Lutte contre le covid-19 : Evaluation des mesures gouvernementales suivant une modélisation mathématique
La propagation du COVID-19 au Burkina Faso ne laisse pas indifférente le domaine de la recherche scientifique. La commission Ad’Hoc COVID-19, présidée par le Dr Serge DIAGBOUGA, mise sur pied par le Haut Conseil National de la Recherche Scientifique et de l’Innovation (HCNRSI), a fait appel à l’équipe du Pr Blaise SOME du Laboratoire d’Analyse Numérique d’Informatique et de Biomathématique (LANIBIO) de l’Université Joseph KI-ZERBO pour une évaluation mathématique de l’impact socio-économique des décisions gouvernementales sur les populations.
Cette évaluation a développé plusieurs méthodes mathématiques dont certains ont permis d’élaborer un calendrier prévisionnel de propagation du covid-19 au Burkina Faso et d’autres ont permis de comprendre la propagation dans les villes et villages du Burkina Faso. Les modèles ont aussi fourni le taux d’infection au Burkina Faso qui est d’environ 25%.
Vos commentaires
1. Le 20 avril 2020 à 19:16, par xavier En réponse à : Lutte contre le covid-19 : Evaluation des mesures gouvernementales suivant une modélisation mathématique
ça c’est kel charabia ?? Je vois rien en math. A la faveur de cette satanique maladie on aurait tout vu et entendu
2. Le 21 avril 2020 à 09:55, par Kisito En réponse à : Lutte contre le covid-19 : Evaluation des mesures gouvernementales suivant une modélisation mathématique
Je voudrais comprendre deux choses :
1. Pour la zone 2, il est dit qu’il a été enregistrés au moins 1 cas et on traduit cela par 0<R0<1. Qu’est-ce qu’on entend alors par nombre de reproduction de base ? Ce nombre est-il un entier ?
2. Je constate qu’il y a des localités qui ont enregistré plus d’un cas qui se retrouve dans la zone 2.
Rendez l’analyse plus accessible et revoyez la présentation des pages (page 2 inversée).
Cordialement !
3. Le 21 avril 2020 à 12:21, par esspoir999r En réponse à : Lutte contre le covid-19 : Evaluation des mesures gouvernementales suivant une modélisation mathématique
Revoir la classification des cas et des paramètres qui les soutiennent (au moins un cas, c’est un cas et plus), au plus un cas, c’est soit un cas ou 0 cas). En plus, ramener ce raisonnement au niveau du citoyen lamda pour être utile. Ces concepts peuvent même être transcrits en langue locale pour être mieux compris. Il faut de plus en plus socialiser les maths.