« Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
L’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) tient, le 25 juillet 2020 au Palais des Sports de Ouaga 2000, son congrès extraordinaire d’investiture de son candidat à la présidentielle de novembre 2020. Pour faire le point des préparatifs, le comité national d’organisation a, ce jeudi 16 juillet 2020 à Ouagadougou, animé une conférence de presse au cours de laquelle, il a pronostiqué la victoire dès le premier tour, de son futur candidat.
« Ensemble avec ZEPH, un nouveau départ en toute sécurité ». C’est le thème retenu pour ce congrès d’investiture qui va, selon le président du comité national d’organisation, Rabi Yaméogo, mobiliser des milliers de congressistes du Burkina et de l’étranger. A l’en croire, à ce jour, tout est fin prêt pour ce rendez-vous qui se veut grandiose.
« Le Burkina Faso a besoin d’un nouveau départ, d’une résilience. L’occasion est donnée au Peuple de corriger l’erreur monumentale de 2015 qui a consisté à confier le pouvoir à des aventuriers qui ont trahi toutes ses attentes. Il est donc temps pour les Burkinabè, de renouer avec des valeurs de probité en confiant leur destinée à notre candidat. Notre peuple a besoin de paix, de sécurité et de gestion transparente des affaires publiques. Les Burkinabè ne méritent pas le supplice que leur font subir nos gouvernants actuels. Nous savons notre peuple travailleur et digne. Il leur faut seulement un Président à la hauteur de leurs attentes », justifie d’ores et déjà Rabi Yaméogo, la nécessité d’un changement à la présidentielle de novembre 2020.
- Les organisateurs annoncent également que les slogans de la campagne seront dévoilés à ce congrès d’investiture
Pour le « parti du lion », le Burkina a mal en ses dirigeants. « Personne ne connaît la direction actuelle que prend le pays. Même ceux qui nous gouvernent l’ignorent. Autant que nous sommes ici, nous avons tous perdu espoir, car chaque jour avec son lot de désolation », dépeint-il avant d’affirmer que le pays a besoin d’un nouveau souffle.
Après avoir énuméré des actes à la charge du pouvoir MPP, Rabi Yaméogo a appelé les Burkinabè à ne plus tomber dans la « même erreur monumentale » de 2015. Jaugeant les ‘’atouts’’, il a confié que l’UPC est sereine et ira à ces élections avec beaucoup de sérénité. « Oui, le Lion va rugir parce qu’il est plus que jamais engagé et déterminé à défendre les intérêts des Burkinabè », a-t-il clamé.
C’est pourquoi invite-t-il les « militantes et militants, sympathisantes et sympathisants et tous les Burkinabè, épris de paix et de stabilité à se rendre massivement au palais des Sports de Ouaga 2000, le samedi, 25 juillet 2020 à partir de 09h00 pour qu’ensemble, nous montrons à notre candidat qu’il a notre soutien ».
- De g.à.d Georgette Yaméogo, responsable des femmes du Kadiogo (Ouagadougou), Dr Boniface Somé (vice-président à l’organisation), Rabi Yaméogo et Aboubakar C. Diallo (conseiller du Comité national d’organisation)
A la question de savoir s’il y aura, à l’image du parti au pouvoir, une coalition pour soutenir Zéphirin Diabré, le patron à l’organisation a d’abord donné rendez-vous à l’investiture pour la réponse avant de rappeler que l’opposition a décidé de soutenir le candidat qui sera le mieux placé, s’il y a second tour. Mais, souligne-t-il, l’UPC préfère la qualité à une quantité qui n’est pas représentative. Mieux, à l’UPC, l’on ne pense pas à un second tour, « nous allons faire un coup K.O au premier tour ».
Selon les organisateurs, et comme à son congrès en 2018, plusieurs centaines de jeunes escorteront le président du parti, Zéphirin Diabré, de son domicile au Palais des sports de Ouaga 2000.
Pour tenir compte des mesures en vigueur dans le cadre de la lutte contre le COVID-19, les organisateurs rappellent d’ores et déjà le dispositif qui sera dressé à cet effet. Aussi requièrent-ils le port des masques de protection, le lavage des mains et la prise de température.
O.L
Augustin Kahn (stagiaire)
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 16 juillet 2020 à 20:03, par Ahmed Jamaal En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Messieurs de l’UPC on gagne le pouvoir par les élections. Faites votre investiture. Remplissez la salle recto-verso avec vos couleurs aussi et après mettez vous au travail dans les campagnes. Parlez à ceux qui ne parlent pas français et qui ont reçu des forages devant leur porte que vous pouvez faire mieux. Si non il y a Kadré et Eddy qui vont s’investir aussi. Collez la paix au MPP.
Le 17 juillet 2020 à 11:09, par Mea Culpa En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Les dirigeants au pouvoir ont hérité d’un pays entier avec des frontières sûres et voilà qu’en quatre ans de gestion, ils vont nous laisser un pays en mille morceaux dont on ne sait même plus où sont les frontières.
Si le peuple burkinabé ne prend garde, Ils vont laisser un pays affaibli et déconsidéré, marqué par des zones rouges sur les cartes des diplomates. Face à la situation nationale qui devient de plus en plus critique, le peuple est interpellé à rectifier le tir avant qu’il ne soit trop tard. Leurs cartes d’électeurs joueront un rôle déterminant pour sauver ce pays des mains du MPP.
Que Dieu bénisse le Burkina Faso !
Le 17 juillet 2020 à 11:09, par A qui la faute ? En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
En tout cas celui qui a réalisé cette puclicité de campagne de l’UPC est très pro.
Le mot SECURITE choisi en dernier, phychologiquement a un impact énorme.
Seulement la flèche devait être vers la droite
J’attends de découvrir les mots que le MPP va choisir. Il ne reste pas grand’chose dans le dictionnaire qui n’est pas déjà utilisé, après 32 ans de campagnes et de pouvoir, si on exclut en plus certains termes évidemment complètement inapropriés (sécurité, force, renouvellement, intégrité, vigueur, jeunesse, honnêteté, etc)
Le 20 juillet 2020 à 08:53, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Tu as raison A qui la faute, mais en fait la flèche indique la direction du Palais des Sports de Ouaga 2000. Merci pour ta remarque pertinente.
Par Kôrô Yamyélé
Le 17 juillet 2020 à 11:10, par Jeune Patriote En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Avec le futur mariage des partis politiques de l’opposition politique, le MPP n’a aucune chance de remporter ces élections. S’il y’a second tour, le rapport de force sera en faveur de l’Opposition. Et c’est Roch qui viendra saluer Zéphirin DIABRE.
Le 17 juillet 2020 à 12:38, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Ahmed Jamaal, toi tu es un libanais et donc ne te mêle pas de nos débats de famille. Continue de voler et de tricher le fisc et colle-nous plutôt la paix. Si on veut on va élire UPC et si on veut auissi on va élire le MPP et cela ne te regarde pas. C’est au Burkina que nous allons voter notre Président, pas celui du Liban. OK ?
Par Kôrô Yamyélé
2. Le 17 juillet 2020 à 08:13, par koh En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
bien dit AHMED
on gagne par les urnes. c’est trop facile de critiquer. c’est quoi l’upc a fait ou fait pour mériter la confiance. Il faut que les gents voit avant de voter. Tout candidat vante son programme mais est ce que c’est réaliste et réalisable ?
Zeph est un libéral chose qui ne cadre pas avec nos us et coutumes qui sont basés sur la solidarité et l’entraide.
Avec le cdp on a vu les privatisations et ses conséquences et vous voulez que les burkinabè subissent cela de nouveau ?
IL FAUT LES GENTS COMPRENNENT CE QUE C’EST QUE LE LIBERALISME.
Le 17 juillet 2020 à 09:19, par Volta Noire En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Internautes @koh et @AHMED vous êtes rigolos lorsque vous dites que si l’UPC (libéralisme) vient au pouvoir, il y’aura des privatisations.
De vous à nous, il y’a-t-il plus capitaliste que ce pouvoir du MPP ?
Ce régime de soit disant socialiste a privatisé toutes nos sociétés d’Etat :
_ l’aéroport de Donsin a été vendu au consortium français MERIDIAN MARSEILLE. Dans ce contrat de délégation, le Burkina ne pourra plus développer un aéroport dans un périmètre de 400 km et c’est écrit noir sur blanc.
SITARAIL a été vendu au Groupe français BOLLORE AFRICA LOGISTICS
Les mines exploitent nos ressources avec des exonérations de taxes et impôts au détriment de nos pauvres citoyens.
_Les grands moulins du Burkina ont été vendus à des libanais.
Les terres ont été vendus de manière sauvage aux promoteurs immobiliers.
Il n’ya pas plus capitalistes que ce régime d’affairistes qui se couvrent avec une cape de socio-démocrates.
Le 17 juillet 2020 à 12:45, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Cher Volta Noire, ils ne sont pas très intelligents pour comprendre ! Ce sont des gens qu’on manipule encore pour répandre des faussetés sur ZEPH. Exactement comme en 2015 quand des Naaba mossi avaient vilipandé ici que c’est un Bissa et qu’il ne fallait pas le voter. Et plein d’idiots se sont laissés piéger en sont temps en 2015 aux présidentielles. A croire qu’il y a trop d’analphabètes au Burkina Faso !
Conclusion : C’est pourquoi je suis partant avec Mr Do Séssouma pour que le président soit choisi en alternance en fonction des régions. Celà aura l’avantage de calmer un peu l’appétit vorace des mossis pour la Chefferie quelle qu’elle soit.
Par Kôrô Yamyélé
Le 17 juillet 2020 à 09:33, par Boulgou Fils En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
De trois maux, on choisit le moindre. Alors, mieux vaut choisir l’UPC aux prochaines élections pour de nouvelles aventures mêmes risquées pour gagner consolations, que de répéter nos bêtises CDP, MPP pour nous réviser les insultes gratuites. Essayons l’UPC en 2020 pour voir dans nos espoirs.
Le 17 juillet 2020 à 11:13, par Idrissa de Saponé En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Zéphirin Diabré est la seule alternative pour sortir le Burkina Faso de cette morosité économique et de cette insécurité endémique !
En 2015, il a élaboré un programme consistant et chiffré avec des statistiques. Il faut que les burkinabé essayent ce monsieur, car il est pétri de connaissances managériales pour diriger ce pays.
3. Le 17 juillet 2020 à 09:01, par Camarade Dipama En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Cette fois-ci les forces seront équilibrées pendant ces élections. L’UPC semble prêt pour relever le défi, au regard des différentes tournées que ce parti a effectué dans le Burkina et la sous-région. Le parti a pris de l’envergure en implantant des sections et des sous-sections dans les 45 provinces du Burkina.
En tout cas, le vent souffle en faveur de l’UPC au regard du bilan médiocre du MPP.
4. Le 17 juillet 2020 à 09:30, par Nikièma En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Cette année, les burkinabé ne se feront pas arnaqués une seconde fois par le MPP ! Il est grand temps d’essayer l’UPC avec le Docteur Zéphirin DIABRE !
Avec lui, c’est certain que le pays va se développer au regard de sa maturité politique et de son parcours dans les plus grandes institutions du monde !
5. Le 17 juillet 2020 à 09:42, par Ka En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Mes enfants de l’UPC du calme : Au-delà de la brutalité des mots, il y a une leçon à tirer : Quand on commence mal, on finit mal. Ce que j’attendais, c’est qu’un jeune comme Bruno Dipama en sortant comme vous pour expliquer la préparation de l’investiture de Roch Kaboré emploi la même prétention que vous, pour que je lui dise de la fermer. Mais il a été plus intelligent que vous malgré qu’il fasse parti de la majorité.
En tant qu’un farouche partisan de l’alternance politique de notre pays avec sa jeunesse, je suis pour toute la génération issue de n’importe quel parti politique de notre pays de se préparer pour la relève. Mais pas avec cette prétention dont vous utilisez, il vous manque une vraie maturité pour convaincre le peuple Burkinabé.
Si vous me lisez sur ce forum, vous verrez que j’ai toujours dit à la majorité au pouvoir que ‘’’tant qu’on continuera à confondre l’opposition avec des ennemis du Faso, il n’y aura pas de paix sociale. Il faut jouer le jeu démocratique et acter une bonne fois pour toutes que l’opposition est légitime, qu’elle a le droit d’exister et de s’opposer, et, au contraire, qu’elle est même une richesse et une chance pour le Faso, car les bonnes idées n’ont pas de couleur politique, elles ne sont pas, loin s’en faut, le monopole des tenants du régime, elles sont susceptibles d’"émerger" de partout, y compris et surtout de l’opposition !
Mais avec votre sortie de guerre, cela ne rentre pas dans le jeu démocratique. Et je dis aux jeunes politiciens aux petits pieds comme vous, de faire attention au poids des mots, surtout prononcés devant un public qui prend à la lettre et au sens propre ce qu’il entend. On a vu les phrases comme ‘’’tu fais on te fait sans problème’’’ qui a ancré dans les mémoires du peuple Burkinabé. Quand on sort d’une situation telle que nous l’avons connu avant l’insurrection, on ne s’amuse pas à jeter en l’air pareil phrases comme vous le faites.
C’est idiot et contre-productif de chercher à imposer ou se contenter d’une fausse victoire qui "arranger’’ que votre parti. Car, l’alternance politique au Burkina n’est pas une fin en soi et encore moins un projet de société ou un programme de gouvernement, surtout pas à la majorité (pas plus que l’opposition,) mais l’avis du peuple par un programme présidentiel constructifs pour l’émergence du Faso. Et parmi les "valeurs qui fondent tout État démocratique", le premier est des élections ouvertes, transparentes, sincères et honnêtes dont les urnes ont le dernier mot.
Mais bomber la poitrine et semer la haine croyant faire mieux en disant que « le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC, est plus pire de ce qu’avance Simon Compaoré avec son bilan, car entre vous et Simon Compaoré, sauf Bruno Dipama a su modéré démocratiquement ses mots et sera parmi la relève de demain.
Ce que je lis de votre sortie d’investiture d’un homme politique de haut rang qui peut accéder au fauteuil présidentiel est un déni. Et c’est malhonnête et irresponsables de bafouer la démocratie : Car, ni le MPP, ni l’UPC ne peut dire à l’heure actuelle qui gagnera en Novembre prochain les élections.
Le 17 juillet 2020 à 12:48, par Ka2 En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Toi Ka, tu la fermes ! On t’a assez vu sur le site. Et en plus tu manques d’honnêteté dans tes posts sans oubllier ton hypocrisie outrancière. Va te faire voir !!!!
6. Le 17 juillet 2020 à 09:43, par Nahouri Fils En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
L’UPC est un parti politique d’obédience« social-libéral »,
Le social-libéralisme est une idéologie qui cherche à impliquer les êtres humains dans le processus décisionnel d’où l’accent mis sur la démocratie. Sur le plan économique et social, il promeut des institutions cherchant à concilier liberté et égalité à travers notamment la mise en place de régulations ayant pour but d’établir une concurrence équilibrée et des politiques de redistribution visant à accroître les capabilités des individus.
Le 17 juillet 2020 à 11:44, par ladji En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Il n’ya pas d’ennemi parlant de Burkinabè entre eux. Il y a des Frères et des Sœurs qui sont des adversaires simplement parce que leurs idées pour construire le bonheur pour Tous les Burkinabè divergent. Il faut policer le langage, nous avons besoin des idées et des contributions de tous même ceux qui ne partagent pas totalement nos idées peuvent être convaincus au moment où nous les mettons en œuvre et donc participer activement. Peut-être au départ n’avons nous pas eu la disposition d’esprit, la posture et les mots justes pour les convaincre au départ. Comme quoi à l’arrivée du train du développement nous pouvons être tous ensemble pour célébrer l’étape gagnée et aborder avec fraternité et courage la prochaine destination. On a en marre des idéologues qui sèment inutilement la haine dans le cœur des Burkinabè. Si nous voulons le Bien, pensons le Bien et agissons en Bien. Dégageons définitivement la haine et la division de nos esprits sinon nous resterons dans la misère morale et matérielle pour toujours, Que Dieu nous en garde et nous mette sur le chemin de la prospérité. Nos politiciens de tous les bords sont invités à Parler simplement au bien être des Burkinabè et vous les mobiliserez, marre des idéologies stériles.
7. Le 17 juillet 2020 à 11:18, par Lasso En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Internaute @Ka du parti dont on ne vendait pas chère la peau en 2010, l’UPC est venue en force aux élections couplées municipales et législatives de 2012 avec 19 députés, 19 maires et 1600 conseillers municipaux. Aux élections de 2015, quoique n’ayant pas eu le pouvoir d’Etat, l’UPC a obtenu presque 30 pourcent des suffrages, et le parti a engrangé 33 sièges de députés à l’Assemblée nationale. Aux municipales qui ont suivi, en 2016, l’UPC a obtenu plus de 3000 conseillers municipaux, 33 mairies et la Présidence du Conseil régional du Centre-est .
Aujourd’hui, au moment où le Burkina Faso se déchire, c’est un parti comme l’UPC qu’il faut au pouvoir : il a les mains propres, il a des cadres très compétents que les Burkinabè n’ont pas encore vu à l’œuvre, il n’a pas d’ennemis, et peut donc rassembler tout le monde de tous les bords pour reconstruire ce pays.
Le 17 juillet 2020 à 19:25, par Jamaal Ahmed En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Lasso faut il vous répéter que c’est dans les urnes que les élections se gagnent. Et cela loin de la télévision BF1 et du site Faso net et whatsapp. Ceux qui votent ne savent pas lire. Vos analyses bien cousues et pertinentes ne concernent que ceux qui ne sont pas enrolés . Voyez vous L’UPC est entrain de se disperser dans des histoires de fraude comme en 2015. L’UPC dit qu’il est implanté dans les 45 provinces. Il reste maintenant à vulgariser votre programme à tous les niveaux. Critiquer le MPP n’est pas un programme. Voir et diffuser la mal gouvernance ne garantit rien devant un forage ou une école qui était sous paillotte dans une certaine localité. L’UPC doit montrer qu’il peut faire mieux au lieu des critiques inutiles. Les meilleurs politiciens sont au MPP.. C’est eux qui ont aidé a l’autre pour les 27 ans . L’UPC a 8 ans de plus que le MPP. Ne les sous estimer pas.
Le 17 juillet 2020 à 19:34, par Ka En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Lasso : Si tu as remarqué, j’ai dit à la fin de ma critique que : Ce que je lis de votre sortie d’investiture d’un homme politique de haut rang qui peut accéder au fauteuil présidentiel est un déni. Oui les objectifs de l’UPC en 2015 étaient louables, c’est pourquoi son représentant Zépherin Diabré est arrivé en deuxième position des élections. Mais cette sortie avec ses phrases montre que Zépherin Diabré manque des bons conseillers. Merci de me lire.
8. Le 17 juillet 2020 à 11:20, par Xyz En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Heureusement que l’électorat c’est pas l’internet et les réseaux sociaux. Certains seront choqués au soir des élections. J’espère que ceux là qui se réclament intégres et digne arrêterons leur carrière politique après deux tentatives échouées et feront place à l’alternance au sein même de leur parti.
Le 17 juillet 2020 à 15:39, par le JUSTE En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Vraiment bit mon frère !Si les élections se gagnaient sur Facebook,Didier DROGBA serait élu président de la FIF.Le simple parrainnage l’a échappé ;donc frères internautes upcistes jouez "balle à terre".Il y’a eu tant de fissures en votre sein que sans vous maudire ,vous risquez tout au plus de devenir la 4è force politique....Au soir du 22/11/2020 !!!!
Le 18 juillet 2020 à 13:21, par Camarade Dipama En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
@XYZ est-ce que l’UPC a obtenu 33 députés en 2015 sur Facebook ? L’UPC est un parti politique qui occupe le terrain avec des militants engagés ! Et tu le sais très bien.
9. Le 17 juillet 2020 à 14:17, par guiré mohamed En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
au lieu de nous raconté de bobards commencer a boucher les trous qui se trouve devant votre siège a gounghin là on saura que vous été mieux que le pouvoir en place.vous été tous pareils
Le 18 juillet 2020 à 13:16, par YAAM SOBA En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Mon ami, il faut dire au Président Kaboré de goudronner son six-mètres à la Patte-d’oie ! Si tu veux que la rue où se trouves le siège de l’UPC il faut aller voir le ministre des infrastructures ou soit le maire de Ouaga. C’est le MPP est ses alliés qui gèrent le budget de l’Etat. Donc il leur appartient de réaliser des infrastructures.
Le 20 juillet 2020 à 09:01, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Le Burkina Faso ne mérite pas le supplice que lui font subir nos gouvernants actuels », soupire Rabi Yaméogo, président de l’organisation du congrès d’investiture de l’UPC
Guiré Mohamed, apparemment tu ne connais rien de la gestion du bien public ! Il appartient à la Mairie, dirigé par un du MPP, de boucher ces trous car c’est sur la route qui est un domaine public ! Cet enseignement est gratuit pour toi. OK ?
Par Kôrô Yamyélé