Démocratie au Burkina : « La lutte contre le terrorisme ne peut pas s’échapper d’un encadrement constitutionnel réglementaire ou législatif », Dr Aristide Béré
15 septembre 2023, 10:13, par
Dr Sanou Mamadou
Je ne comprends pas beaucoup le jargon juridique. Ce que je retiens est que ni le pouvoir à travers ses instruments de coercition, que sont là police, la gendermerie et l’armée, ni le citoyen lamda, ne doivent mettre à profit la situation nationale pour brimer la population et de honnêtes citoyens qui ne demandent qu’à vivre dans un pays où la discrimination et le non droit sont en passe de devenir la règle.
Si vous ’avez jamais été victimes, vous ne vous ne pouvez pas comprendre de dont parlent toutes ces organisations de lutte pour les droits humains.
Je suis une victime. Et croyez moi, j’ ai complètement
changé d’avis sur le discours de ces organisations. Dès que mon problème en cours se règle, je serais un fervant défenseur des humains même au péril de ma vie s’il le faut.
La situation de guerre qui nous vivons tous, (pour rappel j’ai travaillé pendant 3ans à l’Est au cœur de l’insecurité) ne doit, en aucun cas être une porte ouverte à toute sorte d’intolérance, d’abus de pouvoir et de discrimination.
Je ne comprends pas beaucoup le jargon juridique. Ce que je retiens est que ni le pouvoir à travers ses instruments de coercition, que sont là police, la gendermerie et l’armée, ni le citoyen lamda, ne doivent mettre à profit la situation nationale pour brimer la population et de honnêtes citoyens qui ne demandent qu’à vivre dans un pays où la discrimination et le non droit sont en passe de devenir la règle.
Si vous ’avez jamais été victimes, vous ne vous ne pouvez pas comprendre de dont parlent toutes ces organisations de lutte pour les droits humains.
Je suis une victime. Et croyez moi, j’ ai complètement
changé d’avis sur le discours de ces organisations. Dès que mon problème en cours se règle, je serais un fervant défenseur des humains même au péril de ma vie s’il le faut.
La situation de guerre qui nous vivons tous, (pour rappel j’ai travaillé pendant 3ans à l’Est au cœur de l’insecurité) ne doit, en aucun cas être une porte ouverte à toute sorte d’intolérance, d’abus de pouvoir et de discrimination.