Pauvre panafricanisme, pauvre anti-impérialisme ! Une tribune de Kwesi Debrsèoyir Christophe DABIRE
20 novembre 2023, 08:41, par
Noproblem
D’abord le fait d’avoir des bases militaires ne constitue pas un impérialisme. C’est juste un accord de défense entre les pays concernés. Tous les pays du monde ont besoins d’alliances pour leur sécurité extérieure. Cela ne les empêche pas de s’administrer librement et indépendament.
Parlant de Mayotte, on pense ce qu’on veut, mais c’est la population de Mayotte qui a librement choisi de rester française deux fois par référendum. Peut-être qu’un jour ça changera mais ce n’est pas au Faso que ça se décidera, ni surtout à Moscou ou à Pékin. Le problème du moment à Mayotte, ce n’est pas l’indépendance, c’est l’immigration de Comoriens.
Quand au franc CFA, il est hérité de l’histoire, mais là aussi plusieurs pays Africains sont sorti ou on tenté de sortir du franc CFA. Ce n’est pas facile pour des raisons économiques, mais le franc CFA en tant que tel n’emprisonne personne. Je ne vois pas où est l’impérialisme, sinon malheureusement dans les têtes et surtout dans la propagande.
D’abord le fait d’avoir des bases militaires ne constitue pas un impérialisme. C’est juste un accord de défense entre les pays concernés. Tous les pays du monde ont besoins d’alliances pour leur sécurité extérieure. Cela ne les empêche pas de s’administrer librement et indépendament.
Parlant de Mayotte, on pense ce qu’on veut, mais c’est la population de Mayotte qui a librement choisi de rester française deux fois par référendum. Peut-être qu’un jour ça changera mais ce n’est pas au Faso que ça se décidera, ni surtout à Moscou ou à Pékin. Le problème du moment à Mayotte, ce n’est pas l’indépendance, c’est l’immigration de Comoriens.
Quand au franc CFA, il est hérité de l’histoire, mais là aussi plusieurs pays Africains sont sorti ou on tenté de sortir du franc CFA. Ce n’est pas facile pour des raisons économiques, mais le franc CFA en tant que tel n’emprisonne personne. Je ne vois pas où est l’impérialisme, sinon malheureusement dans les têtes et surtout dans la propagande.