"Quelles réformes organisationnelles et institutionnelles pour une FAIB plus forte ?". C’est sous ce thème qu’est placée cette instance suprême de la faîtière. Cette assise, qui mobilise des musulmans venus de l’ensemble des 45 provinces du Burkina, est placée sous le patronage du président du Faso, Roch Kaboré et le co-parrainage du ministre en charge des libertés publiques, Pegwendé Clément Sawadogo et celui chargé de l’économie et des Finances, Lassané Kaboré. Elle a pour invité d’honneur, Bala Alassane Sakandé, président de l’Assemblée nationale.

Ce congrès ordinaire, après celui de 2015, sera une occasion pour les congressistes de faire le bilan des quatre dernières années des actions de la FAIB et jeter mieux les perspectives pour les prochaines années.

Ce rendez-vous se tient dans un contexte d’insécurité, où la religion est parfois mal interprétée par des individus pour justifier leur sale besogne. Pour les responsables de la FAIB, il s’agit également de resserrer les rangs pour œuvrer à minimiser les dérives dans la vie religieuse et promouvoir le vivre-ensemble avec toutes les confessions religieuses.

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