Dédougou : Une conférence de presse de soutien à la transition vire à des invectives contre des journalistes
15 avril, 15:56, par
TANGA
Chacun doit tout faire pour ne pas apparaitre si non être un vendu.
Oui, Plus de la moitié de notre pays était entre les mains des terroristes ; maintenant le pays est de plus en plus libéré.
Où étaient les politiciens qui veulent des élections maintenant ?
Où sont certains journalistes qui étaient des maîtres penseurs dont les idées ont permis un grand réarmement des terroristes ?
Voyez, quand on fait partie d’une famille dont les membres ont été chassées de leurs terres, quand on fait partie d’une famille qui a été déchirée par le terrorisme, bref quand on a subit d’une manière ou d’une autre le terrorisme et ou ces effets, on ne peut pas comprendre ni pardonner à ceux qui viennent parler d’élections ni de partis politiques alors que c’est sous ces derniers que le terrorisme a gagné du terrain.
Vous aussi sieur journalistes, vous n’allez pas faire pardon avec certains comportement que vous qualifiez de au nom de la démocratie ou liberté de parole ? Avant vous étiez aussi libres mais personne de vous n’est allé conscientiser les terroristes ; puisque vous êtes forts en paroles.
Chers journalistes, regardez ce qui se passe là où vous dies qu’il y a la liberté et vous verrez que tant que vous ne parlez pas pour les va en guerre, on vous muselle (occident et Ukraine). Au faso on vous demande seulement de ne pas agacer.
Ceux chez qui vous avez appris ce métier ne font que accompagner leurs gouvernants malgré qu’ils sont dans l’erreur.
Chacun doit tout faire pour ne pas apparaitre si non être un vendu.
Oui, Plus de la moitié de notre pays était entre les mains des terroristes ; maintenant le pays est de plus en plus libéré.
Où étaient les politiciens qui veulent des élections maintenant ?
Où sont certains journalistes qui étaient des maîtres penseurs dont les idées ont permis un grand réarmement des terroristes ?
Voyez, quand on fait partie d’une famille dont les membres ont été chassées de leurs terres, quand on fait partie d’une famille qui a été déchirée par le terrorisme, bref quand on a subit d’une manière ou d’une autre le terrorisme et ou ces effets, on ne peut pas comprendre ni pardonner à ceux qui viennent parler d’élections ni de partis politiques alors que c’est sous ces derniers que le terrorisme a gagné du terrain.
Vous aussi sieur journalistes, vous n’allez pas faire pardon avec certains comportement que vous qualifiez de au nom de la démocratie ou liberté de parole ? Avant vous étiez aussi libres mais personne de vous n’est allé conscientiser les terroristes ; puisque vous êtes forts en paroles.
Chers journalistes, regardez ce qui se passe là où vous dies qu’il y a la liberté et vous verrez que tant que vous ne parlez pas pour les va en guerre, on vous muselle (occident et Ukraine). Au faso on vous demande seulement de ne pas agacer.
Ceux chez qui vous avez appris ce métier ne font que accompagner leurs gouvernants malgré qu’ils sont dans l’erreur.