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Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

Publié le mardi 23 juillet 2013 à 21h34min

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Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

Le Burkina Faso se porte très mal. Les manifestations de la rue se sont multipliées ces derniers temps, soit pour dire non au Sénat, soit pour apporter une réplique ou encore pour dénoncer la Vie chère.

Ces marches-meetings à répétition ont obligé les évêques du Burkina à sortir de leur silence pour tirer la sonnette d’alarme. A la suite de ces derniers, c’est au tour de International Crisis Group d’attirer l’attention des uns et des autres sur les risques d’embrasement du pays. Nous reprenons pour vous la synthèse du document mais vous avez aussi en pièce jointe à cet article, tout le contenu du rapport de International Crisis Group.

Synthèse

Pour la première fois depuis 1987, la question de la succession du président burkinabè est ouvertement posée. La Constitution interdit en effet à Blaise Compaoré, au pouvoir depuis plus d’un quart de siècle, de briguer un nouveau mandat en 2015. Sa marge de manœuvre est très étroite. S’il respecte la loi fondamentale, sa succession risque d’être difficile tant il a dominé la vie politique et fermé les possibilités d’alternance. S’il modifie la Constitution et se porte candidat à un cinquième mandat consécutif, il prend le risque de déclencher un soulèvement populaire comme celui qui a fait vaciller son régime au premier semestre de l’année 2011. Les partenaires internationaux doivent l’inciter à respecter la loi fondamentale et permettre une transition démocratique en douceur. Préserver la stabilité du Burkina Faso est d’autant plus important que la région ouest-africaine, où le pays occupe une position géographique centrale, vit une période difficile. Le Mali voisin traverse un conflit politico-militaire qui a déjà eu des conséquences graves sur le Niger, autre pays frontalier du Faso.

Le Burkina a pour le moment été épargné par cette onde de choc parce que sa situation intérieure reste stable et son appareil de sécurité suffisamment solide, mais une détérioration de son climat politique à l’horizon 2015 le rendrait beaucoup plus vulnérable. Une élection présidentielle doit aussi être organisée cette même année en Côte d’Ivoire, un pays avec lequel le Burkina Faso est intimement lié. Une crise politique à Ouagadougou aurait des répercussions négatives sur une Côte d’Ivoire toujours fragile. Cette position géographique centrale se double d’une influence diplomatique majeure. En deux décennies, Blaise Compaoré a fait de son pays un point de passage obligé pour le règlement de la quasi-totalité des crises de la région. Avec une grande habileté, Compaoré et ses hommes ont su se rendre indispensables comme médiateurs ou comme « vigies » permettant à plusieurs puissances occidentales la surveillance sécuritaire de l’espace sahélo-saharien.

Une crise au Burkina Faso signifierait d’abord la perte d’un allié important et d’une base stratégique pour la France et les Etats-Unis ainsi qu’une possibilité réduite de déléguer à un pays africain le règlement des conflits régionaux. Pour l’Afrique de l’Ouest, la désorganisation de l’appareil diplomatique burkinabè impliquerait la perte d’un point de référence, d’une sorte d’autorité de régulation qui reste utile malgré de nombreuses limites. Le risque qu’une crise politique et sociale survienne au Burkina Faso est réel. Depuis 1987, Blaise Compaoré a construit un régime semi-autoritaire, dans lequel ouverture démocratique et répression cohabitent, qui lui a permis de gagner le pari de la stabilité perdu par tous ses prédécesseurs. Ce système perfectionné comporte néanmoins plusieurs failles et ne survivra probablement pas à l’épreuve du temps. Il s’articule autour d’un seul homme qui a exercé une emprise totale sur le jeu politique pendant plus de deux décennies, laissant peu d’espace pour une transition souple. Les possibilités pour son remplacement démocratique sont en effet peu nombreuses. L’opposition est divisée, sans ressources humaines et financières suffisantes ou trop jeune pour prendre à court terme la relève et aucun des cadres du parti présidentiel ne s’impose comme potentiel successeur incontesté.

L’un des premiers risques pour le pays est donc de se retrouver, en cas de départ mal encadré de Blaise Compaoré, face à une situation similaire à celle de la Côte d’Ivoire des années 1990, aspirée par le vide laissé par la mort de Félix Houphouët-Boigny après 33 ans de pouvoir. L’explosion sociale est l’autre menace qui pèse sur le Burkina Faso. La société a évolué plus vite que le système politique ne s’adaptait. Le Burkina s’est urbanisé et ouvert au monde avec pour conséquence une demande croissante de changement de la part d’une population majoritairement jeune. Les fruits du développement demeurent très mal partagés dans ce pays à forte croissance mais classé parmi les plus pauvres de la planète. Des changements ont été maintes fois promis sans jamais être réalisés, ce qui a entrainé un divorce entre l’Etat et ses administrés ainsi qu’une perte d’autorité à tous les niveaux.

Cette rupture de confiance s’est exprimée lors du premier semestre 2011 par de violentes émeutes qui ont touché plusieurs villes du pays et impliqué de nombreux segments de la société, y compris la base de l’armée. « La grande muette » est apparue pour la première fois divisée entre élites et hommes de rang, et en partie hostile à un président qui s’était pourtant employé à contrôler et à organiser une institution dont il est issu. Cette crise sociale n’a été éteinte qu’en apparence et en 2012 les micro-conflits locaux à caractères foncier, coutumier ou portant sur les droits des travailleurs se sont multipliés dans un pays qui a une longue tradition de luttes sociales et de tentations révolutionnaires depuis l’expérience de 1983 inspirée par le marxisme.

Enfin, le long règne de Blaise Compaoré, si perfectionné fût-il, a connu l’usure inévitable du temps. Plusieurs piliers de son régime ont quitté la scène, à l’image du maire de Ouagadougou, Simon Compaoré, qui a régulé pendant dix-sept ans la capitale, du milliardaire Oumarou Kanazoé, qui a joué un rôle de modérateur au sein de la communauté musulmane, ou du colonel libyen Mouammar Kadhafi qui fournissait une aide financière importante au « pays des hommes intègres ». Le président Compaoré a choisi de répondre à tous ces défis en effectuant quelques réformes superficielles qui ne répondent guère aux attentes de la population. Il a aussi opté pour le silence sur sa volonté de quitter le pouvoir en 2015.

Il a recentré la direction du pays et de son parti, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), autour d’un groupe restreint de fidèles et de membres de sa famille, au premier rang desquels son frère cadet, François Compaoré. Ce silence et la montée en puissance de son frère, élu pour la première fois député le 2 décembre 2012, continuent d’entretenir un lourd climat d’incertitude. Le chef de l’Etat burkinabè dispose d’un peu moins de trois ans pour préparer son départ et éviter ainsi une bataille de succession ou une nouvelle fronde populaire. Il lui appartient de faciliter cette transition. C’est d’abord en respectant la Constitution et en ne succombant pas à une tentation dynastique qu’il pourra confirmer la principale réussite de sa longue présidence : la stabilité.

Un choix contraire ouvrirait la porte à une période de troubles. De son côté, l’opposition burkinabè et la société civile doivent devenir des forces de proposition et travailler dès maintenant à créer les conditions d’un progrès démocratique compatible avec la paix et de la stabilité. Les partenaires extérieurs, notamment les puissances occidentales, doivent maintenant s’intéresser autant à l’évolution politique interne du Burkina Faso et à la consolidation démocratique qu’au rôle que son président joue dans des médiations politiques et la surveillance sécuritaire des foyers de tensions en Afrique de l’Ouest.

Dakar/Bruxelles, 22 juillet 2013 »

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Vos commentaires

  • Le 23 juillet 2013 à 21:16, par issaka En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Qui connait le monsieur qui derriere Blaise ?

    • Le 24 juillet 2013 à 14:07 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      C’est son neveu, JB, ci-devant ministre de l’ emploi, demissionne, puis revenu en trombe comme ministre de l’ Administration territoriale.. Tu sais pas que la patrimonialisation est bien en marche au Faso ou quoi ?

  • Le 23 juillet 2013 à 21:23, par l’intelligent En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Belle analyse que cette dernière.Je reste confiant que la sagesse primera au Burkina Faso,mon pays...

    • Le 23 juillet 2013 à 22:02 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Vous nous cassez les couilles maintenant avec cette histoire Blaise#senat.

      Attendez tranquillement dans 1 an et demi et tout le monde sera situe sur l’ article 37.

      Travaillez et attendez pour voir. Gardez vos energies pour le grand jour.

    • Le 23 juillet 2013 à 23:14, par Micka-lawtar En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      J’ai confiance au jeune burkinabè

      • Le 24 juillet 2013 à 08:49, par Oumar Dembélé En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Regardez le visage pathétique de Bougouma derrière son cousin.....la fin très proche de la patrimonialisation du pouvoir. Si Blaise avait écouté SALIF DIALLO........si et seulement si.....au lieu de le jeter en pâturage....

    • Le 24 juillet 2013 à 01:23, par Cami En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Pas d’inquiétude, nous au CDP, avons tout planifié. Le départ de Blaise es en douceur, mais selon notre planning.
      Maintenant s’il ya des brebis galeuses qui pensent que ce devrait etre dans la violence, alors qu’il en soit ainsi pour que l’on en finisse.

      Sinon ttendons la veille de 2015 et on saura l’angle de virage du Faso

      • Le 24 juillet 2013 à 09:01, par laplume En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        cè ça ! il faut que nos dirigeants jouent franc jeu maintenant car la prise de conscience du peuple se fait lentement mais surement. si l’incivisme prend d l’ampleur c’est q nos dirigeants ne comprennent que ce langage puisque eux même i ils se comportent ainsi ! ils doivent donc être les premiers à aller à l’école du civisme !

      • Le 24 juillet 2013 à 09:56, par toto En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        mon chere cami si tu pense que blaise quittera en douceur qu’il se prononce des maintenant. qu’on sache dès maintenant qu’il ira ou pas en 2015. vous penser que vous au CDP vous etes plus intelligent que le peuple. arreter vos combine qui n’apporteront au pays.

        • Le 24 juillet 2013 à 14:23, par Cami En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

          Non, toto !

          Le Grand Blaise ne va pas se prononcer maintenant. Pourquoi voulez vous qu’il respecte votre échéancier ?

          Il parlera quand il le voudra.

          Et puis, en politique, on ne se lève pas ventre en l’air comme vous le faites avec la connexion internet de service de l’Etat et aux heures de services pour raconter vos vies.

          Aussi, vous vous trompez en pensant que si Blaise part, c’est ce que vous aurez le pouvoir.
          Vous n’aurez rien ici. Le pouvoir est et restera au CDP.
          ce sera le choix du peuples.

          • Le 25 juillet 2013 à 08:11, par Lefilsde Dieu En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

            Dieu a creer le temps pour montrer aux hommes que tout à une fin. Notre président est plein de sagesse. Laisser le travailler . Il saura prendre la decision qui convient au moment convenu à la continuité de la paix et du dialogue dans ce pays. L’opposition doit etre une force de proposition et non de violence. L’essentiel c’est de proposer dans le calme des solutions pour resoudre les vrais problèmes du pays.

      • Le 24 juillet 2013 à 14:11 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        C’est ca. cete fois- ci, on va en finir . comme ca on va savoir qui a mis l ;’eau dans noix de coco. Toujours les memes qui veulent toujours gagner ? Nos peurs et hesiations ont toujours fait la force de ces devergondes. Maintenant, si quelqu ; un veut violer et violenter la constitution, on va se rentrer dedans et on saura qui sera garcon. C’est bien sur le peuple(Masculin), pas la famille(Feminin). Donc bientot a la rencontre du siecle du Peuple contre Famille. Il me semble qu’ il ya un surnombre quelque part.

    • Le 24 juillet 2013 à 02:43, par LAGUI ADAMA En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Comparaison n’est pas raison, au Bukina faso contrairement à d’autres pays, son excellence Mr Blaise Compaoré l’homme du PEUPLE jouit la de la légitimité CONSTITUTIONNELLE et du soutien total du peuple pour rester au pouvoir après 2015 si il le veut et l’homme du PEUPLE qu’il est, son EXCELLENCE Mr Blaise Compaoré par la volonté du PEUPLE, au nom du PEUPLE restera au POUVOIR pour le PEUPLE et tout voyou politique ou social qui s’opposera à l’expression et à la volonté du PEUPLE aura contre lui le noble PEUPLE souverain de notre cher FASO ! Qu’Allah bénisse et protège son excellence Mr Blaise Compaoré et sa famille.

      • Le 24 juillet 2013 à 08:49, par Le Sage. En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Monsieur l’Ambassadeur taisez-vous s’il vous plaît. Si c’était d’autres personnes qui faisaient cela dans un autre régime, vous n’aurez pas eu la même attitude. Fils de paysan, vous avez été fait multimillionnaires par le Président Blaise COMPAORE. Cela vous suffit amplement. Laissez le jeu démocratique et le respect des institutions se faire au Burkina. On se connaît tous et à l’heure du bilan, tous vos biens seront confisqués au profit de la construction des écoles et des postes de santé primaire dans notre pays.

      • Le 24 juillet 2013 à 09:43, par izat En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        vraiment ce djiadiste de l’hadji est égaré.ton raisonnement relève d’un esprit tridimentionellement borné au sens propre du mot. Retrouve donc ceux qui sont éclairés.

      • Le 24 juillet 2013 à 09:48, par SAMBIGA En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Le faux ladji en qualifiant les autres compatriotes de voyous,tu illustre très bien le caractère de voyou. Aussi,tu t’affiche en tant qu’analphabète politique en respctant l’opinion de l’autre. Un voyou ne soucie pas de son pays mais comme toi,à ses propres intérêts. Mais sache que je vais travailler à t’identifier.

      • Le 24 juillet 2013 à 10:06, par Omed En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Mon cher,fais ton carême et laisse-nous trankils...ton Tieni gbanani est mourant..le lion n’a plus de dents,c’est un procecus irréversible...il n’ya que les ignards qui ne le comprennent pas.Vive le changement.A bon entendeur salut.

      • Le 24 juillet 2013 à 10:55 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Tu te trompes de peuple Lagui

      • Le 24 juillet 2013 à 11:13, par KYEMTHER En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Bonjour Mr Lagui Adama,

        etes vous Burkinabe ou CDPiste ? Je crois que ce site est un lieu, gracieusement offert par de vrais Burkinabé qui veulent des échanges d’idées constructifs pour notre cher Faso. Or en vous lisant, je crois que vous vous êtes trompé d’endroit, pire je doute de qui êtes vous ? Écrivez utile SVP

      • Le 24 juillet 2013 à 11:29, par attention En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        je suis désolé mais tu manques beaucoup de sagesse. des présidents qui ont été plus important pour leur peuple et qui n’ont pas su quitter les choses au bon moment sont rentrés dans l’histoire à reculons. ne parle plus jamais ainsi mon frère

      • Le 24 juillet 2013 à 14:49 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Blaise jouit de la legalite consitutionnelle mais parler de Legitimite ? Pouah !! Vous comprenez francais ? Il va falloir qu’ on parle arabou maintenant. C’est mieux pour la clarte des termes. Depuis belle lurette, toute cette constitution n’
        est plus legitime quoique toujours legale. Elle a ete trop violee et violentee. Elle est meurtrie, elle ne se reconnait plus. Elle a ete abatardie. Maintenant elle est plsu qu’ une cire molle dans les mains d’ un individu qui n’aime pas son peuple. C’est la tout le mal du Burkina. Mais nos yeux sont ouverts et nous allons vous combattre, tous les ennemies de notre loi fondamentale. Ce que vous avez fait depuis les annees 90, vous ne pourrez plus le faire aujourd’ hui. Les temps ont change. On va se rentrer dedans dans ce pays et les forts ne sont pas assez fortsd pour rester les plus forts. Meme nos Etalons ont faili prendre la coupe d’ afrique des nations. Qui l’ eut cru ? Reflechissez tous ces messieurs qui sont en train de pousser le president dans la direction que lui et son frere souhaitent.

    • Le 24 juillet 2013 à 10:10, par Humble En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Les évêques ont parlé pour se dédouaner car ils sont en contact avec les pauvres populations, mais Dieu seul sait ce que les évêques font endurer à ces populations en organisant des quêtes et des quêtes exagérés à la moindre occasion qui se présente.
      L’église prend bcp d’argent aujourd’hui.
      Posons nous la question, à savoir l’église prend l’argent à QUI ?
      et vous verrez que c’est "blanc bonnet" et "bonnet blanc".
      Un fidèle catholique.

  • Le 23 juillet 2013 à 21:24 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    A bon entendeur ,salue

  • Le 23 juillet 2013 à 21:26, par Moumouni En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Voila qui est claire ! Malheureusement il existe toujours des gens avec une mémoire courte, incapables de voir que partout où les présidents ont passé plus de 20 ans au pouvoir, leur succession a toujours étée douloureuse. Quelques exemples : Houphouet, Boumedienne, Mouboutou, Khadaffi ; Moubarak, Ben ali, Moussa Traoré... Même la Haute Volta a connu une période de troubles après les 14 ans de pouvour de Lamizana.
    Si c’est vrai que nous aimons le Burkina, entamons sans hésiter les négociations pour une sortie honorable de Blaise Compaoré !
    Sans rancune !

  • Le 23 juillet 2013 à 21:51, par alpha En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Voilà qui est bien dit. Le pays-là risque de prendre feu. Toi Blaise-là et ton frère François, si vous toucher à notre article 37, vous allez manger votre totem. Vous allez savoir que c’est pas à Ziniaré seulement qu’il ya des enfants terribles.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:00, par kersal En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    je pense que contrairement à l’esprit developpé dans cet article il nous faut saluer les épisodes successifs du processus de Démocrtisation que le Président Blaise COMPAORE a eu le courage d’enclencher contre les oppositions de certains de ses compagnons.
    Quelle est la Définition de la Démocratie ?
    N’est ce pas l’exercice du pouvoir par le peuple et pour le peuple ?
    la limitation des mandats à laquelle renvoit tout le développement fait dans le document cité plus haut est une insulte à notre peuple car c’est insinuer que le peuple n’a pas la capacité de décider de qui doit le diriger.
    La limitation des mandats est elle même anti démocratique.
    Je crois qu’il faut arrêter cette manipulation déplacée de l’opinion qui n’a pour seul objectif que de distraire les honnêtes citoyens.
    Le Président Blaise COMPAORE est préoccupé par la mise en oeuvre de son Programme Quinquennal pour lequel il a été élu.
    Donnons la souveraineté au peuple et au peuple seul de décider de son destin.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:03, par Omed En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Salut á tous ,Tiéni Gbanani est fatigué,regardez-le bien....le temps parle et l’homme ne peut pas le contredire...pour preuve l’original Tieni Gbanani est mort....Si Blaiso est sage,l’histoire le retiendra,sinon....il a ses cartes entre ses propres mains,dans tous les cas le train de l’histoire est en marche et ce n’est ni Lagui Adama,ni Camis,ni Kader Lukas....qui changeront le cours de l’histoire de 17000000 d’hommes.Vive le changement,vive la démocratie,la vraie.A bon entendeur salut.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:06, par Noyesman En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Cette analyse d’International Crisis Group sur la situation nationale est tout simplement pertinente. Nous sommes à quelques centimètres du point d’impact et une seule personne peut influencer positivement le cours des choses en écoutant la voix de la raison et en agissant avec sagesse. Monsieur le Président, vous pouvez le faire.

    • Le 24 juillet 2013 à 08:39, par Le Sage. En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Oui, il peut le faire. En cela, il reviendra sur la proposition que lui avait faite Monsieur Salif DIALLO sur le régime parlementaire. A force d’avoir écouté ENCORE François COMPAORE, voilà ce qui va arriver. Chaque burkinabè doit être prêt à donner son sang pour libérer le pays car les mêmes personnes ne peuvent pas diriger le pays pendant plus de 25 ans. trop c’est trop.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:09, par Lecitoyen En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Je pense que le Président Compaore est un homme sage. Je ne pense pas qu’il souhaite le pire pour son pays et de son silence il va surprendre le monde rien que pour le Bonheur du Burkina Faso. Que Dieu soit son guide pour des lendemains qui chantent pour son pays et non le contraire. Que Dieu bénisse le Burkina Faso. Je souhaite pour ma part qu’il sorte par la grande porte et il sera une référence de Sagesse dont on fera toujours recours pour la paix et le bonheur de l’homme africain et du monde.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:12, par kersal En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    je pense que contrairement à l’esprit developpé dans cet article il nous faut saluer les épisodes successifs du processus de Démocrtisation que le Président Blaise COMPAORE a eu le courage d’enclencher contre les oppositions de certains de ses compagnons.
    Quelle est la Définition de la Démocratie ?
    N’est ce pas l’exercice du pouvoir par le peuple et pour le peuple ?
    la limitation des mandats à laquelle renvoit tout le développement fait dans le document cité plus haut est une insulte à notre peuple car c’est insinuer que le peuple n’a pas la capacité de décider de qui doit le diriger.
    La limitation des mandats est elle même anti démocratique.
    Je crois qu’il faut arrêter cette manipulation déplacée de l’opinion qui n’a pour seul objectif que de distraire les honnêtes citoyens.
    Le Président Blaise COMPAORE est préoccupé par la mise en oeuvre de son Programme Quinquennal pour lequel il a été élu.
    Donnons la souveraineté au peuple et au peuple seul de décider de son destin.

    • Le 24 juillet 2013 à 04:56, par LeRévolté En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Mon cher kersal ou serval c’est selon. Comment donner la souveraineté au peuple si les voleurs des urnes sont promus au lieu d’être punis ?

    • Le 24 juillet 2013 à 05:08 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      continue de rêver toi kersal. tu es aveugle et on te prévient de ne pas avancer dans un tel sens pour ne pas tomber dans le gouffre et tu t’en prends au bienfaiteur. pauvre ingrat ; continue d’avancer et tu verras le résultat qui t’attend, pyromane oui.

    • Le 24 juillet 2013 à 07:10, par CPI En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Cher Kersal, la démocratie, c’est le respect des institutions. Blaise en tant que citoyen Burkinabè à le devoir de se soumettre au exigence de la constitution. Belle analyse de Internationnal Crisis Group.

    • Le 24 juillet 2013 à 07:41, par Juali En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Mr Kersal,
      Vous avez une bien étrange définition de la démocratie ! Si les mérites de Blaise COMPAORE ne doivent pas être négligés, il est clair que cette analyse ne souffre d’aucune contestation possible. On peut juste dire qu’ils exagèrent sur l’opposition en minimisant un peu trop sa capacité à assurer et assumer l’alternance. Nous ne sommes pas en démocratie du tout au Burkina et nul ne doit s’y tromper : nous avons juste le prolongement du front populaire de 1987 badigeonné par une constitution et des élections présidentielles, législatives et locales. Le font du régime reste un régime militaire, personnel et maintenant s’est transformé en un régime mafieux (dans son sens fondamental = la famille et dans son sens second = criminel et rapace économiquement) voir oligarchique. Dans tous les cas, pour moi, c’est un peu trop tard pour nous éviter des turpitudes : ça va obligatoirement tanguer au Burkina, c’est maintenant une certitude. Il nous faut juste limiter les dégâts. Que Blaise accepte de partir maintenant ou tente une manœuvre ou une autre, le pays va certainement vers des lendemains incertains. La moins mauvaise solution est biensûr qu’il s’en aille en douceur, mais l’appareil qui est en place depuis 30 ans va avoir du mal à céder la place à un régime vraiment démocratique. C’est pourquoi nous devons nous apprêter pour la traversée d’une zone de turbulence et ça va secouer fort. Je dis bon courage à tous les fils et filles qui aiment ce pays pour tenir bon et prendre nos responsabilités quand l’heure viendra.

      • Le 24 juillet 2013 à 09:14, par tièkadiyé En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Je sais que tu n’es pas un oiseau de mauvaise augure, mais tu as peur, et tu as bien raison. J’ai toujours pensé exactement comme toi et la solution, la seule et la meilleur que ma petite tête a trouvée, c’est qu’il y ait un "coup d’état moralisateur" pour nous sauver du naufrage collectif. Ceux qui rêvent de paix à la succession de Blaise n’ont qu’à bien rêver. Moi je me prépare au pire, tout en priant pour que cela n’arrive pas, par la seule grâce de Dieu.

    • Le 24 juillet 2013 à 07:45, par YEL PIAN En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Ce document n’a rien d’insultant vis-à-vis du peuple mais met en lumière les failles d’une gouvernance à l’allure pseudo-démocratique, un pouvoir semi-autoritaire, disons une démocratie de façades.
      On ne rejette pas ta définition de la démocratie mais cette démocratie au Burkina n’est pas l’émanation de la volonté populaire, en témoignent toutes les failles savamment orchestrées lors des différentes élections, qui ont permis à ce monsieur de d’instaurer un règne de monarque.
      Ce sont aujourd’hui ces honnêtes citoyens qui réclament aujourd’hui une gouvernance démocratique, afin de leur donner les moyens d’exister et non pas les priver de la liberté et du pain, au profit d’un clan.
      Quels sont les résultats de cette gouvernance autoritaire : corruption, crimes de sang, (Norbert Zongo, ça te parle ?), crimes économiques (les cantines de Gouro vous disent quelque chose ?), pauvreté (46% en dessous de seuil de pauvreté) ce chiffre est en hausse. 20% de la population se partagent 80% des ressources du pays.
      Pour comparaison, ton champion de Blaise n’a réussi qu’à classer le pays au 183e rang (sur 187), derrière des pays ayant connu la guerre, comme le Liberia, la Sierra-Léone et même le Mali.

      Face à ces réalités, le bons sens veut qu’on se préoccupe du destin des pauvres, que de prendre 36Milliards pour partager à ses courtisans.

      Qui sème la misère récolte la colère du peuple.
      Les 16 millions de Burkinabé sont tous valeureux autant que Blaise, il n’est donc pas indispensable, il passera.

    • Le 24 juillet 2013 à 07:54, par phantom En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Mon père pardonne lui car il ne sait pas ce qu’il fait. La limitation des mandats anti-democratique ? !!!!!

    • Le 24 juillet 2013 à 08:06, par Freedom En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Monsieur Kersal comment être plus royaliste que le roi ?
      Arrêtez vos errements de pseudo-démocrate inspiré par votre mentor.
      Vous n’avez aucune leçon de démocratie à donner à personne
      La limitation des mandats présidentiels est juste une façcon de renouveller la gestion du pouvoir d’Etat ; c’est permettre d’autres expressions et d’autres expériences. C’est le socle même du développement des grands états de ce monde. Mais je ne crois pas que vous ignorez tout ceci. Alors arrêtez vos élucubrations partisannes et surtout épargnez nous vos leçons de démocratie auxquelles vous mêmes ne croyez pas.

    • Le 24 juillet 2013 à 08:33, par Inoussa En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Kersal, le peuple souverain a décidé que les mandats seront limités. Blaise, lui, en a eu jusqu’à 4. Ne penses-tu pas c’est assez comme cela ?

    • Le 24 juillet 2013 à 08:52, par Bamas En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Tu prétends connaitre la Démocratie comme ça ? Pittttiééééééé !!! Entre le Burkina et la les USA par exemple, quel est le pays le plus démocratique ? Le nombre de mandat est-il illimité aux USA ? A tes cours de Démocratie pauvre Kersal.

    • Le 24 juillet 2013 à 11:48, par le voyant En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Meilleure santé à ce malade.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:15, par Le maître En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    le commentaire est juste. ce que Blaise cherche c’est de provoquer un après lui cahotique pour faire regretter son absence. s’il aime son pays il serait plus sage de se retirer pour ne pas détruire ce pays. le Faso n’est pas une monarchie.

    • Le 24 juillet 2013 à 05:13 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Lui- la n sera jamais regrette. On craint simplement notre Neron, ou du moins on le craignait mais maintenant l’ hyene est malade et des chevres qui la suivre sans compassion ni peur lui arachent le nere qu’ elle transporte sur son echine basse. hihihihi.

    • Le 24 juillet 2013 à 11:34, par kersal En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Le maître,
      tu as la mémoire très courte.
      fais un feed back dans l’histoire récente du burkina.
      quand Sankara était aux arrêts qui a pris l’engagement devant l’histoire et devant les hommes de réparer cette injustice ?
      Des 4 acteurs de la revolution d’août qui a été le meneur de jeu ?
      Face aux dérives de la revolutions qui avaient fini par lasser le peuple qui a conduit la rectification pour repondre aux attentes du peuple ?
      Qui a au lendemain du sommet de la baule crée les conditions pour un retour à la démocratie et aux multipartisme ?
      Il a donné à plusieurs occasions la preuve qu’il aime son peuple et est à son écoute.

      • Le 24 juillet 2013 à 15:16, par lewang En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Kersal (car tu ne mérites mon respect), tu penses que c’est en tuant ceux qu’il craignait pour accéder au trône qui fait de lui un démocrate ? s’il l’était comme tu le prétend il aurait du accepter le débat contracdictoire qu’on lui proposait à l’époque.on saurait s’il était à la hauteur en son temps. et puis penses tu que sans la Baule et lespressions de toute part ton champion allait se tourner vers son semblant de démocratie ???? je doute fort car le vrai démocrate n’a pas peur des débats d’idées et s’assume lorsqu’il est mis en minorité. contrairement à cela on liquide ceux qui dérangent, on dort quand ca caille dans la maison, on laisse les gens voler pour forcer sa popularité, on cré des troubles chez les voisins pour se faire craint et incontournable ou meme fuir les débats internes, on contribue à creuser l’écart entre les pauvres qui sont de plus en plus pauvre et les NOUVEAUX riches qui sont de plus en plus riches.

      • Le 25 juillet 2013 à 09:33, par Terreur En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        on peut tromper une partie du peuple tout le temps, tromper tout le peuple tout le temps mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps

  • Le 23 juillet 2013 à 22:15, par Non au Sénat En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Les longs règnes (plus de 20 ans au pouvoir) ont toujours terminé dans le chaos. Que Blaise Compaoré sache que sa succession sera difficile, lui qui n’a pas voulu préparer la relève depuis longtemps, car ne voulant pas quitter le pouvoir. Il doit tout faire maintenant pour nous permettre une transition pacifique. Ce qui veut dire d’abord NON AU SÉNAT, NON À LA MODIFICATION DE L’ARTICLE 37.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:22, par harouna En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Mersi pour butkina for no pa Compaoré for je vou D tout le kadr De CDP on va letque et ce D modu Du Burkina web master a vou

  • Le 23 juillet 2013 à 22:25, par kersal En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Mon analyse est qu’il est reducteur d’envisager l’alternance uniquement en déhors de Blaise COMPAORE et du CDP, je ne sais pas de quel dictionnaire vous detenez cette définition mais je reste persuadé que vous avez une vision unijambiste qui s’explique par un sommeil en état d’éveil et je crois qu’il est temps de vous réveiller car l’alternance se fera à l’intérieur du CDP ou il n y aura pas d’alternance.

    • Le 24 juillet 2013 à 06:17 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      ’’vous avez une vision unijambiste qui s’explique par un sommeil en état d’éveil ... l’alternance se fera à l’intérieur du CDP ou il n y aura pas d’alternance’’. Continuez de faire une lecture partisane et étriquée de la situation nationale. Vous qui vous croyez plus intelligents que les évêques de la conférence épiscopale, que l’ONG International Crisis Group. Même si vous êtes un rompu du lèche-bottisme rampant, vous ne pouvez pas continuez de tromper Blaise qui a une meilleure connaissance de la situation nationale quand bien même il va à l’école des Moboutou, Eyadema et autres. Le disque de votre griotisme des temps modernes est révolu. Ressaisissez-vous pendant qu’il est encore temps car votre manitou partira quoiqu’il arrive en 2015, un point un trait.

    • Le 24 juillet 2013 à 07:48, par YEL PIAN En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Faites des élections transparentes, et vous serez déçus.

      • Le 24 juillet 2013 à 10:37, par kersal En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

        Mon cher YEL PIAN qu’est ce que vous appelez eclections transparentes, y a tiil élections plus transparentes aue ce qui s’est passé le 2 décembre et le 17 février ?
        La biométrie était était votre unité de mesure de la transparence et je crois que le verdic des urnes a été un message on ne peut plus clair à l’égard des personnes qui prennent leurs rêves pour la réalité.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:31 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Jespere que notre Presi verra dans les manifestations de ces derniers jours le ras-le-bole du peuple et qu’il va laisser la place.

  • Le 23 juillet 2013 à 22:45, par El paysan En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Oui c’est bien dit esperons un changement dans les jours a venir

  • Le 23 juillet 2013 à 22:53 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Pardon tonton Blaise dis le maintenant. La crise de succession ne sera rien par rapport à la crise nationale situ te tais. Tu peux encore partir dignement, allons fais un geste historique dis nous que ni toi ni Francois ne veut rester dans la chose. Courage acouche.

  • Le 23 juillet 2013 à 23:05, par xxx En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Cette analyse est fondée mais nous osons croire que Blaise Compaoré évitera son beau pays de ce que nos voisins ont connu. Pour cela il commencera à respecter la constitution qui doit rester inviolable pour des fins personnelles. S’il est vrai démocrate qu’il écoute son peuple .Son entourage actuel est un vrai poison pour le pays.Ils brulent le pays à petit feu par leurs propos incendiaires. Que le Tout Puissant guide le Burkina !!!

  • Le 23 juillet 2013 à 23:11, par Onymes de Poitiers En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Nous attendons la sortie de Djibril Bassolet ou Alain Édouard Traore pour malcauser sur ce rapport. Ce qui est sur nous sommes prévenus.

  • Le 23 juillet 2013 à 23:12, par Le Guetteur En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Gbagbo était boulanger pour la Côte d’Ivoire mais Blaise Compaoré lui est notre Pâtissier au Burkina.
    Qui a toujours su utiliser les sages, calmer la colère de la population et grand artiste dans la duplication des mêmes faits et gestes qui ont causé les conflits sociaux.
    Alors, ceux qui ont la mémoire se doivent de répeter cela à tout le peuple.
    On ne marche pas deux fois sur les testicules d’un aveugle.

  • Le 23 juillet 2013 à 23:19, par Mang Biiga En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Moi je pense que les marabouts et Wacmen de Blaise sont entrain de lui mentir pour avoir leur mange.
    Mais le reveil sera douloureux et honteux a la fois. La puissance finit toujours par finir. C’est la loi de la nature.

    Blaise rejoindra Charles Taylor a cause des sales guerres au Liberia, Sierra Leonne, etc. C’est pour ca il veut pas quitter le pouvoir. Mais la route est arrivee a sa fin. Tout voyage a une destination. Les maîtres deviendront serviteurs et les serviteurs deviendront maîtres.

    • Le 24 juillet 2013 à 09:09 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Mang Biiga ton texto est propre ! en plus de ceux là ce sont les vautours qui l’entourent aussi qui ne lui disent pas la réalité des choses.je pensais que 2011 allait être une leçon.La grande crise est arrivée par le grand mensonge de ses collaborateurs. à son point de presse avec SALL, il s’est tu sur la situation national quand les journalistes ont evoqué le cas du Mali, il devient grand orateur. voyez vous ? est ce serieux ça là. IL DOIT OUVRIR L’OEIL ET LE BON !!!!!!

  • Le 23 juillet 2013 à 23:32, par Non au Sénat En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Les longs règnes (plus de 20 ans au pouvoir) ont toujours terminé dans le chaos. Que Blaise Compaoré sache que sa succession sera difficile, lui qui n’a pas voulu préparer la relève depuis longtemps, car ne voulant pas quitter le pouvoir. Il doit tout faire maintenant pour nous permettre une transition pacifique. Ce qui veut dire d’abord NON AU SÉNAT, NON À LA MODIFICATION DE L’ARTICLE 37.

    • Le 24 juillet 2013 à 06:11, par Pathe Diallo En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Le fait même que Blaise Compaoré ait écarté du CDP tous les grands tenors tels que Rock, Salif, Simon et autres... c’est un signe clair qu’il ne veut pas une succession et compte se présenter lui même. Comme l’a dit cette belle analyse au sein du CDP actuellement il n’y a pas un seul politicien de poids qui puisse prendre sa place. Il ne nous reste plus qu’à prier pour notre cher Faso.

  • Le 23 juillet 2013 à 23:39, par legourdin En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    l’heure de gloire du peuple a sonne

    • Le 24 juillet 2013 à 05:43, par on vous connait En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Quelle gloire après Blaise ça sera comme l’Egypte ou la Tunisie ou le Mali Vanité des vanités tous ces opposants sont des vendeurs d’illusions Son excellence fréderique guirma avait fait des sandwicheries au moins avant de pretendre à la magistrature suprême. Et vous Monsieur les opposants ? le peuple est deja fatigue. Vous avez mangé avec blaise on vous connais

    • Le 24 juillet 2013 à 07:23, par raogo En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Bien vue, mais il faut préserver les acquis du Burkina. le questionnement suivant mérite d’être posé :
      - Que devient le leadership du Burkina Faso sans Blaise COMPAORE
      - Y aura t il un consensus pour la gestion du pouvoir sans Blaise
      - Dans l’opposition qui fera l’unanimité et capable de gérer le Burkina avec un programme politique solide
      Dans cette affaire l’intérêt general doit être la condition première des burkinabé sinon changer pour changer.........( Prener les cas de certains pays Africains qui ont changé pour changer jusqu’à nos jours ils n’ont pas la paix, c’est le chaos)
      Peuple du Burkina Faso a vous la parole pour une paix social et durable dans ce pays. Doit on évoluer ou doit on revenir en arrière, je préfère qu’on avance dans la paix
      Comment on va faire comme le disait l’autre, de l’article 37 et du Sénat......

    • Le 24 juillet 2013 à 08:55, par PHEBUS En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Si le Burkina profitait réellement des mediations de COMPAORE, on devait savoir que les meme causes produisent les mêmes conséquences. dans la plupart des pays en crise, oû le BF joue un semblant de mediation, les causes sont les suivantes :
      - longevité au pouvoir : (RCI de boigny, Mali de moussa, Togo de yassimbe, guinnée de konté,)
      - l’absence de justice sociale et de justice judiciaire réelle,
      - l’ extrême pauvreté de la majorité de la population,
      - la culture de la corruption et du clientélisme,
      - l’accaparement de la riche du pays par une petite minorité,
      - l’absence de liberté,
      - etc.
      ces mêmes causes sus-citées sont foison dans notre pays, cultivées et entretenues par un régime vieillissant en manque de repère et de strategies pour développer le BF.

  • Le 24 juillet 2013 à 00:55, par Souly N. Stéphane En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Très belle analyse, mais au juste, qui a fait du président Blaise Compaoré ce qu´il est devenu aujourd´hui !? Trouvez la réponse à cette question, et vous verrez que les responsabilités se partagent peut-être. Ce sont ces conseillers officieux, ces experts et stratèges en géopolitique qui la nuit venue, courent à la soupe en fréquentant les palais dorés de nos dirigeants. Le président Blaise Compaoré n´a été qu´un pion…qu´une marionnette…dans le pire des cas un garde chiourme au service de ces puissances occidentales. Dans un de mes post, il y a de cela quelques années, je demandais à tort ou à raison si le président Blaise Compaoré était un homme heureux. Bien que je puisse imaginer la réponse à cette question, je laisse le soin à chacun de répondre. Le pouvoir rend aveugle, sinon comment peut-on ne pas prêter une oreille attentive á cette colère populaire qui ne cesse de s´amplifier et insulter ainsi la misère du peuple en persistant pour imposer un sénat avec en sourdine le doux rêve de modifier l´article 37 de la constitution !? Le président Blaise Compaoré malgré les crimes de sang et les crimes économiques avait tout pour réussir. Mais hélas après un quart de siècle de règne, on ne retiendra que ce que cet article décrit clairement.
    Noraogo Stéphane Souly

  • Le 24 juillet 2013 à 01:20, par ED En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    belle analyse.mettons de côté nos intérêts et voyons l’intérêt supérieur de la nation car nous n’avons qu’un seul pays le Burkina faso.un pays où il aura dela place pour tout le monde.

  • Le 24 juillet 2013 à 01:47, par Boueto En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Tout ceux qui ont soutenu blaise. On leur place dans l’enfer je suis sur

  • Le 24 juillet 2013 à 03:46, par Sidkiéta En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Peuple du Faso, assume ton destin et n’accepte plus la dictature. Lève-toi et marche. La Patrie ou la mort, nous vaincrons !

  • Le 24 juillet 2013 à 04:57, par appel à la France En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Dans notre sous région je voix Maky du Sénégal comme médiateur au Burkina car il est sage et représente la jeunesse.mais où est la France qui ne dis rien dans tous ça. ils ont chassé les terroristes au mali mais l’amis des terroriste est là. l’opération serval ne servira à rien si le Burkina n’est pas stable puisque ils auront un territoire toujours.

  • Le 24 juillet 2013 à 05:59, par Tenko En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Vous verrez qu’apres la mise en place effective du Sénat suivie de la ceremonie solennelle d’installation des Sénateurs, tous les mouvements de la rue prendront fin.

  • Le 24 juillet 2013 à 06:35, par Yeswecan En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Moi j’ai longuement reflechi a ce silence de Blaise qui est a mon Avis justifiée. Vous savez il est entouré de crocodiles, de caïmans à longues dents et de profiteurs qui Lui cachent la vérité et ne lui permettent pas d’avoir une bonne lecture du jeu politique et social. Le president n’est pas Le lamda X qui va se promener dans les rues pour être informé et son entourage va tout faire pour Le Lui en empecher. Donc la solution pour Lui c’est garder Le silence pour un temps soit peu pour confronter touts ces griots qui gravitent autour de lui. Le CDP lui dira que tout va bien au faso et pour cela ils vont organizer des marches pour montrer à Blaise que Le pays réel est avec lui quite à depenser des millions de francs pour mobiliser. Guéngueré lui dira qu’il controle l’armée... Donc qu’est ce que vous voulez que Le président fasse ? Qu’il démissionne avec un peuple et une armée acquis à sa faveur ? Jamais....
    La seule alternative pour lui d’être sur que Le peuple Le suit c’est d’ecouter son peuple. Et quand on ecoute on ne parle pas. Maintenant Le peuple est entrain de parler, il a la vraie version. Il pourra maintenant confronter ses énémis qui sont d’autres que son entourage. Je vous dis que Blaise est un fin politicien. Personne ne veut mourir. Qui a t’il confiance maintenant personne....meme pas a son frère. Donc il est seul face à ces truants qui n’hesiteront pas a Le liquider si besoin est. Donc lui aussi il a besoin de se preparer et de preparer sa sortie. Vous verrez il a un plan et il fera sa transition avec l’opposition et fera tomber des tetes de son propre clan.

    • Le 24 juillet 2013 à 11:45, par chevalier En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      si tel est le cas donc blaise ne contrôle et surtout ne dirige rien alors !!. vie t il sur une autre planète ? tu t trompe grave, mon frère.blaise est un mafieux plein de malice pensant être plus fort que le peuple mais son réveil sera très très douloureux.wait and see

  • Le 24 juillet 2013 à 06:42, par eugene En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    le president du fasso est un grand homme il sait prendre des decisions au moment opportun car on ne peux pas faire ce que le president du faso a fait pour son pays pour l’afrique et pourquoi pas le monde et en un mois effacer tout ses efforts là ?il comprendra que c’est une continutée et qu’il poura revenir en 2020 pourquoi pas.que le tout puissant touche nos coeurs merci

  • Le 24 juillet 2013 à 06:45, par Le Bobolais En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Je crois qu’il faut une revolution au Faso mais sans CDR car ces derniers n’etaient que des tueurs a la gachette facile. Il faut un serieux changement surtout du cote de la gestion des biens publics. On ne peut pas tolerer des gens qui detournent l argent du people et qui se croient intelligents et au dessus de tous. je propose que l’on fasse un audit sur les biens des ministers et DG sans oublier Lagui Adama qui se graisse.

  • Le 24 juillet 2013 à 07:11 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Par Ablasse je veux le burkina en paix

  • Le 24 juillet 2013 à 07:28, par Ragommian En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Belle analyse ! Après les mille et une ruses, le règne de notre beau Blaise tire vers sa fin. Que ceux qui rêvent, reviennent à la réalité. Blaise a montré et démontré ce dont il est capable. Il doit, qu’il le veuille ou pas, permettre à un autre enfant terrible de... de nous montrer d’autres façons de gérer le Burkina. Blaise et ceux qui l’entourent, de grâce, permettez-nous d’écouter d’autres chansons.

  • Le 24 juillet 2013 à 08:04, par C2C En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Tuina, NOUS VOULONS L’ALTERNANCE POINT BARRE !!! LE RESTE ON LE RÉGLERA COMME ON PEUT !! SI TOI TU CROIS BLAISE COMPAORE EST UN DIEU C’EST TON PROBLÈME !!

  • Le 24 juillet 2013 à 08:13, par petit papa En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    ça ne fait que commence cher président médiateur de toutes les crises de la sous région tes enfants te demandent dignement de laisse le pouvoir car tu n’es pas la seul fils du pays. si tu t’ en tête c’est bien quelqu’un d’autre qui viendra bien sure faire la médiation cette fois

  • Le 24 juillet 2013 à 08:13, par Sid-Pawalemdé En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Nos osons espérer que SEM Blaise COMPAORE fera jouer une fois de plus son sens de responsabilité et de patriotisme comme il l’a fait de 1980 à 1983, lorsqu’il a su vendre sa vie pour arrêter les abus, jadis vécu de se aînés pour nous éviter la poursuite de la décadence. Il s’en souvient, nous en sommes sûrs. Il a toutes les cartes dans sa mains pour être : 1)-le Madiba du Burkina Faso ; 2)-le Kadhaffi en Lybie qui, en quelques jours, l’a à là où il se trouve et conduit son pays dans un désastre total après plus de 30 ans de règne des faits de la "familiarisation" de son pays. Si nous avons souvenance, alors que son ami Kadhaffi, pris par la puce de l’orgueil se voyait déjà Président de tout un Continent, il avait eu la clairvoyance et la sincère amitié pour celui-ci de demander à ce dernier de laisser tomber son idée d’être "le ROI D’AFRIQUE". Cela lui a valu le refroidissement de leur amitié, mais a eu l’avantage de faire comprendre à ce dernier que lui, Blaise COMPAORE était son dernier et vrai Ami. Cà, nous en sommes sûr, Kadhaffi l’a compris à ses dernières heures, mais c’était déjà bien tard pour lui. Par ailleurs, bien que jeune à l’époque, il doit bien se rappeler de ce qui avait partir le Président Maurice YAMEOGO qui pourtant n’avait pourtant pas eu le temps de faire des conneries, pour, ne pas se laisser piéger par la fibre familiale comme on le constate en ce moment. Que Dieu nous aide et qu’il aide le BURKINA FASO.

    • Le 24 juillet 2013 à 09:29, par Bonbila de Ouahiguiyo En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      les chiens de l’opposition aboient, la caravane de Blaise Compaoré et du développement passe

    • Le 24 juillet 2013 à 10:21, par Wend Zoa En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Ceux qui souhaite le malheur pour le Burkina Faso, recevront le malheur dans leur propre maison, il faux être imbécile pour prédite un malheur a un pays sacré comme le Burkina Faso terre de nos ancêtres.
      Le Burkina Faso est un pays qui a toujours traverse des crises depuis les nuis de temps et depuis des nui des temps le Burkina Faso a toujours eu des solution pacifique a ses propre problème, grâce a dieux et aux mânes de nos ancêtres.

    • Le 24 juillet 2013 à 10:43, par Alert En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Qu’on se le dise, tout ici bas a une fin à commencer par la vie elle-même et Blaise Compaore comme ceux qui avant lui ont eu droit à un long règne finira par partir et le glas a déjà sonné même pour les sourds. Faisons en sorte de ne pas sacrifier le Faso sur l’autel des ambitions aveugles d’hommes malheureux qui ne sont jamais fatigués de ramasser les miettes qu’on leur jette et qui oublient que eux aussi sont nés d’un père et d’une mère.
      Passer toute une vie à être le larbin d’un autre homme fut-il Blaise Compaoré n’a rien de glorifiant et je demande à tous ceux du CDP qui aiment et admirent leur mentor d’avoir un peu plus de dignité et de confiance en eux même et se disent que Si Blaise avait eu ce comportement de facilité il ne serait certainement pas là où il se trouve aujourd’hui.

    • Le 24 juillet 2013 à 10:52, par TAGROU En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

      Par TAGROU
      Je ne peux m’empêcher de rire en lisant les étroits d’esprit qui affirment que dans l’opposition, il n’y a personne qui peut gérer le pays après Blaise.
      Se rappellent-ils seulement des premiers jours du Blaiso au pouvoir. Tout timide, sinon tremblant devant les micros et caméras, incapable de prononcer une bonne phrase. Il a fallu le renfort de certains "experts" pour qu’il prenne un peu d’assurance. Donc, pas d’inquiétude. L’après Blaise sera assurée, et correctement. Quant à tous ceux qui s’excitent comme des clitoris autour de lui, qu’ils sachent qu’ils vont payer pian ! Ils ont fait tuer TOM SANK uniquement parce qu’il les empêchait de manger. Aujourd’hui, les voilà ventrus, dodus et cossus. Eux dont les parents et les arrières parents n’avaient de richesses que quelques coqs. Les voilà à présent propriétaires terriens, actionnaires, fondateurs cachés de nombreuses sociétés. Mais un jour viendra.

  • Le 24 juillet 2013 à 08:31, par article 37 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Le président SENEGALAIS a été vraiment politiquement correct. Lui le SENAT il n’en a pas voulu et Blaise en fait son cheval de bataille, il ne pouvait donc pas le contester publiquement.

    Cependant le président COMPAORE devrait comprendre que c’est absolument aller droit au mur que le président SALL sous entend. A Blaise qui ne parle jamais sur sa succession de nous convaincre.

    De toutes les façons Sall a succédé à Wade qui a succédé à Diouf. Blaise a succédé à Blaise qui a succédé à Blaise qui a succédé à Blaise, ... Maintenant il peut changer de nom comme Ablassé pour que Ablassé puisse succéder à Blaise.

  • Le 24 juillet 2013 à 08:45, par Sérieux En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    C’est étonnant de voir à quel point le rapport de International Crisis Group et le message des évêques se rejoignent. Ils ont fait la même analyse de la situation. Cela signifie que seuls les aveugles refusent de voir qu’ils foncent tout droit dans le mur et nous pauvres Burkinabè avec.

  • Le 24 juillet 2013 à 08:50, par Le Sage. En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Moi j’ai confiance surtout au Président Blaise COMPAORE pour ne pas se représenter en 2015. Sinon, il aura loupé la marche de l’histoire dans notre pays.

  • Le 24 juillet 2013 à 08:51, par GM En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Partira partira pas, et il partira. Il va partir et il partira.

  • Le 24 juillet 2013 à 08:53, par un homme avisé En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Interrogé sur une chaine internationale en 2008 si BC de 1987 était le même que BC de 2008 ; le PF avait répondu "NON". De ce fait, je pense honnêtement que l’homme est prêt a garder son fauteuil quelque soit le prix à payer. Ayant déjà perdu un allié de taille (la communauté catholique et je suis convaincu que d’autre emboiteront le pas), je le vois mal d’entêté pour modifier l’A37 pour se maintenir. Je vois donc deux alternatives qui pourront survenir d’ici 2015 :
    soit un coup de force des marginalisés de la grande muette l’y oblige comme ce fut le cas de notre voisin du pays de l’uranium ;
    Oubien l’homme se fait un auto coup de force comme le fit Lamizana dans les années 1970 : il dissout toutes les institutions et crée un vide qui va durer le temps que la communauté internationale le lâche comme notre voisin parti méditer son sort à la Haye.
    En somme cette histoire de SENA, je pense que c’est pour divertir le peuple. Il ne fait pas ce qu’il pense, il va le mettre en place pour ne pas se sentir rabaisser devant l’opposition et les détracteurs de ce truc-là. Toutes ces institutions (AN, MF, SENA, CES, CSI, CC, ...) seront dissoutes quel que soit l’alternative
    Que le peuple se tienne prêt à supporter plus longtemps que prévu cette dictature !

  • Le 24 juillet 2013 à 08:54, par laplume En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    il faut que nos dirigeants jouent franc jeu maintenant car la prise de conscience du peuple se fait lentement mais surement. si l’incivisme prend d l’ampleur c’est q nos dirigeants ne comprennent que ce langage puisque eux même i ils se comportent ainsi ! ils doivent donc être les premiers à aller à l’école du civisme !

  • Le 24 juillet 2013 à 08:56, par laplume En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    il faut que nos dirigeants jouent franc jeu maintenant car la prise de conscience du peuple se fait lentement mais surement. si l’incivisme prend d l’ampleur c’est q nos dirigeants ne comprennent que ce langage puisque eux même i ils se comportent ainsi ! ils doivent donc être les premiers à aller à l’école du civisme !

  • Le 24 juillet 2013 à 08:57, par laplume En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    il faut que nos dirigeants jouent franc jeu maintenant car la prise de conscience du peuple se fait lentement mais surement. si l’incivisme prend d l’ampleur c’est q nos dirigeants ne comprennent que ce langage puisque eux même ils se comportent ainsi ! ils doivent donc être les premiers à aller à l’école du civisme !

  • Le 24 juillet 2013 à 09:01, par PHEBUS En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    yassimbe, guinnée de konté,)
    - l’absence de justice sociale et de justice judiciaire réelle,
    - l’ extrême pauvreté de la majorité de la population,
    - la culture de la corruption et du clientélisme,
    - l’accaparement de la riche du pays par une petite minorité,
    - l’absence de liberté,
    - etc.
    ces mêmes causes sus-citées sont foison dans notre pays, cultivées et entretenues par un régime vieillissant en manque de repère et de strategies pour développer le BF

  • Le 24 juillet 2013 à 09:21, par Citoyenlamda En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Analyse très pertinente. Effectivement, l’opposition et la société civile devraient s’imposer en faisant des propositions concrètes pour créer les conditions d’un progrès démocratique compatible avec la paix et la stabilité. Ce n’est pas en jetant les jeunes dans la rue que ce progrès démocratique va se réaliser. Il y a un président qui a été démocratiquement élu pour jusqu’à 2015 ! Qu’est ce que l’opposition cherche en mettant les gens dans la rue avant 2015 ? Paralyser le pays et créer le chaos ? En espérant se positionner dans ce chaos ? Ce n’est ni démocratique et encore moins en son avantage. Ce qu’ils oublient est que si le pays brûle, ce ne sera certainement pas sur Blaise compaore et sa famille uniquement. Tous le monde brûlera ! L’opposition devrait apprendre à être plus stratège dans ses méthodes !

  • Le 24 juillet 2013 à 09:22, par Ben Sirac En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Comment peut-on passer 27 ans de son existence à construire un pays, proclamer haut et fort vouloir son bien et ceux de ces citoyens et par la bêtise humaine passer de revers tous ces efforts et sacrifices consentis par les uns et les autres ? Il n’est jamais trop tard pour bien faire !

  • Le 24 juillet 2013 à 09:29, par Citoyenlamda En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Analyse très pertinente. Effectivement, l’opposition et la société civile devraient s’imposer en faisant des propositions concrètes pour créer les conditions d’un progrès démocratique compatible avec la paix et la stabilité. Ce n’est pas en jetant les jeunes dans la rue que ce progrès démocratique va se réaliser. Il y a un président qui a été démocratiquement élu pour jusqu’à 2015 ! Qu’est ce que l’opposition cherche en mettant les gens dans la rue avant 2015 ? Paralyser le pays et créer le chaos ? En espérant se positionner dans ce chaos ? Ce n’est ni démocratique et encore moins en son avantage. Ce qu’ils oublient est que si le pays brûle, ce ne sera certainement pas sur Blaise compaore et sa famille uniquement. Tous le monde brûlera ! L’opposition devrait apprendre à être plus stratège dans ses méthodes !

  • Le 24 juillet 2013 à 09:31, par robert menar En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    urgent !! ils ont coupé RFI ce matin à 8h27 parce que l’appelle sur l’actualité était sur le SENAT au Burkina. C’est encore Alain .

  • Le 24 juillet 2013 à 09:39, par article 37 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Le président SENEGALAIS a été vraiment politiquement correct. Lui le SENAT il n’en a pas voulu et Blaise en fait son cheval de bataille, il ne pouvait donc pas le contester publiquement.

    Cependant le président COMPAORE devrait comprendre que c’est absolument aller droit au mur que le président SALL sous entend. A Blaise qui ne parle jamais sur sa succession de nous convaincre.

    De toutes les façons Sall a succédé à Wade qui a succédé à Diouf. Blaise a succédé à Blaise qui a succédé à Blaise qui a succédé à Blaise, ... Maintenant il peut changer de nom comme Ablassé pour que Ablassé puisse succéder à Blaise.

  • Le 24 juillet 2013 à 09:41, par Subtance Grise En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Bien dit. C’est tout ca le probleme de la communaute internationale.
    Vous laissez les choses s’empirer dans les pays africains pour ensuite jouer aux eclaireurs et aux pompiers. Regardez toute l’Afrique framcophone comment elle se porte male. La premiere personne a accuser c’est bien la France qui au nom de ses interets contribue a l’assise des longs regimes pour mieux exploiter nos ressources. On n’a pas besoin de plusieurs siecles pour appliquer la bonne gouvernance. Avec l’histoire Blaise doit s’en prendre a la France de l’avoir conduit dans ce gouffre. C’est la France qui fait et defait tout a travers nos hommes politiques et les peuples en sont victimes. Quel monde de faux.

  • Le 24 juillet 2013 à 09:59, par Paspanga En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    J’apprécie la clairvoyance et la justesse de cet article. Il est bon de rappeler que le Président Compaoré a toujours su trouve en temps opportun des solutions idoines et durables à nos difficultés socio-économique. Je reste convaincu que le Président Compaoré saura trouver une sortie honorable qu’il proposera au peuple burkinabè d’ici à 2015.
    Soyons patients et juste ! Tout arrivera à qui sait attendre !

  • Le 24 juillet 2013 à 10:51, par Blaise n’est pas dieu du burkina. En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Regardons bien la photo de Blaiso,ici il n’est pas le vrai Blaiso.Le diable du 15 octobre est revenu en puissance dans son corps. Seule la prière et nos engagements pouront nous sauver. peuple du burkina faso sortons tous le 28 juillet pour dire cet diable qu’il n’aura plus la victoire sur nous.Courage nous allons le chasser ,l’heure de la verité a sonné.

  • Le 24 juillet 2013 à 10:58, par GM En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    J’ai l’impression que l’émission ’’Appel sur l’actualité’’ de Yoan GOMEZ de ce matin a été censuré au Burkina Faso. J’ai fait un tour sur le site de RFI, mon étonnement est grand. Il est impossible de l’écouter où il est mentionné ’’PROCHAIINEMENT’’.

  • Le 24 juillet 2013 à 11:10, par la verité En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    le burkina faso ne sera pas le togo ni le gabon nous allons lutter pour que cela n aririve pas .

  • Le 24 juillet 2013 à 11:35, par steliste En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Blaiso voyez comment celui qui est arêté derrière vous vous regarde lui même sait que l heure est graaaaaaaaaaaaaaaaave

  • Le 24 juillet 2013 à 12:17, par anta En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Quand Blaise prenait le pouvoir en 1987 dans le sang, il n’était pas une sommité politique, mais un stratège sanguinaire. Il y a beaucoup de démocrates au Burkina qui pourront réparer ce qu’il a détruit. La France et le Etats-Unis doivent se démarquer de lui pour ne pas créer un nouveau RDC, une nouvelle Somalie, parce que, nous les cabris morts sommes prêts à pactiser même avec Mochktar Belmochktar, pourvu qu’il débarrasse le plancher avec sa horde de prédateurs.S’il s’entête à rester au terme de son mandat, les Etats Unis et la France seront obligés de compter le Burkina Faso au rang des états terroristes parce que nous allons les considérer comme complices de Blaise Compaoré et aucun blanc ne sera plus en sécurité dans nos contrées.

  • Le 24 juillet 2013 à 13:55, par boubakr En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    juste pour dire que si l’on n’est capable de liquider son temoin de mariage, son ami personnel, son homme de confiance (repose en paix THOMAS SANKARA ), ce n’est pas ceux qu’il ne connait pas , ceux à qui il avait menti et continu de leur mentir qu’il ne va pas bombarder.
    je vous prend à témoin blaise compaore bombardera sa population.
    C’est le moment pour l’armée, cette armée qui à tant protéger ce régime de prendre ses responsabilités et de choisir son camp.
    la constitution est la loi fondamentale pour qui tous les burkinabès doivent se soumettre sauf si lui blaise n’est pas burkinabè.

  • Le 24 juillet 2013 à 14:14, par mike En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    c’est vraiment pitoyable de voir tous ces gens qui selon eux aime leur cher pays le Burkina Faso !!!vivement que nous passons cette transition sans guerre civile !!
    Regardez nos chers voisins comment ils souffrent

  • Le 24 juillet 2013 à 14:28, par Lerévolté En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    "Toute chose n’est pas juste parce qu’elle est loi, mais doit être loi par ce qu’elle est Juste" Montaigne.
    Triste pour ces faux intellectuels criminels. Chers compatriotes, si on se laisse faire, on se fera assassiné par ces vampires. Si on laisse faire, qu’est ce que nos enfants diront de nous après nous ? sûrement d’avoir été laxistes ou des lâches. Déjà que nous regrettons un peu d’avoir écouté nos pères et ainsi encouragés ou favorisés la propagande de ces oiseaux de mauvais augures.
    Je regrette d’avoir écouté ces faux sages,qui aujourd’hui, soutiennent le Sénat ou cherche à siéger dans ce foutu sénat, pour le malheur du Burkina Faso.
    A cette allure, je peux vous assurez que même les bénédictions de nos parents ne pourront nous aider si on se croise les bras pour attendre.
    Je suis sûr qu’un jour viendra où on écoutera plus, mais on agira comme on l’entend peu importe les conséquences qui surviendront....fin de citation.

  • Le 24 juillet 2013 à 14:36, par FierD’etreAigri En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    "L’opposition est divisée, sans ressources humaines et financières suffisantes ou trop jeune pour prendre à court terme la relève et aucun des cadres du parti présidentiel ne s’impose comme potentiel successeur incontesté" Dans un système de multipartisme REEL, le but n’est pas d’être d’accord sur tout fut-ce dans l’opposition. C’est la capacité des partis d’opposition à créer des jeux d’alliances stratégiques au bon moment qui compte. La dynamique s’installe. L’opposition manque de ressources financières, oui. De ressources humaines, non ! En 27 ans, une bonne partie de l’intelligentsia a eu le temps de se compromettre par manque de courage ou par avidité. Le Burkina compte heureusement encore des intellectuels compétents restés loin de la compaorose.
    Ceux-là même s’ils ne sont pas affiliés à une chapelle travailleront au nom du bien commun : le Faso. L’alternance n’est plus une option, c’est un impératif

  • Le 24 juillet 2013 à 15:00, par THOT En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Bonjour, je vais vous faire une devinette. Qui a voulu modifier la CONSTITUTION du BF et où est-il à ce jour ? Ah ! mauvaise devinette. Je dis bien une mauvaise devinette. Le Burkinabè n’aime pas son pays, vrai ou faux. Blaise est le seul qui aime le Burkina. C’est pourquoi, il veut rester Président à vie. Ah ! non, il ne vas pas modifier l’article 37 car il n’aimerai pas partager la même couche que Bagbo. Eh ! sacré Président du Burkina, je reciterai ceci avant de me coucher " je ne toucherai pas à l’article 37 car j’aime ma fille, ma femme, mon frère et tous les burkinabè.

  • Le 24 juillet 2013 à 15:15, par brigadier En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Pour ceux qui n’ont pas encore compris ,ils seront surpris comme d’habitude ,l’instauration du senat est une diversion ,soyez rassurés l’article 37 ne sera pas modifiée comme le pensent certains ,je suis certain que le président COMPAORE ne se pas candidat en 2015,l’opposition fera mieux de se preparer pour trouver un candidat serieux ,credible et consensuel au lieu de se focaliser sur le senat et l’article 37.Il y’aura bel et bien une transition politique en 2015 mais cependant ne vous attendez pas une alternance car le CDP dirigera toujours le pays si l’opposition ne se reveille pas .Que Dieu benisse notre beau pays et unifie tous ses enfants du Faso

  • Le 24 juillet 2013 à 19:48, par Relanceurdedebat En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Vive blaise. mon cousin est sur liste. Je suis sauvé. La somme des bonheurs individuels fait le bonheur du BF.

  • Le 25 juillet 2013 à 07:54, par Jagger En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Que le Ministre de communication nous dise qui a coupe le jus lors de l’emission de RFI concernant le debat sur le SENAT au Burkina. Un pays qui se dit democratique et dans lequel le peuple n’a pas droit a l’information. Sachez aujourdhui qu’il ya tellement de cannaux d’information que c’est peine perdu de chercher a museler l’info de cette maniere. Ceux qui sont en mesure de s’informer sur la radio RFI peuvent s’informer via d’autres cannaux. Ne vous en faites pas, le train a demarrer et a deja atteint la vitesse de non retour. Il n’ya plus seulement que la chute comme alterantive.

  • Le 25 juillet 2013 à 07:57, par le Gounter zougabondo En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    s’il vous plait les gars les choses iront bien pour le Burkina Faso. restons pacifique au lieu de s’acharner les uns contre les autres.
    peace

  • Le 25 juillet 2013 à 08:17 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    ça sera avec BLAISE COMPAORE et ça c’est une certitude

  • Le 25 juillet 2013 à 20:07 En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Parler,crier,pleurer,est lâche.Seul le silence est grand.

  • Le 26 juillet 2013 à 11:27, par yirmetba En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    Bonjour à toutes et tous,
    Nous parlons bien évidemment de notre cher Faso je pense. CD Piste ou non, il est urgent que la paix reste la vraie chose qui nous reste ; regardons ce qui se passe autour de nous.
    Blaise, tes compatriotes de l’extérieur te font confiance pour la suite des évènements. Le Faso que tu a mis toutes tes forces à construire t’écoute. Sache mon frère que le moment est venu pour qu’enfin le Blaise qu’on a salit fasse comprendre à beaucoup sinon à tous que tu restera le grand homme par le courage de tes décisions et la première responsabilité que tu endossera le moment venu. Vous êtes encore le Président de mon pays et sur ceux, je vous adresse mes meilleures salutations

  • Le 26 juillet 2013 à 13:15, par soumis En réponse à : Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes

    les américains change de président chaque 4 ans, et ce que un président américain accomplit en 8 ans les nôtres n’accomplissent pas en 25 ans, le burkinabe a la tete baissé aujourd’hui

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