Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
Le vendredi 05 avril 2013, les femmes Burkinabè de New York ont décidé d’oublier leurs divergences pour se consacrer à l’essentiel. En effet, elles ont organisé leur première conférence sous le thème : “ entreprenariat des femmes de la diaspora Burkinabé”. La conférence a été animée par la Congolaise Mme Doris Mpoumou de la Fédération Internationale de Planification Familiale. Une kyrielle d’interventions et notamment des témoignages des femmes Burkinabè évoluant dans le domaine ont suivi l’exposé de Mme Mpoumou.
C’est d’abord Mme Assetou Napon affectueusement appelée Miss Napon - qui s’est imposée au fil des ans et au prix de dur labeur dans le domaine de la coiffure - qui a pris la parole pour expliquer son expérience à ses sœurs. Après elle, viennent Aminata Volta Kaboré, qui œuvre dans le domaine de fabrique d’accessoires pour femmes, et Mme Wilson Panguiere Marie Berthe née Somda qui, elle, exerce dans la calligraphie, qui ont également invité les autres femmes à imiter les pas de celles qui, déjà, ont leur petite entreprise.
On notera aussi les interventions de la coordonnatrice principale de la conférence, Marceline Ayerouhé qui est aussi présidente de Femmes Sans Frontière, une association œuvrant pour la promotion et le bien-être de la femme et de Léonie Ouédraogo coordonnatrice adjointe qui ont appelé les femmes à plus d’unité.
Une délégation forte de cinq membres de la Mission Permanente du Burkina Faso auprès des Nations Unies était également présente. Mamadou Coulibaly qui a représenté l’ambassadeur Der Kogda a pris la parole au nom de ce dernier pour inviter les femmes à l’union d’esprit et de cœur. L’ambassade ne ménagera aucun effort pour les accompagner dans leur noble tâche, dira-t-il.
Ensuite, c’est Issiffou Ouédraogo, président de l’Association des Burkinabè de New York, qui a pris la parole pour remercier les femmes pour leur esprit de créativité et de combativité et a aussi appelé à l’unité des femmes. L’infatigable Sénateur Américain Bills Perkins était également au rendez-vous. On se rappelle que celui qui semble porter désormais le Burkina Faso dans son cœur avait veillé avec les Burkinabè en 2012 pendant les élections des membres du bureau de l’Association des Burkinabè de New York. Etait également présent à ce rendez-vous Mr Anthony A. L. Adjace président de “Allied African Nations Chamber of Commerce’’ qui a été l’autre conférencier du jour. Il est à noter que cette conférence entre dans le cadre des activités du 8 mars, journée internationale de la femme.
A cette occasion l’artiste Burkinabè Dez Altino a fait spécialement le déplacement de New York pour accompagner l’autre moitié du ciel et mettre du baume dans le cœur des mélomanes. Dans tous les cas, tout est bien qui finit bien. Les regards sont maintenant rivés vers l’horizon 2014 pour la deuxième conférence des femmes Burkinabè de New York.
Barnabé B. Bado à New York
Pour Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 12 avril 2013 à 22:01, par true En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
pourquoi au burkina les journalistes se comportent de la sorte. ce ne sont pas des représentante de nos femmes de new york. juste des gens qui veulent se montrer pour avoir un certain nombre d’avantage aupres des autorités de new york. je vis a ny avec ma famille et je ne suis pas le seul tout monde se plains tout le temps de ces rassemblement de 10 femmes qui prônent le nom du burkina. nous on ne vous connais ici...
STOP PLEASE YOUR ADS !!!
2. Le 13 avril 2013 à 04:05, par mimi a new york En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
des gen qi n parle pa francAI et vou parler dentreprenaria. nimporte qoi
3. Le 13 avril 2013 à 04:06, par mira a new york En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
aprener l francai dabord cher femme
4. Le 13 avril 2013 à 04:07, par bronx En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
a new yorl ici on ns sait on set qi es qi
5. Le 13 avril 2013 à 04:08, par fordham En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
gamateir on s conai tre vien ici on fai les mm jossi mm paie , mm loyer meme bill meme manger
Le 13 avril 2013 à 14:02 En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
support your sisters,stop hating, francais ou pas elle sont batente ......
Le 15 avril 2013 à 04:39, par Burkinbila En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
big up ! it is so sad to see that
6. Le 13 avril 2013 à 11:44 En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
Souvent je me demande si c’est pas le reve americaim qui les rend berzingue. Ou c’est parcequ’ils ont des dollars et ne savent pas quoi en faire, donc ils veulent qu’on parle d’eux.
Je connais NY ces femmes ne nous representent pas. Qu’ont-elles realise au pays ?
Chacun n’a qu’a profité des opportunités usa et non profité de ses freres.
GOOD LUCK
7. Le 13 avril 2013 à 16:03, par Inoussa verite USA En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
Pourquoi les internautes sont si virulents avec ceux qui ont initie un tel evenement. soyons positifs. Qu’elles parlent francais ou pas n’a d’importance. Le systeme americain est different du systeme francais ou c’est le verbillage creux ; le system americain est concret et c’est les resultats qui comptent. Quelle que soit la taille de ton business aux USA, tu feras plus d’argent que celui qui travaille au salaire. Je n’ai aucun doute que ce que Miss Napon fait l’annee depasse de loin le revenu de trois docteurs cumules. Mon ex femme a ete dans la coiffure et je sais ce que ca vaut, hors son salon etait trois fois plus petit que celui de Miss Napon. Je crois que de tels evenements sont a encourager car ils aident a promouvoir l’esprit d’entreprenariat. Encourageons nos frères et soeurs au success, c’est le Burkina qui gagne.
8. Le 13 avril 2013 à 17:43, par Africa En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
Sais domage le burkinabé restera tjr ce qu’il est même au delà des frontière.
Je suis burkinabé vivant à new York , je vien d apprendre par les média du faso cette rencontre , j y étais pas , même pas au courant , mais je suis fier de cette actions mène par mes sœur compatriotes , et ça fais la fierté des Burkinabé
Au lieu de les encourage ,vous dénigre . L Amérique est un pays de liberté ,ou chaqu un peut organisé une rencontre s’il veux .
Savez vous combien de communauté on la possibilité d organise une rencontre constritive à new York . Ou pensez vous que le sénateur américain présent n’a rien faire de ses heures si conté.
Nous vivons tous à new York , on sais qui est qui ! qui fais quoi , alors s’il vous plait , s’il est immature d encourage des bon actes pose par nos compatriotes, Faites mieux que eux , New York n’ai pas chez nous , on est tous venu se chercher , donc cherchons nous et laissons chaqu un faire qu’il est capable de faire .
Le 14 avril 2013 à 03:42 En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
Ecouter ? encourager ? Fault pas qu’ils disent dans les femmes burkinabe Mais plutot un grospuscule de femme ca va sonnet mieux
Le 15 avril 2013 à 04:31, par Burkinbila En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
grand respect a vous Africa. c’est honteux de voir que nous ne nous soutenons pas du tout. le francais nest pas notre langue maternelle et je ne vois pas en quoi elle peut etre une barriere a l’esprit d’entreprenariat. On voit ici des entrepreneurs venant d’autres pays Africain, et je pense que c’est une honneur de voire que nos compatriotes, en plus des femmes qui ont eu l’idee d’entreprendre.
Courage a brave maman.
9. Le 14 avril 2013 à 03:46 En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
Nous savons ce qu’elles ce petit groupe de femmes juste pour avoir de l’argent sous le nom des femmes burkinabe vivant a ny
10. Le 15 avril 2013 à 04:37, par Burkinbila En réponse à : Des femmes Burkinabè de New York à l’école de l’entreprenariat
c’est vraiment domage de voire a quelle nous ne nous soutenons pas ! je ne vois pas en quoi parler le francais peut etre une barriere a l’entreprnariat. le francais n’est pas notre langue maternelle et c’est touchant de voir des commentaires pareils. Ont voi partout des entrepreuneurs femmes venant des autres pays Africain mais rarement de chez nous. ces femme merite tout le soutient possible. et au cas ou elles ne parlent vraiment pas la langue francaise, elles ont un courage impressionante.
courage a nos maman