Olivia Rouamba, ministre des Affaires étrangères : « La démocratie oui, mais il le faut à l’africaine »

Eric

Devrions nous faire notre réalité avec les limites de monsieur LEDRIAN ?? D’autant qu’il est difficile de mettre le corps d’un éléphant (Afrique) dans la peau d’un coq (LEDRIAN).
L’immensité de la complexité africaine ne saurait se limiter aux insuffisances et l’irrespects de ce petit monsieur LEDRIAN.

Les personnes de son âge en Afrique s’y prennent différemment avec le minimum d’intelligence et de sagesse. Surtout lorsqu’il s’agit de parler ce que l’on ne métrise pas. Donc, la stigmatisation et le mépris ne peuvent être de son côté et de tous ceux qui pensent comme lui. Certains par mimétisme d’ailleurs.

Si l’universalisme qui est une bulle abstraite et de pagailles sans noms était une finalité sincère, ce monsieur LEDRIAN saurait que chacun y va avec ses particularités et parler d’arrangement à l’africain revient à pointer à la face du monde son propre manque de culture et d’éducation. Qui peut être sérieux en parlant d’universalisme sans identité culturelle de cette mosaïque ??

L’inculture est ce qui poussent ceux qui méprisent l’Afrique d’agir ainsi.

Donc l’africaine qu’est madame la ministre, fruit de plusieurs identités dont africaines et universelles est légitime de parler de démocratie à l’africaine.

Cordialement.