Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 06:33, par
Gnamien
Cet écrit est particulièrement subversif et dangereux.
La liberté de la presse est si bien comprise au Faso que l’on se plait à publier toutes sortes gribouilles.
QU’ON DISE A CE MONSIEUR QU’IL A DU TRAVAIL ENCORE DEVANT LUI. IL Y A TANT DE PAYS D’AFRIQUE DE L’OUEST QUI DERAIENT TANT SE COFORMER A SES REVANDICATIONS.
Cet écrit est particulièrement subversif et dangereux.
La liberté de la presse est si bien comprise au Faso que l’on se plait à publier toutes sortes gribouilles.
QU’ON DISE A CE MONSIEUR QU’IL A DU TRAVAIL ENCORE DEVANT LUI. IL Y A TANT DE PAYS D’AFRIQUE DE L’OUEST QUI DERAIENT TANT SE COFORMER A SES REVANDICATIONS.