journée internationale de la Femme à New York : La recherche de l’union reste un sujet préoccupant
La célébration de la journée internationale la femme s’est tenue en différé à New York le samedi 26 mars 2011. Organisée par l’Association des femmes burkinabè de New York, la soirée a connu la présence du parrain Hubert Tougma, de la marraine Madoussou Touré, de Inoussa Balbone et Leopold Bounkoungou tous deux de la mission permanente du Burkina auprès des Nations-Unis et une forte communauté Ouest Africaine venue soutenir celle du Burkina.
Cette année la journée internationale de la femme a été célébrée au Burkina sous le thème « Donner la vie sans être en péril ». l’objectif étant de contribuer à l’amélioration des indicateurs en matière de santé des femmes de notre pays. C’est pour accompagner les efforts de nos autorités que l’Association des femmes Burkinabè de New York a organisé cette soirée.
- La Présidente de l’association des femmes Burkimabe, Madame Claire Zoungrana a exhorté les femmes a plus d’union
A l’occasion, la Présidente de l’association , Madame Claire Zoungrana après avoir souhaité la bienvenue à tous ceux qui ont effectués le déplacement a rappelé l’importance de cette journée dédiée à la femme. Elle a réaffirmé leur détermination à poursuivre l’œuvre de construction nationale et l’engagement international pour l’épanouissement de la femme burkinabè. Elle a invité ses sœurs à plus d’union et faire de cette soirée un cadre d’échanges en vue d’entreprendre des actions positives.
‘’C’est dans l’union que nous parviendrons a poser des actions positives pour l’avenir de notre progéniture’’ a t-elle laissé entendre.
A sa suite Mme Sorgho a prise la parole au non du Rassemblement des femmes Burkinabè de New York et a exhorté ses sœurs à plus cohésion gage d’une fraternité vraie et durable
Après l’ouverture du bal effectués par le parrain et la marraine, place à la réjouissance des invités.
C’est dans une salle pleine que le MC de la soirée Gérard Koala alias DJ Kadafi a tenu en haleine les invités. Les femmes ont esquissé des pas de danse aux rythmes de sonorités africaines et du terroir. Les ballets de la troupe warba du vieux Zoungrana et la présentation d’un titre du prochain album de l’artiste burkinabè Mano sniper du groupe 2kas et de l’artiste Nevi se sont succédés tout au long de la fête. Cette ambiance festive était accompagnée d’une dégustation de mets du pays tels que le goonre le baabenda le riz au soumbala….
Askia Boukari SIGUE Etudiant en Communication New York
Vos commentaires
1. Le 6 avril 2011 à 16:50, par djata En réponse à : journée internationale de la Femme à New York : La recherche de l’union reste un sujet préoccupant
Rectification. la journee de la femme a NY a ete celebree par un groupe de femmes presider par mme Zoungrana et non une association car depuis lors il n’y a pas d’association burkinabe a NY.elle a son groupe se disant association, comme d’autres femmes burkinabe a NY ont leurs groupe quant a parler de recherche union chose impossible actuellement puisque ses anciens presidents d’association ne veulent pas laisser la place aux autres faire leurs experiences bien qu’ils ne foutent rien seulement esprit de se faire voir aux yeux de nos autorites de passage a NY.
s’il ya revoir ou est le SG/CSBE ?mettre de l’ordre
a NY pour que s’il y a un probleme comme ailleurs que l’etat puisse savoir a qui s’adresse. pour faire leur publicite alors Gerard Koala n’en dirai pas mieux il veux son dollars qui est fou.>>>>>>>>>je suis professeur a NY. burkinabe. a cause des mensonges, le nabahisme, je me reserve de rentrer dans les burkinabe de NY la plupart non instruit qui seme la mesentente....sorry
Le 8 avril 2011 à 00:38 En réponse à : journée internationale de la Femme à New York : La recherche de l’union reste un sujet préoccupant
Rectification mon cher vantard,
d’abord tu es enseignant et non professeur. De plus tu traites les autres de non instruits. Sache qu’on n’a pas besoin d’etre instruit pour etre un leader et former une cohesion des Burkinabes a NY. La nature a horreur du vide. Si l’ancienne association a disparu, il est louable que Mme Zoungrana aie mis sur pied cette association. Sois humble soit-disant "professeur". Ici aux USA, les debrouillards et les hommes d’affaires sont plus epanouis et riches que certains etudiants et enseignants malheureux.
Le 12 avril 2011 à 03:53 En réponse à : journée internationale de la Femme à New York : La recherche de l’union reste un sujet préoccupant
☺Oui cher compatiote je suis d’accord avec toi.on n’a pas besoin d’intellectuel pour guider l’association.on a besoin des gens dignes et honnets. au lieu de passer le temps à critiquer il faut se mettre en action.Mme Zougrana a toujours donné de son temps aux autres dans n’importe quel situation ou evenement.rare sont ceux qui peuvent faire comme elle.So travaillons à ce qu’il aie plus d’unité que de bataille.
Le 21 mai 2011 à 05:29, par Modeste En réponse à : journée internationale de la Femme à New York : La recherche de l’union reste un sujet préoccupant
Cher "professeur", quand on ne peut pas faire mieux, on se tait, je veux dire, on se garde de critiquer sans raison.
Je loue la dispo de cette femme qui doe de son temps pour que les ressortissants burkinabè aient des références à NY.
Laissons tomber les divisions et oeuvrons à l’unité ; c’est plus beau et chaleureux que les querelles inutiles et les critiques enfantines...