Burkina : « On ne communique pas sur l’audit de l’armée comme pour les autres dossiers », précise Urbain Millogo (ASCE-LC)
13 mars, 11:10, par
Ka
Cher internaute Ganhoren Noura, merci de me lire : Car, dénoncer les choses qui ne vont pas n’est ni une offense ni une atteinte à la sécurité nationale. Bien au contraire, c’est une aide vers la perfection (qui, quoi qu’il en soit, n’est plus de ce monde...) Je suis d’accords avec toi que la solution qui tient peut-être dans l’émergence d’un arbitre international et impartial chargé de donner le quitus ou d’engager des poursuites, avec de véritables sanctions dissuasives à la clé, envers ces militaires ne viendra pas de la CPI comme j’ai écrit. Mais certainement d’une institution neutre et Africaine pourquoi pas d’un secteur de l’UA qui pourrait jouer ce rôle, si elle n’est pas gangrenée par la corruption et/ou les conflits d’intérêt. Encore une fois, merci de me lire.
Cher internaute Ganhoren Noura, merci de me lire : Car, dénoncer les choses qui ne vont pas n’est ni une offense ni une atteinte à la sécurité nationale. Bien au contraire, c’est une aide vers la perfection (qui, quoi qu’il en soit, n’est plus de ce monde...) Je suis d’accords avec toi que la solution qui tient peut-être dans l’émergence d’un arbitre international et impartial chargé de donner le quitus ou d’engager des poursuites, avec de véritables sanctions dissuasives à la clé, envers ces militaires ne viendra pas de la CPI comme j’ai écrit. Mais certainement d’une institution neutre et Africaine pourquoi pas d’un secteur de l’UA qui pourrait jouer ce rôle, si elle n’est pas gangrenée par la corruption et/ou les conflits d’intérêt. Encore une fois, merci de me lire.