Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
David Depoutot et Toussaint Bamouni, respectivement chef de projet et chef de projet adjoint de CIMBURKINA, ont animé ce mardi, 2 avril 2013 à Ouagadougou, une conférence de presse. Au menu des échanges avec les journalistes, l’état d’avancement du projet de construction de l’usine de ciment dans la zone industrielle de Kossodo.
Les choses, selon les conférenciers, avancent depuis la signature le 17 décembre 2012. « On n’a jamais chômé depuis », assure David Depoutot. La société sous-traitante, Sinoma, est déjà à pied d’œuvre sur le site de l’usine pour la construction des premiers bâtiments. Une équipe d’ouvriers chinois a été présentée aux hommes de média. A leur tête, Gao Xin, DG de Sinoma. A termes, il y aura sur le site 250 ouvriers chinois. Et si tout se passe bien, le premier sac de ciment est attendu pour avril 2014 et la commercialisation du ciment CIMBURKINA pour juin 2014. Le défi que se sont lancés les initiateurs du projet, c’est de mettre dans un délai de 18 mois un centre de broyage de clinker d’une capacité de 650 000 tonnes de ciments par an.
Les principaux matériaux importés du Togo
Le clinker et le gypse, matériaux entrant dans le cadre du ciment seront importés du Togo, où existe une usine du même groupe (Heidelberg Cement), à savoir CIMTOGO. A ces matériaux importés, sera ajouté le calcaire dolomitique, produit à Dandé, dans la région de Bobo Dioulasso.
A en croire les explications du Toussaint Bamouni, le ciment produit avec le calcaire dolomitique est de meilleure qualité que celui produit avec du calcaire. Des analyses faites au Ghana, en Allemagne et aux Etats-Unis le prouveraient.
Mais, les Burkinabè peuvent-ils s’attendre à une baisse du prix du ciment avec l’arrivée des produits CIMBURKINA.
Là-dessus, les conférenciers disent ne pas être en mesure de donner de garanties, invoquant le fait qu’ils ignorent encore ce que sera l’environnement économique dans un an. David Depoutot a également mentionné le problème de coût de l’énergie qui fait que c’est difficile de garantir d’avance des prix inférieurs à ceux pratiqués actuellement (6 000 – 7 000 F CFA le sac de 50 kg). A l’entendre, la priorité c’est d’agir d’abord sur l’offre et la qualité. Ensuite viendra un moment où les prix vont baisser par le jeu de la concurrence.
R.A.S dans les relations avec les populations riveraines
Mais, quid des rapports de la société avec les populations riveraines.
Sur la question, les conférenciers disent ne pas avoir de problèmes particuliers avec les populations riveraines, s’il en existe. Selon M. Depoutot, sa société a déjà indemnisé les 109 familles concernées par l’installation de leur usine.
Pour ce qui est de la manifestation passée des étudiants de Kossodo qui seraient contre l’installation de leur unité, le chef du projet CIMBURKINA assure que cela ne les concernait mais plutôt une société concurrente qui avait voulu s’installer à côté de la cité des étudiants. Depoutot et Bamouni assurent que les dispositions de protection de l’environnement seront prises, conformément au permis qui leur a été délivré par les autorités. Ils ont parlé de filtres qui vont protéger les populations de la poussière, quand bien même, disent-ils, leurs installations ne sont pas de nature à créer des nuisances à la nature puisqu’il s’agit d’une usine de broyage et pas une usine intégrée de fabrication de ciment.
Grégoire B. BAZIE
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 2 avril 2013 à 20:24 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
ON VEUT DU CIMENT VRAIMENT MOINS CHER LE RESTE ON S’EN FOU
Le 3 avril 2013 à 05:26, par Yamambaala !!! En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Effectivement, c’est ce qu’ils (nos promoteurs) n’ont toujours pas compris. Nous nous en foutons des compositions, des dosages et des provenances des matières premières, ce qui nous intéresse, que le ciment fabriqué soit de QUALITE, MOINS CHER et aussi disponible en QUANTITE, le reste là c’est de la littérature.
Le 3 avril 2013 à 07:48, par Omar Dembélé En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
le reste tu t’en fou ??? du courage à toi ! va voir à Dakar les immeubles qui s’effondrent, tu comprendras que le reste, nous on s’en fiche pas, car on veut de la qualité !
Le 3 avril 2013 à 11:22, par naalam En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
merci la ba Omar Dembélé.
Le 4 avril 2013 à 07:56, par Omar Dembélé En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Je me prépare à organiser une marche contre l’importation de 250 ouvriers chintoque au Burkina Faso la semaine à venir. En plus on a aucune relation diplomatique avec ce pays qui ne nous apporte rien sauf importer ces chinoiseries ici, le comble, après les JC, on veux nous servir des employés à la place de nos frères et sœurs.
Le 3 avril 2013 à 11:40, par Bercy93 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Omar Dembélé, si vous aviez bien lu le message de Yamambaala !!! vous verrez qu’il n’a pas dit qu’il s’en fout de la qualité. Il a dit : " que le ciment fabriqué soit de QUALITE, MOINS CHER et aussi disponible en QUANTITE, le reste là c’est de la litterature". Chers internautes, de grâce, prenez le temps pour lire bien les messages avant de critiquer.
Le 3 avril 2013 à 13:42, par Sage homme En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Il faut lire entre les ligne.il a bien di kil s’en fou dela composition.alors dis moi ce qui fait la qualité ?Merci
Le 6 mai 2013 à 15:31 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Il est un consommateur de ciment. ce qui l’interesse c’est du ciment de qualité, en quantité et moins cher. Cela veut dire tout simplement que les aspects techniques ou la composition chimqiue du ciment ne l’intéressent pas. cela ne veut pas dire qu’il n’st pas intéresé par le ciment. C’est tout simplement une question d’intérêt en tant que consommateur. De la même manière que les dirigeants politiques vous demandent, à al veille du début de la saison des pluies, si la saison des pluies va être abondante ou déficitaire ? Ils ne sont pas interssés par la distribution temporelledes pluies tout au long de la saison, en tout cas à la veille du début de la saison des pluies. Cela ne signifie pas qu’ils se désintéressent de la question. Le volet qui les intéresse c’est la quatité des pluies (le cumul des pluies pour la saison qui est un indicateur pour eux pour prendre des décisions d’importation de vivres ou de distribution de semences appropriées et/ou de l’’engrais,, etc.) .
Le 3 avril 2013 à 07:48 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
EST CE QUE TOI MEME TU ES MOINS CHER !
Le 3 avril 2013 à 07:55, par Lakbé En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Cette réflexion est très propre du Burkinabé qui ne veut pas évoluer et qui ne pense qu’à son intérêt personnel, cela explique où nous en sommes aujourd’hui au pays des hommes soi-disant intègres. C’est ce genre de pensée qui nous tue, quand le citoyen burkinabé a doit à une baguette entière de pain et qu’on lui donne le cinquième, il dit merci malgré le fait que celui qui l’offre la baguette lui a volé les 4/5ème, c’est stupéfiant et magnifique. Mais bon, à chacun son inquiétude, moi je me demande seulement si l’importation de travailleurs chinois pour sa construction ou pour son exploitation, permettrait réellement de créer des emplois pour les burkinabés. Je me demande aussi si simplement cette entreprise ne serait pas là pour prendre nos maigres sous et les rapatrier ailleurs, d’où une perte sèche pour notre économie et pour la population. Il faut qu’on apprenne à défendre correctement nos intérêts à travers de bonnes négociations, ne pas vendre notre pays pour une bouchée de pain comme c’est le cas dans tous les projets actuels au pays.
Le 3 avril 2013 à 08:05, par ECONOMISTE En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
pourquoi jusqu’à 250 employés chinoix sans pour autant faire cas de nos chaumeurs ici à ouaga et même laba à bobo ou c’est de la catastrophe. héé ! le pauvre burkina c’est juste pour lutter contre le chaumage chinoix et une exploitation non durable de nos ressources naturelles. Et le chef du projet est incapable de nous rassurer de la baisse du ciment burkina. S’il ya investissement et estimation de la production s’est qu’il y’a eu analyse de l’environnement économique.Attention à ces genres de seduction.
Le 3 avril 2013 à 09:03 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
c’est maintenant que tu apprends à connaitre ces chinois ? les chinois fonctionnent comme ça partout en afrique. cimburkina fait de la sous traitance avec la société chinoise sinoma,eh ben,ne pense pas trouver des compatriotes au sein de sinoma,p-e les trop sales boulots. et l’argent,ils rapatrient tout et les perdants c’est bien nous.
Le 3 avril 2013 à 10:54 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
mon frère l’économiste tu devrais au moins savoir écrire "chômeurs" et "chômage" !!!!!!! non ?
Le 3 avril 2013 à 11:52, par Ras Terror En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Et toi tu n’as vu que "chaumage",il y a "chinoix".franchement l’Etat devrait les mettre en garde pour un eventuel ecroulement d’immeuble avec ces produits chine toc
2. Le 2 avril 2013 à 22:54, par tengsoaba En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
600 ouvriers chinois pour construire le site ! J’ai rien contre les chinois mais je ne pense pas que le burkina manque d’ouvriers. Un peu de serieux.
Le 3 avril 2013 à 11:02, par indjaba En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Les Burkinabè parlent trop et comme on ne sait jamais qui est le vrai proprio des sociétés minières, des sociétés de BTP, des société de cimenteries et des sociétés immobilières, souffrez que la plupart des postes soient confiés à des étrangers.
Le 3 avril 2013 à 11:10, par la pétasse de la patte d’Oie En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
La Suisse n’est plus sure pour la cache du gombo sale. Avec la crise ivoirienne , libyenne et autres, on a tous été témoins des gèles de fonds des acteurs politiques (Gbagbo, Blé, Kadafi etc) par les les puissances et institutions mondiales. Pour parer à toutes éventualités et garantir un héritage aux rejetons, les politiciens africains qui détournent blanchissent désormais une bonne partie de leur gombo en investissant sous couvert dans les BTP, les immeubles et les sociétés bizarres (mines, ciment etc.).Mais bon cela ne se fait dans tous les pays. Cela se fait dans les pays où le peuple accepte que ça se fasse.
3. Le 3 avril 2013 à 00:00, par dibi En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
250 ouvriers chinois !!! et personne s’en émeut.
Les chinois sont pires que les occidentaux.
Nos gouvernants doivent protéger les emplois sinon...
Le 3 avril 2013 à 12:53, par Omer En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Les ouvriers chinois, c’est la garantie de finir le projet dans les délais. Essayez avec les nationaux, ils signent des contrats et dès que le projet avance, ils passent tous en grève et demandent n’importe quoi. Ce sont des maitre chanteurs. Ce n’est que le debut. personne n’aime voir cela mais il faut être objectif.
4. Le 3 avril 2013 à 03:43, par Bizarre En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
À l’horizon fin 2015 nous aurons au Burkina 3 sociétés qui produisent du ciment : le groupe DIAMOND déjà en place, CIMBURKINA SA et CIMAF. Ce frémissement industriel devrait à priori nous réjouir mais il y’a des questions qui interpellent .
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N’avons nous pas tiré les leçons des erreurs d’implantation de DIAMOND au nord ouest de Ouaga qui oblige les remorques de linker à traverser la ville de Ouaga (facteur d’encombrement des voies et risque d’accidents) pour atteindre la cimenterie qui aurait du être sur la route de fada.
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Pourquoi concentrer les 3 usines dans la banlieue de Ouaga ?
Le Burkina ce n’est pas seulement Ouaga. D’autres villes sur l’axe Lomé Ouaga auraient du bénéficier de l’une des usines d’autant plus que le clinker est importé du Togo. Pour mémoire, du temps de Sangoulé, pour implanter la première minoterie (aujourd’hui GMB) qui importe du blé par le train pour fabriquer de la farine le choix n’a pas été Ouaga ce qui était possible mais Banfora sur l’axe abidjan-ouaga pour permettre à cette ville d’amorcer son développement.
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Une usine de ciment à Ouaga c’est bon une 2 eme toujours à Ouaga c’est un signe de mal gouvernance une 3ème toujours à Ouaga alors qu’il yen à pas d’autres ailleurs au FASO c’est une absence de Gouvernance et de vision. On a le sentiment qu’ après la patrimonialisation qui est achevée il y’a la Ouagalisation de tout ce qui est implantation d’industrie qui est amorcée comme si on voulait réduire le Burkina à Ouaga. Ce qui est corroboré par l’usine de fruits en cours de construction dans la banlieue de Ouaga.
A mon humble avis le PF doit revoir sa copie et rectifier le tir pour que les autres villes et provinces du Burkina puissent bénéficier aussi des retombés de la politique d’industrialisation.
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Une cimenterie c’est une industrie polluante qui ne s’installe pas dans les agglomérations mais loin de celle ci. Et au plan technique une cimenterie à besoin de clinker obtenu à partir de calcaire donc doit s’implanter à côté d’un gisement de calcaire pour avoir au plan économique la matière première à coût moindre. Y at il un gisement de calcaire dans le Kadiogo qui justifie que les trois usines soient dans la peripherie de Ouaga ?.
Tantque notre industrie de ciment ne sera bas bâtie sur une logique rationnelle ce sera pour produire le ciment le plus cher de l’Afrique et gruger le pauvre Burkinabé qui achètera son ciment à plus de 120.000 la tonne alors que dans les autres pays de la sous-région qui ont une cimenterie le prix varie entre 60.000 et 80.000 au plus la tonne.
Le 3 avril 2013 à 10:40, par samogo En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Tres bonne analyse.
5. Le 3 avril 2013 à 04:58, par shalom En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
encore des rapaces qui a long terme vont finir par vendre le sac a 10 000frs en créant une fausse baisse de l’offre et bla bla bla
6. Le 3 avril 2013 à 05:26, par professeur En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
si c’est pour nous vendre le ciment au même prix,"dégage"
7. Le 3 avril 2013 à 06:51, par kenleche En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Verifiez les infos les amis : Gao XIn n est pas Directeur a SINOMA....
8. Le 3 avril 2013 à 07:48 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Bon, avec 250 ouvriers chinois comme travailleurs, on va pas résorber le chômage des burkinabè !
9. Le 3 avril 2013 à 07:49 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Je ne comprend plus rien. Usine de broyage et pas une usine de fabrication du ciment. Et dans le titre le journaliste nous dit usine de broyage, le premier sac de ciment attendu en avril 2014. Bref tout est confus pour moi
Le 3 avril 2013 à 13:25 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
L’usine de Kossodo va bel et bien produire du ciment. Mais, tous les matériaux entrant dans le cadre dece ciment n’est pas produit sur place à Kossodo. On vous a parlé de Clinker et de gypse qui seront importés du Togo. Ces matériaux sont produits par une autre usine installée dans ce pays. Et la fabrication de ces matériaux pose quelques soucis environnementaux.
Et CIMBURKINA en ne fabriquant le Clinker et le Gypse sur place ne se sent pas concerné par les problèmes environnementaux. Broyage : pour obtenir le ciment, il faut passer par le broyage de roches (clinker, gypse, calcaire).
L’auteur de l’article
10. Le 3 avril 2013 à 07:51 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Et quelles seront les nuisances dans l’environnement immédiat de cette usine dans cette zone industrielle ? Après les odeurs de Tan Aliz, on pourra ajouter les poussières et les odeurs du ciment des chinois. Merci à nos gouvernants qui s’en foutent royalement de l’environnement et de la santé du peuple
11. Le 3 avril 2013 à 07:59 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Le prix du ciment ne va pas baisser. La Sonabel promettait une baisse de son kwh avec l’interconnexion et il n’a jamais baissé
12. Le 3 avril 2013 à 08:26, par Nobga En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Hum ! Si vous saviez à qui appartient cet investissement houps ! ce blanchiment.
13. Le 3 avril 2013 à 08:32 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
du ciment Chinois vous dites ??? faites attention dè !!!
14. Le 3 avril 2013 à 09:04, par leregard En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Etoffer le tissu industriel est sans doute une excellente chose pour le Faso. Mais une cimenterie est une insdustrie très polluante (Cf. cimenterie de Zaghtouli). Pourquoi avoir implanté la cimenterie à Kossodo au mileu d’une zone habitée ? Pourquoi les autorités (santé, sécurité,envionnement, etc.) ont-elles donné l’accord ? Dans 10, 20 ou 30 ans, on notera une recrudescence de cancers des poumons ou au mieux de maladies respiratoires sans que personne se soit désigné comme responsable . La cimenterie sera au Nord alors que les vents dominants en saison sèche sont des vents du Nord, d’stt ou du Nord-Est. Cela veut dire que toutes les poussières seront poussées vers les populations installées au sud de l’usine et elles n’auront rien pour se protéger. En plus des nuisances causées par la tanerie de la belle mere nationale, on ajoute la poussière qui est insidueuse car elle est si fine qu’elle pénètre profondément dans les poumons et n’en sort plus causant toutes sortes de maladies. A mon avis, une telle usine doit être isntallée hors des zones habitées et qu’il n’y a pas de zone habitée au sud de l’usine. On parle d’avoir indemnisé les populations. Je veux bien mais cela couvre-t-il les risques encourus par le spopulations ? Sans doute de nombreuses populations jugées hors empreinte de l’usine ? Ces indemnisations prennent-elles en compte leur santé future ? On les a tout simlement exproprié de leurs parcelles, mais on n’a sans doute pas pensé aux populations dont les parcelels ne sont pas concernénées par l’espace nécessaire à la construction de l’usine.
15. Le 3 avril 2013 à 09:35, par Uncitoyen En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Pourquoi 250 ouvriers chinois pour la construction des bâtiments ? Je crois que si les gens doivent manifester , c’est contre ce genre de pratique. On n’a rien contre les chinois mais il y’a quelque chose qui ne va.Nos frères sont incapables de faire le même travail d’ouvrier que fait ses chinois ?
Le 3 avril 2013 à 12:02 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Fallait pas choisir la société SNAMO pcq les Chinois travaillent ainsi et depuis longtemps.Quand une société chinoise gagne un marché,c’est 100% chinois(personnels,matériels etc) pour cela je ne les supporte pas trop.
16. Le 3 avril 2013 à 10:30, par Tang-zug bugum En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
J’espère qu’on ne va pas utiliser encore Bamouni et le jeter dehors comme à la CIMAt et à Jossira. C’est le genre de burkinabè prêt à défricher les champs et lorsqu’arrive la floraison on leur dit dehors !!!
En un mot comme en mille, nous voulons du ciment de bonne qualité et à un prix acceptable c’est à dire aux prix fixés actuellement à Abidjan
17. Le 3 avril 2013 à 10:30, par Ras Terror En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Il faudra que l’Etat les mettent en garde dès lors.si une immeuble construite à base de leurs produits chine toc venait à s’ecrouler sur des personnes ça sera un crime contre l’humanité
18. Le 3 avril 2013 à 10:33, par Prosper En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Je pense qu’il y a assez d’entreprises au Burkina capables de construire cette usine. au moment où le chômage des jeunes se pose avec acuité, on donné du travail à 250 chinois. il faut que nos autorités soient plus regardant sur la question de l’emploi quand ils donnent des agréments aux multinationales. il est vrai qu’on est dans un système libéral, mais même les pays qui nous ont imposé ce libéralisme priorisent leur citoyens.
19. Le 3 avril 2013 à 10:34, par Pakisto En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Bonnes gens, ces 250 ouvriers qui vont arriver sont-ils ceux de Zeph ou d’Ablassé ?
Avec quelle Chine entretenons-nous des relations diplomatiques pour accepter cette invasion jaune ? Pour ce que je sais, ces chinois vivront comme des rats, se contentant du minimum d’achats locaux, entassés dans des cagibis pour pouvoir rapatrier toutes les devises amassées alors que pendant ce temps, il y a plein des jeunes burkinabé qui réclament un emploi. Quelle est la part contributive des programmes/fonds nationaux de promotion de l’emploi des jeunes à cette manœuvre ?
Un aspect positif dans cette importation de main-d’œuvre chinoise : pas de grève, travail en continu pour achever la construction dans des délais records.
Mais qu’auront-ils appris aux burkinabé qui viendront les voir à la tache ? Le transfert de technologie se trouve où ?
Mes chers amis, en plus de la poussière fine dans nos poumons, ce projet me parait de la poudre aux yeux. Ouvrons bien l’œil et le bon sinon nous sommes foutus avec ces marchands d’illusion.
20. Le 3 avril 2013 à 10:52, par Le Pégésseois En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Du courage à vous Mr BAMOUNI et à votre nouvelle équipe. Pourvu que l’usine en plein temps de fonctionnement réduise un temps soit peu le chômage au BF et que le ciment produit soit à la hauteur des attentes des burkinabè. Bon vent à vous comme vous avez si bien dirigé à la CIMAT dans le passé.
Signé : un de vos anciens employés de l’ex-cimenterie CIMAT (actuel DCB) !
Le 3 avril 2013 à 11:47, par Bercy93 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
J’espère que le ciment ne sera pas du chinetoc comme les téléphones cellulaires china...
Le 3 avril 2013 à 16:05 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
il faudra te déguiser en chinois puisque les travailleurs pour sa construction sont 250 chinois.
21. Le 3 avril 2013 à 12:00, par Bizarre En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
À l’horizon fin 2015 nous aurons au Burkina 3 sociétés qui produisent du ciment : le groupe DIAMOND déjà en place, CIMBURKINA SA et CIMAF. Ce frémissement industriel devrait à priori nous réjouir mais il y’a des questions qui interpellent .
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N’avons nous pas tiré les leçons des erreurs d’implantation de DIAMOND au nord ouest de Ouaga qui oblige les remorques de linker à traverser la ville de Ouaga (facteur d’encombrement des voies et risque d’accidents) pour atteindre la cimenterie qui aurait du être sur la route de fada.
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Pourquoi concentrer les 3 usines dans la banlieue de Ouaga ?
Le Burkina ce n’est pas seulement Ouaga. D’autres villes sur l’axe Lomé Ouaga auraient du bénéficier de l’une des usines d’autant plus que le clinker est importé du Togo. Pour mémoire, du temps de Sangoulé, pour implanter la première minoterie (aujourd’hui GMB) qui importe du blé par le train pour fabriquer de la farine le choix n’a pas été Ouaga ce qui était possible mais Banfora sur l’axe abidjan-ouaga pour permettre à cette ville d’amorcer son développement.
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Une usine de ciment à Ouaga c’est bon une 2 eme toujours à Ouaga c’est un signe de mal gouvernance une 3ème toujours à Ouaga alors qu’il yen à pas d’autres ailleurs au FASO c’est une absence de Gouvernance et de vision. On a le sentiment qu’ après la patrimonialisation qui est achevée il y’a la Ouagalisation de tout ce qui est implantation d’industrie qui est amorcée comme si on voulait réduire le Burkina à Ouaga. Ce qui est corroboré par l’usine de fruits en cours de construction dans la banlieue de Ouaga.
A mon humble avis le PF doit revoir sa copie et rectifier le tir pour que les autres villes et provinces du Burkina puissent bénéficier aussi des retombés de la politique d’industrialisation.
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Une cimenterie c’est une industrie polluante qui ne s’installe pas dans les agglomérations mais loin de celle ci. Et au plan technique une cimenterie à besoin de clinker obtenu à partir de calcaire donc doit s’implanter à côté d’un gisement de calcaire pour avoir au plan économique la matière première à coût moindre. Y at il un gisement de calcaire dans le Kadiogo qui justifie que les trois usines soient dans la peripherie de Ouaga ?.
Tantque notre industrie de ciment ne sera bas bâtie sur une logique rationnelle ce sera pour produire le ciment le plus cher de l’Afrique et gruger le pauvre Burkinabé qui achètera son ciment à plus de 120.000 la tonne alors que dans les autres pays de la sous-région qui ont une cimenterie le prix varie entre 60.000 et 80.000 au plus la tonne.
Le 3 avril 2013 à 12:32, par 2IE En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Je dirait même plus bizzare car ces industries sont énergivores et nous sommes en déficit structurel au niveau énergétique.
Je ne vois pas de valeur ajoutée à ce type d’industrie car l’énergie étant sbventionné au Burkina c’est comme si on subventionnait ces industries.
A quoi sert-il alors de subventionner des industries si on peut commander moins cher le ciment au Togo et Bénin qui ont des atouts naturels ( Phosphate).
Le Burkina a besoin d’unité intelligente non énergivore comme les centrales solaires, les usines de fabrications de plaque solaire ou de composants électronique etc..
Des unités où il y’a plus d’intellect que de main d’oeuvre donc plus de valeur ajoutée.
Vraiment , nous faisons tout à l’envers dans ce pays.
22. Le 3 avril 2013 à 12:17, par L’AFRICAIN En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Ce matin, j’ai cru avoir mal entendu le chiffre de 250 Ouvriers chinois, mais je viens de voir que je suis dans le vrai. Quand même, un peu de sérieux au Faso, est-ce à dire que notre expertise est -elle aussi pauvre à ce point ? quelqu’un peut il me dire quelle qualification professionnelle il faut avoir pour être un ouvrier dans une cimenterie ? Ou bien est-ce que le Faso serait devenu le dépotoir de la main d’œuvre non qualifiée chinoise ?
Quand est-ce que les Africains comprendront -ils qu’ils doivent négocier des contrats en faveur du transfert de technologie, seule voie pour atteindre le développement réel de nos industries ?
Si nous ne pouvons même pas négocier pour faire le travail d’ouvrier, alors quand est-ce que nous allons pouvoir négocier pour faire le travail d’ingénierie ?
Cette invasion d’ouvriers chinois signifie que le jour ou le Burkina voudrait nationaliser cette cimenterie, nous ne pourrons même pas faire fonctionner les appareils les plus simples à plus forte raison, connaitre les combinaisons à faire pour parvenir à du ciment. En clair, nous sommes toujours importateurs de ce qui se produit sous nos yeux et avec nos matières premières !
Réveille -toi Afrique, réveille -toi pendant qu’il est encore temps !
23. Le 3 avril 2013 à 12:30, par le bon citoyen En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Si ce n’est pas l’état, personne ne confiera un travail serieux aux burkinabès qui vont baclés et l’usine tombera avant même son inauguration.
Mais le choix de Ouaga n’est pas du tout refléchi. Vous dites que Ouaga grandi de manière exponentielle et vous ne faites rien pour developper d’autres localités.
Dans 10 ans tout le burkina se résumera à Ouaga
24. Le 3 avril 2013 à 12:48, par ELVIS En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Arreter de nous insulter ! Soit il reviendra moins cher , oubien vous arrete le projet au lieu de faire partir notre argent en Chine
25. Le 3 avril 2013 à 13:35, par Alliendé En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Pourquoi c’est toujours nous qui sommes en veste cravate et non les autres qui viennent nous aider. Petit Burkinabè est top complexé !!!!!!!!!
26. Le 3 avril 2013 à 16:03 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Avec une cimenterie de plus pour la Sonabel, il va falloir anticiper la consommation électrique si on ne veut pas des délestages de 15 heures par jour lorsque cette usine des chinois va fonctionner en 2014.
Si on importe le clinker et le gypse du Togo, la route nationale qui va au Togo ne va pas résister longtemps avec ce trafic accru en camions. Il n’y a pas de gisement au Burkina de ces produits ?
Le 3 avril 2013 à 18:02, par Le Pégésseois En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Parlant du gisement des produits entrant dans la composition du ciment : le gisement pour le clincker (au moins 85% à 95% de la composition du ciment) n’existe pas au Burkina. Il arrive souvent même qu’il soit importé d’Europe par bateau jusqu’au port (Lomé par exemple) pour parvenir ici. Le gypse (5% à 10% environ du ciment) est une matière première tirée de la mer, sa couleur rappelle d’ailleurs celle de la plage. Donc ces deux composantes essentielles ne peuvent pas se trouver au BF (à moins qu’avec une chance minime à l’avenir on ait des traces pour le clincker), et donc pour le moment l’importation s’impose pour ces usines de cimenterie. Ce sont seulement les ajouts comme le calcaire dolomitique (0% à 10% environ du ciment) qu’on peut trouver ici, ce dernier d’ailleurs n’entre pas dans la composition du ciment lorsqu’il s’agit du CPA (0% d’ajouts) qu’on veut fabriquer ! Bonne réception.
Le 4 avril 2013 à 00:51 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
en clair cette nouvelle cimenterie pouvait être installée ailleurs et très loin de la capitale. cette histoire ressemble à du n’importe quoi.
Le 4 avril 2013 à 07:49 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Dans ce cas, pourquoi ne pas utiliser le chemin de fer que de gâter nos routes en passant par le port d’Abidjan. De plus, on doit pouvoir trouver des gisements de gypse dans ce pays. Car, c’est avec du gypse que l’on fait également du plâtre et des craies avec.
Si on doit tout importer, autant importer directement le ciment. Cela ne va pas nous coûter plus cher.
27. Le 3 avril 2013 à 16:32 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Quand c’est les mines qui recrutent quelqu’un a Ouaga pour aller travailler sur les sites, il ya une mobilisation générale. C’est des manifestations a n’en pas finir sur l’EMPLOI LOCAL. Comme si c’est pas des burkinabès qui viennent travailler. Voila maintenant c’est 250 Chinois qui vont venir prendre le travail que les burkinabe peuvent bien faire. ESSAKANE, BISSA, PERKOI sont des investissement plusieurs centaines de Milliards de FCFA, mais c’est des Burkinabè qui ont construits ces mines. On n’a pas vu débarquer des centaines d’ouvriers Canadien, Australien pour faire la Job ? Et pour un petit investissement de quelques Milliard, on fait debarquer des centaines d’ouvriers chinois et ça n’émeut personne. DONC JE NE VEUX PLUS VOIR DE MANIFESTATION CONTRE LES MINES SUR L’EMPLOI LOCAL.
28. Le 3 avril 2013 à 19:28, par Le REVOLTE En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Dans un pays ou le taux de chômage est de moins de 5% souffrons qu’on nous amène 250 chômeurs pour rétablir l’équilibre mondial.
Le 3 avril 2013 à 23:02, par Bruant En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
moi je ne crois pas que ca appartient aux chinois. c’est pour un membre du gouvernement. les chinois sont employes juste parceque nous les burkinabes allaient decouvrir un jours ou l’autre la realite.
Le 4 avril 2013 à 01:06 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
hahahahaha ta blague là est trop bonne. c’est vrai qu’avec un taux de chomage de 2.3%,tous les pays du monde nous envient. pauvre burkina avec ses statistiques bidons pour se chatouiller en se grattant le cul.
Le 4 avril 2013 à 07:52 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Ton chiffre ne veut rien dire car 1/3 de la population est sous employé car vendre des arachides au bord de la route ou des cartes de téléphone est du chômage déguisé en réalité car c’est juste pour se payer un repas par jour pour survivre
Le 4 avril 2013 à 08:45 En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
Hum, mon ami. Vous êtes en parfaite phase de compréhension entre toi et "Le REVOLTE" (d’ailleurs son pseudo en dit quelque chose), seulement ce dernier a ironisé sur l’état réel du chômage au Burkina.
29. Le 4 avril 2013 à 14:16, par ZORRO En réponse à : Usine de broyage de CIMBURKINA à Kossodo : Les travaux avancent, le premier sac de ciment attendu en avril 2014
250 chinois ? Ce sont des situations comme ça qui permettent de voir si on a une assemblée digne de ce nom pour interpeler le gouvernement sur la question.
Je ne peux absolument pas comprendre qu’au moment où le gouvernement met en place des fonds tous azimuts pour lutter contre le chômage des jeunes, il puisse permettre qu’on "importe" 250 ouvriers chinois pour venir construire une usine. De qui se moque-t-on ? Les Burkinabè ne sont-ils pas en mesure de faire le même travail ?
Imaginez 250 chômeurs à qui on donnerait ces emplois, ça fait combien de familles qui vont en bénéficier ? Au lieu de ça, ces messieurs du gouvernement vont encore à leur fameux point de presse du gouvernement pour nous parler leur gros français.