente et
    2. pas concerné par un héritage maternel...
    Moi je dis ceci : si ses parents étaient mariés, au civil, sous "la séparation des biens", et que l’immobilier maternel ait été acquis "AVANT" mariage civil, y a pas de soucis, je lui donne entière raison sur le fond. Mais, et je crois que c’est plutot ce cas-ci qui est en jeu, leur père a créer un veritble foutoir en sortant souvent sa "zigounette" et, pire peut-être, du moins familialement, il A RECONNU LESDITS ENFANTS (les transformant d’office en héritiers) sans bien sûr s’être marié (avec la mere de ce "sieur" aigri, objet de notre lecture) sous le regime du "BIEN SEPARE".
    Alors, conclusion, mon cher Yaméogo Sosthène, partage l’heritage-là comme il le faut (selon la loi civile) et cherche pour toi-même !!! Là tu sera "GARCON" !!! (Et pas un petit perooquet au bec ouvert et se delectant comme cresus des vers qui lui tombe dans le bec) !!!

    Meilleres salutations à tous les lecteurs de LEFASO.NET !

  • Le 2 juin 2012 à 15:34, par Leréaliste En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    j’avoue que c’est après avoir lu votre écrit 4 fois que je suis parvenu à comprendre un peu le fond de votre problème. Au demeurant, je reste sensible à votre préoccupation, mais ppermettez moi de vous faire quelques observations sur la forme et le fond de votre lettre et bien entendu des propsitions aussi qui à mon humble avis peuvent contribuer un tant soit peu à faire avancer votre dossier.

    1-le fond de votre lettre:je le trouve trop intellectuel sur le plan juridique pour permettre à l’intellectuel moyen que nous sommes de vous comprendre, vous suivre et vous soutenir. Le citoyen lettré lamda se perd dans votre gymnastique intellectuelle pour convaincre une catégorie de personne qui le plus souvent n’est pas prête à sortir dans la rue et battre le pavé contre l’impunité. C’est toujours le Burkinabé moyen, le semi lettré, en un mot “le bas peuple” qui sort pour crier haro sur l’impunité. Alors adressez vous à ceux qui peuvent faire bouger les choses dans ce pays.

    En outre,je sens que vous avez un complexe intellectuel.En effet,à travers votre écrit on ressent un cri du coeur sur la situation des artistes, des hommes de culture.Vous en profitez dans votre lettre pour « paraitre ». Dites vous que vous n’êtes pas seul à en souffrir car beaucoup de justiciables en sont victimes. Et puis arrêtez de prendre l’opinion internationale à témoin pour une affaire qui a mon avis ne devait pas quitter le cercle familial.Ce qui m’amène à penser également que vous avez fini d’exapérer tous les membres de votre famille avec ce probléme et maintenant vous le jetez dans la rue.

    2-forme de votre lettre : Très longue. On dirait que vous vous adressez uniquement à des spécialistes du droit. C’est parce que vous n’avez pas eu satisfaction avec ces spécialistes du droit que vous vous adressez maintenant à l’opinion nationale !si vous voulez être compris par celle-ci,alors changez de style.

    Pour terminer je voudrais vous poser cette question : êtes vous certain que le Procureur,le Huissier,le Gendarme, bref toutes ces personnes qui vous font obstacles dans l’aboutissement de votre dossier,ne sont pas des enfants adultérins ?

    AMICALEMENT VOTRE

  • Le 2 juin 2012 à 19:12, par Man En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Merci le réaliste pour tes propos. C’est exacte ce que je voulais complété (ton dernier paragraphe).
    J’ajoute que par ce mot "adultérin", il a insulté son défunt papa publiquement. Et si on pense que les morts ne sont pas morts, le vieux père va réagir. Et ça ne sera pas bon pour lui. C’est genre d’enfant sont pour la plus part des patrons. Tout le monde sait mais on ne parle pas.
    Cette lettre ouverte est sa dernière chance. Si ne gagne pas gain de cause avant la fin de l’année 2012 et il persiste alors il risque de partir laissé le dossier. Là aussi ce ne sont pas des injures, c’est la vérité.

  • Le 4 juin 2012 à 15:44, par NABIIGA En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Cher Yamweogo, je comprends aisément votre dépit. Mais je pense que votre colère a débordé dans votre écrit. Le terme "enfant adultérin" est très choquant. Vous même, vous ne pouvez pas attester que vous êtes vrais fils de votre père. Avez vous un résultat de test ADN ? et même le test ADN est à 2% faux. Seule votre mère a les secrets de votre naissance. Et Heureusement d’ailleurs que beaucoup de femme meurent avec leur secret. Si non ! Donc, réclamez justice dans le respect de la sensibilité populaire.
    NB : pour la justice, je pense qu’on doit accepter dire un jour que des efforts se font. Les gens ne témoignent pas de ce qui a marché. Ils publient ce qui n’a pas marché selon eux. Travaillons à amélioré notre justice car ce sont des nôtres qui y travail. Et arrêtons d’être des adversaires spontanées de cette institution su fond de racontars du premier arrivant.

  • Le 4 juin 2012 à 16:09, par Chris En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Puisque tout le monde s’exprime ici en français, voici une définition juridique du mot qui choque la sensibilité des uns et des autres :
    Adultérin"qualifie un enfant qui est issu d’un couple non-marié, lorsque le père ou la mère ou les deux étaient, au temps de la conception, engagés dans les liens du mariage.

  • Le 4 juin 2012 à 17:22, par Pousga En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Sosthène tu as dis ce que tu dois dire. Cette lette est adressée au Minstre de la Justice. Celui qui estime qu’il n’a pas compris est dans son droit mais moi je penses que ton message est suffisamment clair. Que les magistrats entendent ton cri de coeur et que ton problème soit résolu. C’est l’essentiel, les divagations les interpretations tendancieuses ne doivent pas te décourager. Aux internautes qui font des commentaires je leur demande de comprendre quelqu’un qui a encaissé des frustrations pendant longtemps. Il ne trouve pas toujours les mots justes pour les exprimé. Du courage

  • Le 6 juin 2012 à 10:39 En réponse à : Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice ; « la saga d’une procédure judiciaire à deux vitesses »

    Il nous faut éviter les amalgames : l’auteur ne dispute pas l’héritage paternel mais maternel. Du coup, tous les enfants du père ne sont pas concernés. Appelez les "nés hors mariage", "adultérins", "demi-frères" "enfants naturels" n’entache pas le fonds du problème qui est l’acharnement des tenant du dossier qui harcèlent, menaces et humilient le playant qu’est le professeur. Attention un héritage contrairement à ce que nous pensons n’est pas que matériel. il arrive que des dettes restent à honnorer. le vrai héritage c’est l’honneur fait au défun en acceptant de prendre tout ce qu’il a laissé y compris les problèmes. quand les fils d’une même mère sont en conflit, les autres frères issus du père cherchent à calmer ce qui n’est pas le cas du demi-frère ici.
    Dans le fond cet écrit nous informent que tout le monde dans ce pays est exposé à l’injustice ou à la justice du plus futé et du plus ignoble.

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