Rien qu’avant hier, sur les réseaux sociaux, j’ai écouté une vieille chanson mandingue et ma pensée s’est systématiquement envolée vers vous. Je me suis rappelé que j’ai écouté cette chanson pour la première fois en 1979 à Koudougou, lorsque j’y avais accompagné ma maman, votre petite soeur, pour vous rendre visite. Vous y étiez en tant que responsable de l’ORD. A l’époque, chaque soir, à l’aide des platines ou tourne disques, la musique berçait nos oreilles. Plusieurs années plus tard, quand vous m’avez accueilli, j’ai constaté durant tout le temps qui m’a été donné de vivre à vos côtés, que vous avez toujours aimé la vie et à chaque fois, vous avez su créer l’amibiance dans la famille. Je garde de vous la rigueur et l’amour du travail bien fait, l’esprit d’ouverture et le sacrifice individuel au profit de l’intérêt général.
Oncle Gabi, vous resterez éternel dans ma mémoire.
J’implore le seigneur pour que toutes les prières qui sont et seront faites vous soient des grâces là où vous êtes.
Rien qu’avant hier, sur les réseaux sociaux, j’ai écouté une vieille chanson mandingue et ma pensée s’est systématiquement envolée vers vous. Je me suis rappelé que j’ai écouté cette chanson pour la première fois en 1979 à Koudougou, lorsque j’y avais accompagné ma maman, votre petite soeur, pour vous rendre visite. Vous y étiez en tant que responsable de l’ORD. A l’époque, chaque soir, à l’aide des platines ou tourne disques, la musique berçait nos oreilles. Plusieurs années plus tard, quand vous m’avez accueilli, j’ai constaté durant tout le temps qui m’a été donné de vivre à vos côtés, que vous avez toujours aimé la vie et à chaque fois, vous avez su créer l’amibiance dans la famille. Je garde de vous la rigueur et l’amour du travail bien fait, l’esprit d’ouverture et le sacrifice individuel au profit de l’intérêt général.
Oncle Gabi, vous resterez éternel dans ma mémoire.
J’implore le seigneur pour que toutes les prières qui sont et seront faites vous soient des grâces là où vous êtes.
Votre neveu.