Burkina/Numérique : Facebook, cet outil privilégié de communication officielle de certains ministères et institutions
20 mars, 12:14, par
BJOC
Je trouve déplorable de voir qu’on ait un grand laxisme et négligence quant à la gestion des données institutionnelles parfois confidentielles.
Comment on peut comprendre que des rapports et autres données de certains ministères circulent aisément sur WhatsApp et autres à la vue de tous ? Laissez moi vous dire, de par ma petite connaissance, que ces dites plateformes sont facilement piratables. Il est facile d’y avoir accès ; pas les serveurs principaux évidement mais les comptes de tierces personnes. Il faudrait bien que l’on change nos habitudes. Les récents incidents du Meta en sont des preuves que ces habitudes
et attitudes sont à proscrire.
Il y a peu de visites sur les sites officielles vraies comparativement aux réseaux sociaux, il revient aux chargés de communication de trouver des moyens pour rediriger les internautes sur lesdits sites.
A la mauvaise répartition des responsabilités comme l’a souligné Dr Paré, moi j’ajouterai que les responsables travaillent moins à assurer une continuité de gestion des plateformes. En effet, un site ne peut pas être créé sans pour autant que les fichiers et codes sources ne soient conserver pour d’éventuelles modifications dès que besoin se fera sentir ; même si avec le prestataire il y a eu des incidents, l’on devrait impérativement être en mesure de gérer les modifications et corrections par un autre sans soucis ( les compétences il y en a de diverses, les ressources humaines sont bien qualifiées).
Vivement que nos mentalités changes et que nous abandonnions nos mauvaises habitudes.
Je trouve déplorable de voir qu’on ait un grand laxisme et négligence quant à la gestion des données institutionnelles parfois confidentielles.
Comment on peut comprendre que des rapports et autres données de certains ministères circulent aisément sur WhatsApp et autres à la vue de tous ? Laissez moi vous dire, de par ma petite connaissance, que ces dites plateformes sont facilement piratables. Il est facile d’y avoir accès ; pas les serveurs principaux évidement mais les comptes de tierces personnes. Il faudrait bien que l’on change nos habitudes. Les récents incidents du Meta en sont des preuves que ces habitudes
et attitudes sont à proscrire.
Il y a peu de visites sur les sites officielles vraies comparativement aux réseaux sociaux, il revient aux chargés de communication de trouver des moyens pour rediriger les internautes sur lesdits sites.
A la mauvaise répartition des responsabilités comme l’a souligné Dr Paré, moi j’ajouterai que les responsables travaillent moins à assurer une continuité de gestion des plateformes. En effet, un site ne peut pas être créé sans pour autant que les fichiers et codes sources ne soient conserver pour d’éventuelles modifications dès que besoin se fera sentir ; même si avec le prestataire il y a eu des incidents, l’on devrait impérativement être en mesure de gérer les modifications et corrections par un autre sans soucis ( les compétences il y en a de diverses, les ressources humaines sont bien qualifiées).
Vivement que nos mentalités changes et que nous abandonnions nos mauvaises habitudes.
BJOC