Le chef des droits de l’homme de l’ONU en visite officielle au Burkina Faso
21 mars, 14:48, par
Made
Moi j’appelle malédiction, un peuple qui ne sait ce qu’il veut, même au sommet de l’état. S’il ne vient pas, on les accuse de nous délaisser. Quand ils viennent, on se gratte le cul. Pouuff.
Moi j’appelle malédiction, un peuple qui ne sait ce qu’il veut, même au sommet de l’état. S’il ne vient pas, on les accuse de nous délaisser. Quand ils viennent, on se gratte le cul. Pouuff.