Burkina/Boucle du Mouhoun : Le Mouvement Sauvons la Kossi dénonce l’arrestation de son secrétaire général, Gérard Ismaël Sanou
20 mars, 16:45, par
Bob
On a l’impression que le fait d’être président d’une organisation quelconque donne l’immunité, sinon même l’impunité. Sans savoir de quoi on l’accuse vous traitez les honnêtes policiers qui l’ont ARRÊTÉ de BOURREAUX. Autant votre président est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire, autant les policiers qui l’ont arrêté ne font que leur TRAVAIL. Donc un peu de respect pour ceux qui sont chargés d’appliquer la loi souvent à leur corps défendant. Imaginez que ces fonctionnaires que vous vilipendez n’aient pas accordé à votre PRÉSIDENT l’autorisation d’appeler sa famille ! Votre président est un citoyen ordinaire qui peut enfreindre la loi comme n’importe quidam. Objectivement vous créez 2 catégories de burkinabé, les PRÉSIDENTS et MILITANTS d’organisations plus ou moins fantoches qui bénéficient de conférences de presse, déclarations vengeresses et autres chaque fois qu’ils ont des ennuis et les burkinabé ordinaires qu’on peut embastiller dans l’indifférence générale . Heureusement nous sommes tous égaux devant la LOI.
On a l’impression que le fait d’être président d’une organisation quelconque donne l’immunité, sinon même l’impunité. Sans savoir de quoi on l’accuse vous traitez les honnêtes policiers qui l’ont ARRÊTÉ de BOURREAUX. Autant votre président est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire, autant les policiers qui l’ont arrêté ne font que leur TRAVAIL. Donc un peu de respect pour ceux qui sont chargés d’appliquer la loi souvent à leur corps défendant. Imaginez que ces fonctionnaires que vous vilipendez n’aient pas accordé à votre PRÉSIDENT l’autorisation d’appeler sa famille ! Votre président est un citoyen ordinaire qui peut enfreindre la loi comme n’importe quidam. Objectivement vous créez 2 catégories de burkinabé, les PRÉSIDENTS et MILITANTS d’organisations plus ou moins fantoches qui bénéficient de conférences de presse, déclarations vengeresses et autres chaque fois qu’ils ont des ennuis et les burkinabé ordinaires qu’on peut embastiller dans l’indifférence générale . Heureusement nous sommes tous égaux devant la LOI.