« Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Rasmané Ouédraogo est le premier adjoint au maire de Kouka, dans la province des Banwa, Région de la Boucle du Mouhoun. En 2013, il a été victime de diverses menaces. Sa maison a été incendiée au passage. Sa femme qui était dans la maison au moment des faits est encore sous le choc. Elle garde encore les séquelles de ce feu qui a failli lui ôter la vie. Rasmané Ouédraogo s’est ouvert à nous.
Lefaso.net : Que s’est-il exactement passé en janvier 2013 ?
Rasmané Ouédraogo : Le 24 janvier 2013, l’ex député Aboubacar Sanou, a monté ses parents contre moi, et ils sont venus brûler ma maison. Ma femme était dans la maison et elle avait une grossesse de sept mois. Ils lui ont dit qu’elle ne va pas sortir. C’est le Commandant de compagnie de la Gendarmerie de Nouna qui a œuvré pour que la femme sorte. Malheureusement, arrivé au Centre de santé et de promotion sociale (CSPS), elle a avorté. Et c’était un enfant de sexe masculin, de sept mois.
Y avait-il des témoins sur les lieux ?
La Gendarmerie a été témoin des faits. Précisément, le Major Dembélé. Il est témoin des faits, il a envoyé le dossier à Dédougou, et j’ai suivi la procédure à Dédougou sans avoir gain de cause. Jusque-là, il n’y a pas eu de procès.
Avez-vous entrepris des démarches dans ce sens ?
J’ai parlé du problème au président de l’Assemblée nationale, Salifou Diallo, avant les élections. Il m’a répondu que tout ce qui est injustice, après les élections, ils allaient voir. Mais jusque-là, ma femme ne se sent pas. Elle est couchée à la maison, cela suite aux brûlures. Je n’ai jamais été écouté ni par la justice de Dédougou, ni par celle de Ouagadougou. Donc, je patiente et attends toujours.
Où donc tout ce drame est-il arrivé ?
Les faits se sont passés ici à Kouka, précisément au secteur 05.
Et pourquoi l’on vous en veut, selon vous ?
Ils sont venus brûler la maison parce que je suis un Moaga du Yatenga, qui a été élu conseiller municipal ici, à Kouka, et 1er adjoint de surcroit, donc, il (Aboubacar Sanou : ndlr) estime que c’est moi qui ai épaulé Charles Sanou (actuel Maire de Kouka : ndlr), afin qu’il soit Maire. Il a donc dit de me chasser de Kouka. Il a dit qu’après efforts, j’ai refusé de quitter Kouka, donc il a décidé de bruler ma maison.
Y-a-t-il des preuves matérielles pour vous donner raison, en cas de procès ?
Des preuves ? (Il sourit) Vous pouvez toucher le Commandant de la Gendarmerie. Tout récemment, je l’ai rencontré pour lui dire que je regrette l’acte du Gouvernement. Puisque c’est eux qui représentent le gouvernement ici…Je lui ai dit que ce qu’ils ont fait n’était rien. Il m’a dit qu’ils ont envoyé le dossier en justice, et que si je voulais, je pouvais venir chercher le dossier sur support. J’ai été à Dédougou voir le juge d’instruction, qui m’a mal reçu. Malgré que je sois victime, il l’a fait et il m’a dit qu’après, il va fouiller ses documents pour voir. Je lui ai répondu que c’est regrettable qu’avec des actes ainsi posés, lui-même ne retrouve plus les documents. Sinon que j’ai des preuves. Il y a les photos à la justice, ils ont abimé mes tracteurs, ma maison, tout est gâté. Sinon, il y a toutes les photos…
David Demaison NEBIE
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 14 novembre 2016 à 02:56, par vérité no1 En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Je verse des larmes ! Aux USA, il est préférable de tuer quelqu’un que de toucher à une femme enceinte, c’est la tolérance zéro qui sera appliquée ! Peut-être 30 à 40 ans de prison !
Une sensibilisation de la population s’impose car on doit faire la différence entre la politique et la barbarie !
Voilà des dossiers que nos experts devraient étudier, mais hélas, on préfère juger des membres des OSC pour avoir dit la vérité ! Bas...!
Le 14 novembre 2016 à 13:20, par Onymes de Poitiers En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Aux USA aussi on est président sans avoir la majorité du suffrage exprimé. Arrêtons de comparer toujours. Ce qui est sur on est tous d’avis que ce qui s’est passé est très regrettable et dois être puni et sévèrement.
Le 19 novembre 2016 à 07:08, par Sidzabda En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Cest regretable mais tout cela est du au fait que le Burkina Faso ne constitue pas une nation : Egalement a l’ethnicisation outranciere dela politique au Faso marquee par l’immixion intempestive du Moro Naba et des autres chefs traditionnelle dans la politique. Il est a noter que le Monsieur affirme que ce que la population lui reproche est d’etre un mossi du Yatenga : Est ce pour cela qu’il est allé voir le PAN avec facilité le Champion toute classe et catégorie confondu des mossi du Yatenga ! Comme quoi lui également a le profil de ce quon lui reproche : Que Dieu sauve le BF
2. Le 14 novembre 2016 à 03:00, par boubacar En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Sans doute que vous êtes une victime qui attend une justice véritable. Mais voyez-vous c’est pour ça que nous luttons pour l’instauration d’une vraie justice. Cela dit, l’avénement de cette vraie justice passe par une justice indépendance. Dans ce sens, je suis surpris que vous tentiez de passer par Salif Diallo pour obtenir justice. En tant que président de l’Assemblée nationale ou en tant que ressortissant du Yatenga ? Attention à la fibre régionaliste que vous-même vous dénoncez et que tous les politiciens exploitent. Les dernières élections municipales ont fait de morts, vous le savez et ce n’est pas à Kouka. C’est le politicien qu’il faut combattre. C’est lui qui met le feu en manipulant la population. Maintenant, il reste à rassembler les preuves contre celui que vous accusez ouvertement. Certes, on a les preuves que votre maison a été brûlée, que vous êtes victimes, mais la justice demandera des preuves qui montrent que c’est celui que vous accusez qui est à la base. Dans tous les cas, passer par Salif Diallo, cela va à contre-courant de l’indépendance de la justice qui devrait vous permettre d’obtenir une justice équitable. J’aurais compris que vous ayez recours au MBDHP, à un avocat, etc. Salif Diallo ne peut rien ici sinon tordre le coup à la justice, ce qui ira à l’encontre d’une vraie justice. Lui-même a des dossiers de crimes de sang et de crimes économiques qui l’attendent lorsqu’il ne sera plus à la place qu’il occupe. Courage à toi et nous espérons que tu bénéficieras d’une justice équitable
Le 14 novembre 2016 à 11:33, par Un conseil d’ami En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Mr Boubacar avant de commenter un article il faut bien le lire, c’est horrible ce qui.est.arrivé à ce monsieur . Dans sa situation il a juste besoin de reconfort et de soutien, mais bon internet donne droit à toute les dérives.
Puisse Dieu nous venir en aide, amen
Le 14 novembre 2016 à 14:34, par boubacar En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Moi, j’ai lu l’article avant de faire mon commentaire. C’est vous n’avez pas lu (ou n’avez pas le niveau qu’il faut pour comprendre) mon commentaire avant de réagir
Le 14 novembre 2016 à 15:40, par Zangoté En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
J’apprécie la réaction dense et intelligible de Boubacar. Il ne fait que montrer la voie à suivre par M. OUEDRAOGO s’il veut obtenir justice et réparation. "Un conseil d’ami", je me sens obligé de te demander d’apprendre à réagir sans passion. Dans ton intervention, je ne vois aucun conseil que tu proposes ou donnes. C’est à force de vouloir cacher la vérité avec vos bouts de phrases que rien ne va au pays ici. Salifou Diallo n’est ni un juge, ni un avocat et je ne vois pas pourquoi M. OUEDRAOGO lui demande d’intervenir pour qu’il ait justice. M. OUEDRAOGO est donc prié de prendre attache avec le MBDHP pour se faire bien assister car en le lisant je sens qu’il n’est pas bien entouré côté défense de ses droits. Qu’il prenne un bon avocat non affairiste et il verra comment le sieur SANOU sera fouetté si toutefois M. OUEDRAOGO a raison.
Le 14 novembre 2016 à 13:50, par bruno En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Le m. En question ne dit pas qu’il a vu le president de l’assemblee nationale, lisez bien, il a vu salif diallo avant les elections donc avant qu’on ne sache qui est le president du faso, encore moins le president de l’assemblee. Quoi de plus normal que de toucher un proche parent ou n’importe quelle autre personne pour aider a resoudre un probleme que l’on peine a gerer avec les structures qui sont sensees dire le droit. Aidez le m. a retrouver la quietude dans sa famille. C’est l’important.
3. Le 14 novembre 2016 à 03:03, par Konaté En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Vous avez pris le problème du mauvais côté ; quand on part à la justice avec l’assurance de la culpabilité d’une personne par interposition (comme commanditaire) vous liez les mains et les pieds de la justice. Tout ce qu’elle peut décider vous surprendra car elle va tout faire pour ne pas paraître une justice suggérée.
Dommage pour notre pauvre pays.
Le 14 novembre 2016 à 14:50, par vérité no1 En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Est-ce qu’il est un homme de droit pour comprendre les rouages de la justice ? Il a pu identifier des individus qui voulaient brûler sa femme et pour nous autres profanes, c’est eux qu’on indexe ! Voilà pourquoi j’aime souvent la justice de la rue par rapport à vos gros articles inspirés du code pénal français !
Le 14 novembre 2016 à 20:21, par le che En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
pitié pour notre pauvre pays ! c.est à se demander si les burkinabé ne sont pas tombés sur la tête à la place des Dieux !
4. Le 14 novembre 2016 à 06:16, par Le révolté En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Encore Aboubacar Sa ou, président des jeunes du CDP, ex-député. Il doit payer pour cet ignoble acte.
5. Le 14 novembre 2016 à 07:06, par "LE VIEUX" En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
LA PROCHAINE INSURECTION VIENDRA DE PAR LA JUSTICE.
".. J’AI PARLÉ DU PROBLEME A SALIFOU DIALLO AVANT LES ELECTIONS..." MAIS, MONSIEUR RASMANÉ, QU’EST CE QUE CE DERNIER VIENT FAIRE DANS UN DOSSIER JUDICIAIRE ? COMME TU AS POLITISÉ ET ETHNICISÈ TON DOSSIER, TU N’AURA QUE TES YEUX POUR PLEURER.
Le 14 novembre 2016 à 10:56, par kirakoya En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Juste "le vieux". Il n’ a qu’a dire a salif Diallo (PAN et ressortissant du Nord) de faire en sorte que la police et la gendarmerie resolve son dossier. Il y a combien de mossi qui font la politique et vivent tranquillement ailleurs. peut être que tes attitudes sont ethnicistes regionalistes contre ceux là memes qui ont accueilli tes parents à bras ouverts pour qu’ils puissent avoir des champs. Au depart, peut etr que tu sembles "pas bien". La politique est venue tout gaté. Fais ton propre auto-critique. Meme si tes bienfaiteurs sont minoritaires en nombre, ils sont tres anciens à Kouka. Les droits des minorités doivent etre respectés, comme ici au Canada. Salut a tous au BF.
Le 14 novembre 2016 à 14:19, par vérité no1 En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Pour vous, si quelqu’un a des attitudes régionalistes, on peut brûler sa femme ? Oh my God, we have a long way to go.
Le 14 novembre 2016 à 15:18, par temps de l’action En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
mr le vieux, on ne peut pas parler de ses ennuis à ses proches ? c’est le genre de "vieux" comme toi qu’on doit envoyer dans des asiles psychiatriques. tu es une honte pour ta famille !
Le 14 novembre 2016 à 18:36, par "LE VIEUX" En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
SALIFOU DIALLO SON PROCHE ? ON NE PEUT PAS CACHER LE SOLEIL AVEC SES MAINS. LA VERITE EST QU’IL TRAINE TOUJOUR SON DOSSIER ENTRE SES MAINS DEPUIS 2013 . IL N’AURA QUE SES YEUX POUR PLEURER. SALIF DIALLO N’A BESOIN QUE SON VOTE ET NON L’AIDER A RESOUDRE SON PROBLEME. JE SAIS QUE TU ES DE CETTE RACE DE PREFATEURS COMME TON MENTOR
6. Le 14 novembre 2016 à 07:18, par Le révolté En réponse à : « Ils ont failli brà »ler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Encore Aboubacar Sa ou, président des jeunes du CDP, ex-député. Il doit payer pour cet ignoble acte.
7. Le 14 novembre 2016 à 07:42, par temps de l’action En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
c’est ça le bobocentrisme separatiste. c’est pourquoi je propose qu’on donne cette partie du pays au mali. ces gens ne sont jamais sentis réellement Burkinabé
Le 14 novembre 2016 à 11:02, par Boubou En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Du délire mon frère ! Etiez-vous assis au bord de la route avec une bouteille d’eau Lafi ? Ça du vous soûler j’imagine. Alors, va réveiller les NAZI BONI. Respect a toi !
Le 14 novembre 2016 à 11:26, par Bobo En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
C est degoutant ce que tu viens d ecrire la. Le Burkina n est pas la terre d une seule ethnie non mon cher une soixantaine. Toi meme qui parle la tu comnais des origines exactes. Je suis bobo et burkinabe j en suis fier. Tais toi si tu n as rien dire car tu ne connais absolulement rien à mon ethnie.
Si ces faits sont justifies et bien que justice lui soit rendu. c est mon souhait mais la on a que ses propos et en bon reglement de justice on ecoute la deuxieme partie avant toute decision.
Le 14 novembre 2016 à 11:36, par Baradey En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Tu sais, l’ethnocentrisme ne concerne pas une ethnie en particulier mais toutes les ethnies du monde, c’est le genre humain qui est ainsi. Là où je suis d’accord avec vous, ce serait de rattacher l’ouest du Burkina et le Nord de la Cote d’ivoir au Mali. Ainsi des propos du genre, l’ouest du Burkina est delaissé et les quelques bisbillles que connaît la Cote d’Ivoir disparaitront à jamais. On pourrait à titre compensatoire, fusionner le reste du Burkina au Togo ou au Ghana.
Le 14 novembre 2016 à 15:07, par temps de l’action En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Parfait ! c’est d’ailleurs peut-être ça le plan de reconfiguration de la carte de l’Afrique de l’ouest q’aurait décidé le maitre de l’Afrique francophone si on lit bien ce qui se passe. la petite portion sud du mali, l’ouest du Burkina, la portion nord de la cote d’ivoire, une petite partie de la guinée formeraient le rimaïbé-land. le reste de la guinée formerait un poulaaristan. le centre du mali et une partie du sahel Burkinabé formeraient un 2è poulaaristan (amadoun koufa ?).
le nord du mali serait l’Etat azawadien.
le reste du Burkina resterait intact. ce que le Burkina ne va pas accepter c’est ceder le sahel et il faut donc que les KWGOS s’installent dans tout le sahel. pour l’ouest beaucoup verront ça comme un bon débarras
Le 14 novembre 2016 à 12:51, par La pensée En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Quelle ânerie ! peut-être que les ancêtres des ces gens dont tu parle sont plus anciens sur la terre du Burkina que les tiens. Et puis, en homme responsable, il faut avoir la version de chacune parties en conflit avant de prendre position. Peux-tu imaginer un instant le nombre de mossi dans la commune de Kouka, et qui vivent en harmonie avec les autres communautés ? Dans une situation conflictuelle... tchrrr, je perds mon temps avec cet individu aux intentions diaboliques.
Le 14 novembre 2016 à 14:32, par vérité no1 En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Vous voulez parler de Yennenga ? Elle est venue au Burkina au 11ème siècle mais pour votre gourverne, Yennenga était une Manpourga et les manpourssi vivaient également bien longtemps !
8. Le 14 novembre 2016 à 07:56, par temps de l’action En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
si l’Etat ne prend pas ses responsabilités les gens seront obligés d’appliquer la reciprocité desormais dans ce pays
9. Le 14 novembre 2016 à 08:01, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Rasmané, ne laisse pas tomber cette affaire. Il faut que ceux qui ont été à la base payent cher pour ce forfait. Les gens sont habitués à faire des cônneries parce qu’ils sont impunis. Ne laisse pas tomber. Va voir l’avocat Me Farama pour qu’il te défende. Ne laisse pas tomber. Et puis un pouvoir qu’on prend suite à des incendies est un pouvoir maudit.
Par Kôrô Yamyélé
Le 14 novembre 2016 à 10:50, par VISION En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
"Et puis un pouvoir qu’on prend suite à des incendies est un pouvoir maudit." Ça alors !!!!! suivez ma logique !
Le 15 novembre 2016 à 21:38, par ouedraoog biiga En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Réaction responsable et sage de Koro yamyelle. Cette fois-ci, j’apprécie !
10. Le 14 novembre 2016 à 08:04, par entouca En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Mon frère il faut rien attendre d’extraordinaire de la justice, c’est ça le pays réel.
11. Le 14 novembre 2016 à 09:44, par MILEM En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Incroyable , impensable dans ce siècle.Justice doit être rendue. Justice justice ......
12. Le 14 novembre 2016 à 09:47, par Le Paysan En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Entoucas au village, on a remarqué que le sport favoris des Magistrat c’est le report.
" Tant qu’on peut, reportons à demain, aye de toutes les facons, celui qui s’amuse à nous crittiquer on le met au Gnouf pour outrage et puis il y’a rien, on est des Ministres la ( bon on est payé comme tel ) ! "
13. Le 14 novembre 2016 à 09:55, par Ka En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Rasmané, tu dis qu’avant l’arrivée des RSS au pouvoir tu as eu a parlé a Salif Diallo ? Et il t’a promis que ça va Changer ? Alors c’est par ces promesses non tenues, que le peuple en veut à nos gouvernants actuels. Ils proclamaient avec leur programme présidentiel qu’ils sont pour le changement, pour le progrès, tous ceux-ci ne relève que la de la théorie pour berner un peuple déjà meurtrie par l’injustice et l’impunité. Quand on voit une affaire flagrante d’abus de pouvoir suivi d’un crime comme a fait Aboubacar Sanou a Rasmané Ouédraogo, il est temps que le peuple se lève pour dire à nos gouvernants de prouver avec des vrais actes pratiques de leurs promesses d’éradiquer l’injustice et de l’impunité. Je demande à tous les témoins de cette affaire criminelle, car une femme a été forcé à l’avortement, d’être digne de foi, et d’aller témoigner avec Rasmané pour que Aboubacar Sanou paye son crime. Je profite de mon message pour redire a Salif Diallo qui bernait ce pauvre Rasmané pour avoir une voix, que sans une justice juste, une classe donnée comme le pouvoir de Roh Kaboré, ne pourra maintenir sans domination sur un peuple averti, qui a comme une arme puissante ‘’’le soulèvement populaire’’’ pour chasser les gouvernants prédateurs.
14. Le 14 novembre 2016 à 09:59, par Naboho Lassina En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
C est triste cette affaire, je souhaite que la justice soit rendue. Le pire est que tout se passe ,dans la tete de chacun de nous.La xénophobie est réelle, dans notre pays et personne ne veut en parler. Chacun pense ethnie ,région ensuite Burkinabé, or en pensant Burkinabé avec sincérité on a l amour du prochain.Le comble est que ceux qui ont un niveau scolaire acceptable ,sont plus mauvais que les analphabètes.
15. Le 14 novembre 2016 à 10:44, par Alexio En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Pourquoi la sauvagerie est revenue en force au Burkina Faso ? A l an 2016 on dirait que nous vivons dans une jungle sectarisme de toutes sortes. La politique politicienne est en voie de developpement. Des Kolweogos comme des chiens de faiences. hors la loi qu sei disent plus competants plusque nos agents de la police.
Ils ne n ont de lecons a recevoir de personne sauf a un Ben Laden. Lhomonyme d un criminel fanatique tue par les Armericains fait la pluie et le beau temps avec un certain Boukary dit le lion. L anarchie est complete avec l absence du gouvernement le gerant.
C est decevant de voire que la republique a faillit a son devoir en laissant tous abus de mouvement sans controlle. En prenant le role de la police republicaine pour targuer des potentiels delinquants sous leur regime qui ote l integralite humaine la personne en objet manipulables par des methodes celles dont ils le secret.
Cette culture de violence au Faso est devenue un outil retrograde sosial qui etre bannit par la majorite d entre nous, malgre nos divergences ideologiques du moment.
16. Le 14 novembre 2016 à 10:57, par Sidzabda En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Dites nous c’est quoi le sens de cette interview ? c’est dans quelle cadre cette interview a été réalisée et à qu’elle fin ? Trois ans après les faits lefaso.net va remuer un couteau dans la plait. J’espère que lefaso.net aura l’honnêteté intellectuelle de contacter le mise en cause pour recueillir aussi sa version des faits. Sinon cette interview semble être une sortie de règlement de compte. Cette interview n’a aucune valeur informative. Lefaso.net ne devenez pas Radio mille colline !!!!.
17. Le 14 novembre 2016 à 11:02, par le Berger Sahelien En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
il n’y a pas de justice au Faso. Il faut que le pouvoir sache qu’il est complice de l’état MAFIEUX de la justice. Nos juges sont très rigoureux avec les faibles. La vraie justice est populaire et viendra contre tous ceux qui pensent qu’être juge = être commerçant. Allons seulement.
18. Le 14 novembre 2016 à 11:41, par sida En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
encore la justice corrompue du burkina c est vraiment regrettable cette affaire
19. Le 14 novembre 2016 à 11:44, par hebadam76@yahoo.fr En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Non il faut pleurer fort et Salif DIALLO, le monstre,et l’ennemi du Burkina va essuyer tes larmes. Quelle comedie ! Pour que ce pays avance ,il faut que ces gens disparaissent du paysage politique. Seulement des mises en scène pour flatter la population. Quittez dans ça maintenant et prenez votre retraite politique. On n’a plus besoin de vous.
20. Le 14 novembre 2016 à 16:26, par Diemil En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Tu vas voir Salif pour quoi ???Parce que toi aussi tu veux qu’il intervienne pour toi. Et après tu te plains. Tu n’es pas une bonne personne si des gens en vienne à bruler ta maison tu y es forcement pour quelque chose. Si tu as demandé asile a Kouka alors reste dans ton coin ou bien respecte ceux qui t’on accueilli. Vous amener vos mauvaises habitude partout parce que vous contez sur ce votre monstre de Salif. Lui-mêm va payer pour les crimes qu’il a commis attends de voir
Le 14 novembre 2016 à 18:22, par temps de l’action En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
à ce que je sache kouka fait toujours partie du Burkina et n’importe quel Burkinabé a le droit de venir y resider
21. Le 14 novembre 2016 à 17:27, par WALAY En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Pourquoi les gens n’ont plus de logique dans le raisonnement ? Vers qui se tourne un militant d’un parti politique qui a des problèmes à cause de sa positions politique ? Que peut dire un leadeur politique à un de ses militants qui a des problèmes ? Qu’il n’y aura pas de solution ? Ce qui serait inquiétant c’est si Salif DIALLO, qu’il soit vice -président du MPP ou Président de l’Assemblée Nationale intervenait dans la justice pour régler ce problème parce que c’est un militant MPP. Heureusement il n’y a rien eu de tout cela. La justice doit régler ce problème simplement parce qu’il y eu injustice sur un citoyen. QUE LA VRAIE JUSTICE ARRIVE AU FASO. WALAY
Le 14 novembre 2016 à 18:57, par boubacar En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Wow ! tous les centaines de milliers de militants du MPP ont accès à Salif Diallo et Salif Diallo leur promet qu’il y aura une solution ! Il me reste à adhérer au MPP et à demander la lumière sur la mort de Dabo Boukary
22. Le 14 novembre 2016 à 21:47, par Zereson En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Depuis que dans notre pays la politique est descendu très bas, alors tout le monde est devenu politicien sans en avoir la culture.Lorsqu’on lit cet interview on voit que les réponses de ce monsieur sont haineuses et dirigées contre des personnes.Il en ressort que quand le problème s’est posé il n’est pas allé voir les notabilités de bobo de Kouka mais Salif Diallo (ethnicisant ainsi le problème).Et tu veux qu’’on te rende justice ?Non.Tu as choisi ton juge suprême:Salif Diallo.Je suppose que tu t’es dit que c’est l’’homme qui ne saurait rester indifférent devant les problèmes de n’importe quel ressortissant du Yatenga.Je voudrais signifier à ce monsieur (qui est très jeune) que les gens du Yatenga vivent en parfaite harmonie avec les autochtones de Kouka depuis des périodes très reculées. Un peu partout dans ce pays depuis que les jeunes se sont lancés dans la politique sans un minimum de culture politique cela généré de nombreuses fractures.
23. Le 15 novembre 2016 à 08:00, par Vivre ensemble En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
Bonjour, Il est fort regrettable que les internautes se limitent à de telles pensées séparatistes, régionalistes, ethniques etc pour ce problème pausé.
Je suggère que l’état comprenne que c’est une situation vécue dans certaines localités du pays (exceptés les villes de bobo et Ouagadougou pour ne citer que ces deux là). Et il faudrait :
1-Créer un cadre de concertation permanent au niveau des communes sans clichés politiques.
2-Ouevre à mettre en place une journée communautaire dans chaque commune quelle soit villageoise, provinciale ou les valeurs communautaires sont partagées, échangées.
3-Renforcer la parenté à plaisanterie et aller au delà de celle dernière.
4-Un bon projet social.
24. Le 15 novembre 2016 à 08:43, par neya boukari En réponse à : « Ils ont failli brûler ma femme aussi, qui était enceinte, à l‘intérieur de ma maison… », Rasmané Ouédraogo, 1er adjoint au maire de la commune de Kouka
A ce rythme, chacun n’a qu’à servir chez lui dans son village et on aura la paix. Pourtant j’ai connu des fonctionnaires d’autres régions et d’autres ethnies qui ont servi dans mon village, s’y sont mariés, ont pris leur retraite et s’y sont définitivement installés . Et c’était comme ça aux quatre coins de notre beau pays, jusqu’à ce que les démons de la politique et de la division viennent nous diviser. Las !