Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
En sa séance du 3 juillet 2019, le Conseil constitutionnel du Burkina Faso a décidé de se saisir de la loi portant modification du Code pénal afin d’en contrôler la conformité à la Constitution.
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Vos commentaires
1. Le 5 juillet 2019 à 13:24, par PIONG YANG En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Normal. Il faudrait bien justifier les milliards servis à des haut fonctionnaires lourdement budgétivore. Une institution qui ne veux rien dire dans un pays comme le notre. Il faut bien gesticuler pour qu’on ne les oublie quant il faudrait aller à la soupe.
Le 5 juillet 2019 à 15:36, par le Vigilent En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Ainsi raisonnent, ecriventet parlent les pauvres d’esprit ! Jamais satisfaits de rien, mais incapables de rien du tout ! PIONG YANG, pautre de toi. Tu prends les membres du Conseil Constitutionnel pour tes compagnons du kiosque de boissons frelates, ronges par l’alcool et completements irresponsables !? Evite, a l’avenir, de polluer le forum avec des inepties pareilles.
2. Le 5 juillet 2019 à 13:43, par Adama En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Très bonne initiative de la part des sages. Félicitations à l’ensemble des acteurs.
3. Le 5 juillet 2019 à 14:15, par garkou En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
C’est dur dur au FASO. On verra ce que les Sages du Burkina Faso vont dire Qui savait qu’il ya aura terrorisme dans ce pays quand on votait notre constitution !!! C’est arrivé ah voyez ce qui est bon pour nous, la vie de l’HOMME s’est aussi l’adaptation
4. Le 5 juillet 2019 à 18:32, par Bebeto En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Je souhaite qu’ils ne nous disent pas qu’au nom de la liberté, chacun de nous peut diffuser et dire tout ce qu’il veut. Les moyens de communications des terroristes sont limités, parce qu’ils savent qu’on peut les prendre. C’est nous mêmes qui faisons la quasi totalité de la communication et de la publicité des actes terroristes.
Le 7 juillet 2019 à 10:22, par Paul KÉRÉ En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Le nouveau code pénal à mon avis est conforme à la Constitution. Mesdames et Messieurs les membres et Honorables jugez que le nouveau code pénal est conforme à la Constitution burkinabè car on ne peut pas accepter ni les injures sur internet, ni les entreprises de démobilisation de nos FDS. C’est de ça qu’il s’agit. Paul KÉRÉ.
5. Le 6 juillet 2019 à 23:18, par Sidbewindin Somande En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Il faut trouver un moyen légal pour que les gens fassent moins de bruit dans la lutte contre le Terrorisme. Pour tuer un serpent, il faut pas trop faire de bruit sinon il disparaîtra. Les Terroristes sont pire que les serpents. Confiance donc aux sages pour nettoyer et clarifier le nouveau code à problèmes.
6. Le 7 juillet 2019 à 10:27, par Paul KÉRÉ En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Bien vu sidbéwindin ainsi que nettoyer la vermine des internautes malveillants qui n’ont d’autres mots que les injures des autres. Allons seulement. Mon cabinet va se spécialiser dans le procès des vampires du net. On identifie l’adresse IP et on fait citer la personne au besoin avec des condamnations qui feront perdre le boulot à ces voyou “sui generis” d’un genre particulier...
Le 7 juillet 2019 à 22:21, par Ka En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Très souvent je ne cautionne pas les analyses de Paul Kéré, mais ici il a très bien vu en tant que juriste pour le code pénal que je soutiens sans condition. D’ailleurs les internautes récalcitrants ont remarqué que je n’ai rien dit à ce sujet. Je suis d’accords avec Paul et l’internaute Sidbwindin, qu’on sanctionne sévèrement les dérives de quelques internautes imprudents qui se permettent même d’insulter le président du Faso comme si c’était une de leurs maîtresses, et aller dormir tranquillement. Pourtant a Kossyam on n’a même pas besoin des recherches d’un IP pour intercepter le message d’un internaute récalcitrant, le Burkina comme au temps du RSP, et au sein de son armée, des techniciens et des infiltrés du net peuvent vous débusquer comme dans tous les cœurs des états de ce monde en un jour même avec plusieurs pseudos dans un Cyber café, ou devant son ordi, ou téléphone. C’est pourquoi je ne cesse pas d’avertir aux internautes que ‘’’l’anonymat (tout à fait relatif) dont ils pensent jouir sur le Web ne les protège absolument pas, et ne les autorise pas à toute forme de dérive. L’être humain ne peut se permettre de tout faire, car il y a les règles de la nature dont il faut respecter.
7. Le 7 juillet 2019 à 13:54, par Le Vigilent En réponse à : Loi sur le Code pénal : Le Conseil constitutionnel s’en saisit
Les faux journalistes et autres activistes excités et probablement inconscients ou foncièrement méchants pourfendent le code pénal révisé parce qu’il ne leur permet plus de poursuivre leurs sales besognes. En quoi pénaliser la publication, en ce temps de guerre contre le terrorisme, d’informations sensibles ou de nature à saper le moral des troupes constitue une atteinte à la liberté de presse et au droit du public à l’information ? Ils oublient que la publication d’informations dont le contenu et la forme sont ceux recherchés par les terroristes et leurs commanditaires est une atteinte à la sécurité du pays. Ils parlent du droit du public à l’information comme si les éléments qu’ils publient sont ceux souhaités et demandés par le public. Ils veulent tout juste satisfaire leurs fantasmes et de faire une publicité à moindre frais, c’est tout. Qui dit que parmi eux ne se cachent pas des propagandistes, commis et payés par les groupes terroristes ou par ceux qui nourrissent le secret espoir que le chaos s’installe définitivement dans notre pays du fait des actions terroristes ?’