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Contrefaçon de Yamaha au Burkina : le Japon tire la sonnette d’alarme

Publié le jeudi 29 octobre 2009 à 02h25min

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Les travaux de la deuxième session des consultations bilatérales Burkina-Japon se sont déroulés le mardi 27 octobre 2009 à Ouagadougou. Les deux commissions mixtes ont fait le point de la coopération politique, des relations économiques et commerciales entre le Japon et le Burkina Faso.

La coopération entre le japon et le Burkina Faso se porte bien. C’est la conclusion qui émane des travaux de la deuxième session des consultations bilatérales Burkina-Japon. Abordant la politique bilatérale et multilatérale, les deux délégations ont salué les efforts du Burkina en matière de démocratie. Elles ont en outre félicité le président du Faso, Blaise Compaoré pour son rôle de facilitateur dans les crises ivoirienne, togolaise, et guinéenne. Les deux parties se sont aussi félicitées de l’excellence et de la convergence des points de vue sur les questions internationales.

Au niveau des relations économiques des deux Etats, la partie japonaise a rendu hommage à la partie burkinabè pour le niveau d’exécution des travaux de la première session. Elle a par contre attiré l’attention des autorités burkinabè sur le problème de la contrefaçon de la marque Yamaha et invité les Burkinabè à prendre toutes les mesures nécessaires afin qu’une solution définitive soit trouvée.

Le chef de la délégation japonaise, l’ambassadeur du Japon au Burkina, Tsutomu Sugiura a réaffirmé le désir de son pays à aider le pays des hommes intègres à lutter contre la pauvreté. Pour cela, une attention particulière sera accordée à la construction d’ouvrages socio-économiques, sanitaires et scolaires. Le projet de construction d’une Ecole nationale de formation des enseignants du primaire à Dori par le Japon est un acquis. Le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Ambroise Ilboudo, a remercié la délégation japonaise et promis la tenue de la troisième session en 2011 à Tokyo au Japon.

Joël Zoundi (stagiaire)

Fasozine

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Vos commentaires

  • Le 29 octobre 2009 à 03:43 En réponse à : Contrefaçon de Yamaha au Burkina : le Japon tire la sonnette d’alarme

    Merci au journaliste pour l’element relatif aux travaux de la Commission mixte Burkina-Japon.
    Juste un rectificatif sur le nom du Secretaire general du Ministere des Affaires etrangeres ; a ce que je sache,son nom est Alain Francis G. ILBOUDO ; a moins qu’il n’y ait de changement de derniere minute.
    Cordialement.

  • Le 29 octobre 2009 à 08:13, par jakiss En réponse à : Contrefaçon de Yamaha au Burkina : le Japon tire la sonnette d’alarme

    slt Monsieur Zoundi. juste vous signaler une petite erreur dans votre article.
    Le secrétaire Général du MAECR ne s’appele pas Ambroise ILBOUDO mais plutôt Alain Francis Gustave ILBOUDO

  • Le 29 octobre 2009 à 08:38, par digo En réponse à : Contrefaçon de Yamaha au Burkina : le Japon tire la sonnette d’alarme

    Salut à Vous Monsieur le journaliste stagiaire.
    Votre résumé sur les travaux de la deuxième session des consultations bilatérales Burkina-Japon est clair et concis. Cependant, il me plaît de vous rappeler que le nom du Secrétaire Général du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération Régionale du BF n’est pas Ambroise ILBOUDO mais plutôt Alain Francis Gustave ILBOUDO.
    Merci et bon courage. Vous avez choisi un métier noble.

  • Le 29 octobre 2009 à 10:00, par will En réponse à : Contrefaçon de Yamaha au Burkina : le Japon tire la sonnette d’alarme

    ALAIN ILBOUDO ET NON AMBROISE ILBOUDO .Tu es ou là.

  • Le 5 novembre 2009 à 07:27, par alidou En réponse à : Contrefaçon de Yamaha au Burkina : le Japon tire la sonnette d’alarme

    dans un article il ya tjrs un message clé. ici le message c’était quoi ? c’est Gaston ou Gustave soyons seriez. même s’il ecrivait Garango ou goundi Ilboudo ou est le problème ? ce n’est pas ça qui nous interessse mais le problème de la contre façon et de ce qu’il faut faire dis donc !

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