Guerre dans la bande de Gaza : 1 000 mosquées détruites et 100 prédicateurs tués
23 janvier, 15:46, par
Bajazet
Un jour, un grrrrrrand griot conta une belle leçon au puissant prince Kirikou dont il fallait modérer les ardeurs guerrières. Et cette leçon était la fable suivante :
Un jeune et fougueux « rat voleur » (aulacode) se lamentait de ne pouvoir séduire une princesse sibissi aux dents éblouissantes.
Son amie la roussette, chauve-souris au grandes ailes, lui raconta que, dans sa tribu de chiroptères, le jeune guerrier montrait son courage en allant mordre la queue d’un lion, d’une hyène ou d’une panthère.
Tout ragaillardi, le courageux aulacode de 5 kg s’en alla chercher une panthère endormie dans la savane pour lui mordre la queue de ses jolies quenottes de rongeur et ainsi prouver son courage à sa belle.
Il bondit et mord férocement la queue du fauve en pleine digestion.
Vlà-t-y pas que le félin le course en rugissant de fureur, le cloue au sol d’un coup de griffe et commence à le déchiqueter avant de l’abandonner avec mépris dans un buisson d’épines.
Tout ensanglanté, le présomptueux rongeur va se plaindre auprès de la chauve-souris, qui lui répond :
« Yèèè, mon ami, tu aurais d’abord dû vérifier tes ailes, elles t’auraient permis de te réfugier comme moi dans les branches d’un baobab très très très haut après avoir titillé un fauve ».
Un jour, un grrrrrrand griot conta une belle leçon au puissant prince Kirikou dont il fallait modérer les ardeurs guerrières. Et cette leçon était la fable suivante :
Un jeune et fougueux « rat voleur » (aulacode) se lamentait de ne pouvoir séduire une princesse sibissi aux dents éblouissantes.
Son amie la roussette, chauve-souris au grandes ailes, lui raconta que, dans sa tribu de chiroptères, le jeune guerrier montrait son courage en allant mordre la queue d’un lion, d’une hyène ou d’une panthère.
Tout ragaillardi, le courageux aulacode de 5 kg s’en alla chercher une panthère endormie dans la savane pour lui mordre la queue de ses jolies quenottes de rongeur et ainsi prouver son courage à sa belle.
Il bondit et mord férocement la queue du fauve en pleine digestion.
Vlà-t-y pas que le félin le course en rugissant de fureur, le cloue au sol d’un coup de griffe et commence à le déchiqueter avant de l’abandonner avec mépris dans un buisson d’épines.
Tout ensanglanté, le présomptueux rongeur va se plaindre auprès de la chauve-souris, qui lui répond :
« Yèèè, mon ami, tu aurais d’abord dû vérifier tes ailes, elles t’auraient permis de te réfugier comme moi dans les branches d’un baobab très très très haut après avoir titillé un fauve ».