Burkina Faso : La maîtrise de la masse salariale au cœur de l’Assemblée annuelle des services du budget
21 février, 14:25, par
Le vieux fonctionnaire
En réalité, pour que la chienlit ainsi que les recrutements de complaisance ou à vue finissent dans nos ministères et autres autres administrations publiques, il faut que les inspections techniques des services jouent leur rôle comme il faut et pour ce faire, il faut les rendre vraiment indépendantes et leur donner les moyens adéquats en terme de ressources humaines, matérielles et financières. Il faudra procéder à des recrutements sur candidature au sein de chaque ministère pour pourvoir ces inspections techniques en inspecteurs techniques intègres, compétents ayant une certaine ancienneté dans la fonction publique et les profils requis. Ces inspecteurs devront travailler en toute indépendance et sur initiative propre et tous leurs rapports devront être envoyés à l’Autorité supérieure de contrôle de l’Etat (ASCE-LC) pour toutes fins utiles avec copie au ministre. Ils ne dépendront pas hiérarchiquement du ministre mais du président de l’ ASCE-LC. Ils recevront leur ressources de l’ASCE-LC et les rapports des missions commandées par l’ASCE-LC ne devront pas être transmis au ministre de tutelle de l’inspection. Ces inspecteurs techniques (intègres, compétents et expérimentés mais pas trop vieux car leur travail sera beaucoup plus un travail de terrain) devront recevoir un traitement salarial mensuel très motivant (le double de ce que perçoit un DG d’une société d’Etat). Ces inspections devront apprécier les politiques de recrutement des ministères ainsi que les contrats d’objectifs des cadres A puis les présences et l’assiduité des cadres moyens et d’exécution ( catégories B et C). Il y aura beaucoup de descentes inopinées de ces inspecteurs le long de l’année dans les structures centrales comme déconcentrées et une remontée de l’information à l’ASCE-LC et au ministre de tutelle par le biais des rapports de mission et ce, pour toutes fins utiles (sanctions, relèvement de poste, etc...). Ainsi les postes inutiles ou encombrés seront épurés du personnel superflu et le travail des fonctionnaires s’en trouvera amélioré. Et pi cé tout.
En réalité, pour que la chienlit ainsi que les recrutements de complaisance ou à vue finissent dans nos ministères et autres autres administrations publiques, il faut que les inspections techniques des services jouent leur rôle comme il faut et pour ce faire, il faut les rendre vraiment indépendantes et leur donner les moyens adéquats en terme de ressources humaines, matérielles et financières. Il faudra procéder à des recrutements sur candidature au sein de chaque ministère pour pourvoir ces inspections techniques en inspecteurs techniques intègres, compétents ayant une certaine ancienneté dans la fonction publique et les profils requis. Ces inspecteurs devront travailler en toute indépendance et sur initiative propre et tous leurs rapports devront être envoyés à l’Autorité supérieure de contrôle de l’Etat (ASCE-LC) pour toutes fins utiles avec copie au ministre. Ils ne dépendront pas hiérarchiquement du ministre mais du président de l’ ASCE-LC. Ils recevront leur ressources de l’ASCE-LC et les rapports des missions commandées par l’ASCE-LC ne devront pas être transmis au ministre de tutelle de l’inspection. Ces inspecteurs techniques (intègres, compétents et expérimentés mais pas trop vieux car leur travail sera beaucoup plus un travail de terrain) devront recevoir un traitement salarial mensuel très motivant (le double de ce que perçoit un DG d’une société d’Etat). Ces inspections devront apprécier les politiques de recrutement des ministères ainsi que les contrats d’objectifs des cadres A puis les présences et l’assiduité des cadres moyens et d’exécution ( catégories B et C). Il y aura beaucoup de descentes inopinées de ces inspecteurs le long de l’année dans les structures centrales comme déconcentrées et une remontée de l’information à l’ASCE-LC et au ministre de tutelle par le biais des rapports de mission et ce, pour toutes fins utiles (sanctions, relèvement de poste, etc...). Ainsi les postes inutiles ou encombrés seront épurés du personnel superflu et le travail des fonctionnaires s’en trouvera amélioré. Et pi cé tout.