Burkina : Quand les pouvoirs peinent à assurer la pérennité des institutions et initiatives nationales !
12 avril, 12:23, par
Bob
Vous avez dit RUPTURE, REFONDATION, Changement de PARADIGME ? Et vous parlez de continuer à faire la même chose avec les mêmes méthodes et les mêmes institutions bancales ! Il faut savoir ce qu’on veut. Ce thème n’est ni pertinent ni à l’ordre du jour. Prenez le cas du Sénégal, des prédicateurs et imams se sont plaints que le président FAYE n’ait pas donné comme d’habitude l’argent pour la fête de Ramadan comme cela s’est toujours fait, la réponse officielle de l’association nationale des prédicateurs et imams a cinglante, la rupture et la bonne gouvernance commence par l’abandon des anciennes pratiques et la réforme des institutions. Quand un intellectuel se met à son clavier il doit se rappeler le contexte et les objectifs du moment. Au Burkina la REFORME de la constitution, de la gouvernance et des institutions est une question de VIE ou de MORT. Les vrais populistes ne se reconnaissent pas. Il leur manque un peu de discernement.
Vous avez dit RUPTURE, REFONDATION, Changement de PARADIGME ? Et vous parlez de continuer à faire la même chose avec les mêmes méthodes et les mêmes institutions bancales ! Il faut savoir ce qu’on veut. Ce thème n’est ni pertinent ni à l’ordre du jour. Prenez le cas du Sénégal, des prédicateurs et imams se sont plaints que le président FAYE n’ait pas donné comme d’habitude l’argent pour la fête de Ramadan comme cela s’est toujours fait, la réponse officielle de l’association nationale des prédicateurs et imams a cinglante, la rupture et la bonne gouvernance commence par l’abandon des anciennes pratiques et la réforme des institutions. Quand un intellectuel se met à son clavier il doit se rappeler le contexte et les objectifs du moment. Au Burkina la REFORME de la constitution, de la gouvernance et des institutions est une question de VIE ou de MORT. Les vrais populistes ne se reconnaissent pas. Il leur manque un peu de discernement.