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Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

Publié le lundi 13 mai 2013 à 23h37min

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Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

Une fois encore, et à son corps défendant, l’ASCE se voit contrainte de se libérer de l’obligation de réserve à laquelle elle est astreinte comme bien d’autres institutions de la République, et d’exercer son droit de réponse, ceci, suite à l’interview accordée dans sa parution en ligne du jeudi 25 avril 2013 par « lefaso.net » aux sieurs Yves Millogo et Jean-Baptiste Oualian, respectivement secrétaire général et secrétaire à la formation politique et civique de la section France du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP), et dans laquelle il est entre autres question de l’ASCE et de ce qu’il est désormais convenu d’appeler « l’affaire Paré Joseph ».

Entre autres griefs, ces individus reprochent à l’ASCE d’avoir cité le nom du seul Paré Joseph dans son rapport général annuel d’activités 2011, de n’avoir pas respecté les procédures de contrôle, et d’avoir diffusé le rapport de contrôle dans les médias.

Au regard des critiques infondées tenues dans cette interview par ces individus qui n’ont d’autres objectifs que de ternir l’image de l’ASCE, contester son travail, amoindrir son efficacité, et au-delà jeter le discrédit sur ses animateurs en mettant en doute leurs compétences techniques, leur indépendance et leur objectivité, il est plus qu’impérieux de porter la réplique pour éclairer l’opinion publique sur le sujet et défendre l’honneur de cette institution que tant admirent au regard des nombreux voyages d’études reçus pour s’enquérir de son expérience ; sur recommandations le plus souvent d’institutions spécialisées dans la gouvernance.

Mais avant cela, il n’est pas superfétatoire de faire un bref rappel des missions et du contexte de création de l’ASCE.

Le Gouvernement du Burkina Faso ayant affirmé sa ferme volonté de promouvoir un développement harmonieux et durable dans le cadre de sa stratégie de lutte contre la pauvreté, a entrepris différentes actions en vue d’améliorer la gouvernance et de renforcer le système de gestion de l’Administration publique en optant pour une lutte efficace contre la corruption et le renforcement de la gestion des finances publiques. Ainsi, la lutte pour la bonne gouvernance est devenue une préoccupation de tous les acteurs du développement et constitue un facteur déterminant dans la mise en œuvre des stratégies de développement.

Le Gouvernement du Burkina Faso qui a fait œuvre de pionnier en adoptant en octobre 1998, un plan national de bonne gouvernance dont les enseignements ont servi à l’élaboration de la politique nationale de bonne gouvernance (PNBG), s’est alors doté d’un dispositif juridique et institutionnel de bonne gouvernance dans lequel l’ASCE apparait comme un acteur majeur, dans le contrôle de gestion des deniers publics et dans la lutte contre la corruption, et le renforcement des mesures coercitives de lutte contre l’impunité dans l’administration publique et les affaires économiques.

QUEL EST LE MANDAT DE L’ASCE ?

L’ASCE est un organe de contrôle de l’ordre administratif, né de la fusion des attributions de trois structures de contrôle qu’étaient la Haute Autorité de Coordination de la Lutte contre la Corruption (HACLC), l’Inspection Générale d’Etat (IGE) et la Coordination Nationale de Lutte contre la Fraude (CNLF).

L’ASCE est principalement chargée de :
- contrôler l’observation des textes législatifs et réglementaires qui régissent le fonctionnement administratif, financier et comptable dans tous les services publics de l’Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics ;
- mener des investigations sur les pratiques de délinquances économiques et de corruption au sein de l’administration concernant les personnes physiques et les personnes morales de droit privé ;
- suivre la mise en œuvre de ses recommandations et des recommandations des autres corps de contrôle de 1’Etat ;
- saisir la justice de toute infraction commise par les services publics de l’Etat, des collectivités territoriales, des établissements publics et de tout organisme national investi de mission de service public, aux textes législatifs et réglementaires qui en régissent le fonctionnement administratif, financier et comptable et de suivre les procédures en justice y afférentes tout au long de leur déroulement ;
- assurer le suivi de la mise en œuvre des politiques nationales de lutte contre la corruption, ainsi que la coordination des actions menées dans ce cadre.

L’ASCE est également chargée d’assurer la coordination technique de l’ensemble des organes de contrôle administratif et reçoit copie de tous les rapports établis par les organes de contrôle internes des départements ministériels, des institutions et des autres corps de contrôle.

Elle peut être chargée par le Chef de l’Etat et le Chef du Gouvernement de toute étude ou enquête quel qu’en soit l’objet.
Elle peut se saisir de tout cas de manquements aux textes législatifs, règlementaires et des instructions administratives régissant le fonctionnement administratif, financier et comptable relevés dans tous les services publics de l’Etat, les collectivités territoriales, les établissements publics et dans tout organisme national investi de mission de service public.

L’ASCE couvre donc un champ très large lui permettant d’intervenir dans l’ensemble des structures bénéficiant du concours financier de l’Etat (subvention ou exonérations fiscales et/ou douanières) à un titre quelconque. Ses missions de contrôle sont inopinées et sont exécutées par des Contrôleurs d’Etat qui ont prêté serment devant la Cour de Cassation, la plus haute instance judiciaire du Burkina Faso et qui ont fait la déclaration de leurs biens auprès du Conseil constitutionnel.
Leur profession est régie par le décret n°2008-342/PRES/PM/MFPRE/MEF du 24 juin 2008 portant organisation de l’emploi spécifique de l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat.

En fin, ils sont soumis à un code de déontologie et aux normes de la pratique professionnelle du contrôle (Inspirées des normes et des codes de déontologies de l’IIA, l’IFAC et l’INTOSAI).

QUID DE LA MISSION DE CONTROLE DU MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE, SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (MESSRS)

Le contrôle doit se comprendre comme un pouvoir actif qui permet de s’assurer du fonctionnement régulier des services et éventuellement de détecter des pratiques corruptives et autres délinquances financières, faire des recommandations et proposer des sanctions.

En ce qui concerne le Ministère des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique, tout commence par une dénonciation. En effet, suite au contrôle de plusieurs établissements d’enseignement secondaire, il a été constaté le refus de reversement de la part des frais d’inscription revenant au Ministère. Interrogés sur cette situation, les chefs d’établissement l’ont justifiée par des présomptions de détournement de ces fonds par le Ministère.

Pour confirmer ou infirmer ces allégations, le Contrôleur général d’Etat a décidé de diligenter une mission. C’est ainsi que le 02 avril 2010, par la lettre n°10 -225/PM/ASCE/SG, Monsieur le Contrôleur Général d’Etat (CGE) informait Monsieur le Ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique en l’occurrence monsieur Paré Joseph, de ce que dans le cadre de l’exécution du programme d’activités de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat, une équipe de contrôleurs d’Etat effectuera une mission de contrôle et de vérification de la Direction de l’Administration et des Finances (DAF) du Ministère.

Dans sa lettre, Monsieur le Contrôleur Général d’Etat demandait au Ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique de prendre toutes les dispositions utiles pour faciliter l’accès illimité des Contrôleurs d’Etat à tous les documents et assurer une totale disponibilité de ses collaborateurs, particulièrement du personnel de la DAF, vis-à-vis de la mission de contrôle et de vérification.

Le rapport provisoire de mission de contrôle de la gestion des fonds de reversements des frais d’inscription de la mission de contrôle fut transmis à Monsieur le Ministre des Enseignements Secondaire et Supérieur, par lettre n°11– 843/PM/ASCE/CAB/CONF du 18 novembre 2011. Dans cette lettre Monsieur le Contrôleur Général d’Etat lui demandait de bien vouloir recueillir et de lui faire parvenir, les réactions des personnes impliquées dans la gestion ou ayant bénéficié desdits fonds, sur les conclusions du rapport ; et que « conformément aux dispositions de l’article 26 du décret n°2008 -160/PRES/PM du 8 avril 2008 portant organisation et fonctionnement de l’ASCE, les intéressés disposent d’un délai maximum d’un mois pour me faire parvenir leurs réactions. »

En tête de ces personnes (huit au total) citées nommément dans cette lettre confidentielle, figurait Monsieur Paré Joseph Ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique au moment du contrôle.

La réaction du ministère, signée de son DAF, parviendra à l’ASCE par la lettre n°109/MESS/SG/DAF du 16/12/2011. Dans cette lettre, plutôt que de répondre objectivement aux constats faits sur le caractère flou, vague et suspect de certains documents et sur les manquements relevés - comme par exemple les financements accordés pour la participation à la construction d’une mosquée et d’une église ; les paiement en espèce de plusieurs millions de francs CFA à des garagistes sans adresse, sans factures pour des véhicules non identifiés ; la prise en charge de nombreuses missions sans ordre de missions, les largesses et autres appuis accordées au ministre, à ses proches collaborateurs et à des personnes tierces etc., sur le compte des fonds de reversements des frais d’inscription - le DAF et le régisseur des recettes ont préféré nier l’évidence en des termes souvent arrogants et peu empreints de courtoisie.

L’analyse de cette réaction a été faite par la lettre n°12-335/PM/ASCE/CAB du 18 juin 2012 de Monsieur le Contrôleur Général d’Etat à Monsieur le Ministre des Enseignement Secondaire et Supérieur et par laquelle il lui transmettait la version finale du rapport de contrôle de la gestion des fonds de reversements des frais d’inscription.

Et c’est seulement le 16 août 2012 (après donc publication du rapport général annuel d’activités 2011), que Monsieur le Contrôleur Général d’Etat recevra une lettre sans date tenant lieu de réaction du désormais ex-ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique Monsieur Paré Joseph au rapport général annuel d’activités 2011 de l’ASCE et concernant le rapport de contrôle de la DAF du Ministère des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Ce qui a suscité la lettre n°12 -426 PM/ASCE/CAB du 17 août 2012 de Monsieur le Contrôleur Général d’Etat à Monsieur Paré Joseph, ex-Ministre des Enseignements Secondaire, Supérieur, et de la Recherche Scientifique, lui rappelant que conformément à l’article 26 du décret n°2008-160/PRES/PM du 08 avril 2008, portant organisation et fonctionnement de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat, il lui avait transmis par lettre n °11 -843/PM/ASCE/CAB/CONF du 18 novembre 2011, pour réaction dans un délai d’un mois le rapport de contrôle et de vérification de la Direction de l’administration et des finances du Ministère des enseignements secondaire, supérieur et de la recherche scientifique (DAF-MESSRS).

Ce courrier rappelait aussi qu’il avait été demandé de recueillir les réactions des personnes impliquées dans la gestion ou ayant bénéficié desdits fonds, sur les conclusions du rapport.

La suite avait été communiquée, rappelons le, au Contrôleur Général d’Etat par lettre n°109/MESS/SG/DAF du 16/12/2011. Et c’est suite à l’analyse de cette réaction que la mission a rédigé le rapport final dont le résumé figure dans le rapport général annuel d’activités 2011 de l’ASCE.
On est donc étonné que l’ex-ministre Paré Joseph qui était au courant d’une mission de contrôle et de vérification dans sa DAF ait attendu près d’une année et demie (au lieu d’un mois) pour réagir à ce rapport transmis en novembre 2011, avant de venir se présenter en victime expiatoire de l’ASCE comme si l’institution avait quelque chose contre sa personne. Un adage public ne dit-il pas que le mensonge peut porter des fleurs mais jamais ne produit des fruits ?

Tels sont donc les faits, et avant de vociférer sur l’ASCE, les sieurs Millogo et Oualian devraient au moins commencer par cette chose simple : lire la loi n°032-2007/AN du 29 novembre 2007, portant création, attributions, composition et fonctionnement d’une Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat, pour connaitre l’institution, et lire ensuite le Rapport Général Annuel d’Activités 2011 de l’ASCE où nulle part, le nom de Monsieur Paré Joseph n’est cité. L’ASCE ne contrôle pas les individus, mais les institutions ou les services. Elle est cependant dans l’obligation de situer les responsabilités, sans parti pris.

C’est le sens de l’instruction donnée par Son Excellence Monsieur le Président du Faso, lors de son adresse à la Nation le 31 décembre 2007 ; je cite : « J’encourage les autorités de veille et de contrôle à s’assumer pleinement. Notre Administration doit se moderniser profondément et gagner au quotidien le pari de la rigueur, de la transparence et de l’efficacité ». Fin de citation.

DE LA DIFFUSION DU RAPPORT DE CONTROLE DANS LES MEDIAS

En application de la loi n°032-2007/AN du 29 novembre 2007 portant création, attributions, composition et fonctionnement d’une Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE), « Le Contrôleur Général d’Etat adresse au Président du Faso un rapport général annuel d’activités avec copie au Premier Ministre et au Président de l’Assemblée Nationale. Ce rapport est rendu public ». L’ASCE ne publie donc pas de rapports de contrôle, mais plutôt, le rapport général annuel d’activités.

Mais il est loisible d’imaginer que les fuites peuvent venir des personnes « épinglées » par le contrôle, toutes étant destinataires du pré-rapport. Dans le cas présent, huit (08) personnes étaient concernées et chacune en lisant le rapport savait ce qui était reproché aux autres.
Du reste, ce n’est pas la première fois que des médias publient les éléments d’un rapport de contrôle de l’ASCE.

LE FAIT QUE LA MISSION DE CONTROLE N’AURAIT PAS ENTENDU MONSIEUR JOSEPH PARE

Il n’appartient pas aux personnes concernées par le contrôle (dont monsieur Paré), encore moins à ses porte-voix (messieurs Millogo et Oualian), de déterminer les techniques que les contrôleurs doivent mettre en œuvre pour conduire leurs enquêtes en toute indépendance. Les contrôleurs mènent leurs investigations en toute objectivité, conformément au serment qu’ils ont prononcé avant d’entrer en fonction et dans le respect des normes internationales et des bonnes pratiques de contrôle.

Les constats faits sont fondés sur les textes législatifs et réglementaires, ainsi que sur les pièces (annexées au rapport) et faits probants ; ne laissant aucune place au sentiment, à la partialité ou à un acharnement quelconque contre les personnes dont les entités sont contrôlées. C’est d’ailleurs dans le souci de l’objectivité, de la transparence et du contrôle contradictoire (qui associe le gestionnaire contrôlé) qu’une copie du projet de rapport a été transmise à chacun des huit personnes concernées, afin qu’elles puissent contredire, au besoin, avec preuves à l’appui, les observations qui leur ont été faites.

Pourquoi celui qui se plaint de n’avoir pas été entendu, n’a-t-il pas saisi l’opportunité qui lui a été offerte de réagir au projet de rapport ? En fait, qu’aurait pu bien changer l’entretien avec monsieur Paré ? Des constatations faites sur la base de pièces comptables ? Le faux arrêté signé par lui à dessein et détecté par les contrôleurs ? Cela ressemblerait bien à une négociation, chose qui ne sied pas dans le cadre d’un contrôle de régularité.

En tout état de cause, les principaux gestionnaires du fonds que sont le DAF et le régisseur ont été entendus et les procès verbaux y relatifs ont été joints au rapport. Si les deux ministres n’ont pas été entendus, c’est parce qu’ils n’ont pas pu (ou voulu) dégager un temps de leur agenda pour recevoir les contrôleurs. Ils auraient pu rattraper cela en exploitant judicieusement le rapport provisoire qui leur a été soumis pour assurer leur défense.

Monsieur Millogo affirme que monsieur Paré a « demandé à trois reprises des rendez-vous avec l’ASCE et qu’elle n’est pas venue ». Si tel était le cas, pourquoi monsieur Paré n’a-t-il pas saisi le Contrôleur Général d’Etat de qui relèvent les contrôleurs en mission dont on connait la totale affabilité ?

D’ailleurs, le fait que le DAF et le régisseur aient pris ou accepté la responsabilité de répondre à eux seuls à la place de tous les mis en cause dans le rapport peut révéler une stratégie tendant à protéger ou à blanchir le premier responsable du département.

Qu’à cela ne tienne ! En tout cas, le soin laissé au DAF et au régisseur de répondre se sont révélé une stratégie de défense erronée. A qui la faute ? L’on ne peut pas se prévaloir de sa propre turpitude dit-on !
Les sieurs Millogo et Oualian ont perdu une bonne occasion de se taire en parlant de ce qu’ils ne savent pas !

L’ASCE continuera à faire son travail dans les règles de l’art, tout en demeurant convaincu qu’en conjuguant les efforts, l’on pourra changer les mœurs économiques et administratives, et positiver progressivement les comportements de l’ensemble de la population pour l’ancrage d’une bonne gouvernance qui, comme l’a affirmé le 30 janvier 2013, le Chef du gouvernement dans sa Déclaration de Politique Générale, passe « par une culture de la responsabilité, de l’imputabilité, de la discipline, de la rigueur et de la transparence. Cette culture doit être portée par tous ».

La Direction de la documentation,
de l’informatique et de la communication
(DDIC)

Lire aussi Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »

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Vos commentaires

  • Le 13 mai 2013 à 13:00, par abdoul rahim En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    C’est propre, il n’ya rien à dire !

    • Le 15 mai 2013 à 02:27, par Redoux En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      N’oublions toutefois pas qu’en novembre 2011, M. Paré était déjà à Paris comme ambassadeur. Alors, de qui parle l’ASCE lorsqu’il dit que le MESS a reçu le fameux pré-rapport en novembre 2011 ? L’ASCE peut-il jurer que ce pre-rapport soit parvenu en son temps à M. Paré à Paris à forte raison qu’il ait eu l’intention de se laisser couvrir par le DAF ? Réfléchissons bien et soyons très attentif à ne pas faire de confusion : M. Paré dit n’avoir pas vu ce pré-rapport (et cela est tout à fait plausible puisqu’il n’était plus là) même si le MESS de l’époque (NOVEMBRE 2011) l’a peut-être reçu. Dans ce que dit l’asce ici MESS ne signifie pas toujours M. Paré !!!

  • Le 13 mai 2013 à 13:14 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    c’est chaud dèh ! N’oublie pas les gombos aussi de la belle mère national et de son gendre. Là on saura vraiment que vous êtes forts.

  • Le 13 mai 2013 à 13:16, par zas En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Merci beaucoup à l’ASCE pour cette lumière, seulement qu’elle est venue un peu tard mais mieux vaut tard que jamais. Ce droit de réponse aurait pu être donné depuis longtemps à non seulement aux sieurs Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN mais aussi à un certain Dr qui vit en France et qui avait en son temps tenus presque que les mêmes propos que les sieurs ci-dessus cités,et je pense qu’ils tiennent leurs affirmations et verbiages de cet écrit d’alors, et je me sentais frustré par tous les noms d’oiseaux qu’on attribuait à l’ASCE. Maintenant tout est claire .Que Monsieur Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN sachent où rentrer avec leur honte. Si le ridicule tuait, mes condoléances ! Comment des individus isolés peuvent se livrer à de tels propos de surcroit médiatisés comme s’ ils ont plus de compétences ou s’ils étaient des experts plus que ceux à qui on a assigné cette tache dans l’ASCE. Même si n’avez pas honte pour vous mêmes à cause de vos femmes et de vos enfants taisez-vous SVP ! Du n’importe quoi !
    Vive l’ASCE

    • Le 13 mai 2013 à 18:07, par OUBIEN ? En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      je pense également que ce droit de réponse arrive tard parce qu’on peut penser que c’est parce que PARE a été rappelé que l’ASCE s’empresse pour publier ce droit de réponse.En effet,avant ces deux messieurs du CDP,maitre KERE avocat en France avait publié une tribune sur lefasonet pour défendre PARE et l’ASCE n’a pas répondu

      • Le 14 mai 2013 à 14:04 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

        OUBIEN, il reste le fond du dossier devant le juge qui va se saisir de ce dossier et la réponse de l’ASCE aux deux va-nu-pied du CDP ne consacre pas la culpabilité de Monsieur PARE. Tout ce que Me Kéré de France a dit sur les irrégularités du contrôle de M. PARE demeure intacte comme le droit de réponse de l’ASCE qui est impeccable. Il faut distinguer cas par cas. Et quelle que soit la juridiction qui sera saisie, chacun de vous sera surpris par l’innocence même de Monsieur Joseph PARE. Ne soyez pas pressé. Ou bien ? Est-ce que vous avez commenté l’affaire de M. Guiro où les deux cantines visibles ont parlé ? Ou bien ? Ne prenez pas vos vessies pour des lanternes. Merde.

  • Le 13 mai 2013 à 14:01, par G.S En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Une reponse on ne peut plus claire.

  • Le 13 mai 2013 à 14:03, par sidwaya En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    C’est triste,
    je constate que les gens veulent très souvent une chose et son contraire.
    Comment voulez qu’on sonne la sonnette d’alarme pour la question de la corruption qui aurait atteint des records incroyables au faso.
    L’ASCE essaie autant que faire se peut de mener une traque contre le employés de l’état indélicats qui confondent souvent les caisses de l’état avec leurs propres poches ou qui par négligence conduisent à une mauvaise gestion des biens publics.
    Elle le fait d’ailleurs avec brio malgré tout cela implique comme charge psychologique de se voir indexée, à tort, comme une coalition de personnes chargée de gâter le travail de certains burkinabé.
    BON VENT A L’ASCE !
    Yves MILLOGO et Jean Baptiste OUALIAN c’est la mauvaise graine dont le CDP doit se séparer car ils ne font pas honneur à un parti qui sensé nous diriger sauf si c’est la vision du parti et là il faudrait se poser des questions.
    carton rouges à ces deux militants du CDP !
    Il y a un autre carton rouge pendant pour le CDP lui même,
    Si le CDP les soutient il y’ aura le troisième carton contre le CDP mais s’il ne partage pas l’opinion de ses deux militants c’est que le 3ième carton rouge tombe.

  • Le 13 mai 2013 à 14:19, par indjaba En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    L’ ASCE est entrain de décevoir Blaise. Blaise l’a créé croyant distraire les Burkinabè avec sa Nnième commission ou institution inutilement budgétivore. Mais là l’ASCE est entrain de l’étonner désagréablement en fouillant top loin dans son régime et en publiant surtout des résultats qui sont en en réalité des pratiques entretenues depuis 1987. Si Blaise doit encore faire 5 ans au pouvoir, il fera de la rectification. Il supprimera l’ASCE pour soit disant créer une autre institution "plus forte" pour lutter pour la bonne gouvernance et contre la corruption. Dans cette nouvelle institution, Blaise mettra des gens proches qui fouilleront les DAF mais qui feront semblant de ne pas voir. Mieux, ces gens refuseront de publier ce qu’ils auront vu. Ce qui illustre mes propos, c’est le fait que depuis 2007, aucune personne incriminée par les structures de contrôle de l’Etat n’est passée devant un tribunal. Tous les dossiers à justice concernant des hauts fonctionnaires militants CDP sont suspendus ou en cours (ancien maire de Koudougou, ancienne maire de Boulmiougou, ancien DG douane, ancien MERSS, etc etc). Même le cas le plus flagrant de Guiro n’a pas échappé à cette règle. La volonté politique pour lutter contre la corruption est très faible.

  • Le 13 mai 2013 à 14:28, par yassuma En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Merci à l’ASCE pour cet écrit. Au delà du droit de érponse, j’ai compris comment fonctionne cette institution.. C’est bien !! courage

  • Le 13 mai 2013 à 14:30, par Conscience du Faso En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Clair comme eau de roche, ce droit de reponse. Plus rien ne sera comme avant. Le Big Boss se cherche et ne tient plus à couvrir personne dans sa mauvaise gestion des affaires publiques. Aussi, il ne tient plus à interferer dans le travail de l’ASCE. Tous ceux qui ont bouffé les sous de l’Etat, commencez par vous preparer à rembourser pour alléger le nombre de mois ou années à faire à la MACO. Je connais un Boss de l’Action Sociale qui a dû bouffer sans refléchir (pas moins de 50 millions). Aujourd’hui, il refléchit sur comment rembourser à la MACO. L’heure de repondre aux malversations financières a sonné. Bientôt l’heure des malversations tortionnaires, sanguines, mortelles va sonner. Notre Cher Faso renaitra, Inch Allah !!

  • Le 13 mai 2013 à 14:47, par TINGBIIGA En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    ET APRES ON FAIT QUOI DES RAPPORT SANS SANCTION LOL POUR FAIRE DES RAPPORT ET REPONDRE A DES ILLUSTRE INCONUES ASCE EST TRES FORTE MAIS POUR DES SANCTIONS LA C’EST AUTRE CHOSE

  • Le 13 mai 2013 à 14:56, par prennez de la hauteur En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Je pense que l’ASCE doit éviter ce genre de réaction épidermique, si chaque fois qu’on la critique elle doit sortir pour régler ses compte je pense que cela n’est pas l’attitude d’une institution responsable

    • Le 13 mai 2013 à 16:41 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Désolé M. PRENEZ DE LA HAUTEUR, mais ce qui est dit là n’est pas une réponse épidermique comme vous le prétendez. Cela ressemble plutôt à une explication de texte. Cette sortie a permis à des gens de connaitre mieux l’institution et ses activités. Ce sont de braves gens qui y travaillent. Merci !

      • Le 14 mai 2013 à 20:15, par ABASLESNUISIBLES En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

        Tout à fait d’accord ! Au delà du droit de réponse c le fonctionnement d’une institution que l’on découvre !
        L’ASCE se dit traquer les félonies mais il est bien dommage que le seul fait marquant soit réduit en la personne de Paré Joseph.
        Il faut bien commencer quelque part me direz-vous, j crois bien que ces "dénonciations" ont été guidées pour faire bruler un homme de paille !
        Je salue certes la transparence apparente de l’ASCE mais que cette transparence ne soit pas un mirage pour nous berner - que dis-je - la crise de confiance est déjà consommée et défecquée !

  • Le 13 mai 2013 à 15:03, par ASCE une pie En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    pour l’ASCE les auteurs de l’écrit sont les portes voix de Paré, on ne peut plus émettre un avis contraire à celui de l’ASCE sans être du coté de Paré, voyez comment les gens résonnent dans ce pays ; le problème du BF c’est pas la corruption, la mal gouvernance et autres maux de la démocratie ; le problème de ce pays est qu’on ne peut pas avoir une position différente de quelqu’un sans être inféodé à un autre et cela même au niveau de l’ASCE on y croit dure.... c’est lamentable quoi pour cette race d’humain qui se réclame de certain vertu.. commencez par aimer la contradiction puisque vous porter des jugements sur la gestion des autres

    • Le 13 mai 2013 à 17:29, par la justice En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      on appelle pas ça émettre un avis contraire à celui de l’ASCE. c’est du dénigrement. ils devraient d’abord s’approcher de l’ASCE pour comprendre son fonctionnement ou au besoin comment il a travaillé sur ces dossiers. si ces messieurs ont écouté Paré il devraient aussi écouter l’ASCE avant de faire des déclaration de la sorte.

    • Le 13 mai 2013 à 17:48, par Tiraogo En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Pauvre pie ! "le problème du Burkina ce n’est ni la corruption, ni la mal-gouvernance encore moins les autres maux de la démocratie (détournement de fonds publics, trafiques d’influence, achats de conscience, violences politiques, criminalité, meurtres non élucides, musellement de la justice, etc......)". Oui, le problème du Burkina est qu’on ne peut pas avoir une position différente de quelqu’un.... dites-vous ? Oui c’est vrai, on ne peut pas avoir une position différente du CDP et des dirigeants de ce pays.
      Pauvre pie, vous avez bien compris la démocratie. Vous êtes bien dans la démocratie que vous aviez tant rêvée : celle du Burkina de 2013. J’espère que vous êtes assez jeune pour vivre le Burkina futur dans 20ans.

  • Le 13 mai 2013 à 15:12, par METEB En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Just information empowers institutions. L’information juste renforce les institutions. C’est une communication utile. thanks.

  • Le 13 mai 2013 à 15:22, par De Balzac En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Voila qui est bien dit. C’est du propre. Tous ceux qui pensaient que l’ASCE est contre M. Paré peuvent organiser sa défense. Personne ne dit d’aller enfermer Paré, mais on lui demande de justifier ce qu’il a pris peut être de trop. Il n’est certes pas le seul, mais en attendant les autres, il est pour l’instant celui qui doit justifier, blanchir son honneur s’il estime qu’il a été lésé.

  • Le 13 mai 2013 à 15:23, par idam En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Voilà qui est bien clair. J’ose esperer que les sieurs Oualian et Millogo rentreront en même temps que Paré à Ouagadougou et l’accompageront à la MACO si ça devrait être le cas. ça a vraiment une façon maladroite d’avoir les faveurs de Paré et du CDP en prenant cette position de mendiants à la limite. Pourvu que ça serve d’exemple à ceux qui sont prêts à tout y compris nier l’évidence au point de perdre sa dignité.
    Bravo ASCE et continuez comme ça.

  • Le 13 mai 2013 à 15:35 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    C´est bien, je dirai même EXCELLENT ; mais je doute aussi de votre liberté de travail ou du moins la volonté de bien faire votre MISSION car tout Burkinabe sait ces Cas de figure existe dans TOUT LES MINISTERES DU BURKINA ..mais qu´attendez vous pour autres si................

    comme par exemple les financements accordés pour la participation à la construction d’une mosquée et d’une église ; les paiement en espèce de plusieurs millions de francs CFA à des garagistes sans adresse, sans factures pour des véhicules non identifiés ; la prise en charge de nombreuses missions sans ordre de missions, les largesses et autres appuis accordées au ministre, à ses proches collaborateurs et à des personnes tierces etc., sur le compte des fonds de reversements des frais d’inscription - le DAF et le régisseur des recettes ont préféré nier l’évidence en des termes souvent arrogants et peu empreints de courtoisie.

  • Le 13 mai 2013 à 15:36, par Minnayi En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Voilà une lettre digne d’un droit de réponse. Tout est clair et limpide. On attend peut-être d’ici là la contre réplique de l’ex-ambassadeur Paré ou de ses défenseurs "Parisiens".

    No comment !

    • Le 13 mai 2013 à 16:03, par Génération dirigente 2020 (Après la bataille 2015) En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      La réponse de l’ASCE est pertinente d’autant plus qu’elle apporte des preuves tangibles.
      Il faut pas aussi jeter le discrédit sur les Sieurs Millogo et Ouallian qui ont également un droit légitime de se poser des questions sur les méthodes utilisées quand on sait qu’il y a très souvent dans notre pays des procédures diffamatoires qui tendent à vilipender. D’ailleurs cette analyse des Sieurs Millogo et Ouallian a eu le mérite de déclencher cette réaction de l’ASCE qui nous permet de comprendre cette affaire et de nous faire une meilleure idée. C’est cette forme d’expression de la démocratie que nous burkinabé nous attendons.
      La RTB devrait d’ailleurs prendre exemple sur le Fasonet, organiser des débats contradictoire au lieu de diffuser des émissions d’évangélisation.
      Génération dirigeante 2020 (après la bataille 2015)

  • Le 13 mai 2013 à 15:41, par yamam En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    In their faces ! Bien dit

    • Le 13 mai 2013 à 16:42 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Le neutre
      je pense que les gens ont oublié qu’ils n’ont pas le monopole de tel ou telle chose quand ils sont aux commandes ( responsable ). il faut toujours rendre compte, justifier ce qu’on a reçu comme argent de l’ETAT. SI ce n’est pas le cas, n’en voulez pas à ASCE qui ne fait que son travail, un point un trait. si tu détourne, il faut t’expliquer, si tu vole , même chose, bon vent à ASCE qui fait un bon et sérieux travail.

  • Le 13 mai 2013 à 16:04, par ANONYMOUS AFRICA En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    (RIRES), mais ya des gens qui savent parler francais...CHAPEAU.
    J’aime le style utilise pr ce droit de reponse. Vraiment remarquable.
    Dans le fond les choses sont claires. ILS ONT FAIT LEUR JOB.
    Dans la forme rien a dire de ce cote. IL YA DES PROCEDURES A RESPECTER et tous le monde doit se plier aux normes et procedures.
    Je comprends l’attitude de Mr Millogo et Oualian, c’est une maniere pour eux de dire "Mr PARE nest pas le seul a avoir bouffe ou avoir puiser ds les fonds de son ministere"tous les ministres le font donc pourquoi on s’attaque seulement a lui ?? DANS CE CAS JE PEUX COMPRENDRE LEUR INTERVENTIONS. et je peux comprendre egalement pourquoi il doute de l’objectivite de l’enquete de l’ASCE.
    Bravo a l’ASCE mais ils n’ont qu’a controler TOUTES les Institutions et ministere de l’etat parce que nous les citoyens lambda savont tous que beaucoup se sucrent mais peu se font prendre dans leurs filets(POURQUOI CELA).
    Merci

  • Le 13 mai 2013 à 16:06, par WALASSE En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    On sent ici que certains se sont dit qu’en fait l’ASCE les embête et ils n’ont rien à foutre.
    Un simple respect de cette institution en répondant aux différents courriers aurait peut être éclaircis les choses.
    Lorsque l’on a pas pris ses responsabilités à un moment, il faut être prêt à répondre et même à s’excuser.

    Bravo à l’ASCE, vous contribuez a redorer l’image du Burkina. Continuez et nous aurons une direction plus propre de ce pays.

    Je voudrais également poser une question : Combien de ministres et de dirigeants de sociétés font une déclaration de bien au début et à la fin de leurs mandats ?
    Que l’autorité chargée de cette situation nous donne un éclaircissement la dessus.

    Amicalement.

  • Le 13 mai 2013 à 16:14 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Certains se croient indispensables pour defendre les autres. Ces deux individus du fait de leur couleur politique ne nous etonnent dans leur sortie médiatique dans la mesure où même le diable peut avoir des avocats. Merci à l’ASCE pour ce droit de reponse et aux détails apportés qui nous permettent de de comprendre dans qelles conditions le travail a été bien fait. Courage et laissez les ennemis de la Replique aboyer pour rien.

  • Le 13 mai 2013 à 16:16, par kan meme !!!! En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Parce ke PARE est devenu un tigre en carton que chacun sort pour raconter sa vie. Combien de rapport compromettant dorment dans vos tiroirs ? Même Guiro, chez qui on a trouver 2 cantines plein d’argent, vous n’avez meme pas juger utile de l’entendre ou d’aller meme investiguer a la Douane.

    • Le 13 mai 2013 à 17:51 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Bien dit, Combien de rapports dorment dans les tiroirs ? C’est une atteinte au principe d’égalité de tous devant la loi. Il ne saurai y avoir deux poids-deuxmesures. Au-delà de ce droit de réponse pertinent de l’ASCE à ces deux va-nu-pied de Paris, l’ASCE ne peut quand même pas dire que l’enquête diligentée à l’encontre de M. PARE est juridiquement irréprochable . Le fond de ce contrôle n’a pas été abordé par l’ASCE dans son droit de réponse et ça, il me semble qu’il appartiendra à la justice de situer les responsabilités, si responsabilité il y a.

  • Le 13 mai 2013 à 16:22, par someone En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    je pense que "prennez de la hauteur" doit lui même prendre de la hauteur. Toi tu sais e que veut dire une institution responsable ?

  • Le 13 mai 2013 à 17:07, par indigné En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Que dites vous des milliards de mme BCG juste en face de celui de Paré ? Elle se la coule douce après avoir licencié des enseignants pour vol de quelques livres. Je pense qu’on pouvait leur faire rembourser ses livres et trouver d’autres formes de sanction que des licenciements. Je ne cautionne pas le vol mais que fait on des détourneurs de milliars et Dieu seul sait qu’ils sont nombreux au BF. Ils sont là toujours plus arrogants. Syndicats des enseignants ouvrez l’oeil. Certains corps arnaquents des malades et il n’ya rien tout le monde le sait. chez vous on licencie à tour de bras et vous ne bougez pas. Si celui qui licenciait était clean pour peu que cela j’allais l’avaler....

  • Le 13 mai 2013 à 17:11, par Millogo Antoine En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    VOICI AU MOINS UNE INSTITUTION QUI FAIT HONNEUR A LA REPUBLIQUE !

  • Le 13 mai 2013 à 17:35 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    C’est propre mais vous oubliez que Paré n’est pas le seul. ET les Salif DIALLO et autres ? Est ce qu’ils ont justifié leur fortune. Mais courage tout de meme à l’ASCE.

  • Le 13 mai 2013 à 18:12, par Veritas En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Je crois qu’une institution de la trame de l’ASCE doit choisir ces mots pour ne pas descendre dans les poubelles...je trouve certaines expressions très dures et très impolies.
    Mais je me posais juste une question : pourquoi l’ASCE ne ferait même un contrôle interne. Il semble que des gens se sucrent la bas aussi dèh ! des gens qui vont des missions perdiemmé sans quitter Ouaga et ce pendant plrs mois. les règles budgétaires ne limitent t-elles pas la durée des missions et la typologie des prises en charge ? en tous cas, M. BESSIN voyez ça aussi.
    Par ailleurs, j’ai jamais entendu que la Présidence du Faso ou le Premier Ministère ont été contrôlé. ces institutions sont-elles hors du champ de compétence de l’ASCE sachant que ce qui peut s’y passer ne doit pas être du tout catholique !

  • Le 13 mai 2013 à 18:51 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Bravo pour le fond mais hélas pour la forme. Il conviendrait à l’avenir de bien choisir les mots

  • Le 13 mai 2013 à 19:29, par AFRICAIN En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    A mon humble avis, c’est Mr MILLOGO et Mr OUALIAN que nous devrions féliciter car c’est grâce à eux que nous en savons un peu plus claire sur l’Affaire PARE et surtout le noble boulot de l’ASCE. Il ont cru bien aider Mr PARE mais c’est le peuple que leur écrit va servir grandement. Merci donc !
    Avant de terminer je dit sérieusement à l’ASCE : n’attendez plus que des "Balanzans" fassent leur musique pour nous dévoiler ce que tout le monde a soif de comprendre. Il est plus que urgent pour elle de désormais nous éclairer davantage sur tous dossiers bizares (CNIL, DOUANE, AEROPORT, etc) qu’ils ont eu a traiter. BRAVO à MILLOGO et son acolyte.

  • Le 13 mai 2013 à 21:16, par ZIRIPOUKDA En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    C’est de la poudre aux yeux. Tous des babyloniens. On se connait en détail dans ce foutu country. Quand ils ont à faire à des gens avec peu ou sans protection, ils bombent les poitrines pour faire croire à la poplation qu’ils travaillent. En réalité, ils sont là pour faire l’affaire à qui de droit. Nous savons de par vos agissements que le PR. PARE est parti pour avoir des problèmes. Certes, ce n’est pas en avocat du Diable que nous réagissons, mais ce brusque reveil et acharnement contre le Professeur comme si c’est vraiment nouveau. Il y a des gens dans ce pays, même sans aucune compétence en contrôle de régularité quelque soit le domaine même en finances publics avec un petit don de bon sens, on peut les conduire direct à la MACO. Ne nous voilons pas la face, des instructions sont surement venues de quelque part pour le cas précis de Paré.

  • Le 13 mai 2013 à 21:32, par sikiru En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Il me serait fort utile que cet droit réponse de l’ASCE soit plus précis en certains de ses points. En effet, la part des droits d’inscription incriminée provient - elle des seules établissements publics ? ou bien aussi des établissements privés ? Si oui, que l’ASCE explique le bien fondé du principe de tels reversements au ministère étant donné qu’en dehors des frais d’inscription, les établissements (publics et aussi les privés) exigent des parents d’élèves des côtisations d’associations de parents d’élèves (APE) pour combler les déficits de leurs budgets de fonctionnement et même d’investissements et dont semble -t-il, une partie est encore reversée au ministère. De telles côtisations sont-elles justifiées dans le privé ? La mauvaise gestion de ces reversements (frais d’inscription + côtisations APE) date - t-il seulement de la gouvernance de Paré au ministère ? Nous pensons que non. Alors il revient à l’ASCE, pour sa crédibilité d’étendre son audit à la période complète d’institution de ces reversements pour que tous ceux qui ont des comptes à rendre le fassent. Ce ne serait que justice rendu aux pauvres parents d’élèves dont les prêts scolaires durement endurés n’ont pas pour vocation à servir à bâtir des carrières politiques de politiciens sans scrupule.
    Aussi, l’ASCE devrait recommander la suppression des côtisations APE dans le privé car les parents d’élèves n’ont pas la vocation d’aider financièrement les fondateurs d’établissement à assurer le bon fonctionnement de leurs écoles (les frais de scolarité étant réputés couvrir en TTC la prise en charge pédagogique correcte de l’élève inscrit)

    • Le 13 mai 2013 à 23:28 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Sikiru, ton problème doit être posé au niveau des parents d’élèves et non à l’ASCE. Tu ne comprends vraiment pas grand chose dans le rôle de l’ASCE. Lis au moins ses missions !

      • Le 14 mai 2013 à 18:51, par SIKIRU En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

        Désolé mais je dois répondre à un anonyme qui croît tout savoir et qui n’a même pas le courage de se servir d’un pseudo.
        En fait, j’ai compris que l’ASCE avait pour mission de se préoccuper de la bonne gestion des ressources publiques (par nature et par destination) et que, c’est à ce titre qu’elle demande des comptes à Paré pour la gestion de la partie des frais d’inscription reversée au ministère (ressources privées, qui du fait de leur destination, deviennent des ressources publiques). Mais, à suivre votre logique, vous qui comprenez très bien les missions de l’ASCE, c’est plutôt aux parents d’élèves de demander des comptes à Paré et non l’ASCE. Alors collez lui la paix car les fonds dont la gestion est incriminée ne proviennent pas des caisses du Trésor public mais bien des des poches des parents d’élèves.

    • Le 14 mai 2013 à 05:09, par Radio libre En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Cette replique de l’ASCE rappelle la grosse politique qui était née aussi lorsque l’ASCE avait épinglé le CNIL ( commission nationale Informatique et des liberté) , c’était la premier ping pong entre institution et une personne. Une fois n’est pas coutume, l’ASCE vient de rompre le silence sur ce cas d’un ex-ministre et d’un ex-ambassadeur. Tant qu’il représentait le Faso dans une diplomatie, j’imagine que l’ASCE ne souhaitait pas casser du Paré, maintenant qu’il est réellement mis à la disposition , il pourra se défendre, mais espérons cette fois-ci devant la justice et non devant aucune administration ou par presse interposé. Il est temps que nos institutions se face respecter, car c’est elles qui suivivrons après le regime compaoré, les hommes passent, mais les institutions et leur écris restent. ET l’ASCE a oublié aussi de rappeller que Monsieur Paré a remis des sous à leaders syndicales scolaires en 2011 , comme pour atteindre le feu des manifestations scolaires suite à la mort du jeune Zongo à Koudougou. Est-ce le rôle d’un ministre de corrompre des jeunes syndicalistes ?

    • Le 14 mai 2013 à 08:11, par Cissé En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      l’ASCE ne peut pas etre precis, car il sait de quoi les gens parles ; il s’est dicsredité en plubliant un papport à la limite ridicule. il savent de quoi on parle entre professionnels et gens du metier. il ’est ecxusé discretement aupres de certaines institution !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!. Qu’en est il du dossier CIL , IGB. je pense qu’il aurait du se taire apres l’ecrit du confrere et avec les nouvvelle recru qui sont des pro, redorer son blason. sinon le rapport était une poudre aux yeux de population et surtout des profanes en la matiere

    • Le 14 mai 2013 à 09:40 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

      Clair et précis...Ce has been de Oualean qui peine pour trouver sa pitance quotidienne et ce Ma-tu-vu chercheur de deal de Millogo n’ont qu’aller se faire avocat d’autre causes perdue...J’avais dit qu’il ne rendaient pas service à Paré, résultats des courses....

  • Le 13 mai 2013 à 23:09 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    En tout cas, l’ASCE se montre objective quand son président Bessin envoie des enquêteurs pour entendre tout une cour d’appel et un tribunal entier parce que sa nièce une Bessin sort avec un libanais. Ce libanais protégé de Bruno Bessin qui a pris la fuite par la suite parce qu’ il avait menti sur des magistrats. L’ASCE a été utilisé a des fins familiales pour une BESSIN qui ne sort qu’ avec des libanais. Allez-y comprendre.

  • Le 14 mai 2013 à 00:15, par TIENFO En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    OUALAHI. COMME LE DIRAIT L’AUTRE : "PAUVRE A TORT". ET LES AUTRES ?

  • Le 14 mai 2013 à 12:37, par olé-olé En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Voilà qui est bien dit ; et ça m’aurait étonné que l’ASCE ait procédé autrement ; auquel cas elle serait un frein dans la lutte contre la corruption et la délinquance financière. Je suis étonné que les "deux fabuleux experts" soient tombés dans le même péché que celui qu’ils reprochent à l’ASCE. Un averti d’une matière quelconque ne donne jamais un avis ferme sans au préalable vérifier personnellement les faits.

  • Le 14 mai 2013 à 14:13 En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Vous serez tous surpris de l’innocence du Professeur PARE. Ce n’est pas parce que les deux cdpistes malheureux ont tenté maladroitement de le défendre que cela fait de lui un coupable idéal de quoi que ce soit. Vous serez surpris par le résultat des courses. Qui vivra, verra. Point barre.

  • Le 15 mai 2013 à 10:13, par warbita En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    C’est en tant que ministre et donneur d’ordre que Paré est mis en avant pour avoir utilisé les fonds pour d’autres investissements non prevus.Sinon il n’a pas pris de l’argent pour lui-meme mais a utilisé les fonds pivés des parents d’élèves pour réaliser des églises et mosqués au titre des fonds publics. Il sera innocenté ou à defaut devra juste écoiper d’un blame pour avoir autorisé cela.L’ACSE devra communiquer davantage sur ses missions et ne pas se comporter tout juste comme un gourdin.Merci à oualian et millogo et l’ACSE pour ce debat palpitant.

  • Le 15 mai 2013 à 10:16, par Marcos En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Quel contròle de l’Etat vous faites quand on ignore votre independance vis-à-vis du pouvoir en place.Vous ètes vous-mème controlés par l’Etat.
    ASCE : Agents Scellés pour Cacher l’Etat( regime)

  • Le 15 mai 2013 à 11:46, par La Poire En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Au moins des gens qui ne nous imposent pas de la vomissure ! Aux sieurs Millogo et autre alliés, faites gaffe ! Tout part d’une DENONCIATION !!! Alors fermez-la et faites profil bas car on sait qui est qui et qui fait quoi pour qui !

    Chapeau l’ASCE !

  • Le 15 mai 2013 à 12:50, par Bien ceci ASCE En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Ecoutez monsieur de L’ASCE, c’est bien vrai ce que vous dites mais pour des cas de ce genre c’est toujours le premier responsable et ses collaborateurs directs qui doivent répondre. Pour cela, vous devez faire en sorte que toutes qui serait impliquée dans une malversation n’occupe pas de poste de responsabilité jusqu’à ce qu’il prouve son innocence. De cette manière vous protegez l’honneur de la personne. Ne dormez pas sur les dossiers, vous pouvez faire rappelez tous ces ambassadeurs suspects afin q’ils démontre leur innocence.

  • Le 7 juin 2013 à 18:57, par yameogo Kuilga Pierre En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

    Monsieur le Président de l’ASCE
    Voila plus d’un an que les réquisitions de fonctionnaires sont interdites dans les ministères. C’était une mesure salutaire pour le pays et pour la jeunesse, car permet aux jeunes d’accéder aux emplois libérés par nos parents. Mais que se passe t-il au ministère de l’eau ? Plus de trois dinosaures retraités depuis des mois occupent impunément toujours leurs postes au mépris des gens qui ne cessent de dénoncer ce comportement anti-citoyen, inadmissible dans un contexte de quête de bonne gouvernance. Il s’agit d’un des conseillers du ministre de l’eau et d’un secrétaire permanent. Sont-ils des super burkinabé. Si oui où en est la jurisprudence.
    Par la présente nous demandons que vous vous impliquez afin que notre administration soit débarrassée de ces hors la loi qui ne font pas la fierté de notre fonction publique. Pourquoi s’entêter de partir en retraite si vous y êtes et si on sait que ces gens occupent la place d’autres ? Est la mort, est la fin du monde. Sont ils indispensables au point qu’aucun cadre du ministère ne puisse les remplacer. Je ne pense pas, bien au contraire on pourrait les remplace plus valablement. Cette situation est une insulte à l’intelligence de toute une génération.
    Nous vous prions de recevoir nos salutations distinguées et veiller nous excuser au cas nous aurions utilisé des mots mal en place.

  • Le 18 février 2016 à 12:33, par kiebre En réponse à : Droit de réponse de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat (ASCE) à Yves Millogo et Jean-Baptiste OUALIAN

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