Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 09:22, par
Bendi
Des élucubration dignes de quelque ayant élu domicile dans une cuite de dolo. Ces propos sont sérieusement décalés par rapport à la quête d’identité dont l’Africain au Sud du Sahara en a besoin. Les vecteurs de l’aliénation culturelle dont la langue est le premier symbole doivent se cacher. Les financements licites et occultes des pays arabes ne feront plus des africains d’aujourd’hui des sous-fifres consentants.
Des élucubration dignes de quelque ayant élu domicile dans une cuite de dolo. Ces propos sont sérieusement décalés par rapport à la quête d’identité dont l’Africain au Sud du Sahara en a besoin. Les vecteurs de l’aliénation culturelle dont la langue est le premier symbole doivent se cacher. Les financements licites et occultes des pays arabes ne feront plus des africains d’aujourd’hui des sous-fifres consentants.