Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Le don de tablettes de la société Huawei aux députés et aux membres du gouvernement ne passe pas dans l’opinion publique burkinabè. Entre frustrations et déception parfois, le citoyen lambda y va de ses analyses et commentaires en fonction, soit du contexte, soit de la loi ou des deux à la fois. Pour éclairer la lanterne de l’opinion sur cette question à polémique, nous avons approché une des structures nationales au cœur de la lutte contre la corruption et pour la moralisation de la vie publique au Burkina : le Réseau national de lutte anticorruption (REN-LAC). A travers cet entretien qu’il nous accordé dans l’après-midi de mercredi, 16 novembre 2016 au siège de l’organisation, le chargé de plaidoyer et lobbying, Bruno Goudouma Kéré, est sans équivoque …
Lefaso.net : L’actualité nationale est dominée par cette affaire de tablettes aux députés ; quelle a été votre réaction quand vous avez eu l’information ?
Bruno Goudouma Kéré : Quand j’ai eu l’information, la première chose a été de chercher à vérifier son exactitude. Je me suis effectivement rendu compte qu’elle était publiée sur le site de l’Assemblée nationale ; ce qui dénote d’une certaine crédibilité de l’information en débat sur la place publique. Egalement, il y avait beaucoup de choses qui se disaient et je suis allé chercher à comprendre comment les choses se présentent et c’est-là que je me suis rendu compte qu’à partir de 2013, il y a eu un processus de discussions avec cette société en question dans le sens d’un projet particulier dans le domaine des TIC. C’est ce processus qui a vraisemblablement abouti en 2016 à la conclusion d’un marché d’une valeur d’environ quatre milliards de FCFA avec ladite société. Lorsque j’ai obtenu ces informations, ça a suscité en moi des interrogations. Bien évidemment, tout comme les autres citoyens, ce sont des actes qui ont suscité des commentaires, des interrogations…, au regard surtout du contexte actuel qui commande, en tout cas, une lutte assez sérieuse contre la corruption. Ce qui implique également que, de la part des gouvernants, l’on puisse donner le bon exemple en matière de gouvernance. Je crois que l’esprit de l’insurrection était que, évidemment, tout ce qu’on a pu observer comme dérives graves dans la gouvernance pendant environ trois décennies, soit banni et que s’instaure un vrai climat de bonne gouvernance. Or, avec ce geste, l’on se pose vraiment des questions, et c’est vraiment dommage.
Lefaso.net : Le REN-LAC est à l’avant-garde, avec la loi anti-corruption, de la lutte pour la moralisation de la vie publique. Au regard des contours, peut-on dire que cet acte tombe sous le coup de la loi anti-corruption ?
Bruno Goudouma Kéré : Evidemment, cet acte tombe sous le coup de la loi. La loi interdit formellement les cadeaux, dons et autres avantages en nature. Cette interdiction est faite aux agents publics dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leur fonction. Quand on parle d’« agent public », la loi donne une définition assez large qui comprend les députés, les membres du gouvernement, les maires…bref, tous ceux qui exercent un mandat électif ou un mandat nominatif. De ce point de vue, le don qui est fait, que ce soit celui fait aux membres du gouvernement, ou celui à l’endroit des députés (http://www.assembleenationale.bf/La-Ministre-du-Developpement-de-l-Economie-numerique-et-des-Postes-Aminata-Sana), tombe sous le coup de la loi. On a cherché à comprendre si le don qui est ainsi fait tombe dans les exceptions (puisque la loi a prévu des exceptions) et personnellement, je suis arrivé à la conclusion que ce don ne tombe pas dans ces cas. En conclusion, c’est une infraction qui est prévue : le délit d’acceptation de cadeau indu.
Lefaso.net : Quelles peuvent être les conséquences de l’acte ?
Bruno Goudouma Kéré : Les conséquences d’une telle acceptation, du point de vue de la loi, sont des sanctions pénales constituées d’une peine d’emprisonnement et d’une peine d’amende. Quel que soit le montant (la valeur de l’amende à prononcer), ou le quantum de la peine d’emprisonnement prévus par la loi, ce qui est important ici, c’est que ce sont des députés et des ministres qui sont en infraction et je crois que sur cette base, c’est un très mauvais signal ; parce que ce sont des gouvernants, et si ceux-ci se comportent de cette manière-là, évidemment, ça pose problème.
La question peut également être analysée sous un tout autre angle, surtout sous celui relatif à la corruption dans la commande publique et à ce niveau, on peut se référer à l’article 45 de la loi anti-corruption selon lequel : « Est puni d’un emprisonnement de deux à cinq ans, et d’une amende équivalent au triple du montant ou de la valeur de l’avantage reçu ou à percevoir, tout agent public qui, à l’occasion de la préparation, de la négociation ou de l’exécution d’une commande publique ou d’un contrat ou d’un avenant conclu au nom de l’Etat ou des collectivités territoriales, des Etablissements publics d’Etat ou des sociétés d’Etat, perçoit ou tente de percevoir, directement ou indirectement, à son profit ou au profit d’un tiers, une rémunération ou un avantage de quelle que nature que ce soit de la part d’un contractant privé ».
Je crois qu’en faisant ce don, et selon le communiqué qui est établi sur le site de l’Assemblée nationale, il est clairement dit que, justement, le don intervient dans le cadre d’un partenariat avec la société Huawei et quand on a fouillé, on s’est effectivement rendu compte que le partenariat, c’est dans le cadre de la commande publique. Donc, le lien entre le don qui est fait et la négociation, la conclusion et, probablement, l’exécution du marché public qui est attribué à ladite société est clairement établi, il n’est plus à discuter. Le fait, que les membres du gouvernement et les députés acceptent ce cadeau, tombe sous le coup de l’article 45 de la loi relative à la corruption d’agents publics dans le cadre de la commande publique.
Il y a des mécanismes qui devraient normalement pouvoir permettre de sanctionner les auteurs d’un tel acte. Mais, ces mécanismes se révéleront inopérants dans ce cas précis, tout simplement parce que les membres du gouvernement et les députés sont tous justiciables de la Haute Cour de justice. Et devant cette Cour, la procédure est faite de telle sorte que la poursuite ne peut être enclenchée qu’à partir d’une résolution de mise en accusation qui est votée par l’Assemblée nationale. On comprend facilement donc que dans le cas d’espèce, que l’Assemblée nationale ne prendra jamais une résolution pour l’engagement de poursuites des députés ou des membres du gouvernement devant la haute Cour de justice. Donc, les mécanismes prévus seront inopérants.
A mon avis, la véritable sanction de ces dérives comportementales de la part des gouvernants ne viendra que du peuple. En dehors de la sanction populaire, je ne vois pas, du point de vue judiciaire, comment les mécanismes prévus pourront être efficaces pour sanctionner ceux-là qui sont mis en cause aujourd’hui. Quand on suit les commentaires, on sent effectivement que les gens sont très remontés parce qu’ils se sentent trahis dans leurs aspirations en matière de lutte contre la corruption. Si le peuple laisse faire, peut-être que le pire reste à venir. Mais, le peuple ne laissera certainement pas passer cet acte. Il a les moyens de recadrer les gouvernants (membres du gouvernement et députés) qui se sont autorisé cet écart de comportement.
Aussi, au-delà même de tous ces aspects, je crois qu’après une insurrection populaire, et dans un contexte très difficile qui est le nôtre, où les aspirations profondes de notre peuple trouvent difficilement des réponses, il est difficilement admissible qu’on puisse observer de tels comportements de la part de nos gouvernants. Le mot le plus simple, c’est que c’est choquant.
Lefaso.net : Les mécanismes d’une éventuelle sanction sont difficilement ‘’enclenchables’’… Mais, vous qui êtes un des acteurs pour l’aboutissement de la loi anti-corruption, et au regard de l’obstacle sus-évoqué, quelle peut désormais être l’action du REN-LAC ?
Bruno Goudouma Kéré : C‘est vrai, la contribution du REN-LAC est assez importante mais c’est notamment en ce qui concerne l’adoption de la loi anti-corruption. Quand vous prenez les reformes relatives à la Haute Cour de justice, le REN-LAC n’a pas été impliqué. Donc, s’il y a des failles à ce niveau, on ne peut pas reprocher cela au REN-LAC. Je crois aussi qu’aucun texte au monde ne saurait être parfait ; quelles que soient les précautions prises dans la rédaction d’une loi, tant que les personnes à qui elle est censée s’appliquer ne sont pas animées d’une bonne foi, elles trouveront des failles pour pouvoir s’en tirer. Mais, l’action du REN-LAC n’est pas seulement confinée dans le carcan judiciaire. Si les textes permettent qu’on aille devant une juridiction, on y va. Au cas contraire, notre rôle, c’est de continuer à éveiller la conscience des citoyens. Quand on observe les réactions de toutes parts, on peut dire que le travail que nous faisons porte parce que, les citoyens se sont fait aujourd’hui le relais du REN-LAC pour exiger que la loi soit effectivement appliquée.
Nous continuons donc à faire ce travail pour dire aux citoyens à chaque fois qu’il est nécessaire, qu’il faut de la mobilisation et de la détermination pour arriver à recadrer les gouvernants. C’est un travail qui nous paraît important, c’est un travail de longue haleine, qui se mène sans découragement et nous pensons qu’un jour, on aura à percevoir les fruits de ce travail que nous sommes en train de faire ; parce que, plus les citoyens seront éveillés, plus ils seront déterminés à se battre pour que ça s’arrête, évidemment, les gouvernants n’auront le choix que de suivre ce que le peuple veut. Pour le moment, peut-être que la mobilisation n’a pas encore atteint ce niveau et notre rôle, c’est de travailler à ce que ce contrôle populaire puisse prendre forme, que les citoyens puissent s’organiser pour constituer des garde-fous dans la conduite des gouvernants.
Lefaso.net : Mais, le cadeau est passé par le gouvernement, entité qui a autorisé la passation du marché avec l’entreprise en question. N’est-ce pas un élément à prendre en compte ?
Bruno Goudouma Kéré : Les informations que j’ai lues, et à partir du communiqué qui est fait sur le site de l’Assemblée nationale, c’est que ce n’est pas seulement aux députés que le don est fait ; avant les députés, il y a eu les membres du gouvernement qui en ont reçu. Donc, rien que cette partie déjà pose problème. La corruption, dans le sens de l’article 45 suscité, est encore plus directe avec les membres du gouvernement qu’à l’égard des députés. C’est pour dire que autant les regards sont portés sur l’Assemblée nationale autant ils doivent être portés sur l’exécutif.
Lefaso.net : Remettre le cadeau ou changer de destinataires peut-il rectifier le délit de corruption ?
Bruno Goudouma Kéré : L’acte est déjà consommé ; en matière pénale, il y a un certain nombre d’éléments qu’il faut réunir pour que l’infraction soit consommée et je crois que si on s’en tient à ces éléments, les intéressés ayant effectivement accepté le don, l’acte est déjà posé et on ne peut pas l’effacé.
Lefaso.net : Pas plus tard que ce matin, une source proche du dossier confiait que « le don a été fait pour le travail parlementaire » et que c’est le Président de l’Assemblée nationale qui a, au regard du nombre, décidé sur-le-champ d’attribuer une tablette à chaque député et de remettre le reste au secrétariat. Tel que formulé, n’a-y-t-il pas un bémol ?
Bruno Goudouma Kéré : J’ai dit tout à l’heure qu’il faut surtout voir le lien entre l’acte de donner les tablettes (que ce soient aux membres du gouvernement ou aux députés) et le marché qui a été attribué à la société. Ce lien est établi ; le communiqué est clair là-dessus que c’est dans le cadre du partenariat entre l’Etat burkinabé et ladite entreprise. Or, la loi dit clairement que tout agent public qui accepte des dons ou cadeaux, de quelle que nature que ce soit, dans ou à l’occasion de la négociation, de la passation, de l’exécution ou même du contrôle de l’exécution d’une commande publique tombe sous le coup de la corruption. Donc, de mon point de vue, ce sont des gymnastiques pour essayer de trouver une porte de sortie. Si tel était le cas, pourquoi passe-t-on par le gouvernement pour remettre aux députés. Pourquoi c’est aux députés et pas à la justice ou aux étudiants par exemple, qui sont dans le besoin ? Pour moi, ce don a été fait à ces acteurs parce que, le parlement et l’exécutif constituent des maillons importants ; ils disposent de véritables pouvoirs que ce soit dans le processus contrôle ou de l’exécution du marché public qui a été attribué à la société ou encore dans le mécanisme de sanction des éventuels manquements de la part de l’entreprise dans l’exécution dudit marché. A supposer qu’après l’attribution du marché, il y ait des problèmes dans le cadre de l’exécution, c’est véritablement l’exécutif qui a les moyens de sanctionner les manquements qui viendraient à être constatés.
Le Parlement a aussi la possibilité, et je crois que l’histoire récente nous donne encore assez d’illustrations, de mettre en place une commission d’enquête parlementaire pour voir si le marché a été passé dans les conditions normales, et si l’exécution est normalement faite, etc. Je crois d’ailleurs qu’avec la législature qui a pris fin en 2012, il y a eu une commission d’enquêtes sur les marchés publics qui a révélé beaucoup de choses. C’est donc pour dire que l’Assemblée nationale a un véritable pourvoir qui entre justement dans le cadre de l’exécution de ce marché. L’exécutif a également d’importants pouvoirs, depuis le processus de passation jusqu’à l’exécution et peut-être même jusqu’au contrôle de l’exécution de ce marché.
De ce fait, ce don pourrait être une forme détournée pour l’entreprise de vouloir s’assurer une certaine couverture ; parce que si elle a la sympathie de l’Assemblée nationale, la sympathie de l’exécutif, ça veut dire qu’elle a les coudées franches pour faire tout ce qu’elle voudra dans le cadre de ce marché. Il y a beaucoup de questionnements qui surgissent aujourd’hui même sur le plan de la sécurité informatique. Il n’y a pas d’autre mot que de dire que c’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise. Il revient au peuple d’apporter la réplique nécessaire pour recadrer les dérives des gouvernants.
Oumar L. OUEDRAOGO
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 17 novembre 2016 à 14:14, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Si le peuple ne peut rien faire contre les députés votés et dont les mandats courrent jusqu’en 2020 avant qu’on ne les sanctionne dans les urnes, en revanche le peuple peut exiger de Rock et du PM de démettre tous les ministres et d’en nommer de plus probres et très vite. Donc OSC, Syndicats, Citoyens de tout bord, à vos marques !!
Par Kôrô Yamyélé
Le 17 novembre 2016 à 14:46, par tenga biiga En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Mon frere tu n’as rien a dire, tu fais partie de ceux qui pensent qu’un miracle se fera au BF apres Blaise. IL faut donner du temps aux gens de travailler ; on ne change pas en un clin d’oeil ce qui etait la pendant plus de 25 ans. L’ OSC, les Syndicats,... peuvent parler et s’agiter comme ils veulent mais cela ne changera rien. Le Faso se construira avec le temps...
Le 18 novembre 2016 à 10:07, par Sidpasata Veritas En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Monsieur "tenga biiga", vous avez raison de dire qu’il faut « donner du temps aux gens de travailler ; on ne change pas en un clin d’oeil ce qui etait la pendant plus de 25 ans ». Le jour ou vous prendrez en flagrant délit des maçons-voyous en train de voler les matériaux des constructions que vous mettez à leur disposition pour réparer votre mur qui est tombé, il ne faudra pas les arrêter tout de suite, surtout si ce sont de vieux voleurs qui ont une longue expérience de plus de 25 ans. Car il faut leur donner le temps de travailler et vous verrez le changement qu’ils vont opérer dans votre maison. De toute façon, même si vous les arrêtez et les livrez à la police qui va les sanctionner, ça ne servira à rien puisqu’on ne peut pas les changer en un clin d’oeil !
J’espère que nous sommes toujours d’accord sur votre principe selon lequel il faut donner du temps, et ne pas se précipiter pour arrêter ceux qui font mal ! N’est-ce pas, cher monsieur "tenga biiga".
Si vous n’êtes plus d’accord avec moi, quand on applique votre principe à la protection de vos biens personnels, je dirai alors que la différence entre les vrais patriotes et ceux qui ne le sont pas vraiment, c’est que les premiers défendent le bien commun national avec la même vigueur que s’il s’agissait de leurs biens personnels, alors que les seconds sont prêts à fermer un oeil (par indifférence coupable, par pudeur, lâcheté ou intérêts égoïstes) quand le bien commun national est malmené, alors qu’ils se montrent très farouches dès lors que leurs biens personnels sont exposés.
NON ! PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT ! et ce n’est pas qu’un slogan ! Comprenne qui pourra !
Le 18 novembre 2016 à 11:25, par Burbur-sob En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Excellente réplique avec un parfait exemple !!
Y en a marre de ces conciliations bidonnes !!! Donner quel temps ? Ils ont promis de changer le visage du pays après 3 mois seulement (un autre 1/4 de tour quoi...!?), au lieu de cela, des apprentis-sorciers demandent du temps pour mieux voler, mieux tromper... mieux nous enfariner.
On parle de comportements déviants qui tombent sous le coup de la loi, pas d’autre chose ! Le problème est très précis, si ce n’est pas aujourd’hui qu’on met le holà, il sera très tard demain.
Le 18 novembre 2016 à 12:56, par kiso En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Bien répondu à cet internaute.continuez à conscientiser les gens qui réagissent avant de réfléchir ou qui réagissent par fanatisme.Effectivement si l’exemple est pris sur lui même,il comprendra mieux.Bonne journée.SOURABIE
Le 18 novembre 2016 à 14:01, par Christopheur En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
C’est du très très Propre Veritas, je partage votre avis...
Le 18 novembre 2016 à 13:05, par Diemil En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
C’est dommage tu fais parti de ceux qui incarne la malédiction au Faso avec en tête Salif !!!!
C’est bien triste pour notre pays.
Le 18 novembre 2016 à 13:47, par KOULOU En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Bonjour mon frère desolé mais le monsieur a tout dit on leur demande pas de miracles mais de respecter au moins les principes élémentaires de la loi sur la corruption.
Merci.
Le 21 novembre 2016 à 19:48, par Rov En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
J Pense Q Nous N’Avons Chassé Blaise Pour Q Çela Continu.
Le 17 novembre 2016 à 15:09, par Mino En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Les tablettes sont-elles la propriété privée des députés ou pas ? Si à la fin de leur mandat ils restituent les dites tablettes, je ne pense pas qu’il y ait corruption puisqu’il n’y a pas eu d’enrichissement personnelle.
A moins que quelqu’un ne m’éclaire d’avantage.
Le 17 novembre 2016 à 17:40, par zwwa En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Tres bonne approche et question que vous posez la, les cadeaux ont ete fait a l’assemblee nationale ou au deputes personellement ?
Le 18 novembre 2016 à 10:27, par Remarque En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
La Ministre du Développement de l’Economie numérique et des Postes, Aminata Sana/Congo a remis le jeudi 10 novembre 2016, au Président de l’Assemblée nationale Salifou Diallo, un lot de 130 tablettes numériques au profit des députés. Je pense que c’est bien claire les amis
Le 18 novembre 2016 à 10:28, par "LE VIEUX" En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
QUE LES DEPUTES LES GARDENT OU PAS, L’ACTE DE CORRUPTION EST ETABLI.
C’EST COMPRIS ???
Le 18 novembre 2016 à 11:18, par pabegba En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Le problème y aura pas espionnage et nos députés ne peuvent pas s’acheter des tablettes ? ou bien c’est l’enrichissement le plus préoccupant , il reste tout de même un partenaire donc y a corruption. évitez surtout les cadeaux compromettants. Les enfants des paysans qui sont à l’université pourraient vous être reconnaissants.
Le 20 novembre 2016 à 09:09, par "LE VIEUX" En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Donc il faut attendre la fin du mandat (5) ans avant d’apprecier ?
NON !
Ici, c’est l’acte qui est condamnable :
- Est-ce qu’il ya eu don ? OUI.
- Est-ce que le don a ete accepté ? OUI.
- Est-ce que le donnateur a un interet particuler en donnant ?OUI (Marché de fibre optique en cours d’execution).
Pour le reste, veuillez vous referez a la loi anti corruption votée par le CNT.
Le 17 novembre 2016 à 15:24, par DV En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Pardon KORO YAMYELE, on a déjà vu les OSC et autres à l’oeuvre au CNT et au gouvernement de ZIDA. Des députés de la transition ont touché des millions, des ministres OSC sensés probes se sont distribués des millions avant de nous dire aurevoir
Le 17 novembre 2016 à 21:48, par warzat En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
On ne se compare pas à plus mauvais que soi. Seuls les médiocres le font. Je suis avant dernier, je me réjouis parce qu’il y a un dernier. Cette analogie confine à un non progrès de l’individu et partant d’un pays. Ceux qui gouvernent aujourd’hui doivent mieux faire que ceux qui les précéder en s’inspirant de leurs succès et de leurs échecs sur tous les plans.
Le 17 novembre 2016 à 15:25, par SOME En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
pourquoi ne peut-on rien contre les deputés ?
SOME
Le 18 novembre 2016 à 11:17, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Tout simplement Mr SOME,parce qu aucun député ne se tirera une balle dans le pied.Pour mettre en accusation les membres du parlement ,il faut qu un tiers (1/3) des députés vote leur mise en accusation,selon l article 96 de la constitution.Or,ici,tous les membres ou presque ,majorité comme opposition sont mouillés.Alors qui vote contre qui ? That is the question.Donc inutile d espérer.
Pour info:Art. 96. [Loi N°033-2012/AN du 11 juin 2012 - Art. 1er
. Sauf cas de flagrant délit, aucun
membre du Parlement ne peut être poursuivi ou arrêté en matière correctionnelle ou
criminelle qu’avec l’autorisation d’au moins un tiers des membres de la chambre dont il est
membre pendant les sessions ou du bureau de cette chambre en dehors des sessions]41
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Le 17 novembre 2016 à 17:55, par temps de l’action En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
on ne peut rien contre les deputés ? 30 octobre ça te dit ? certains ont été élevé au statut de héros pour ça !
Le 18 novembre 2016 à 04:26, par 1 ESI-UPB En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ces entreprises et ambassades (notamment Taiwan) devraient soutenir la formation de la jeunesse. Je suis enseignant à l’université de Bobo, à l’école supérieure d’informatique. Je vois la misère que mes étudiants vivent labas. Depuis mes X ans de services je n’ai jamais vu Etat ou entreprises ou ambassades soutenir cet établissement (avec des ordianteurs neufs) qui fourni presque tous les informaticiens du Burkina dans le domaine publique. Chaque fois il faut négocier les ordinateurs seconde main avec nos partenaires recherche en France et Espagne pour pouvoir avoir de quoi faire des travaux pratiques.
Par contre ces entreprises dans le domaine des TIC savent qu’ils doivent former ceux là qui peuvent les aider à gérer ces projets TIC et surtout à assurer la pérennité des installations effectuées. Mais non ils préfèrent faire venir des ingénieurs de leurs pays.
Comme exemple de ces pratiques barbares je ne vois les Burkinabè qui participent aux projets G-Cloud (entreprise HAWAEI) qui est sensé couvrir le Burkina en fibre optique. Qui va maintenir ces infrastructures ? Les mêmes entreprises qui ont fait le déploiement puisse il n’y pas de Burkinabè les maîtrisant. Avant de demarrer ces grands projets de beaucoup de milliard l’Etat et l entreprise devraient au préalable mettre en place un programme spéciale de formation des acteurs exécutants de ces projets. Il suffit de nous donner un peu de moyens pour faire intervenir d’autres experts étrangers dans l’encadrement de ces jeunes.
Le 18 novembre 2016 à 14:14, par Christopheur En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Bien dit ESI-UPB...La ministre devrait plutôt penser aux étudiants de l’ESI, IBAM, etc. qui n’ont pas les moyens de s’acheter des tablettes...
Le 18 novembre 2016 à 14:59, par Zangoté En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Holàààà mon frère Christopheur ! Les plus démunis des étudiants ne sont pas à l’IBAM encore moins à l’ESI. Ils sont à Ouaga I et Ouaga II où on prend 2 ans pour valider une année malgré la disponibilité et l’intelligence des étudiants. Là-bas ils n’ont pas le choix et ne peuvent pas se payer le luxe de s’inscrire à l’IBAM. Là-bas, ils souffrent pour réunir les 15 000FCFA nécessaires à leur inscription. Là-bas, ils s’alignent pendant 3h pour avoir à manger....Là-bas ils se partage le plat à 2 parce qu’ils n’arrivent pas toujours à avoir 6000FCFA/mois pour s’assurer 2 repas par jour... C’est à ces étudiants qu’il faut plutôt donner les tablettes.
Le 9 juillet 2017 à 12:55, par G.KARIM En réponse à : Affaire tablettes aux gouvernants : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Bon r1 n pourai derang le peupl du burkina car nous avon juste coupé le tronc de l' ;arbr,il yora surema de nouvell b
2. Le 17 novembre 2016 à 14:24, par Andréa En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Merci Monsieur KERE et au journaliste pour cet entretien très limpide et qui interpelle chaque Burkinabè. Je suis très très déçue des membres du gouvernement et des députés, je suis dépassée.
3. Le 17 novembre 2016 à 14:38, par OAS En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Appel à la mobilisation contre ces membres du gouvernement et ces députés. Je dis, qui va avoir pitié enfin du peuple ? C’est pourquoi j’avais dit dès les premières heures de leur publication que les rapports de cette assemblée nationale sur le foncier et les sociétés minières n’étaient qu’une farce, de la poudre aux yeux. Dommage, dommage et encore dommage. Je conviens maintenant avec certaines personnes que l’insurrection n’est pas encore terminée, il faut l’achever pour atteindre le Burkina que nous implorons tous.
4. Le 17 novembre 2016 à 14:50, par Bernard Luther King ou le Prophete Impie En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Sans etre pour la promotion de tels erreurs comportementales, permettez moi quelques observations.
1. Chassez le Naturel, il reviendra au ralenti ! Ces deputés sont-ils si condamnables ? Sont-ils à diaboliser ? J’en doute !
2. Je voudrais accuser qui de droit. C’est bien beau de citer les lois. Dites-moi, combien de fonctionnaires ont connaissance de ces lois ? Oui on me dira "nul n’est censé ignoré la loi". Soit. Neanmoins, je trouve que la loi dans une société est souvent un recours faute de mieux. Autrement dans toute société hautement morale, on se doit d’aller au delà. C’est facile de voter une loi, de la mettre sous le boisseau, et de la brandir en face de l’infraction.
Combien de deputés connaissent en toute en ame et conscience ces lois citées ? Je ne serai pas etonné qu’il n’y a que les juristes et para-juristes qui le savent.
3. La lutte contre le mal, la corruption passe aussi par l’information et la sensibilisation face aux mecanisme du mal, de la corruption. Cela est-il fait ?
4. Ne les diabolisons pas. Beaucoup de ceux qui s’indignent ne valent pa mieux. En realité, vous savez, beaucoup de valeurs que dont on parle ne sont pas INTERIORISEES. C’est ça le probleme. On crie, on vante, on chante le dytaniè mais helas, comme le disait une vieille "Waogd neba pu-pèèlma faan pa yiid : far, far, far ...".
5. Aux deputés et autres, je leur demande de demander pardon au Peuple si cela a lieu. Et on tourne la page.
6. Nos valeurs celle de la Republique doivent être criées à temps et à contre temps. Tous, nous devons les interioriser. Interioriser, c’est different de memoriser.
7. Peut-etre me tromperai-je !
8. Merci à la Police Nationale, aux VADS, et autres pour leur effort durant le SIAO.
A bas Dieu et vive la Republique, vive l’universalité d’Esprit.
Le 17 novembre 2016 à 17:48, par Aicha Koro Timitimi En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Pardon, ne gate pas le nom de Martin Luther King. Tu as un raisonnement qui vole aux bas des paquerettes. Va sensibiliser tes deputes corrompus. S’ ils se font elire sans lire les textes et aller dormir a l’ AN, a qui la faute ? Tu emarges chez certains d’ entre eux, n’
est-ce pas ? Toi meme tu es corrompu par ton ventre et par l’ esssence de ta JC. Pquoi cette societe corrruptricer mn’a pas donne les tablesstes pour des eleves ou des etudiants ? Mr. Kere a fini avec la qustion. Ne reviens pas ici pour nous enquiquiquiner.
Le 18 novembre 2016 à 04:52, par ZWang En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Donc tu veux dire que les citoyens qui ont dénoncé l’illégalité de l’acte connaissent mieux la loi que les député chargés de voter des lois ???? Là c’est la chèvre qui mord le voleur pendant que le chien dort.
Le 18 novembre 2016 à 08:23, par Oumarou En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
C’est tout même pas jolie de la part du gouvernement qui a accepté ce cadeau de tablettes. Le gouvernement aurait dû demander à l’entreprise de faire une remise sur ça facture au profit du demandeur. Par la suite on utilisait la remise pour s’acheter des tablettes si ce sont des tablettes que l’on voulait. Mais comme c’est déjà fait, le gouvernement ou la représentation nationale doit trouver un moyen de parler au peuple.
Le 18 novembre 2016 à 09:15, par COPA En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Mon cher monsieur avec tout le respect que je vous dois. La conscience est l’une des capacités que Dieu nous a offertes, quant au discernement des situations que nous rencontrons chaque jour qu’Il nous offre. Quand je l’ai appris ca été un choc. Toutes ces indignations prouvent que ce ressenti est partagé. Après ce que notre pays a traversé (morts, blessés, pertes économiques, deux années d’errance) nos autorités doivent être un symbole de sagesse. Regarder le ratio des nouveaux véhicules acquis par nos députés, nos ministres, ses sois disant rapaces qui entourent nos autorités. J’en passe. Eh !!! Quand on pense à la misère que nos populations vivent il y’a de tels écarts de comportement qu’on doit éviter. Ils pensent que nous ne les voyons pas, et oui nous les voyons, nous les regardons, sa prendra fin. Ce que j’ai compris de ce pays c’est que l’essentiel est d’atteindre là où le pilage est possible.
Le 20 novembre 2016 à 09:45, par "LE VIEUX" En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Tu est tout sauf Luther King. Qui tu crois embrouiller avec des raisonnements lugubres et malsains ? quitte dans cette jonglerie epoustousouflante sans queue ni tête.
5. Le 17 novembre 2016 à 14:50, par Ya Woto En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Arrêtez les gars ;
Si j’obtiens un marché de 5 guiros et que mon bénéfice est de 1 guiro.
Alors 10 pour cent du guiro fait 100 millions qui peuvent acheter 200 tablettes de 500 milles pour des ministres et des députés. Je ne suis même pas à 20 pour cent.
Ca ne suffit pas pour des étudiants et d’ailleurs ils ne m’ont ni attribué le marché ni capables de me contrôler après. Ils n’ont qu’à attendre d’être ministre ou député. BASTA
Le 18 novembre 2016 à 12:32, par Sidpasata Veritas En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ya Woto ce que tu pense de va bien, mais ici, ça ne sera plus comme ça ! Ka le ya ka ye !
6. Le 17 novembre 2016 à 14:53, par yikpe En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
c’est bien pour ce peuple du burkina faso, qui n’a rien compris du tout
il pense que le va changer sa maniere de s’assoire
il pense que le pauvre va devenir un jour riche parce qu’on lui a fait de promesses
il pense que son voisin dort avec la fain comme lui
7. Le 17 novembre 2016 à 14:56, par Amadoum En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Si les lois sont claires et sont ignorees, les consequences sont ce que nous sommes en train de vivre : l’indiscipline et l’incivisme.
Si ce don de tablettes aux membres du gouvernement ou aux deputes est illegal, il n’est pas besoin d’essayer d’interpreter la loi en faveur des recipiendaires.
Ce sont de tels actes qui, apparemment anodins, frustrent les populations. Tous ceux qui ont pris ces tablettes savent mieux que quiconque qu’ils n’en avaient pas droit. Retournez les tablettes et nous pretendrons que rien ne s’est passé.
Portez-vous bien et passez une bonne journee !
Le 17 novembre 2016 à 17:50, par Aicha Koro Timitimi En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Merci Amadoum. Retournez les tblettes et nous ferons semblant que rien ne s’ est passe. Or quelque chose de gravissime s’ est passe. Allez, et ne pechez plus !
8. Le 17 novembre 2016 à 15:04, par SOME En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ce qui fait plaisir et rassure, c’est tout de meme la vigilance des differentes structures. Cette sortie de cette osc est vraiment a feliciter. M Kere non seulement fait preuve de professionnalisme mais aussi d’une certaine sincerite et d’integrite. A nous de les aider à jouer efficacement leur role.
Ces leaders ou gouvernants doivent absolument comprendre que quand on dit que plus rien ne sera comme avant, ce n’est pas seulement quelque chose de vide pour la forme. S’ils pensent user du temps comme toujours pour croire pouvoir decourager les gens et les endormir, cette intervention de M Kére est un exemple que le peuple reste serieux, convaincu et vigilant.
« …il est clairement dit que, justement, le don intervient dans le cadre d’un partenariat avec la société Huawei et quand on a fouillé, on s’est effectivement rendu compte que le partenariat, c’est dans le cadre de la commande publique » Que dire de plus ? dura lex sed lex ! Si apres cette insurrection, ces hommes politiques s’entetent a agir ainsi, alors cela dit tout de la mentalité qui anime ceux qui viennent nous gouverner ? et effectivement « Si le peuple laisse faire, peut-être que le pire reste à venir. »
Alors cette affaire est une occasion revée pour le peuple de reprendre la main sur les affaires publiques : le peuple a quand meme fait confiance en les elisant malgré tout ce qu’ils ont fait, mais eux ils se foutent de la gueule du peuple. « Il revient au peuple d’apporter la réplique nécessaire pour recadrer les dérives des gouvernants ». Et pour cela il nous faut nous mobiliser et exiger l’application de la loi. Je propose au RENLAC de faire un rassemblement populaire où il donnera son opinion au peuple et demander sa mobilisation. Le RENLAC doit remplir son role avec le soutien du peuple sinon il risque de se discrediter lui-même.
Vraiment cette intervention de M Keré me redonne confiance en nos OSC et institutions de veille et d’eveil des consciences.
« …mettre en place une commission d’enquête parlementaire pour voir si le marché a été passé dans les conditions normales, et si l’exécution est normalement faite, etc » : cette proposition me semble un peu irrealiste car les deputes sont incriminés et ils ne peuvent etre juge et partie.
SOME
Le 17 novembre 2016 à 17:58, par Ngugi Chomsky En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
SOME, dommage que vous ne soyez pas sur FaceBook. Ca bouillonne la- bas. On ne rate pas ce gouvernement et ces deputes faciles- la. Je crois que FB a ete le veritable OSC. RENLAC a ete trop lent a agir. Mais j’ ai confiance en eux. Ils sont sinceres. Vous faites honneur a Dieudonne Yameogo, premier patron de RENLAC. Je suis un peu frustre quand Mr. Kere dit qu’ on ne peut rien contre les deputes parce qu’ ils ne vont pas se faire harakiri. Je ne suis pas d’ accord. Des lors qu’ ils violent les lois de la republique, ils doivent rengorge ou aors on les oblige a rendre gorge meme s’ il faut qu’ on sorte du carte de la legalite. Ils se sont delegitimes et s’ ils ne veulent pas sew soumettre a nos lois, a nous de les soumette. Car personne n’ est au dessu de la loi. On a montre ca a Blaise l’ homme fort, non ? On a peur de quoi encore.
Le 17 novembre 2016 à 19:36, par SOME En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
"On a peur de quoi encore.". vraiment ! ON VEUT QUOI ENCORE ?
SOME
Le 18 novembre 2016 à 00:59, par kabore poussibi xavier En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
A mon sens, je crois que le gouverment et l’assemblee nationale doivent rechercher la voie de sortie pour arreter cette crise.je propose deux etapes1- excuse au peuple a travers une conference de presse a la tnb, aninee par le pm et president de l’AN.2- transformer ce don en don aux institutions. Dans ce cas, ces tablettes deviennent des de les burkinabe.
9. Le 17 novembre 2016 à 15:18, par sniper En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
c’est vraiment choquant ! avec de tels comportements comment mon pays pourrait avancer. en tout état de cause, ils paieront à leurs dépens. le réveil n’est pas loin, il sera très très douloureux pour ceux qui veulent jouer avec mon vaillant peuple. en bon entendeur...
10. Le 17 novembre 2016 à 15:25, par roze En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
le Secrétaire exécutif du RENLAC sur OMEGA FM a dit le contraire de ce que Mr KERE débite... cherchez ou se trouve la vérité
Le 17 novembre 2016 à 18:00, par Faranda Beedah En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Pourquoi "de ce que MR. Kere debite" ? Montrez qu’ on ne vous a pas concu au marche. La politesse n’est aps compliquee.
Le 18 novembre 2016 à 10:49, par "LE VIEUX" En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
IL YA UNE CRISE AU RENLAC. MR WETTA A PERDU LE NORD ET MR KERE EST RESTÉ LUCIDE. ACTUELLEMENT LE BURKINA EST AGONISANT. L’AVENIR EST SOMBRE
11. Le 17 novembre 2016 à 16:09, par Souabou En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Roze (internaute 10), dans ce genre de situations, il faut toujours s’intéresser aux personnes qui n’occupent pas les premiers rangs dans ces institutions, ce sont elles qui peuvent dire la vérité. Peut être que le secrétaire exécutif même ne peut pas dire à cause de pression ou pour tout autre intérêt, je l’ai aussi écouté mais je n’ai pas été convaincu par ses propos. Par contre, avec cette analyse de monsieur Kéré, on voit tout de suite la réalité, le reste (même la sortie du contrôleur général de l’ACSE-LC) n’est que pour sauver ce scandale. C’est scandaleux pour tout un gouvernement et toute une assemblée nationale ! Que reste-t-il encore de ce pays. Triste !
12. Le 17 novembre 2016 à 16:14, par Anka En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il faut que les africains cessent d’être ces éternels mendiants. A qui on offrait hier des bonbons, des miroirs , aujourd’hui des tablettes et des smartphones pour ensuite nous dérober nos terres et nos richesses. A chaque fois que je vois à la télé ces soit disant dons ou cadeaux j’ai des nosés. On nous achete avec des tablettes, qu’elle honte !. Comme ça on peut nous espionner facilement.
La partie ou la mort nous vaincrons
13. Le 17 novembre 2016 à 17:32, par Moi aussi En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Longue vie et surtout courage au REN-LAC. Je déplore juste une chose : l’absence de fermeté avec les gérants du pays. En effet, le modus operandi du combat n’est pas fécond. Il serait bien qu’en association avec la CCVC, nous durcissions la lutte car, les hommes du pouvoir n’écoutent que le langage de la fermeté. Courage à notre lutte.
14. Le 17 novembre 2016 à 18:00, par caoot En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
’’Jusqu’à présent, on attend la déclaration des biens des députés et des élus municipaux’’. En ^lus ils se font corrompre par une maudite societe connue pour ces pratiques mafieuses dans les pays voisins. Moi j’ai honte et j’ai vomis dix fois aujourd’hui et j’ai piqué une fièvre (40°). J’ai eu la dengue à cause des députés.... Je demande le contcat de Me FARAMA pour voir si je dois poursuivre ces foutus députés. MERDRE
C’est quand le mouvement
15. Le 17 novembre 2016 à 18:37, par wassawassa En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
l’imminant professeur Laurent bado aussi en a pris ces tablettes ?
Le 17 novembre 2016 à 23:42, par Cogito En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Bado à fait rang pour aller gober sa tablette entre les mains de Salif DIALLO. Djo Me SANKARA a fait pareil. Waiii les représentants des insurgés ! Le Noir n’a pas changer. C’est lui, le roi, qui prenait le miroir du Blanc en échange de son frère comme esclave. C’est lui qui aujourd’hui encore, l’autorité, prend les tablettes du Blanc en échange de l’exploitation économique.
Le 18 novembre 2016 à 11:21, par Belco En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
qui a bu, boira . Vraiment si j’étais à la place de Bado , je devancerais les autres députés en rendant ma démission et plus en prenant la retraite politique. La porte de l’enfer lui semble être ouverte avant le peuple.
16. Le 17 novembre 2016 à 18:45, par PALE En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Vous votez les lois pour que qui les applique ?Soyez vous mêmes des exemples.
17. Le 17 novembre 2016 à 19:42, par Ganem En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
je ne connais rien en droit je suis un citoyen lambda,si cette société chine tant décriée avait remis du matériel hospitalier à l’hôpital Yalgado ça aussi se serait une forme de corruption oui ou non.on trop d’intellectuel maintenant ho
Le 18 novembre 2016 à 03:37, par Faranda Beedah En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ca seraiyt une forme de corruption si elle avait dans son ventre l’ intention de negociwr des marches. mais c’ est pli pire quand on doonne ca a des deputes qui sont ceux qui votent la loi. Vous ne connaisez pas le droit mais ets-ce que vous etes bete pouyr ne pas comporendre ce que ma grand- mere qui n’ n’a jamais fait l’ ecole comprend ? Votre cas n’ est pas clair hein ! Vous etes parmi l’ un de nos deputes corrompus par une maigre tablette ?
Le 18 novembre 2016 à 05:07, par ZWang En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Non parce que l’hôpital (CHU-YO) n’appartient pas à un individu. Par contre s’il avait équipé la clinique privée de quelqu’UN, c’est aussi de la corruption. C’est justement ce que les députés auraient dû exigé quant on a proposé de leur donner des tablettes.
Le 18 novembre 2016 à 12:01, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ganem, tu as bien précisé, ’’avait remis du matériel hospitalier à l’hôpital Yalgado...’’ ? OK moi je te répond : Ce n’est pas de la corruption car ce matériel est donné à l’hôpital YO en tant que structure publique pour rendre des services aux populations. Si ce matériel avait été donné au DG du CHU YO Mr Robert Sangaré pour son usage personnel ou pour mettre dans sa clinique s’il en a, là ce sera de la corruption car il agit au nom du CHU YO et qu’à ce titre on lui donne du matériel en privé. Non !
Par Kôrô Yamyélé
18. Le 17 novembre 2016 à 19:59, par zoumba yaro En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
C’est vraiment décevant ! A quand le vrai changement dans les comportements de nos dirigeants. Si cet acte avéré de corruption n’est pas ou ne pourra pas être sanctionné, alors ce n’est plus la peine de poursuivre qui que ce soit pour fait de corruption. Que l’on laisse au moins tranquille les douaniers et autres épinglés par le Ren-lac. L’exemple doit venir du sommet. Vous avez là une des causes de l’incivisme.
19. Le 17 novembre 2016 à 20:02, par Bissongo En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Merci au journaliste et a M. Kere pour leur role de veille.
Mais nous n’allons pas nous dechirer les habits pour ca.
En fin de mandat, ils remettront ces tablettes a ceux qui vont les succeder.
Allons ! Le travail nous attend !
Le 17 novembre 2016 à 21:37, par temps de l’action En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
nous n’allons pas nous déchirer les habits pour ça ? remettre en fin de mandat ? Blaise allait aussi remettre le pouvoir en fin de mandat à son successeur si le "non" l’emportait au referendum
Le 18 novembre 2016 à 03:40, par Faranda Beedah En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Soyons serieux. D ; ici 5 ans, meme cos cochons n’ aurons pas encvie d’ utiliser ces tablettes. Vous etes au serieux, vous ? Et puis, s’ ils ont viole la loi, on fait quoi ? On se contente d’ attendre 5 ans pouir recuoperer ? Et que faire si Serve de Zerome lui aussi il viole la loi ? On l’ envoie a Mako ou quoi ? Vriament on a encore du chemin a faire. Avec ca ca croit avoir fait l’ ecole.
20. Le 17 novembre 2016 à 21:14, par Leleuk En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Vraiment chaque jour que je lis les news du Burkina, je me rends compte que le pays est plein d’idiots. Mon prognostic est que nous sommes fichus a jamais. Je pense qu’au Burkina on doit etre les plus idiots dans la zone Ouest Afrique.
C’est quoi cette histoire de tablettes ? En quoi un don de tablettes doit faire couler plein de salive ? C’est quoi tablettes ?. Et puis un pays comme le Burkina, vous pensez que l’on peut vivre sans la genoriste des grands pays ? Arretez les reflexions betes et revolutionnaires. La revolution est une utopie. Voyez la vie plus loin que sa, et tenez en compte les realities de notre pays. On est vraiment un pays pauvre. Ne vous flattez pas.
Le 18 novembre 2016 à 12:04, par temps de l’action En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
c’est toi l’idiot et tu n’es pas Burkinabé. être Burkinabé ça se mérite . reste là où tu es et n’insulte plus ma nation
Le 18 novembre 2016 à 12:07, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ben...Leleuk, tu peux quitter le pays si tu n’es pas content hein !! On dit NON au maque d’intégrité ! Ce n’est pas l’outil tablette qui nous intéresse tant, mais c’est l’acte posé alors qu’une loi interdit de prendre tout don d’une valeur de plus de 35.000 frs. Cette loi a été votée à l’AN s’il te plait ! La loi doit être respectée par tous, députés comme ministres
Par Kôrô Yamyélé
Le 18 novembre 2016 à 21:07, par Respect En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Oook ! LELEUK.Sachez Donc Que Le Fonctionnaire Burkinabe Est Aussi Pauvre A L’amige Du Pays,alors Laissons-le Se Debrouiller Atteindre Sa Fin Du Mois Mais Ne Parlons Plus De Corrompu Au Burkina.Lorsque Nos Gouvernants Seront Prets Pour Respecter Les Lois Nous Emboiterons Leurs Pas.
21. Le 17 novembre 2016 à 22:47, par YANKEE En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Constat simple : Blaise est parti, mais son système est toujours présent. En fait, Blaise était il le chef d’orchestre fautif ?
22. Le 17 novembre 2016 à 22:58, par KIRIKOU En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
N’allons pas si vite en besogne par des condamnations fermes et irréfléchies par ce que nous pouvons qualifier d’excès de courtoisie en l’endroit d’un hôte ,je me dis que certainement le président de l’AN ayant été informé de ce don ,a mis cela au compte de gadgets qu’il n’a pas accordé de l ’importance au point de ne pas s’entourer de précautions.Posons nous ces questions !
Le marché dont est attributaire Huawei a t il été octroyé par l’AN ?
Si Huawei avait en lieu et place financé un atelier de formation en faveur des députés allons nous crier à la corruption ?
Si l’on changeait de bénéficiaires pour que cette fois ci à l’endroit d’ étudiants ,seront- ils sous le coup de la loi ?
Le jugement de l’Homme est toujours partiel et partial , faisons attention.
Le 19 novembre 2016 à 21:34, par Genie Kreateur Libere En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ca sera encore plus grave si le President de l’ AN n’a pas accorde de l’ attention avant de prendre une decision. Ca sera pire que la corrupiton active dont notre auguste Assemblee s’ est rendue responsable. En plus, il y aura l’ incurie de notre AN. Arretez les entpourlouipes. Rien ne changera a la constance des faits. C’est de la prevarication, un manquement aux devoirs de leurs charges.
23. Le 17 novembre 2016 à 22:59, par Ka En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Merci Bruno pour cette franchise qui mérite d’être pris en compte par nos gouvernants qui proclament qu’il faut économisé en serrant la ceinture pour faire avancer le pays : Pourtant ce n’est que de la théorie de leur côté. Si nous regardons en arrière, en nous demandant pourquoi on s’est battu contre un sénat coûteux dans un pays ou des élèves font l’école sous des manguiers, ou sous des paillotes, ou 99% de la population n’a pas un bon repas par jour, on se demande comment nous prennent ces députés et même leur président ? Pour le changement, pour l’émergence du pays, il est temps que Roch Kaboré et son équipe arrête de prendre le peuple pour des moutons : Il est temps que nos dirigeants nous prouvent au grand jour qu’ils sont sérieux en passant aux actes concrets que de s’assoir sur des théorie en se permettant des folies des milliards. Au temps de la révolution inachevée de Thomas Sankara, cette affaire flagrante mérite un TPR. Sans une politique économique juste, une classe donné comme l’équipe de Roch Kaboré ne pourra maintenir sa domination.
24. Le 17 novembre 2016 à 23:23, par Cogito En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Je voulais me défouler sur le MPP, le traiter de parti corrompu avant sa naissance. Mais très vite, je me suis rendu compte que des partis comme l’UPC, l’UNIR/PS, le PAREN, ont aussi succombé devant cette modernité empoisonnée. Hier, nos ancêtres s’éclipsaient devant le miroir du colon. Aujourd’hui, nos dirigeants perdent la tête devant des tablettes. A quoi ça sert de se proclamer insurgés et succomber aussitôt à des dessous de table.
Le 20 novembre 2016 à 09:32, par "LE VIEUX" En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Vous-vous trompez gravement. Que vient faire l’UPC dans cette salade ? Que chacun assume ses trupitudes. L’UNIR, LE PAREN... sont allés a la soupe sans en mesurer les implications. Vous pensez que c’est L’UPC qui va conseiller Salifou Diallo dans ses errements ? Non ! Le peuple Burkinabè n’aura que ses yeux pour pleurer.
25. Le 18 novembre 2016 à 06:43, par Lavie En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
L’acte est déplorable. Le gouvernement et l’AN ont versé le visage du pays des hommes intègres par terre. Le Ren-lac et l’ASCE-LC perçoivent maintenant les limites de leurs méthodes de lutte contre la corruption. J’ai au préalable dit que la lutte contre la corruption ne doit pas être une mission confié à des personnes et entités et qui sont en dehors des institutions chargées de missions. Car la corruption est un risque de non atteinte des objectifs. Les combattants de premières lignes sont ceux qui sont chargés d’une mission qui doivent lutter atteindre leurs objectifs. Les conséquences de cet acte de corruption peuvent être :
l’atteinte à l’image du gouvernement et de l’Assemblée Nationale ;
l’instabilité politique (l’interruption des mandats politiques) ;
les troubles et démotivations ;
le non respect de la réglementation en matière de la lutte contre la corruption ;
l’installation d’un climats favorable à la corruption.
Que faire :
Gérer cette crise conjoncturelle dans le calme et la retenue en :
* restituant les tablettes et les ordinateurs à la société corruptrice ;
* annulant le marché conclu avec la société corruptrice ;
* reconnaissant le tord et en engageant publiquement ( PF et PAN) de travailler à éviter de tel acte
Réorganiser le dispositif national de lutte contre la corruption en ;
* désignant au sein des cabinets ministériels des conseillers chargés de la lutte contre la corruption ;
* nommant des gestionnaires de risques ou des contrôleurs de gestion auprès des institutions,
* réglementant les modalités et procédures d’acceptation des dons par les institutions ;
*invitant les syndicats à participer à la lutte contre la corruption en appui aux dirigeants etc.
L’UPC avait attiré l’attention du peuple sur la " Gariboutisation’’ de l’Etat. Il faudra s’en convaincre et y mettre fin.
Vive le Burkina Faso !
Vive la Démocratie !
Vive la transparence !
26. Le 18 novembre 2016 à 07:43, par Balladin En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Si après enquête il s’avère que c’est de la corruption, allez, on fout tout ce beau monde au gnouf. Une centaine de députés et des dizaines de ministres. Bon débarras.
27. Le 18 novembre 2016 à 07:52, par zas En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Le chien ne change jamais sa manière de s’asseoir. On ne pouvait s’attendre à mieux.
Eh bien, qu’on envoie tous les députés et membres du gouvernement qui ont reçu les tablettes, en prison !
28. Le 18 novembre 2016 à 08:08, par koh En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
soignons prudent ;
donc un individu ou une société ou même un pays ne peut plus faire un don d’une certains valeur à une structure publique (hôpitaux collectivités territorialité association,....? sans tomber sous le coup de la loi. A mon humble avis je pense que la loi concerne les cadeaux individuel.
Mais cette société a donné aux membres du gouvernement et aux députés.
nous sommes pauvre donc permettez qu’on vous aide.
IL Y A DES ESPRITS MALVEILLANTS QUI VEULENT SAPER L’EVOLUTION ACTUELLE DU BF. Soignons vigilant. LES PRO- BLAISE SONT TAPISSES DANS L’OMBRE ET SONT PRÊT POUR CREER LE DESORDRE.
Le 18 novembre 2016 à 11:48, par Jubal En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Toi tu as lu le texte à l’envers ou quoi ? On t’a dit qu’on a donné aux députés et ils les ont partagé, chacun a amené pour lui à la maison. Faut pas nous distraire avec ton histoire de pro-Blaise. Une tablette c’est comme un téléphone portable, son usage est individuel ! Compris ? Oubien tu es du camp des corrompus ?
Le 18 novembre 2016 à 12:15, par temps de l’action En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
on ne parle pas de don mais de rétrocommission. vous ne ratez aucune occasion pour charger Blaise hein ? c’est Blaise qui a donné les tablettes ?
29. Le 18 novembre 2016 à 08:19, par OUEDRAOGO Serge Romeo En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Mon frere tu n’as rien a dire, tu fais partie de ceux qui pensent qu’un miracle se fera au BF apres Blaise. IL faut donner du temps aux gens de travailler ; on ne change pas en un clin d’oeil ce qui etait la pendant plus de 25 ans. L’ OSC, les Syndicats,... peuvent parler et s’agiter comme ils veulent mais cela ne changera rien. Le Faso se construira avec le temps... Que Dieu préserve le BF de toutes mauvaises actions
30. Le 18 novembre 2016 à 08:32, par honetete En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
franchement si pour des tablettes il faut faire toute une histoire je me demande quand est ce qu’on arrivera à bon port. Ailleurs on donne plus que des tablettes aux députes pour la bonne marche de leurs activités. C’EST VOUS QUI ETES 1 PAYS PAUVRE, QUI COURREZ PARTOUT POUR CHERCHER FINANCEMENT, ON VIENS VOUS DONNEZ GRATUITEMENT ET VOUS DITES QUE YA CORRUPTION ; commencer comme ça on verra ou vous allez arriver avec. Les tablettes c’est à l’institution et donc aux députés, étant donne que leur durée de vie n’excèdent pas 3 à 5 ans ca m’entonnerait qu’elles servent aux autres à venir. Donc analysez honnêtement les choses avant d’en parler.
31. Le 18 novembre 2016 à 08:38, par Tiantigui En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Au Burkina Faso on peut faire cadeau à quelqu’un sans interprétation vraiment je suis désolé pour ce genre d’analyse. Méfiance pour des langues de vipère
Le 18 novembre 2016 à 11:23, par Ka En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Cadeau d’accord, mais utiliser des miettes pour récolter par profit des milliards qui appartiennes au peuple, c’est prendre le monde pour un nez percé.
32. Le 18 novembre 2016 à 08:53, par L’Oeil du Peuple En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
C’est insultant, voire révoltant de voir des députés se faire corrompre par des tablettes qui ne coutent que des britouilles par rapport à leurs revenus. Comme quoi, les lois sont votées pour les autres et doivent s’appliquer aux autres pas à nos sinistres(pardon illustres) députés. Comment notre gouvernement et nos députés(Assemblée Nationale) ne peuvent pas se donner le luxe de s’acheter des tablettes ? C’est vraiment la misère et le gouvernement de ROCH ne fait que se comporter en mendiant depuis son arrivée au pouvoir.
33. Le 18 novembre 2016 à 08:58, par L’Oeil du Peuple En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Désormais que les dons soient adressés à nos institutions et non aux individus qui en font leurs biens personnels. Les dons au nom de nos institutions doivent être enregistrés dans le patrimoine de celles-ci et faire l’objet chaque fois d’inventaire physique.
Le 18 novembre 2016 à 09:17, par la revolution En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Le système n’a rien changé.Le Gouvernement toujours silencieux dans certains violations des décrets, des arrêtés et des décisions.le laisser faire va foutre Rock dehors comme Blaise attendez voir.Malgré vos salaires colossaux qui videent la moitié du caisse de l’état, vous accepter toujours des dons pareilles qui font souffrir le peuple.Merci pour votre attention.
34. Le 18 novembre 2016 à 09:18, par paysannoir En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Je partage les avis émis sur ce forum et je me joins à vous tous pour dénoncer le comportement de nos soit disant "honorables députés". Je reste convaincu que le marché a été surfacturé et qu’en plus de ces tablettes, des enveloppes ont dû être déposées plus haut au sommet de l’état. Le REN-LAC doit pousser les investigations plus loin. Questions chers internautes : Laurent Bado siège-t-il à l’Assemblée ? Maitre Sankara aussi ? Ont-ils accepté ces tablettes ? Si oui alors je m’inquiète. Laurent Bado a dit qu’il y a trois choses par lesquelles on ne peut pas l’avoir : l’argent, le sexe, le pouvoir. Si il a pris une tablette, alors dites lui de cesser de nous pomper l’air avec ses leçons de morale et d’intégrité. Maitre Sankara, si tu as pris aussi, alors il faut changer le nom de ton parti, pour que "SANKARA" n’apparaisse plus la_bas. On a crié sur toi à la place de la révolution et j’ai eu honte. Tu vois que les gens ont raison maintenant ? UPC qui parle de "dengue" et se tait comme une carpe sur cette histoire (avec raison puisque les députés UPC ont pris), le peuple peut-il encore sur vous ? C’est nous les paysans "votre bétail électoral" qui allons souffrir. Maintenant que nous commençons à comprendre comme les bureaucrates menteurs, et vendeurs d’illusions, nous allons prendre nos responsabilités avec les OSC et les syndicats. De nos fermes, nous allons sensibiliser les autres.
Le 18 novembre 2016 à 11:47, par pabegba En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Inquiète toi sur les dépenses que font faire les ministres, leurs conseillers , les directeurs généraux sur les sociétés d’Etats, à l’instar de la suède et Singapour, nos OSC et syndicats et mêmes les fonctionnaires devraient dénoncer les dérives de nos gouvernants. Le peuple dors et les gouvernants pillent : missions de longues durées aux frais des services publics et para publics, frais d’hôtel, de restauration billet en première classe et j’en passe. nos syndicats sont toujours dans la rue pour chercher un meilleur vivre mais si les sociétés sont liquidées à qui la faute. Les syndicats sont dans les conseils d’administration que font ils pour aider au bon fonctionnement des sociétés d’Etat, ils ferment les yeux et se combattent entre eux ou entre eux et leurs collègues tandis que ces derniers détournent utilisations des véhicules essence et chauffeurs des directions pardessus tout. Les syndicats sont là ferment les yeux. Silence on passe et on criera que les sociétés sont déficitaires alors que ce sont eux qui les ont terrassées. Pauvres personnels ils iront eux à la retraite sans sourcier et vous et vos syndicats. L’amer expérience des sociétés d’Etat de 2000 à 2003 fermées les unes et les autres est d’un mauvais goût. Ce sont les mêmes qui nous ont tué avec nos familles qui sont là faites attention vous aussi.
35. Le 18 novembre 2016 à 09:29, par war En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il faut rapidement remanier le gouvernement et dissoudre cette assemblee nationale afin d’organiser des elections d’ici 3 mois et permettre a la justice de les mettre en examen pour corruption averee.C’est facile de fondre sur les petits policiers et les douaniers .Quand a vous la justice on vous observe car vous devez vous autosaisir de ce dossier pour redorer votre blason contre vos reguliers denigreurs.Rien ne doit etre comme avant 2014.Je ne souhaite pas avoir a dire,mr l’honnorable depute corrompu,un tel.......
Le 19 novembre 2016 à 21:39, par Gnandekaye Djely Malobali En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il n’ y a pas de denigreurs reguliers de notre ustice. Il y a seulement que notre justice donne l’ occasion d’ etre denigree trop rehgulierement. On ne va pas se taire en tout cas.
36. Le 18 novembre 2016 à 10:09, par ANKA En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Moi ,ce qui m’inquiète dans ce pays ,c’est cette mentalité de mendiant sous prétexte qu’on serait pauvre .L’Afrique est le continent le plus riche ,c’est aussi le continent qui reçoit le plus d’aide,vous ne voyez pas de contradictions ? Combien de milliardaires chez nous peuvent construire des hôpitaux ou des cliniques ,qui préfèrent mettre leur argents à l’étranger !
À ces milliardaires, tendez leur une tablette ,ils la prendront.ça n’est pas une question de pauvreté ,c’est une question de mentalité et de dignité .
On dit souvent que les dirigeants sont à l’image de leur peuple ,essayons de changer nôtre image .
Anka
37. Le 18 novembre 2016 à 10:17, par Insurgé N°1 d’octobre 2014 En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il faudrait également légiférer pour interdire le financement des OSC par l’extérieur. ça c’est aussi une forme de corruption
Le 21 novembre 2016 à 12:36, par gohoga En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Bien dit mon ami, les OSC vivent de corruption si ont considère que le don des tablettes est un acte de corruption
38. Le 18 novembre 2016 à 10:20, par Anta En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Qu’est-ce qui vous étonne de ce pouvoir des RSS. Ils ont eux-mêmes avoué qu’ils ont diné avec le diable pendant 27 ans, au moment où le peuple tenait le même diable par la queue. Ils ont trouvé le repas infernal si bon, si doux, qu’ils ont chassé leur hôte pour occuper son palais infernal(il faut savoir que le palais du diable se trouve en enfer). Alors, ils organisent les ripailles à leur propre compte et c’est la lutte entre eux pour être majordome de l’enfer. On sait aussi que la table du diable ne contient que des repas infernaux.Un repas infernal contient des vitamines infernales et ces vitamines, ingurgitées pendant vingt sept ans ne peuvent qu’agir de façon infernale sur l’organisme qui les a ingurgitées. C’est pourquoi nous n’avons pas encore fini avec les actes sulfureux des RSS.Ça ne fait que commencer et ces tablettes de la corruption ne sont qu’une mise en jambe. Qu’est-ce que nous pouvons faire ? Marcher sur leur Assemblage National pour exiger qu’ils déposent tous leur écharpes de la honte et qu’il y ait des élections anticipées.Le gouvernement corrompu doit être immédiatement chassé ainsi que la société corruptrice. Vade retro Satanas ; arrière de nous Satan !
Le 19 novembre 2016 à 21:42, par Gnandekaye Djely Malobali En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Anta,j’ ai compris. Donc meme les dechets de ces gens -la, c’est infernale aussi. On est donc dans la zupp’. Sauvons nous ooohh sauvons nous ooh, sauvez - nous ooh comme dit le chanteur Zouglou.
39. Le 18 novembre 2016 à 10:21, par Bonizemwendé En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
"Donnons a la confession son sens d’être" AMEN
ils ont péché, il faut les pardonner....... ; mais faut reconnaître votre faute hein.
Vous voyez Rozindi a tourné dans sous région elle connaissait pas bien les lois, elle n’a pas pris le temps de lire,
Kaba lui il est propriétaire terrien a Londres, avec un œil a la BCEAO, il s’intéresse au droit bancaire,
Salfo est parti mangé clichiiii au Niger, la loi l’a échappée
les honorables la on peut pas suivre leur cursus, c’est du MULTING POT,
ABSOLUTION
Ils vont demander Pardons,Promettre de plus jamais faire des deals et remettre les tablettes aux étudiants.
Allez vos péchés vous seront pardonnés en fonction de la suite de vos comportements.
40. Le 18 novembre 2016 à 10:22, par Insurgé N°1 d’octobre 2014 En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il faudrait également légiférer pour interdire le financement des OSC par l’extérieur. ça c’est aussi une forme de corruption. Si le Burkina Faso accepte des appuis budgétaires, si l’on accepte des motos, des véhicules pour des élections ou pour des agents publics... c’est de la corruption. Soyons logique jusqu’au bout !
Le 19 novembre 2016 à 21:43, par Gnandekaye Djely Malobali En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Ce n’est pas la meme chose. Il y a une loi qui dit qu’ un cadeau de plus de 35 000 f a un agent public est contre la loi. Les OSC ne sont meme pas des agents publics. Cultive-toi avant de plonger dans un debat qui te depasse visiblement.
41. Le 18 novembre 2016 à 10:25, par LaViecontinue En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Moi je propose que le REN-LAC appelle la population à une marche symbolique et pacifique de protestation contre cet acte ignoble du Gouvernement et de l’Assemblée.
42. Le 18 novembre 2016 à 10:28, par Filsdupaysan En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il faudra lire aussi UNE LETTRE POUR LAYE dans l’Observateur du jour.La même société est citée dans une autre affaire de marché.
Somme toute, chacun doit réfléchir avant de parler.
L’acte ici quelque soit l’angle sous lequel il est analysé, c’est de la PURE CORRUPTION.
43. Le 18 novembre 2016 à 10:45, par Anta En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Lu sur Burkina 24 :"- Huawei et le péché mignon de la fraude
Mais ce n’est pas tout. Huwaei est également soupçonné de pratiques frauduleuses, voire de corruption. En 2012, l’on apprenait que le géant et ZTE ont été condamnés pour corruption en Algérie. Quelques mois plus tard, en 2013, au Zimbabwe, Huawei est accusé dans une affaire de marché frauduleux sur un contrat avec le gouvernement.
Le 10 novembre 2016, le ministère burkinabè des TIC a offert 130 tablettes aux députés à l’Assemblée nationale. Le geste a été décrié par certains observateurs bien avertis dans le domaine de la sécurité informatique. Concernant la légalité du geste, le Réseau de lutte anti-corruption (RENLAC) vient de faire savoir qu’il y a bel et bien eu violation de la loi anti-corruption du Burkina.
5- Huawei, l’espion ?
Le mercredi 16 novembre 2016, une autre information fait le tour des réseaux sociaux : 700 millions de smartphones et autres appareils Android sont surveillés en douce. Le coupable, selon le « New York Times » est Shanghai Adups Technology Company, un éditeur dont le logiciel est préinstallé dans les terminaux Android d’entrée de gamme vendus à l’international.
La société qui a repéré cette porte dérobée est « Kryptowire ». Pour elle, Adups, fournisseur de ZTE et Huawei, aurait aidé à développer le logiciel pour aider un constructeur chinois à obtenir des informations sur les habitudes de ses clients à leur insu. Une mise à jour est nonobstant en cours de déploiement pour corriger le problème.
Mais, sur cette nouvelle affaire, Huawei a apporté un éclaircissement : Aucun de ses smartphones ne possède de firmware développé par Shanghai Adups Technology." On peut comprendre pourquoi Huawei s’est adressé à des gens fraîchement sortis et réinstallés en enfer ! Satan, nous renonçons à toutes tes oeuvres :
44. Le 18 novembre 2016 à 11:02, par ANKA En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Moi ,ce qui m’inquiète dans ce pays ,c’est cette mentalité de mendiant sous prétexte qu’on serait pauvre .L’Afrique est le continent le plus riche ,c’est aussi le continent qui reçoit le plus d’aide,vous ne voyez pas de contradictions ? Combien de milliardaires chez nous peuvent construire des hôpitaux ou des cliniques ,qui préfèrent mettre leur argents à l’étranger !
À ces milliardaires tendez leur une tablette ,ils la prendront.ça n’est pas une question de pauvreté ,c’est une question de mentalité et de dignité .
On dit souvent que les dirigeants sont à l’image de leur peuple ,essayons de changer nôtre image .
Lanka
45. Le 18 novembre 2016 à 11:31, par SIDNABA En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Désolé mais pourquoi autant de bruits pour une tablette ? C’est désolant de voir les Burkinabè au lieu de travailler pour accroitre le PIB permettant d’améliorer le niveau de leur vie, ils passent leur temps devant les écrans d’ordinateurs et de tablettes pour écrire des stupidités sur des tablettes offertes à des députés pour les aider à mieux faire leur travail. vraiment les trois M du Dr Ablassé Ouédraogo sont fondés ici car on voit toute la méchanceté, médiocrité .....Je suis dégoûté par ce que je lis et je tenais à le dénoncer ici car indigne de vrais Burkinabè.
Le 19 novembre 2016 à 21:45, par Dembele Komareh En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Dommage. Nous on lutte pour les principes. Toi tu n’as rien compris. Tu ne peux pas comprendre. Vade retro, Satanas. Va’ t’ en en arriere, Satan !
46. Le 18 novembre 2016 à 11:48, par victoir En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
le REN-LAC commence à m’inquiéter vous êtes allez à AN pour chercher les informations et pour quoi pas au gouvernement et puis une corruption ne se publie pas vous le savez très bien. Faite attention le don a été fait a une institution et non a un individu.
Mr Kéré consultez votre SG parce que vos point de vu sont divergent et contradictoire dans l’appréciation de ce don
47. Le 18 novembre 2016 à 12:00, par Le vigilant En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Et si le délit de corruption est établi, qu’est ce qu’on fait ?
On restitue les tablettes et c’est tout ?
Ou bien on dissout le parlement et on les poursuit pour corruption.
Dans tous les cas, cette loi a été votée au parlement.
Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude.
48. Le 18 novembre 2016 à 12:05, par M’nif En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Serrer la ceinture, serrez la ceinture !. Vous parlez de quelle ceinture. On a serré jusqu’à l’abimé. Allez vous faire cuire un œuf.
49. Le 18 novembre 2016 à 12:17, par zamanoma En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Au Burkina Faso, les débats ne sont pas saints pour le moment pour ceux qui n’ont de bord politique.Même le REN LAC reçoit de l’argent de l’impérialisme à travers les dons et subventions qu’il reçoit. Les OSC doivent arrêter de recevoir les dons venant de l’extérieur et compter sur leur propre force. En ce moment, nous pouvons nous dire la vérité constructive gage de paix et de stabilité.
Le 19 novembre 2016 à 07:25, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
"quand on parle de la sorcellerie de la vieille femme elle se hisse sur la terrasse et fait une fausse alerte de pluie imminente"(pour diversion)
50. Le 18 novembre 2016 à 12:52, par Sidpasata Veritas En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il faut que les OSC s’organisent pour voir dans quelle mesure une action et sous quelle forme est possible pour sanctionner les corrupteurs et ces corrompus. Si le gouvernement et les députés ne réagissent pas pour s’amender, alors il faut engager le bras de fer et les combattre : ils doivent donner l’exemple ou dégager !
Par ailleurs je voudrai dire au Président du Faso et à son gouvernement qu’ils doivent comprendre que le peuple insurgé du Burkina n’est pas naïf. Quant à l’occasion de l’anniversaire de l’insurrection et suite aux multiples manifestations syndicales dans le pays ils nous demandent d’être patients tout en affirmant que tout est prioritaire et qu’on peut pas tout faire en même temps, nous savons qu’ils feignent d’ignorer que nous attendons encore de voir cesser les pratiques de l’ancien régime qui avait érigé la corruption en système de gouvernance. On attend encore de voir la détermination du nouveau régime à sanctionner les grands corrompus et corrupteurs. Mais au lieu de cela ces dirigeants passent le temps à hurler sur l’incivisme des écoliers et autres petites gens. FOUTAISE !
Je suis convaincu que la plupart de nos dirigeants actuels n’ont pas compris que les choses doivent réellement changer. Ils pensent, comme l’autre qui a dû fuir par la suite, qu’ils peuvent rouler tout le peuple et ses aspirations dans la farine, en faisant juste semblant et en disant "patience, les résultats de notre action seront constatables plus tard". Pourtant tout le monde sait distinguer le comportement qui s’accommode du phénomène de corruption et d’impunité de celui qui ne tolère pas ces gangrènes intrinsèquement mauvaises qui exigent une amputation immédiate et sans délai des membres pourris qui sont un danger mortel pour tout le reste du corps (le corps social !)
PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT ! Et ce n’est pas un simple slogan !
51. Le 18 novembre 2016 à 13:17, par Diemil En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il n’y a pas d’autres solutions pour notre pays que de chasser les RSS, il faut un soulèvement populaire cela s’impose. Sinon au moment où tous les pays évoluent notre pays ne fait que reculer en plus ils endettent sans scrupule les générations avenir, vivent de nos impôts sans en retour s’occuper des minimaux de la population. Les villes sont délabrées, la poussière est entrain de tuer les gens à petit feu parce que les rues ne sont pas goudronnées. U pays sans autoroute ni rien on est au 21ème siècle quand même hein.
Mr Salif qui fait la malédiction du Burkina vivait à Vienne donc il sait de quoi je parle.
L’Etat est considéré comme un père pour chaque citoyen mais au Burkina on est orphelin et de surcroit l’Etat nous suce d’avantage le sang.
Dans un Etat normal les citoyens ont une couverture minimal soit chômage, ou oeuvre social pour éviter la misère extrême et d’ailleurs cela est bénéfique pour l’économie si les citoyens disposent d’un revenu minimum car cela booste la consommation.
52. Le 18 novembre 2016 à 14:18, par v7 En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Comme quoi le peuple burkinabè a fait l’erreur de reconduire cette classe politique dépassée.
53. Le 18 novembre 2016 à 14:26, par Belco En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
" Il y a un mensonge, le vrai : Quand un homme applaudit sans comprendre ; Quand un homme ferme les yeux pour ignorer la vérité ; Quand un intellectuel troque sa conscience et son âme pour des biens matériels ; Quand par peur de la mort ou simplement de certain désavantages, un homme sourit au malfaiteur, au tyran et au voleur ; Quand un peuple refuse de se battre, de se responsabiliser parmi les autres ; Et quand un dirigeant agit comme s’il avait inventé son pays, quand il ruse avec les lois. Ce mensonge tue les hommes et les nations. " ☀NORBERT ZONGO
54. Le 18 novembre 2016 à 14:27, par Diemil En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Il n’y a pas d’autres solutions pour notre pays que de chasser les RSS, il faut un soulèvement populaire cela s’impose. Sinon au moment où tous les pays évoluent notre pays ne fait que reculer en plus ils endettent sans scrupule les générations avenir, vivent de nos impôts sans en retour s’occuper des minimaux de la population. Les villes sont délabrées, la poussière est entrain de tuer les gens à petit feu parce que les rues ne sont pas goudronnées. U pays sans autoroute ni rien on est au 21ème siècle quand même hein.
Mr Salif qui fait la malédiction du Burkina vivait à Vienne donc il sait de quoi je parle.
L’Etat est considéré comme un père pour chaque citoyen mais au Burkina on est orphelin et de surcroit l’Etat nous suce d’avantage le sang.
Dans un Etat normal les citoyens ont une couverture minimal soit chômage, ou oeuvre social pour éviter la misère extrême et d’ailleurs cela est bénéfique pour l’économie si les citoyens disposent d’un revenu minimum car cela booste la consommation.
55. Le 18 novembre 2016 à 15:01, par Deb En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Quand j’ai repris le terme GARIBOU pour qualifier ces députés dans cette affaire, Webmaster tu ma censuré. Mais je reviens quand même : ces Députés tout comme tous ces hauts représentants du Faso qui ont reçu ces machins sont des GARIBOUS. Et ce sont les mêmes qui prétendent combattre la corruption. Mon œil ! Personne ne donne l’exemple dans notre pays. Mais nous n’allons pas cédé pour autant ; nous ne cesserons de nous battre au nom de Thomas SANKARA contre ces imposteurs d’un genre nouveau ! Oui au nom de Thomas SANKARA
56. Le 18 novembre 2016 à 15:36, par camarade En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Yaako les hommes qui se disent lutter pour un vrai changement:UPC. Vos députés ont-ils pris les tablettes ?
Le 18 novembre 2016 à 16:37, par yamhams En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Eh mon type je crois que ces tablettes n’ont pas une valeur supérieur à 37500frs dè ?
57. Le 18 novembre 2016 à 21:30, par COB En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Qui finance le REN LAC.? Ce sont lez européens. Comme il s’agit d’une entreprise chinoise, on monte au front. Pauvres de nous ! Vous n’avez encore rien vu.
58. Le 18 novembre 2016 à 22:40, par hypocrisie En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Avec de tels comportements je crois savoir que leur histoire de PNDES est mort et enterré, personne ne donnera de l’argent à de voleurs, dalleur même ils se dit capable de gérer le pays pourquoi joué aux mendiants, on préfère mourir debout, c’est ça le BURKINABE. Ce qui est sur chacun aujourd’hui dans ce monde a ses problèmes, arrêter d ’embêter Alassane OUATTARA, ce n’est pas lui qui vous a dit de vous insurger, soyez courageux et battez vous pour vous en sortir. CHAQUE DES MISSIONS EN COTE D’IVOIRE, espèces d’incapables et de lâches que vous êtes, quand la cote d’ivoire avait ses problèmes depuis quand elle a envoyé quelqu’un venir demander de l’argent au Burkina. VOUS N’AVEZ PAS HONTE ??????.
59. Le 19 novembre 2016 à 08:54, par AUX VOYOUS En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Liberer donc OUSMANE GUIRO si c’est permis d’avoir des cadeaux en especes ou en nature.
Puisqu’on est dans le meme contexte. Rien est juste dans ce pays alors. La loi n’est donc pas applicable a tout le monde ?
60. Le 21 novembre 2016 à 12:15, par kabila de gounghin En réponse à : Affaire tablettes aux députés : « C’est choquant, de constater qu’après une insurrection populaire, de tels comportements soient encore de mise », qualifie le chargé de plaidoyer du REN-LAC Bruno Goudouma Kéré
Qui a voté ces députés et qui a voté ce président qui a formé un gouvernement ? Vous les avez faits confiance ou vous avez reçu quelque chose venant d’eux, peu importe, c’est ce qu’ils ont donné pendant la campagne électorale qu’ils récoltent aujourd’hui ne vous étonnez pas car ce que le CNT a faits est balayé dans une poubelle et balance dans le caniveau d’à coté qui est emporté par les eaux de pluie au Ghana.