Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
24 avril, 23:10, par
Oops !
Autant qu’on y est pourquoi ne pas ajouter l’allemand, le mandarin, le swahili et bien d’autres puisqu’il y’a des burkinabé qui parlent bien ces langues. En quoi ajouter l’arabe apporte un plus a cette reforme ? Ou bien vous considérer que l’arabe peut réclamer sa place dans le paysage linguistique burkinabé. On est majoritairement ni arabe, ni arabophone. Votre écrit dessert plus qu’il ne sert, car c’est jeter des des germes de division dans un tissu social déjà éprouve. Et si d’autres disaient que cette liste est incomplète et qu’il faut ajouter l’heureux ou le latin ? Faisons toujours des contributions constructives
Autant qu’on y est pourquoi ne pas ajouter l’allemand, le mandarin, le swahili et bien d’autres puisqu’il y’a des burkinabé qui parlent bien ces langues. En quoi ajouter l’arabe apporte un plus a cette reforme ? Ou bien vous considérer que l’arabe peut réclamer sa place dans le paysage linguistique burkinabé. On est majoritairement ni arabe, ni arabophone. Votre écrit dessert plus qu’il ne sert, car c’est jeter des des germes de division dans un tissu social déjà éprouve. Et si d’autres disaient que cette liste est incomplète et qu’il faut ajouter l’heureux ou le latin ? Faisons toujours des contributions constructives