Affaire Norbert Zongo et ses compagnons d’infortune : La France annule le décret d’extradition de François Compaoré
22 décembre 2023, 08:57, par
kwiliga
Bonjour Citoyen ordinaire, Nobila Ouédraogo, Papa,
Il semble que cette partie du texte vous ait échappée : "Depuis ce jour, le CNP-NZ s’attendait à ce que le gouvernement burkinabè entreprenne les diligences nécessaires pour la relance du dossier d’extradition de François Compaoré. Mais force est de constater que rien n’a été fait..."
Force est de reconnaitre que ça ne sort pas forcément au bon moment, parce que ça fait un peu oeil pour oeil, mais en réalité, ça n’a rien à voir avec la France.
Les juridictions françaises, en première instance comme en appel, ont décidé de l’extradition de François, c’est la Cour Européenne qui a suspendu l’extradition, demandant au gouvernement du Faso de présenter des garanties d’incarcération et de jugement.
Le gouvernement du Faso n’ayant pas daigné répondre, au bout de trois mois la suspension est devenue définitive.
La France n’a rien décidé, il faut plutôt voir ici certaines contraintes liées au fédéralisme.
Peut-être que lorsque nous serons devenus "pan... quelque chose" et que nous en perdrons une part de notre si précieuse "souveraineté", nous comprendrons mieux.
Bonjour Citoyen ordinaire, Nobila Ouédraogo, Papa,
Il semble que cette partie du texte vous ait échappée : "Depuis ce jour, le CNP-NZ s’attendait à ce que le gouvernement burkinabè entreprenne les diligences nécessaires pour la relance du dossier d’extradition de François Compaoré. Mais force est de constater que rien n’a été fait..."
Force est de reconnaitre que ça ne sort pas forcément au bon moment, parce que ça fait un peu oeil pour oeil, mais en réalité, ça n’a rien à voir avec la France.
Les juridictions françaises, en première instance comme en appel, ont décidé de l’extradition de François, c’est la Cour Européenne qui a suspendu l’extradition, demandant au gouvernement du Faso de présenter des garanties d’incarcération et de jugement.
Le gouvernement du Faso n’ayant pas daigné répondre, au bout de trois mois la suspension est devenue définitive.
La France n’a rien décidé, il faut plutôt voir ici certaines contraintes liées au fédéralisme.
Peut-être que lorsque nous serons devenus "pan... quelque chose" et que nous en perdrons une part de notre si précieuse "souveraineté", nous comprendrons mieux.