Vos commentaires

• 1. Le 14 mars 2020 à 21:50, par jan jan En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  Et les personnes ki ont participe a la messe de dimanche avant le 8 mars, kel sont les dangers kil cours, les a-t-on contacter ??

  • ^ Le 16 mars 2020 à 08:42, par J’aime le Burkina Faso En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

    Oui, beaucoup de personnes sont suivis individuellement par le gouvernement et assignés à domicile par les médecins.
    Je fais partie de ces gens et beaucoup de mes connaissances sont aussi en quarantaine. Voici une personne concernée qui peut vous donner un élément de réponse objectif. Pour vous rassurer que des mesures sont prises.

• 2. Le 14 mars 2020 à 23:26, par Taaangaa En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  Touche pas à mon gombo. Lisez math 7:15. S’ils étaient pour les brebis ils allaient laisser fermer. Malheureusement...

• 3. Le 15 mars 2020 à 10:59, par TANGA En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  Jusqu’à présent, nous n’avons pas entendu que le couple pasteur demande à tous ceux qui ont été en contact avec eux d’aller se faire dépister. Ou l’a t il fait sans passer par les ondes ?
  Ce qui est sûr, ç’aurait été plus tranquillisant pour la population d’entendre cela vu que pasteur est beaucoup écouté par ceux qui le fréquentent. Aussi, par ricochet ceux qui ont rencontré les personnes qui ont été en contact avec le couple doivent aller se faire dépister.
  Croyez-moi, si cela n’est pas fait, il ne faudra pas seulement avoir peur d’une possible stigmatisation d’une ethnie au Burkina ; il y aura stigmatisation d’un groupe religieux et avec juste raison.
  Monsieur le Pasteur, c’est ce que vous voulez ?
  Pour quelle raison donc ?
  Pour dire que les autres vous font la guerre et importer des forces étrangères au pays avec votre protégé ?
  Allons seulement.

  Web Master, laisses passer SVP !

• 4. Le 15 mars 2020 à 11:07, par Albatross En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  Que Dieu bénisse le Burkina la terre des hommes intégres

• 5. Le 15 mars 2020 à 15:47, par caca En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  Le gouvernement du Burkina Faso a décidé d’interdire toutes manifestations d’envergures du pays pour empêcher la propagation du virus COVID 19. Quelques jours après, les établissements scolaires et autres lieux sont interdits au public et depuis lors nombres internautes demandent la fermeture des lieux du culte (catholique, protestants, musulmans).
  Dans ce post, je souhaite apporter ma contribution à condition que le modérateur du lefaso.net accepte publier.
  J’ai déjà tenté d’expliquer que la fermeture des lieux de cultes relève pas du pouvoir du gouvernement. Quelqu’un qui ne pas renseigner peut n’est pas comprendre mon propos. Car de nos jours, il est rare de parler le pouvoir temporel opposé au pouvoir spirituel. Cette expression est même absente dans notre vocabulaire commun, cependant il existe bien deux pouvoirs distincts que tout gouvernement bien informé évite de s’ingérer dans les affaires du spirituel et le spirituel dans le temporel. C’est dire la complexité des rôles et tâches de l’un comme de l’autre. Les deux pouvoirs existent bien dans l’occident chrétien et confondu les pays musulmans.
  Qu’est-ce que un pouvoir temporel et spirituel ?
  Dans l’Occident chrétien, le pouvoir a été réparti entre autorités temporelles et spirituelles :
   à l’Église était reconnu un pouvoir spirituel exercé sur les âmes, concernant le salut à travers la définition et le maintien du dogme (tradition, conciles...) dans le cadre de la religion ;
   aux souverains et aux pouvoirs civils était reconnu le pouvoir temporel, restreint aux affaires humaines et à l’ordre social, et exercé sur les corps et sur les biens.
  Dès lors, deux juridictions distinctes se sont mises en place et cohabitent ensemble sans mélange du genre.
  Ici je veux l’incompétence du gouvernement à interdire le cultuel au nom du coronavirus. La liberté du culte est une obligation pour le gouvernement, la liberté de conscience et ainsi du fait religieux. La religion est une organisation sociale qui relève du pouvoir spirituel. Elle dispose une autorité spirituelle pour élaborer ses doctrines et disciplines sans aucune intervention du pouvoir temporel. La seule chose qui autorise le pouvoir temporel à intervenir dans le spirituel c’est le cas d’abus spirituel reconnu. Dans ce contexte, le temporel peut prendre une décision et interdire le culte religieux. Prenons un exemple simple et banal. Le coronavirus a été déclaré d’urgence sanitaire par l’OMS’ une structure spécialisée de l’ONU. Au Burkina les premiers cas ont été détectés par un couple pastoral qui avait participé à un rassemblement religieux en France. Dans la ville de ce rassemblement religieux est reconnu comme un foyer de propagation du virus lors de service religieux qui a rassemblé plus deux milles personnes venus de plusieurs pays.
  C’est à son retour dans son pays que ce couple a appris les nouvelles et certains de leur contact ont été positif à coronavirus. C’est dans ce contexte, se sentant des symptômes que le couple délibérément s’est présenté au service sanitaire et le test était positif dont une prise en charge sanitaire.
  En résumé, à partir de maintenant le gouvernement (le temporel) est son devoir naturel d’empêcher la propagation du virus mais ne peut décrété de fermer les lieux du culte. Il pouvait le faire si le pasteur en question avait abuser de son autorité spirituelle. Mais il fut premier avant la décision du gouvernement à interdire les rassemblement qui ressort de ses compétences. Chez lui, depuis lors, il n’y a plus de rassemblement religieux, et il d’ailleurs exhorter les fidèles à se faire dépister. Dans l’Eglise protestante, catholique et les musulmans les mesures adaptées ont été prise sans même la décision du gouvernement. De là à intervenir dans le spirituel sera une erreur judiciaire pour le gouvernement, car jusqu’à présent du côté de spirituel il n’y a eu d’abus pour exposer les croyants aux dangers du coronavirus. Le gouvernement pouvait intervenir au moment où un rassemblement est convoqué dans le but de favoriser la propagation.

• 6. Le 15 mars 2020 à 16:15, par Hamed En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  la ministre a dit de ne pas passer à la panique c’est bien vrai mais mieux vaut prendre la disposition possible pendant qu’il est temps je passe un message à tous mes frères et soeur mes parents et amis de vite et surtout de ne pas se saluer avec la main de se protéger et protéger la famille car le coronavirus ça tue et ça tue depuis là j’ai toujours pas de nouvelles pour les malades qui n’ont toujours pas été guéri

• 7. Le 15 mars 2020 à 16:46, par Claude En réponse à : Coronavirus au Burkina : 7 cas confirmés

  Cette évolution est vraiment à prendre très au sérieux. Il ne faut surtout minimiser les effets de cette maladie. Les propos publiés ici même le 13 par le soi-disant professeur Nicolas MEDAH sont tout bonnement criminels. Honte à lui !
  Comment laisser croire à la population que cette maladie ne se propagera pas au Burkina si les mesures préconisées par les autorités politiques, médicales et religieuses ne sont pas respectées.
  Le Burkina connaît déjà trop de souffrances et de décès pour ne pas prendre en compte ces recommandations afin de limiter la propagation de cette nouvelle maladie.