Burkina : « Le terrorisme ne dispense pas l’Etat du respect des droits humains… », rappelle le secrétaire général du MBDHP, Ali Sanou

Il n’y a qu’en Afrique et singulièrement au Burkina Faso qu’on nous rabâche quotidiennement les oreilles sur les droits humains, la liberté de presse, d’opinion etc..
.Maintenant allez expliquer aux terroristes ce que tout ça signifie, eux qui nous mènent une guerre par procuration au profit de puissances étrangères.
Dans tous les pays, en temps de guerre, une certaine retenue doit être observée dans nos libertés, surtout que l’existence même du pays est menacée dans notre cas
Mais non, certains ne savent que charger le régime et le gouvernement qui a entrepris des actions fortes pour récupérer notre territoire et aussi dans le domaine de la souveraineté économique pour la nation
On a mème entendu tantôt que juridiquement le pays n’était pas en guerre !!
II me semble que pour le moment, les intellectuels qui représentent moins de un pour cent de la population burkinabè,gagneraient, soit à mettre leur désir de liberté absolue en veilleuse, soit faire front avec les autorités actuelles pour qu’on aiile à l’essentiel et après on verra.