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Menaces contre les hommes de médias au Burkina : Le ministère de la Communication condamne
Dans un communiqué en date du 19 octobre 2022 parvenu à Lefaso.net, le ministère en charge de la Communication réagit aux messages audios appelant à porter atteinte à l’intégrité physique et au matériel de travail de certains organes de presses, sur les réseaux sociaux. Le ministère "condamne avec la dernière énergie ces actes d’intimidation qui ne sauraient avoir place" au Burkina Faso. Le secrétaire général, chargé de l’expédition des affaires courantes, Victorien Sawadogo, saisit l’occasion pour rappeler aux utilisateurs des réseaux sociaux que ces outils doivent renforcer la cohésion sociale.
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Vos commentaires
1. Le 19 octobre 2022 à 20:55, par A qui la faute ? En réponse à : Menaces contre les hommes de médias au Burkina : Le ministère de la Communication condamne
ça ne sert à rien de condamner. Vous avez poussé le pays vers le communisme et le nationalisme aveugle. Putin que vous admirez c’est 47 assasinats de journalistes, les opposants on ne compte pas, c’est naturel. Quand Wagner sera en service on en reparlera. Et il n’y aura personne pour lever le petit doit car c’est un coup d’Etat démocratique comme ça s’appelait sous le CNR sous lequel d’ailleurs les intellectuels ont été malmenés.
Vous avez tous légitimé la bonne violence pensant que c’était contre des personnes qui méritent cela. Nous oublions vite ; voyez-vous pendant le CNR personne n’a dénoncé les éliminations physiques des personnes qualifiées de renégats, ennemies du peuple, etc jusqu’à cette élimination concerne les personnes qu’on estimes bons, et ça fait 30 ans qu’on pleure.
Vous avez vu : déjà tentatives d’assassinat (fusillade sauvage chez Abdoulaye Mossé par exemple), violence inouïe envers la France et ça n’émeut personne.
Nous oublions vite
2. Le 19 octobre 2022 à 22:47, par TANGA En réponse à : Menaces contre les hommes de médias au Burkina : Le ministère de la Communication condamne
’est votre droit de vous insurger contre ceux qui menacent.
Mais il faut aussi rappeler votre sieur alin alin à l’ordre.
Peut-on permettre qu’une personne, journaliste soit il vienne se moquer si non insulter de cette façon ?
Que coutera-t-il à vous et ou à ce sieur de demander pardon ?
Ce n’est surtout pas la première fois ; il s’en prenait à un homme de tenue qui l’avait même appelé.
Croyez-vous que nos boys vont sur le terrain donner leurs vies, laissant leurs familles derrière eux, mouillant le maillot pour venir s’entendre dire des ’’conneries’’. c’est vrai qu’il y a la liberté d’expression mais pas la liberté d’insulte ni de dénigrement. Pire, quand ce sieur s’en prend à toute une foule et plus avec les velléités du moment, que voulez-vous qu’il lui soit dit ?
Défendant votre ’’journaliste’’ de la sorte, vous ne rendez service ni à lui ni à qui prendra le même chemin. Oui par ce que ceux qui insultent sur les réseaux sociaux le font pour se décharger ; autrement si ils étaient vraiment capable de ce qu’ils ont dit individuellement, maintenant votre ’’journaliste’’ aurait été passé à tabacs. Et si X se taisait et agissait ? A qui alliez-vous imputer la faute ? Donc sachez vous aussi ne pas prendre position aveuglement mais avec rationalité en reconnaissant que ce sieur en a fait de trop.