Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le meeting de Bobo-Dioulasso a été unique en son genre. Le train de la victoire ; c’est ce concept qu’a adopté la direction nationale de la campagne de Blaise Compaoré. Il s’agissait d’un train rempli d’un millier de jeunes venus de Ouagadougou pour soutenir leur candidat pour son meeting tenu hier soir dans la ville de Sya, au stade Omnisport.
Ils étaient au total 1200 jeunes (filles et garçons) qui ont quitté Ouagadougou à 4 heures du matin pour finalement atterrir à Bobo-Dioulasso à 13h30mn. La raison est toute simple, soutenir leur candidat, Blaise Compaoré pour son meeting dans la région des Hauts-Bassins.
Cris et chants scandant la victoire du président sortant, ces jeunes ont été accueillis par le petit frère du candidat, François Compaoré, le directeur national de la campagne, Assimi Kouanda, le ministre de l’environnement et de cadre de vie, Salifou Sawadogo, responsable à la jeunesse du CDP, le ministre de la jeunesse et de l’emploi, Justin Koutaba, et d’autres membres de l’association FEDAP-BC, en l’occurrence Gaston Soubeiga.
- Les responsables de la campagne nationale des élections présidentielles de 2010, du candidat Blaise Compaoré ont accueillis…… les 1200 jeunes venus de Ouagadougou.
Tous habillés dans des tee-shirts à l’effigie du candidat et d’un fanion autour du cou, ces jeunes qui croient en leur président n’ont mesuré, ni la distance, ni le temps mis (10 heures de route) pour arriver à Bobo-Dioulasso. S’engager tout simplement avec Blaise Compaoré pour continuer le combat. « Nous sommes réellement fier de cette mobilisation des jeunes. Cela traduit leur engagement et leur détermination envers le président, celui -là même qui se soucie de l’avenir des jeunes. Ceux-ci savent qu’avec Blaise Compaoré, l’avenir du Burkina ne peut être que rose », a soutenu le directeur national de la campagne, Assimi Kouanda.
Pour le petit frère, François Compaoré, il s’agit d’un grand renfort pour les Hauts-Bassins. Car dit-il, « le candidat Blaise Compaoré s’est toujours préoccupé du bien-être des populations, en particulier les jeunes. La preuve, il a mis l’accent sur l’éducation, la formation professionnelle, la réalisation d’infrastructures, la mise en place de fonds, tout cela au profit des jeunes », dixit le « frère ». Il poursuit en disant que ce meeting est le leur, en plus de leurs congénères des Hauts-Bassins. Pour lui, la victoire de Blaise est assurée, à travers cette forte mobilisation, aussi bien des femmes, des jeunes et des anciens.
A la question de savoir pourquoi une telle stratégie pour Bobo. Le directeur national de la campagne dira que Bobo-Dioulasso a un niveau de considération particulière. Ville hôte du cinquantenaire, elle mérite une attention singulière. Abondant dans le même sens que son prédécesseur, François Compaoré a expliqué que le sens de cette caravane traduit un signe d’engagement des jeunes. Ce qui, pour lui, permettra de sensibiliser d’autres à s’allier aux côtés de son « grand frère ». « Nous sommes confiant quant à la victoire de notre candidat au soir du 21 novembre », a conclu le « petit frère ».
Notons qu’un kit de nourriture a été servi à tous ces 1200 jeunes. Avant qu’ils n’aillent au stade en renfort pour clamer le chant de la victoire de leur candidat.
Bassératou KINDO
L’Express du Faso
Vos commentaires
1. Le 18 novembre 2010 à 08:46, par Oeil Vigilant En réponse à : Meeting du candidat Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
N’importe quoi ! On m’a pas besoin de déplacer des jeunes de Ouaga pour aller faire faire du bruit à Bobo. ou alors parce qu’il n’y a pas de jeunes à Bobo qui soutiennent Blaise Compaoré ? Dans le cas échéant, c’est juste une manière de tromper votre candidat et vous-même !
Le 18 novembre 2010 à 17:14 En réponse à : Meeting du candidat Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Je suis totalement d’accord avec toi, cela rejoint encore le faite que des projets sur Bobo ont souvent pour acteurs principaux des jeunes venus de la capitale ; comme-ci à Bobo les jeunes ne veulent pas travailler. Oubliant que cette region represente le grenier du pays ; parceque les jeunes sont courageux et travailleurs... Certains parceque cela les arrange de penser comme ça ; diront qu’ils passent leur temps à prendre le thé. Mais à Bobo on ne recule pas devant le travail, mm la daba...
Le 18 novembre 2010 à 18:42 En réponse à : Meeting du candidat Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
comme ca le train de la victoire s’arrete a bobo e retourne a ouaga quoi. c’est trop court ca !
Le 19 novembre 2010 à 12:01, par lias En réponse à : Meeting du candidat Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Œeffectivement c’est trop court, mais aussi facile de mobiliser des jeunes qui n’ont pas de contrainte ni de compte à rendre à bord d’un moyen de transport confortable, ou chant et slogan rime le voyage avec des perdiems et des kit de nourriture servi a bord ou à l’arrive.
Je propose que si les jeunes veulent soutenir leur candidat, q’ils rejoignent bobo à velo ou à pieds afin de marquer leur soutien, comme cela se fait dans d’autres contrés.
Le 18 novembre 2010 à 20:09 En réponse à : Meeting du candidat Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
cela montre une mobilité nationale des jeunes que ce soit à ouaga ou à bobo. Un meeting n’est pas seulement spécifié pour les populations de la ville de rencontre. C’est un soutien et donc une bonne idée pour montrer ce soutien
2. Le 18 novembre 2010 à 09:37, par woro En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Bien dit !!toute la cours royale était là ! Ces jeunes qui sont venus , nous savons tous de qui il s’agit !D’autres pour la curiosité du train, d’autres pour le t-shirt et les 1000F ou 5000f qu’ils auront peut- être au retour !Et les gagnants seront surement ceux qui seront a la tête des jeunes !Ils pourront faire partir des prochaines promotions de la fonction publique !!C’est dommage !!Vous savez combien de maîtrisards chôment au pays ? des milliers et rien a faire !
Blaise est usé par le pouvoir et il ne pourra rien proposer à nouveau.Malheureusement sa machine est là pour le faire gagner à tout prix.Que le seigneur, le tout puissant nous délivre !! Amen
3. Le 18 novembre 2010 à 10:00 En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Ces jeunes , je pense sont ou des chomeurs ou des élèves et étudiants qui ne vont pas au cours. Et c’est cela la jeunesse émergente ?
La journée du Mercredi n’est pas à ce que je sâche chomé au Burkina.
Sans rancune
4. Le 18 novembre 2010 à 10:15, par john En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Ils ont eu peur que les Bobolais n’allaient pas sortir voila pourquoi ils ont fait veneir 1200 jeunes de Ouaga. Ils savent ce qu’ils ont fait a Bobo,á son economie et á ses populations(Bobo, Dioula, Tiefo, Mossis, Dagara, Lobi, peuhl, Marka, senoufo....).Bobo restera toujours la rebelle. rapeelez-vous un decembre 1991....
Francois se ositionne, mais les vrais PATRIOTES burkiabé te tiennent á l’oeil !
5. Le 18 novembre 2010 à 10:26 En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Démesure. Est ce necessaire ! A quand l’afrique !
6. Le 18 novembre 2010 à 10:39, par Iso En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Pauvreté ! Quand tu nous tiens par les oreilles. Ces kits de nourriture vous feront quoi durant 5 ans ? Mais bref c’était un grand jour car il n’est pas donné à n’importe qui de voyager en train au Bf. KOUDOUGOU-OUAGA 10 bonnes Heures au xxe SIÈCLE. Bravo
7. Le 18 novembre 2010 à 10:41, par the student En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
10 heures de trajet entre Ouaga-Bobo, je n’ai pas encore vu les trains de chez nous mais j’ai l’impression que ce sont plutôt des vélomoteurs. J’aimerai savoir les projets du président sortant quant au chemin de fer
8. Le 18 novembre 2010 à 11:40, par donmozoun En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Combien tout cela a coûté ? N’est ce pas ça le bétail électoral ? Bonne chance nous tous
9. Le 18 novembre 2010 à 11:44, par freedom fighter En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
pourquoi autant d’argent pour faire croire au yeux du monde que le peuple est avec vous ? si le peuple était vraiment avec vous ils allaient venir d’eux même.
10. Le 18 novembre 2010 à 12:12, par macoroni En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
si ces kit de nourriture qu on a servit au 1200 jeunes pouvait etre partage a tous comme le pain du chrst tout les jours walaii meme les opposants voteront pour le cdp.
11. Le 18 novembre 2010 à 12:58, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Un milliard de quoi ? (Texte du 26/04/2010 tiré du site : www.venancekona.com)
De nombreux internautes ayant réagi à ma dernière chronique sur le choix de s’exiler ou de rester dans nos pays, je me permets de revenir encore une fois sur ce sujet. L’Afrique, nous dit-on, vient d’avoir un milliard d’habitants. Faut-il s’en réjouir ou s’en inquiéter ? Je ne sais pas. Nous serons un milliard de quoi ? Un milliard de personnes dignes ou un milliard de mendiants ? Pour le moment, ceux que ce chiffre chiffonne, si je peux me permettre, ce sont les Européens. Car c’est sur leurs côtes que chaque année des milliers d’Africains viennent s’échouer. Ce sont eux qui ne savent plus quel dispositif prendre pour se protéger de tous ces gueux en quête de pitance ou de liberté qui viennent à l’assaut de leurs pays. Chaque fois qu’un Africain meurt dans le désert ou dans la Méditerranée, il témoigne mieux que tous les discours de l’échec de son pays. Et chaque année, ce sont des centaines de jeunes gens qui meurent dans le désert ou dans la mer, parce qu’ils ont préféré prendre ce risque plutôt que de vivre dans leurs pays qui n’ont plus aucun rêve à leur proposer. Il y a deux ans, je me suis rendu à Kidal, dans le désert malien, sur les traces de ces jeunes gens qui sont refoulés par les pays du nord du continent. Un jeune Togolais rencontré là m’avait dit qu’il n’avait qu’un seul rêve, trouver assez d’argent pour recommencer l’aventure. Et pourtant il venait de me raconter l’enfer que cela avait été pour lui d’arriver jusqu’en Algérie et de traverser à nouveau le désert en sens inverse. Et il avait dit cette phrase terrible : « je préfère mourir ici plutôt que de retourner dans mon pays. » Connaissant le Togo, pouvais-je le blâmer ? Il ne faut pas se voiler la face : nos pays africains ont dans leur ensemble lamentablement échoué. Et tous les bras valides cherchent à les fuir. L’Afrique du sud qui semblait s’en sortir mieux que les autres a été envahie par les pauvres des autres pays africains, réveillant ainsi les sentiments xénophobes des habitants de ce pays dont plusieurs vivent dans une misère encore plus grande. Les Noirs africains qui vivent dans les pays du nord du continent, qui semblent eux aussi mieux s’en sortir, vivent un racisme des plus cruels, que nos intellectuels ne dénoncent curieusement pas avec autant de vigueur que celui qui sévit en France. On se souvient tous des pogroms organisés en Libye, au moment justement où le dirigeant de ce pays se voulait le chantre le l’Union africaine. Non, on ne peut pas en vouloir à ces jeunes gens d’aller chercher, au péril de leurs vies, un lendemain moins cruel que leur présent. Même si le plus souvent, à destination, le rêve se transforme en cauchemar. Que font-ils ici ? Quelles opportunités leur sont-elles données de participer à la construction de leurs pays ? Qu’offrons-nous comme avenir aux milliers de jeunes gens qui sortent chaque année de nos universités ? Et pourtant, l’Afrique est entièrement à construire. En principe, avec une population d’un milliards de personnes, l’Afrique devrait avoir davantage de bras pour cette oeuvre. Alors ? Le problème est que les élites africaines ont failli. Les élites politiques, les élites intellectuelles. Les politiques qui accèdent au pouvoir n’ont que deux soucis, s’enrichir autant que possible et s’accrocher au pouvoir par tous les moyens. Qu’est ce qui explique que dans un pays comme la Côte d’Ivoire, on forme chaque année des milliers de policiers et gendarmes mais aucun médecin ? S’étonnera-t-on qu’un jeune docteur en médecine, las d’attendre un hypothétique emploi, cherche à tenter l’aventure européenne ? Israël a réussi à faire pousser des tomates en plein désert. Mais qu’est-ce qui intéresse les pays africains dans leur coopération avec Israël ? Les systèmes d’écoutes téléphoniques, les armes, les drones, la sécurité des présidents. Les élites intellectuelles qui devaient être les aiguillons des pouvoirs, elles qui devraient sans cesse rappeler ces pouvoirs à leurs obligations ont failli de leur côté lorsqu’elles ont choisi de les accompagner dans leurs œuvres de prédation. Qu’avons-nous à offrir aujourd’hui au reste du monde ? Notre capacité de nuisance. Et nous avons décidé d’en faire un moyen de chantage. J’ai entendu une fois Jean Ping, le président de l’inutile commission de l’Union africaine dire dans une interview que si l’Occident n’aide pas l’Afrique, il aura à faire face aux hordes d’immigrants illégaux. Très bien. En cinquante ans d’indépendance, qu’avons-nous fait de toute l’aide qui nous a été apportée ? Une bonne partie est retournée en Europe, dans des comptes bancaires numérotés. Que font nos dirigeants pour leurs pays ? Qu’a fait Bongo des milliards générés par le pétrole, le bois, le manganèse, l’uranium, pour son pays ? Que fait Sassou des milliards que génèrent les ressources de son pays ? On vient de découvrir le scandale de la Banque des Etats d’Afrique Centrale. Des milliards que des dirigeants qui, j’en suis sûr, fustigent à longueur de discours l’égoïsme de l’Occident, ont volé. Que fait Laurent Gbagbo des 60 milliards qu’il s’octroie chaque année sur le budget de l’Etat ? De quel droit parlons-nous de l’égoïsme des pays riches lorsque nos dirigeants sont les premiers prédateurs de leurs propres pays ? L’Afrique est à construire. Nous sommes un milliard désormais à le faire. L’Afrique a tout à nous offrir. En réalité, avec notre milliard d’habitants, notre continent reste encore largement sous-peuplé. Un pays comme la Hollande compte autant d’habitants que la Côte d’Ivoire, pour un territoire dix fois plus petit. Et ils arrivent à se nourrir et même à exporter de la nourriture. Nous ne pouvons pas blâmer nos jeunes frères qui s’en vont. Mais les élites doivent, elles rester, et se battre pour que les choses changent. Afin que nos jeunes frères n’ailent plus se tuer dans le désert ou dans la mer. Et pour que nous ne soyons pas un milliard de mendiants.
Par Kôrô Yamyélé
Le 19 novembre 2010 à 11:52 En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Pour une fois je félicite le koro. Tu as vraiment fait une belle réflexion. je crois que l’on doit envoyer une copie de cet écrit à tous les présidents Africains.
Biola
12. Le 18 novembre 2010 à 18:48 En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Quel dommage pour mon pays ! Blaise doit se rendre compte que ses jeunes le soutiennent juste parcequ’ils n’ont pas le choix ! Si à chaque depalcement on est payé à 2000 FCFA ou 5000Fcfa, mieux vaut s’en contenter que de rester sans rien avoir à manger ! 90% de ces jeunes n’ont même pas leur carte d’électeur car j’en connais beaucoup.
Enfin bref, comme on le dit, "seul les boites vides font du bruit"
Burkina Faso, Yako !
13. Le 18 novembre 2010 à 18:57, par tinbo En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
tchiééééééééé
ces 1200 jeunes ne doivent pas avoir une activité contraignante oubien ils sont au chômage
14. Le 18 novembre 2010 à 21:30, par zamikaria En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
vraiment n’importe quoi. le blaiso et sa suite ne savent pas que les gens sont allez au stade pour voir les artistes(Oumou Sangaré et autre) et non la tête du blaiso et encore moins son programme.
je suis a bobo, j’ai vu des cars sihonnés toute la ville et les villages voisins pour transporter des jeunes, des vieux et des femmes au stade. S’il se croit aussi populaire qu’on laisse à la population se deplacer d’elle même on verra la vraie force du candidat.
on ditr qu’il aime les jeunes, on vu comment les étudiants ont été traités pour avoir simplement demandés de meilleures conditions de travaille. En plus, il construise des quelques ecoles professionnelle et en même on ferme des usines. Où voulez-vous qu’ils travaillent.
15. Le 19 novembre 2010 à 01:05, par Balamine En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Excusez moi mais j’aimerais revenir sur la mobilisation "train de la victoire"faite par la génération consciente de la jeunesse éclairé de notre pays en faveurs de son candidat president.
il y a des choses qu’on ne pourra jamais accepter à savoir les injures constatés en ce jour 18 novembre sur Faso net sur cette mobilisation,donc je me donne le droit d’apporter des éléments de rectifications et de situer dans sa juste valeurs le mérite et l’acte de cette jeunesse qui ne mendie pas sa participation à cette élection mais qui brave les risques,lutte contre la nature des Hommes comme ces pseudos réactionnaires du net.
Pour commencer la presse a fait cas de 1200 jeunes,c’est à comprendre de part la réaction des internautes qu’il faut faire déplacer toute cette jeunesse de différentes mentalité pour une maudite sommes de 1500 à 5000fcfa,quels grotesques injures à leur égards ?,respectons l’autre dans la conception et la mise en œuvre de ses idées quand même.
Parlant des kits de nourriture,quoi de normale,quand un étranger arrive chez toi,en bon Africain cet acceuil est digne du nom,acte signifiant que l’ôte est à son écoute et qu’il est heureux de le voir.Si c’est pour un kit de benga qu’il faudra faire 500km pour pouvoir se nourrir est une chose abominable de votre part car ceci signifie que le peuple Burkinabé croupi dans le misère total en d’autre terme c’est insulté votre propre personne car surement vous êtes avec cette jeunesse et si 1200 jeunes ont se problème ,vous également.
NB:L’ensemble des opposants Burkinabé s’ils sont conscients refuseront d’adhérer,de supporter le poids de cette mal cause à l’endroit de la jeunesse. L’action entreprise par le responsable de la jeunesse est un défis lancé à cette jeunesse,car bon nombres d’entre nous dise que la jeunesse ne partage pas la cause du parti et cette action entreprise en ce jour ci par la jeunesse en acceptant de risquer leur vie,leur emplois et occupations pour la cause d’une seule personne c’est qu’elle est convaincu et dévouée et cela est à mettre au compte du Candidat BC de part ses actions en faveurs de cette même jeunesse.
On ne suit pas quelqu’un pour ses habits,ni pour son élégance pour une cause farfelue de ristournes en voulant se sacrifier pour la personne mais une seule chose pourra expliquée cet état de faite ;ce sont entre autres les vertus telles que :
la confiance,l’assurance,le respect,l’engagement de la personne pour la cause du pays,son action envers le peuple,le respect de la parole,l’honneur,le sacrifice et sa disposition et disponibilité pour le peuple,que nous avons pour cette personne,ceux sont là des actions qui ont milité en sa faveurs pour que la jeunesse accepte une fois encore de le suivre et de le soutenir dans ses actions de développement de la nation.
C’est vrais que nous sommes en période électorale mais évitons de s’arrêter derrière l’arbre l’unique espoirs de l’opposition pour ne pas voir ou tout simplement pour refus de voir le soleil du progrès et d’actions.
Peuple du Burkina une fois encore le peuple montre sa reconnaissance à l’homme le vrais de notre peuple et au jour du 21 sortons pour confirmer cet engagement car Blaise mérite notre soutien,c’est qui est la vérité même si tu ne l’aime pas assis dans ta chambre ferme tes yeux tu entendra surement le peuple te parler par sa voix vive le Burkina émergent,en avant tous avec celui de la situation.
Amicalement Balamine.
Le 20 novembre 2010 à 18:18, par Abdallah En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
On ne suit pas quelqu’un pour ses habits,ni pour son élégance pour une cause farfelue de ristournes en voulant se sacrifier pour la personne mais une seule chose pourra expliquée cet état de faite
Et cet état de fait ;qu’est ce que s’est selon vous M.Balamine ?Je suis desolé mais c’est le cas au Faso.Nous disons non à l’achat de conscience...Quant à la mobilisation à Bobo, ce n’est qu’un pur échec, une honte voilà ce que s’est !!! merci
Le 22 novembre 2010 à 22:52, par simple En réponse à : Blaise Compaoré à Bobo : « La ligne droite vers la victoire » à travers un convoi de train
Mr Balamine si j’ai bien compris le train a fait dix heures de route entre Ouaga et Bobo.
1/ Comment vous appelez ça ?
2/ Selon vous nous sommes à quelle époque ?
3/ Connaissez vous ce que c’est que le progrès ?
4/ Ces responsables du CDP qui ont mis ces jeunes dans train savaient vraiment qu’en 2010 un train peut faire moins de temps que ça pour arriver à Bobo. vous parlez de développement savez vous ce que c’est vraiment ? C’est le même temps en 1968 que le train mettait entre BOBO et Ouaga.
5/ De quel développement parler vous SVP.
Demandez s’il vous plait à ces jeunes le fond de leur pensée durant le trajet.Imaginez un instant un incident durant le trajet ou des jeunes perdent leur vie. quel scandale cela allait provoquer dans le monde entier. On est toujours au stade de : "ça va aller......" Dommage.
Pauvre Blaise compaoré s’il savait que ceux qui l’entoure lui font prendre d’énormes risques en pensant à leur seul et unique développement. Moi j’admire le courage politique de Salif Diallo.