Burkina : « Il faut réviser la charte pour permettre à la Transition de poursuivre son travail », Labidi Naba, porte-parole du mouvement Faso Kooz
19 février, 08:34, par
J.E. Sonde
A croire Labidi Naba, la situation évoluerait dans le bon sens.
En 2023, le nombre d’incidents sécuritaires a continué à augmenter. De source bien documentée, le conflit a entrainé la mort de pratiquement 3000 civils en 2023 contre environ 1500 en 2022. 2023 est l’année la plus meurtrière pour les civils au Burkina depuis le début du conflit. Les exactions se multiplient (on ne parle pas à Ouagadougou des civils exécutés sommairement et en toute impunité par les VDP sauf peut-être pour entendre le lamentable "on ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs"). On ne parle pas non plus des civils victimes des bombardements non discriminés par les vecteurs aériens (rapport très documenté de Human Right Watch disponible sur le net). Enfin, comme tout le monde le sait, les enlèvements se multiplient en toute impunité.
Décidément, l’idolâtrie annihile tout esprit critique.
A croire Labidi Naba, la situation évoluerait dans le bon sens.
En 2023, le nombre d’incidents sécuritaires a continué à augmenter. De source bien documentée, le conflit a entrainé la mort de pratiquement 3000 civils en 2023 contre environ 1500 en 2022. 2023 est l’année la plus meurtrière pour les civils au Burkina depuis le début du conflit. Les exactions se multiplient (on ne parle pas à Ouagadougou des civils exécutés sommairement et en toute impunité par les VDP sauf peut-être pour entendre le lamentable "on ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs"). On ne parle pas non plus des civils victimes des bombardements non discriminés par les vecteurs aériens (rapport très documenté de Human Right Watch disponible sur le net). Enfin, comme tout le monde le sait, les enlèvements se multiplient en toute impunité.
Décidément, l’idolâtrie annihile tout esprit critique.