Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Le Burkina Faso est aujourd’hui et véritablement à la croisée des chemins (dixit Laurent Bado). Il est à un moment historique ou plus que tout autre couche sociale, les intellectuels doivent s’assumer, prendre leur responsabilité pour peser sur le cours des évènements politiques et sociales à venir. Intellectuel médecin, intellectuel politique que je suis, j’ai décidé de m’assumer par cette lettre que je m’emploierai à diffuser partout, où besoin sera.
Bienvenue au projet de loi portant révision de la Constitution parce qu’il a l’avantage de clarifier votre position tant attendue depuis votre sortie provocatrice à Dori le 11 décembre 2013 lors de la célébration de l’anniversaire de l’indépendance de notre pays. Du coup, dialectiquement, elle a mis fin aux angoisses, aux atermoiements, et aux hésitations du peuple qui désormais est contraint de se mettre en ordre serré de bataille pour empêcher votre forfaiture, pour défendre sa démocratie, pour ne pas dire exactement, réaliser sa véritable Révolution démocratique.
Monsieur le Président,
Le 15 octobre 1987, vous avez pris le pouvoir au nom de la « Rectification de la révolution », au nom de l’approfondissement de la Révolution. Deux ans après, les révolutionnaires entrainés dans ce mouvement ont fait le constat amer de la liquidation sans appel de la Révolution d’août dont vous étiez un des « pères historiques ».
Sentant le vent du Renouveau démocratique ; de la révolution démocratique (comme disent certains intellectuels) venir sur l’Afrique, sous la pression du discours de la Baule de 1990 du Président français François Mitterrand et sous la poussée des luttes populaires, vous vous êtes soumis au régime d’Etat de droit matérialisé par la Constitution du 02 juin 1991.
Faute d’avoir passé par la conférence nationale souveraine (CNS) qui a permis de poser les bases solides du Renouveau démocratique dans beaucoup de pays africain, notre pays, sous votre direction, a servi à l’Afrique et au monde une « démocratie militarisée », une « démocratie hybride » (dixit Professeur Loada).
Faute d’avoir appliqué la voie de la vérité – justice – réconciliation (VJR) recommandée par le collège des Sages, installée par vous-même, suite à la crise nationale consécutive à l’assassinat odieux du journaliste Norbert Zongo, notre processus démocratique, sous votre direction, a pris vertement la ligne rouge de la monarchisation et de la patrimonialisation du pouvoir.
Monsieur le Président,
Votre culture politique, je le sais bien, vous permet de savoir ce qui différencie fondamentalement l’Etat d’exception (que vous avez pratiqué et dirigé durant 4 ans) et l’Etat de droit (que vous pratiquez et dirigiez depuis déjà 23 ans).
Cette différence fondamentale c’est : la soumission de tous au droit (y compris le chef), les libertés et l’alternance politique dans l’Etat de droit.
Monsieur le Président,
Votre 1ère tentative de lever le verrou de la limitation du mandat présidentiel en 1997 et par voie parlementaire avait clairement indiqué votre volonté de rester à vie au pouvoir. Mais certains n’y avaient pas cru (du moins c’est ce que vous leur faisiez croire).
Dans le débat qui faisait rage sur la question de la rétroactivité de l’article 37 de 2000, empêchant de ce fait votre 3ème candidature, les opposants politiques de l’époque ont été « chicotés » correctement par certains intellectuels de haut vol et par le conseil constitutionnel pourtant constitué d’éminents juristes. Ces derniers à mon sens ont plus interprété la lettre de la loi plutôt que son esprit. Ils ont oublié d’interpréter « votre esprit » à vous qui est que la loi vous permettra de remodifier cet article en temps opportun pour continuer d’assouvrir votre volonté de rester à vie au pouvoir.
Aussitôt après votre « élection brillante » à 80.3% à « hauteur d’homme », en 2005 vous avez introduit insidieusement le débat sur l’article 37 nouveau, débat qui voit aujourd’hui son dernier épilogue.
En 2006, alors que je présidais le cadre de concertation des partis de l’opposition (CPO), je m’insurgeais sur cette énième tentative de modification de l’article 37, en ces termes « si on modifie l’article 37 on va se rentrer dedans ». Il n’en fallait pas plus pour que certains de vos flagorneurs, de vos zélés supporters, me collent l’étiquette de « mal causeur ».
Depuis donc 2006 vous avez nourri le débat sur la question par diverses voies (presses interposés, stades interposés, dialogues interposés, petites phrases assassines interposées, rues interposées, etc.) et voilà qu’aujourd’hui, après votre projet de loi, « nous sommes en train de nous renter dedans ».
En 2010, candidat pour la deuxième fois contre vous, j’ai entamé ma campagne par une conférence de presse que j’ai intitulée « Elections présidentielles 2010 : la dernière bataille de Blaise Compaoré ».
J’avais la forte conviction que c’était votre dernière participation à une élection présidentielle dans ce pays ; non pas que vous n’allez plus poursuivre votre sport favori de fuite en avant pour tripatouiller la Constitution, mais parce que je ne voyais plus par quelle « voie géniale », par quelles « argumentaires géniales », vous allez passer pour faire accepter cette même forfaiture, faire avaler cette pilule assassine de la démocratie ; la démocratie « ce machin » auquel vous semblez n’y avoir jamais cru un seul jour.
J’avais la conviction que le peuple que j’ai nommé : paysans, ouvriers, intellectuels, travailleurs, opérateurs économiques, patriotes, citoyennes et citoyens des villes et des campagnes ; ce peuple-là qui a acquis une conscience extraordinaire à l’expérience de ces 23 ans de processus démocratique, de ces 27 ans de votre gestion du pouvoir, ne pouvait pas accepter cela.
Monsieur le Président,
Le 15 octobre 1987 vous avez dit « Rectification » certains citoyens comme moi vous ont cru ; vous aviez dit à d’autres « Démocratie » certains citoyens comme mes amis « Boly Moussa, Pierre Tapsoba, Paul Ismaël Ouédraogo » vous ont cru.
Le 30 mars 2000 vous avez dit « peuple du Burkina Faso je vous aie compris : plus jamais ça. Je demande pardon ». ils sont nombreux les citoyens qui vous ont cru mais d’autres comme moi ne vous ont pas cru.
En 2011, vous avez dit aux militaires et paramilitaires insurgés : « mes chers compagnons d’armes je vous ai compris ». Naïvement ils ont cru oubliant la loi militaire et ils ont payé militairement.
En 2012 vous avez dit « dialogue CCRP », des dialoguistes sincères y ont cru mais le CFOP n’y a pas cru. Et voilà que les dialoguistes sincères, découvrent aujourd’hui que l’essence de ce dialogue, ce qui vous intéressait dans ce dialogue c’était bel et bien la modification de l’article 37.
Tous près de nous il y a deux semaines vous avez dit : « dialogue politique inclusif sans médiateur, avec deux co-présidents ». Des gens y ont cru mais pas moi, la suite on la connait. En tant que capitaine vous saviez bien qu’il n’y a pas deux capitaines dans un bateau. Ce dialogue était donc programmé pour échouer.
Monsieur le Président,
« Trop c’est trop », « Borry bana ».
En adoptant le projet de loi de révision de la Constitution, en dépit du refus massif du peuple, du refus des forces politiques et de la société civile significative et en dépit de l’appel des forces coutumières et religieuses, de l’appel de la communauté internationale – France et USA notamment-, vous avez ainsi perdu toute légitimité pour diriger encore ce pays.
Vous êtes par cet acte disqualifié pour diriger la « transition apaisée » pour des élections libres, transparentes et équitables en 2015.
Alors démissionnez. C’est aussi une application de la Constitution. C’est aussi un exercice de la démocratie.
La question n’est plus la qualité ou la taille de la porte de sortie (grande porte, petite porte, fenêtre ou persienne ou trou). La question aujourd’hui c’est sortir tout court.
Monsieur le Président,
Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Docteur Pargui Emile PARE
Ancien militant du CNR et du Front populaire
Ancien candidat aux élections présidentielles
Militant du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP)
Vos commentaires
1. Le 23 octobre 2014 à 19:49, par fox En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci Docteur !
2. Le 23 octobre 2014 à 20:00, par samuel En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Trop plat d’un Samo. Rien de convaincant
3. Le 23 octobre 2014 à 20:01, par good biiga En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Demandez lui simplement de partir à la fin de son mandat. Ne cherchez pas à nous compliquer la tâche
4. Le 23 octobre 2014 à 20:01, par avion dans sac En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
c’est trop facile ce que ce Mr a laisser comme message !!!et je pense bien que nous devons lui dire que dans ce pays la constitution est une chose a respecter et nous devons tous faire de notre mieux pour que cela soit maintenu et aussi que c’est le peuple qui doit décider de quoi que ce soit dans ce pays et non des hommes qui se disent intello ou quoi encore !!!!!!!
le référendum ou le référendum !
5. Le 23 octobre 2014 à 20:02, par Tortue de type CDP En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Encore un opposant mouton d’un autre genre ! Si tu lui remets ses 30 briques, il démissionnera. Je n’aime pas abilaissé mais il vaut mieux que toi !
6. Le 23 octobre 2014 à 20:10, par OK En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Chat Noir du Nayala, bien parlé. J’espère que ton esclave de président comprendra et t’écoutera. Même si c’est un leurre que cela puisse arriver car comme le dit cet adage : "de la manière tu viens au pouvoir, c’est comme ça tu t’en vas" alors, WAIT AND SEE !
7. Le 23 octobre 2014 à 20:12, par Cami En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Eh, le chat tu existe encore ????
vas remettre les MILLIONS que Blaise ta donne.
Tu crois que le pouvoir se donne ??????? Venez nous le prendre alors. Bandes de pédales .
Vive le CDP et ses alliés
8. Le 23 octobre 2014 à 20:14, par Olmy En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Je crois qu’il est l’heure.
9. Le 23 octobre 2014 à 20:15, par RAOUA En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci mon Samo vous avez bien peint l’homme et la situation.
.
10. Le 23 octobre 2014 à 20:19, par nabiga En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci docteur ,maintenant il n ;ya pas a tergiverser sur la non modification de l’article 37 la seule chose est du départ de Blaise compaore sans condition et le 28 OCTOBRE pourrait être le jour de son départ car nous sommes prêts a nous sacrifier . J.ai déjà prépare le tam-tam du TINCOUM pour battre le son a l ;appel au combat . ceux qui ont vécu dans les cours royales savent ça des l.ecoute du son si tu es un digne fils du burkina tu dois répondre a l’appel et accourir vers la place de la nation qui sera le point de départ des guerriers
11. Le 23 octobre 2014 à 20:19, par dididrogb En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
demissionner pourquoi ?? Du moment ou le peuple le désire encore,il va rester. il n’est pas encore fatiguer,et il est de surcroit celui sur qui le peuple burkinabé compte pour l’émergence du pays. monsieur pargui,fo te chercher,on te connais ici. OUI AU REFERENDUM ET VIVE BLAISE COMPAORE.
12. Le 23 octobre 2014 à 20:26 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Tout ce que l’on redoutait arrive. Chacun va pouvoir se libérer et dire tout haut que le chef est nu. On aura certainement le ventre plein, mais l’on ne va pas se libérer de la honte.
13. Le 23 octobre 2014 à 20:34, par DIABRE En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Il faut que l’autorité se ressaisisse car on dirait que l’on vit dans un pays sans autorités. Les débordement doivent être soigneusement maté pour assurer la stabilité et la sécurité de nos concitoyens. Une décision qui se prend dans les urnes ne peut prendre en compte les vas et viens dans la rue. Le CES pour une emutions économique a eu une très grande bienveillance de souligner cela au président du Faso
14. Le 23 octobre 2014 à 20:38 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
L’histoire du Burkina reste à écrire, et elle s’écrira sans blaise, même si ça sera avec le sang d’autres BURKNABE, ce sang qui va nourrir d’autres générations de BURKINABE plus dignes, l’histoire de mon BURKINA FASO va se réécrire au nom de la vérité pour les générations passées et à venir, l’histoire du BURKINA FASO va se réécrire. Depuis le 15 octobre, date fatidique pour Thomas Isidore Noël SANKARA et tout le peuple BURKINABE, blaise vient de démontré à souhait que la rectification n’était qu’un prétexte pour liquidé SANKARA. il vient de tomber plus bas en dévoilant sa cruauté. Cela nous montre davantage que la tragédie du 15 octobre est une oeuvre bien planifiée de blaise depuis son rapprochement avec le Président Sankara pour Le liquider et salir sa mémoire. Mais le temps reste l’ennemi de blaise. Il vient de le prouver qu’il a liquidé tous ces BURKINABE pour ses ambitions personnelles. Dieu ne bouffe pas crédit mais il rembourse crédit et blaise n’échappera pas à cette justice divine. Il tuera encore des BURKINABE peut-être, mais il ne tuera pas tous les BURKINABE. Qu’il se rappelle les belles phrases qu’il envoyait à Mamadou Tandja ou à Laurent Bagbo. Tous ces gens valent mille fois que blaise aujourd’hui avant que le pire ne lui arrive. Qu’il se tienne prêt car le vaillant peuple du BURKINA ne le laissera pas commettre des crimes odieux encore.
15. Le 23 octobre 2014 à 20:43, par Eclaireur En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Dès le 1er Novembre le président de l’Assemblée Nationale doit prêter serment en tant que président intérimaire et s’engager à organiser des élections au plus tard dans trois(3) mois .
Que Dieu Bénisse et prothèse le Burkina Faso et toutes les autres nations.
16. Le 23 octobre 2014 à 20:43, par KMB En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Avant que Blaise ne démissionne, il faut nous dire ce que tu as fait avec les trente millions !!!! toi aussi tu parles ??? en politique , faut jamais faire de la fusion , mais des alliances !!!! c’est un faut deal que tu as faites avec le MPP !!!
17. Le 23 octobre 2014 à 20:46, par Laguna En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Mr Paré vous n avez pas de leçon à donner au président Compaoré. Vous qui migré de parti politique en parti politique . Nous voulons la paix . Vive le référendum !!!
18. Le 23 octobre 2014 à 20:47 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’ADF-RDA
Le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance pour la Démocratie et la Fédération - Rassemblement Démocratique Africain (ADF-RDA) s’est réuni en session extraordinaire le 19 janvier 2014 sous la présidence de Me Gilbert Noël OUEDRAOGO, Président du Parti. Cette rencontre a permis de partager d’importantes informations et d’analyser l’évolution de la situation politique nationale.
Après des échanges fructueux, le SEN a réaffirmé les positions du parti relatives à la limitation du nombre de mandats présidentiels qui reste pour l’ADF-RDA une valeur démocratique fondamentale, mais aussi par rapport à l’opérationnalisation du Sénat qui doit être, de l’avis du SEN, différée pour préserver la cohésion sociale et l’unité nationale.
Le SEN a, en outre, encouragé les responsables du Parti à poursuivre et à multiplier les initiatives déjà entamées qui visent à infléchir et à modifier, chez les principaux acteurs, les positions extrêmes qui mettent en péril la paix et la stabilité.
Les récents développements de l’actualité politique laissent présager que les jours et les semaines à venir seront riches en intrigues et en manœuvres diverses. Par conséquent, le SEN appelle les militant(e)s et sympathisant(e)s de l’ADF-RDA à demeurer vigilants et perspicaces afin de déjouer toutes les tentatives de déstabilisation du Parti.
En cette période de transition politique, chaque militant(e), chaque sympathisant(e) doit ériger les valeurs et les convictions de l’ADF-RDA en véritable boussole. Chacun doit rester imperturbable et ne pas oublier le sens de son engagement pour le Burkina Faso. Car, quoi qu’il advienne, rien n’entamera la détermination du Parti à lutter aux côtés des vaillantes populations pour la satisfaction de leurs besoins essentiels et pour une démocratie vertueuse qui se renouvelle et se renforce.
Le SEN, avant de lever sa séance, a conclu en invitant une fois de plus les acteurs politiques nationaux à ouvrir dans les meilleurs délais un dialogue sincère pour poser les bases d’une transition apaisée et d’un avenir serein au Burkina Faso.
Pour le Secrétariat exécutif national,
Le Porte-parole
Dr Zacharia TIEMTORÉ
19. Le 23 octobre 2014 à 20:53, par Isidore Bonané En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
L’heure n’est plus au rêve et aux si car le temps des spéculations est dépassé. A l’heure où je m’adresse a vous notre nation doit faire une choix, ce choix déterminera l’avenir de la démocratie burkinabé aussi bien que mondiale. Ce choix permet plus de transparence mais pas uniquement de la transparence mais de la liberté dans le choix du peuple. Si l’article 37 vient a être réviser par les urnes choses que tout bon républicain souhaite nous nous verrons soit la scellé dans les articles ver-roué soit la déverrouiller et dans ce sens nous aurons la lassitude de présenter l’homme de peuple a sa tête autant de fois que le peuple le désir. Mes amis voyons les possibilité immense qui s’offre a nous a travers le référendum. Vive la consultation populaire
20. Le 23 octobre 2014 à 20:53, par Kouma Baana En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
ça sent vraiment la fin du régime venir , leur entêtement conduira même les pacifiques à changer le fusil d’épaule !
Le peuple est toujours invincible , n’en déplaise aux siffleurs inconscients et pervers du CDP et ses alliés .
21. Le 23 octobre 2014 à 21:07 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci d’avoir rafraichi la tête de certains internautes zélés à la solde de ce régime. 27 ans de forfaiture, de mensonges, de crimes, de non respect de la parole donnée, de jouer au démocrate dictateur militaire médiateur et d’arbitre tripatouilleur de changer les règles en pleine partie,... la porte de sortie est soit de démissionner soit que le Peuple vous chasse du pouvoir car vous êtes un usurpateur. Il serait temps aux occidentaux qui ont décernés des diplômes de docteur honoris causa à ce Monsieur Blaise de le dénoncer car ce n’est pas un démocrate épris de Paix. Tous devant l’assemblée pour mettre chaque député devant sa responsabilité. Vous êtes élu par le Peuple mais vous devez rendre compte si vous choisissez la forfaiture de Blaise, vous êtes contre le Peuple mais en faveur de Blaise et son clan pour leurs intérêts égoistes. Quand aux sinistres du conseil extraordinaire, certains vont se cacher en plein jour de peur d’avoir à rendre compte au Peuple dans les jours à venir. Ils vous restent au maximum 2 jours pour démissionner. Passez ce délai, ....
22. Le 23 octobre 2014 à 21:09, par aaa En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Des élèves dans les rue déjà Par là nous saurons que les élèves et étudiants burkinabé sont des menteurs a chaque année ils plaignent que le programme est trop long les sujets sont trop difficiles alors qu’ils passent plus de temps a se balader à semer le trouble a marcher qu’a étudier réellement ! Pour ma part il claire que l’autorité dans le but de préserver un certain niveau sien de l’enseignement se doit de limiter le droit de grève qu’aux salariés et autres mais pas aux élèves. Qu’allons nous faire des expert en grève demain ?
23. Le 23 octobre 2014 à 21:10, par nongasida En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Libéré kossyam tout de suite et maintenant avant que le peuple engagé ne te trouve la bas. Toujours des parjures depuis 28 ans. Qu’elle honte
24. Le 23 octobre 2014 à 21:14, par Mira En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Que attendre d’une personne qui ne sait pas ce qu’elle veut ? Vous changez tout le temps de camp et on vous fait pas confiance. j’ai été agressée par les militants du MPP parce que j’avais tout simplement porté un tee short CDP. Comme on le sait on est dans un Etat de droit ou chacun est libre de s’exprimer comme il veut mais vous vos propos en l’encontre du Président sont tout simplement absurdes et vous n’avez pas à nous faire un lavage de cerveau parce que nous sommes aussi bien informés que vous. MERCI de respecter le Président du Faso
25. Le 23 octobre 2014 à 21:20, par Burkind bila En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Ne participons à l’incivisme et à la dé-conscientisation des générations a venir.Pourquoi faire appel aux élèves et étudiant Déjà que les plus jeunes on déjà repris leur cours autant leur laisser braver ce long programmes dont ils ont pris l’habitude de qualifier de difficiles. Si l’on peut régler cela par les urnes autant y aller car l’on gagne non seulement en temps en argent et surtout en développement. La prote de sortie la moins coûteuse dans ce cas est la bonne mais cela votre économiste personnel M Diabré vous l’a déjà laisser entendre. Ne participons pas a la dégradation du niveau de nos enfants. Allons au référendum ! Quoi invitez les élèves et étudiants pendant l’année scolaire a des futilités ? Cibal= bande d’inconscient a bannir de notre territoire
26. Le 23 octobre 2014 à 21:22, par ticulpo En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci,
Une mobilisation s’impose de la part de tous les patriotes et démocrates épris de paix et de justice. Nous refusons de laisser la gestion de notre patrimoine à des aventuriers
27. Le 23 octobre 2014 à 21:29, par y a rien en face En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Tous les motifs évoqués dans votre lettre ouverte invitant le président Blaise à démissionner sont pertinents, clairs, limpides et francs. Francois Hollande a dit que d’ici la fin de son mandat, s’il n’arrive pas à renverser la courbe du chômage, il ne sera pas candidat. Qu’a les présidents africains à s’accrocher au pouvoir de la sorte. je me demande et me redemande.
28. Le 23 octobre 2014 à 21:31, par Lui En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Ne vous fatiguez pas Mr. Paré. Blaise Compaoré n’aura plus le luxe de demissionner. On va le faire sortir de Kossyam en plein midi !
De toutes facons c’est lui (Blaise Comparoé) ou nous (le peuple). Il dit qu’il est fort, on verra si le Burkina Faso appartient à Blaise Compaore ou au peuple burkinabe !
29. Le 23 octobre 2014 à 21:33, par Hamadoum Dicko En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci Docteur, on se rappelle toujours qu’en 2005 il disait au feu Ali LANKOANDE " dans 10 ans je serai dans la foule entrain d’écouter un candidat plus jeune que moi"
30. Le 23 octobre 2014 à 21:41, par ladji En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Très bonne analyse Mr chat noir du Nayala
31. Le 23 octobre 2014 à 21:42, par barakissa keré En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
On parle maintenant de mettre fin au régime dictatoriale alors quand dictature on ne parle ni d’élections ni de référendum. Kadafi disait dans le livre vert que si l’on permettrait a la population a tranché plusieurs questions a des moments différents ceux qui verront toujours leur choix minoritaire et non applicable parleront toujours de dictature. Mais que faire quand tu n’arrive pas a convaincre le maximum de personne ? mais c’est de te soumettre au choix des autres car visiblement tu ne fais pas les bon choix
32. Le 23 octobre 2014 à 21:58, par YIRMOAGA En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
C’est bon d’essayer Mr le médecin philosophe politicien ? Mais la conscience de SEM BC le guide à ne rien entendre de votre litanie ? Vous ferez mieux de rejoindre la RUE avec les autres pour la désobéissance.
33. Le 23 octobre 2014 à 21:59, par nedbiiga En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Voilà qui est dit, si bien dit !!!
Que la sagesse domine votre Ego qui n’est autre que votre ennemi en vous même ! Merci et courage Docteur.
Dieu bénisse le Burkina Faso
34. Le 23 octobre 2014 à 22:00, par zapata En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Pargui Emile PARE , c’est propre, une tres bonne synthese retrospective qui a le merite de reveler la mauvaise foi de l’homme qui nous gouverne depuis plus de 27 ans. Propre. Ne pretez pas attention aux thuriferaires du regime qui vont vous attaquer de facon malsaine sur le site. Ils vont aussi jouer leur role de mauvaise foi.
35. Le 23 octobre 2014 à 22:05, par barakissa En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Dans ces temps cours j’ai observé des écart de comportement que je ne puis m’empêcher de souligner. En effet l’on se permet maintenant de dire en tout quiétude ce que l’on veut. A limite on quitte souvent de la zone de liberté d’expression pour frôler le libertinage. Deux policier que des soit disant honnête citoyen kidnapping des dictatures avec des élections l’on irait jusqu’à croire que le même dictionnaire un mot et son contraire ont le même sens. Sommes nous en état de réclamer quoi que se soit dans ce climat ? Qu’allons nous laisser a nos enfants ? Comment ces derniers nous perçoivent actuellement ?
36. Le 23 octobre 2014 à 22:18 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Ce serait bien pour le pays qui est au bord du gouffre. DIEU sauve nous !
37. Le 23 octobre 2014 à 22:23, par odilon En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Dans tous les pays du monde ce qui a toujours fait la force d’une opposition n’est pas le nombre de combat gagner mais quelque chose d’autres. Une opposition forte se distingue des autres en sa qualité faire des compromis et concessions quand la stabilité nationale se voit menacer. Même dans les nationales qui se disent les plus démocrates au monde quand on problème d’intérêt nationale survient mouvance et majorité se réunissent pour trancher sur ce qui prévaut sur la nation car comme l’a toujours dit George Bush aucun américain ne désire être président de la nation en guerre et aucune personne ne désire parvenir au sommet du nation diviser
38. Le 23 octobre 2014 à 22:28, par Verdad En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Docteur Pargui Emile PARE, qui es tu pour demander au Président légitimement élu par le peuple de demission ? tu es obligé de mettre Ancien militant du CNR et du Front populaire
Ancien candidat aux élections présidentielles avant de te faire connaitre ? Tu va devenir "chat jaune du Nayala"
39. Le 23 octobre 2014 à 22:31, par Evéline kiswensida En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Comme le Pharaon, Dieu a endurci les cœurs de Blaise Compaoré et de toute sa cour pour le punir. Châtiment lourd ! Malheur à nous victimes collatérales ! Malheur au Burkina Faso car nous avons tous été complice de l’abomination commise par le roi. Celui-là même qui a fait des veuves et orphelins pour assoir son pouvoir. Celui-là même qui vient de commettre le parjure sacré ! Le roi vient de nous violer, oui notre constitution. Le VIOL SACRE a été commis ! Malheur au roi ! Le châtiment est pour le roi coupable, mais les dommages collatéraux sont notre fardeau à tous. Notre part du châtiment, le joug du peuple, nous l’assumerons comme un châtiment qui procure la paix ! Peuple du Burkina, mes hommages !
Webmaster s’il vous plait...
40. Le 23 octobre 2014 à 22:31, par oued.ar En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
MR paré, vous aviez citer soit disant tout , mais vous aviez oublié ce dont Blaise a fait depuis qu il est au pouvoir, vous aviez oublié ce dont le pays a été capable de traversé,vous aviez oublié ce que Blaise a fait de positif pour le pays,je vous pose une question que beaucoup de citoyens comme moi pensent de vous ; vous profitez toujour des situations comme votre ami benewendé,
Qu est ce que vous proposez au peuple ?
41. Le 23 octobre 2014 à 22:34, par Pinga En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Lettre ouverte au Président du Faso, Sachez Mr le président que le peuple bois le sable, pas par ce qu’ils ne savent pas faire la différence entre le sable et l’eau, mais par ce qu’ils ont soif.
42. Le 23 octobre 2014 à 22:50, par GHETTO LOVE En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
L’opposition veut encore une fois de plus se donner en spectacle ! J’ai bien peur que la qualité de républicain de M Diabré ne se détériore de jour en jour. Tout laisse penser à l’heure actuelle qu’il convoite plus le fauteuil présidentielle que l’intérêt de la nation. Arrivé en second lors des élections passé il pense la remporter si le président actuelle ne se ré-présent plus mais ce qu’il oublie, dans le contexte actuel nous ne pouvons faire des nombreux obstacles que notre pays doit franchir dans un laps de temps aussi court. Il est d’ailleurs préférable que lui en sa qualité leader de l’opposition n’ayant pas mener des opérations d’envergure dans son propre pays a part bien-sure la création de son parti laisser la place au président actuelle de mener a bien cette mission qu’il se veut consolider les bases.
43. Le 23 octobre 2014 à 23:07, par Voix du peuple En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Soyez responsables. Toute âme pétrie des droits humains et des droits démocratiques sait le choix qui vaille. Celui des urnes. Le temps du suffrage n’est pas celui des croque-morts.
44. Le 23 octobre 2014 à 23:07, par LE SAVIEZ VOUS ???? En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
On sait en vous la haine, nous n’avons pas besoin de ca au Burkina Faso. Les mêmes, on vous connait, donc vous n’êtes plus crédible. SVP, laissez nous dans la paix. Vous pensez pouvoir gagner dans une situation chaotique au Burkina Faso, mais le peuple vous observe et vous attend. Je demande à Zéph DIABRE que j’admire beaucoup de se démarquer de ces opposants politiques du MPP parce qu’ils veulent vous conduire à la perte. Votre étoile est entrain de briller depuis que vous avez crée l’UPC. Mais de grâce, pas dans la course hâtive. Le peuple a commencé à vous croire, mais pas totalement. Donc un peu de patience, peut être que votre tour viendra, qui sait ???Soit en 2020 ou soit juste après 2018.JE vous dis encore quelque chose qui va vous étonner, les RSS veulent vous pousser hors du jeu parce qu’ils veulent votre place (Devenir un opposant crédible au vu des Burkinabés). Ils sont prêts à vous assassiner physiquement. Vous êtes déjà au courant de leurs magouilles, mais je tiens à vous le dire indirectement. Nous savons que vous êtes très intelligent, c’est pour cela que des dizaines de milliers de personnes vous font confiance. Qui vivra verra. Bonne chance au BURKINA FASO !!!
45. Le 23 octobre 2014 à 23:12, par Amelde En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Il ne démissionnera pas aussi facilement ; sinon ça serait effectivement une solution !
46. Le 23 octobre 2014 à 23:13, par Voix du peuple En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Ouvrez les yeux à nos leaders d’opposition sur la nécessité de la paix et de la stabilité. Le peuple doit s’exprimer impérativement comme le veut la démocratie sur ces questions cruciales comme l’article 37 de la constitution. Ce n’est pas à l’opposition dire ce que le peuple veut, le peuple est mature et sais ce qu’il veut.
47. Le 23 octobre 2014 à 23:14, par Raina la paix En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Au nom quoi les leaders politique devraient parler pour près de 16 millions d’habitants alors qu’ils pourraient leur permettre de s’exprimer directement ? Pourquoi tant de mépris pour le peuple dans son ensemble ? Le peuple sait ce qu’il veut et qui il veut à la tete de l’Etat. Donc laissons le peuple faire son choix.
48. Le 23 octobre 2014 à 23:15, par hell devil En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
La seul chose qui mettre le plan de l’opposition en échec est tout simplement qu’elle veut occidentaliser notre pays. L’opposition n’est pas ouvert elle ne fait que traiter avec soit l’UE soit les Etats Unis d’Amérique. Bien vrai qu’il résident des burkinabés dans ces communautés mais les burkinabé ne résident pas que là bas seulement. Il y a des burkinabés en chine, chine Tawaine partout dans le monde mais l’opposition ne change jamais de destination Paris Washington New York là seule fois l’on peut dire qu’elle pense en africain c’est quand elle atterrie en CI mais jamais au Ghana ni au Nigéria n’en parlons pas Gabon ni du Tchad. Mais cependant leur soit disant adversaire fait le tour du monde pour prendre contact avec les burkinabé vivant à l’étranger. On attend pas de devenir président pour prendre contact avec sa population
49. Le 23 octobre 2014 à 23:23, par Tifis En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
L’opposition veut venir au pouvoir par tous les moyens. Les opposants sont prêt à enflammer le pays pour assoupir leur sauf de pouvoir. Nous devons nous méfier de ces genres d’opposants et ne pas les suivre aveuglement. Surtout le MPP qui fait tout sans morale.
50. Le 23 octobre 2014 à 23:27, par goama En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
mdrrrr de quoi avez vs peur mr du mpp ? nestce pas que vous avez 30 deputés. bande de loosers
51. Le 23 octobre 2014 à 23:34, par vérité no1 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
En vrai patriote, Blaise devrait démissionner avec son gouvernement car leur acte est préjudiciable à la stabilité socio-politique de notre pays.
52. Le 23 octobre 2014 à 23:48, par Zena Zena En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
au lieu d’inciter le peuple a la révolte et a la violence, l’opposition burkinabè devrait encourager le peuple a aller au référendum pour que vos idéaux passe légalement.
53. Le 24 octobre 2014 à 00:06, par Freeman En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Bonne initiative le "koro" ; mais comme vous le savez mieux que moi, notre homme fort aime les rapports de force. Il ira donc jusqu’ au bout.
Dieu sauve le Burkina !
54. Le 24 octobre 2014 à 00:24, par Ranini En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
M. PARE ! Pensez-vous qu’un être humain qui a osé faire le 15 octobre 1987 pense démissionner ? "Celui qui mange la tête n’a pas peur que les yeux s’éclatent dans sa bouche ! " : la vie des populations c’est maïs ! Alors préparons-nous à des bains de sang. Mais que ceux qui vont retourner les armes du peuple contre le peuple sachent que tôt ou tard, y aura enquêtes et jugements ! Où est le Capitaine/Général Aya SANOGO aujourd’hui ?
55. Le 24 octobre 2014 à 01:52, par Samogo En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Mon frère a raison. C’est ce qu’il faut poser aujourd’hui le départ du roublard !
Qu’il trouve un autre peuple pour rouler, mais plus le peuple Burkinabé. Nous avons suffisamment supporté. C’est bon comme ça !
56. Le 24 octobre 2014 à 02:04 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
du n’importe quoi.vous avez rien à dire. quoi toi emile paré à fait pour une seule vie ?rien. tu veux manger et tu cour de gauche à droite. ni été la sagesse et la clairvoyance du Président tu veux la réunir tout les Burkinabé en se laissant traiter de tout par des vauriens comme vous autres.
57. Le 24 octobre 2014 à 04:27, par kuilga En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci,Mr.Pargui Emile Pare. Vraiment je suis Mossi mais j’avous pour la premiere fois je congrats un Samogo, vous avez ose demande a Mr Blaise Compaore, de demissonner pour l’amour de son people !!!
58. Le 24 octobre 2014 à 05:36, par Debe Alakabo En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Quand des anciens camarades révolutionnaires se rencontrent, ils ne peuvent se tenir que la le langage de la vérité. C’est ce que vient de faire le Dr Pargui Emile Pare, La camaraderie dépasse l’amitié. Elle transcende la rencontre circonstancielle, opportuniste ou intéressée. C’est au nom de cet idéal politique qu’ils ont découvert et vécu ensemble qu’il s’adresse à son ancien camarade et lui demande de démissionner, à travers un langage, cru, dur peut-être, mais pur et vrai. Bon san ne saurait mentir. Nous osons espérer que le Président Compaoré entendra ce cri du coeur et avisera...Dieu sauve le Burkina Faso !!!!
59. Le 24 octobre 2014 à 05:37, par le patriote En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci Doc ! Pr le peu d’honneur qui reste à Blaise (s’il lui en reste encore même), qu’il parte maintenant, sinoooooon......
60. Le 24 octobre 2014 à 09:35, par Titan En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Message de vérité. Bien analysé aussi par Alalabo !
61. Le 24 octobre 2014 à 09:47, par SY En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Monsieur PARE, avant que je vais intervenir je souhaiterais que tu ais le courage de citer les noms des différentes formations politiques que vous aviez intégrer avant de revenir au MPP. C’est vrai que vous aviez cité : Ancien militant du CNR et du Front populaire
Ancien candidat aux élections présidentielles
Militant du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP). Et ODP/MT, PDP, MPS ? Vous les aviez oublié ou quoi ? Lors d’une de votre sortie à la télé vous nous aviez laissé entendre comme quoi vous aviez participer à son temps à l’élaboration des textes de l’ODP/ MT. Le parti PDP de feu KI-ZERBO vous aviez transité juste pour trahir le Professeur. Ah, j’allais oublier le fameux L’OBI que son imminent Professeur BADO a voulu vous apprendre les cours de droit pour que vous devenez un bon politicien ; mais sans compter à un "chat noir de Nayala" qui une fois encore trahir BADO. Votre propre parti que vous aviez créé. Vous n’aviez pas pu faire quelque chose, en plus pour pouvoir se faire élire comme Député il fallait le concours des Lobi de Gaoua car monsieur Koffi PALE était obligé avec son équipe de mouiller le maillot pour vous donner des voies. Et où vous aviez pu se faire élire à l’Assemblée Nationale. Donc si je dois faire une analyse logique, je dirais que vous n’êtes mieux que Blaise COMPAORE. Vous aviez fait des coups d’état au défunt KI-ZERBO et mon ami Laurent BADO.
Si aujourd’hui vous êtes au MPP, je sais pourquoi ? Juste à cause de Salif DIALLO. Oui puisque vous étiez ou peut-être toujours son docteur personnel selon un de vos collaborateurs. Mais de grâce, faites attention maintenant parce que DIALLO est notre idole et nous ne souhaiterons pas vous allez vouloir jouer un de vos coups que vous aviez d’habitude de faire. Quand on parle de la démocratie, il faut vous éclipser. En résumé c’est pour vous dire que nous sommes au sérieux alors laissez nous avec votre politique de mangecratie.
62. Le 24 octobre 2014 à 10:59 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
merci pour le point de vue. qu’il sache qu’il est temps pour lui.
63. Le 24 octobre 2014 à 11:10, par nouhoun ouedraogo En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
je souscris entièrement à cet appel à la démission de blaise compaoré.
64. Le 24 octobre 2014 à 11:13, par OM En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci merci pour votre appel. Blaise doit savoir que tout à une fin et il est à sa fin. En outre comme tout se paye, il est entrain de vouloir payer pour ces erreurs en prenant de mauvaises décision. Très bientôt, je ne souhaite pas mais mon intuition ne me trompe point ce pays, l’Afrique, le monde physique et le monde invisible deviendront un véritable enfer pour le clan Compaoré. Wait en see !
65. Le 24 octobre 2014 à 11:18, par Le charme En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Franchement, ce n’est pas le comportement d’un bon et vrai médiateur. Médiateur cherche médiateur. Appel à candidature
66. Le 24 octobre 2014 à 11:59, par Yeux ouvert En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Au nom quoi les leaders politique devraient parler pour près de 16 millions d’habitants alors qu’ils pourraient leur permettre de s’exprimer directement ? Pourquoi tant de mépris pour le peuple dans son ensemble ? Le peuple sait ce qu’il veut et qui il veut à la tete de l’Etat. Donc laissons le peuple faire son choix.
67. Le 24 octobre 2014 à 12:03, par wendyam En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Au nom de la Démocratie Emile PARE doit se taire
68. Le 24 octobre 2014 à 12:10, par lachouette En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Mon cher Président vous avez encore la possibilité de sortir par la grande porte et de rentrer dans l’Histoire, quoiqu’on dise vous êtes devenus un modèle pour certains. Vous n’avez jamais cessé de dire à quel point vous aimez votre peuple, écoutez nos cris de nos cœurs, écoutez vos frères d’armes, écoutez vos adversaires, et surtout écoutez-vous même. Seule l’Histoire nous dira qui avait raison, les pro ou anti référendum ?
69. Le 24 octobre 2014 à 12:31, par sibiri En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci MR PARE, vous êtes vraiment un intellectuel et le pays peut compter sur vous. vous avez choisir la voix des Sages, de la vérité et des Justes c’est ça être intellectuel.Ceux qui ont choisir le camp du Front alimentaire qu’ils sache que tous se paye sur terre, ils n’échapperons jamais à la justice de Dieu le tout puissant merci.
70. Le 24 octobre 2014 à 12:47, par sananlo Veronique En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Mais Dr Pare,question combien t des voix avez vous obtenu a la derniere election presidentielle ? -1% et pourtant vs rejetez haut et fort la tenue du referendum xce que justement il vous est impossible de gagner dans les urnes.Bizarre,votre position est digne d,un vieux bolcho qui consiste en grosso modo"l,electeur citoyen ne comprend pas bien les enjeux car inculte alors,il convient de lui refuser de s,exprimer" Pauvre Burkina quand tu deviens otage de tes propres fils que tu les a arrache a l,ignorance x le biai de l,ecole,te Voila aujourd,hui traite avec mepris.Cher Pare tu es indigne du pays San.
71. Le 24 octobre 2014 à 13:06, par Fille du pays En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
RAS !!!! Malheureusement selon un adage dioula ; quand l’âne veut tomber il ne voit plus ses oreilles. ce qui me dérange dans cette affaire, c’est la vie des innocents qui est en jeu ! Tout les grands journalistes et les responsables sont actuellement à l’extérieures.
72. Le 24 octobre 2014 à 13:08, par Eveline Kiswensida En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Web master, pourquoi ne voulez vous pas laissé passer mon message ? C’est vrai que vous faites votre boulot, mais il y a aussi une opacité dans le travail. Nous ne savons pas jusque là les critères de la censure. Il serait souhaitable qu’il y ait une charte du bon utilisateur du forum, comme ça nous somme prévenus d’avance. Ci-joint mon adresse email, pour qu’au moins vous puissiez m’informer hors antenne, je vous en supplie. Très sincèrement c’est irritant qu’après des heures passées à réfléchir sur son post, on se rend compte que celui-ci n’est pas paru, et cela sans qu’on sache pourquoi. C’est vrai que le faso.net a en ce moment le monopole de la communication web. Mais cette attitude nous pousse à souhaiter la concurrence !
73. Le 24 octobre 2014 à 13:10, par Minute En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Merci mon "chameau", pardon mon Samo pour cet appel. Au moins tu es digne. Blaise est entrain de trahir son peuple. Il a fait un parjure et il risque de payer fort la tromperie qui lui semble coller à sa peau. Il n’ya que lui Blaise qui est le plus intelligent des burkinabé qui tourne tout le monde en bourique, modifie la loi fondamentale quand il veut et surtout quand il est entrain de finir son mandat. Le peuple doit se mettre debout et s’assumer. Malheur à ceux qui baillonne leur peuple.
74. Le 24 octobre 2014 à 13:27, par l’ange En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
LE DOCTEUR PARE NE SOUHAITE GUERE LA PLACE DE BLAISE MAIS SOUHAITE QU’IL RESPECTE LUI MEME SA LOI FONDAMENTALE QU’IL A D’AILLEURS JURE DE RESPECTER ET DE FAIRE RESPECTER. SON SCORE AUX ELECTIONS N’A PAS SA PLACE LA STP. ET TOI ? QUEL A ETE TON SCORE ? MI NA BLE PERSONNAGE.
75. Le 24 octobre 2014 à 13:28, par Ivresse du Pouvoir En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Eh Blaise, il faut faire pardon. Il faut partir et nous laisser en paix. Tu as fait que même les Samos se moquent des gens.
76. Le 24 octobre 2014 à 13:40, par Jean Paul En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Blaise est entrain de déverser tous ses honneurs de médiateur à terre.Il devra retenir que l’orgueil précède la ruine
77. Le 24 octobre 2014 à 13:59, par Znoakba En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
MERCI PROFESSEUR. SI ET SEULEMENT SI BON NOMBRE DE NOS INTELLECTUELS AVAIT LE SENS DE L‘INTEGRITE ET DE L‘HONNEUR EN EUX ON NE SE SOUSSIERA POINT DE L‘ECHEC DE SE PROJET. HELAS... FORCES DE TOUT ORDRE MOBILISONS POUR LA PERENNITE DE LA PAIX AU FASO.
78. Le 24 octobre 2014 à 19:15 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Les élèves et étudiants ne sont ils pas les hommes de demain. Ne dit on pas que que demain se prépare aujourd’hui ? Donc cette lutte nous interpelle tous, chacun à son niveau.
79. Le 24 octobre 2014 à 19:30, par sassa En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Nos imminent docteur émérite tombe maintenant dans la bassesse. Que ne ferons t ils pas pour satisfaire leur ventre chacun parle en fonction de ces intérêts. Le respect de la constitution est mentionné dans les deux camps hors que la constitution ce veut claire et autorise l’organisation d’un éventuelle référendum pour remettre en cause un des ses articles. Parmi les articles révisable figure l’article 37 rappelons le peuple à un pouvoir de décision total sur la constitution. Pour celui qui refuse la consultation populaire, droit du président en exercice se doit d’apporter d’autres méthodes transparente en vue de répondre aux attentes.
80. Le 24 octobre 2014 à 19:50, par lettre 37 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Le RSS Ayant laisser croire qu’après leur départ du CDP le parti ne tiendrait pas plus de deux mois se voit aujourd’hui déçu. Le plus étonnant dans cette histoire est la force avec laquelle il tenait ces propose nous laisse penser que c’est eux qui tirait les ficelles au sien du partis. Ce qui m’amène a les tenir responsable de notre situation actuelle. Le cas du RSS sera réglé après le référendum
81. Le 24 octobre 2014 à 20:03, par yamkaye En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
le Peuple Burkinabé a eu la chance de vivre dans la douce paix que nous ont léguée nos ancêtres jusqu’à ce jour. Et nous avons également eu la chance d’observer de loin , les mauvaise ambitions politiques de certains élites africains qui ont conduit leurs concitoyens à qui ils avaient promis ciel et terre ; dans les brousses les plus impitoyables, bagages en tête, à la recherche de refuge, par la frontière la plus proche fuyant la cruauté .Voyant la grogne sociale qui sévi dans le pays ces temps ci,si j’étais à la place du président et pour éviter de perturber cette paix si cher à lui même pour son pays je rends le tablier ;
82. Le 24 octobre 2014 à 20:11, par l’antichambre En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Vraiment Monsieur Kaboré est un vrai trop du cul ! Comment une personne qui se dit de bonne foi peut se permettre de prendre la population comme des con. J’avais dit hier cela et vous m’avez suivis aujourd’hui j’ai dit le contraire vous devez me suivre. Attendez ce gars nous prend comme des moutons on dirait ! Nous sommes sérieux nous pas comme vous monsieur Kaboré le testeur ! Votre cul n casse pas œuf allez y vous occupez de vos bâtards
83. Le 24 octobre 2014 à 20:36, par chambre 37 En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Le MPP est mort maintenant elle veut entraîner dans la tombe toute l’opposition ! M Diabré a intérêt a se ressaisir car au regard de comment la situation se présente le radicalisme n’a pas raison d’être. Les voies comme le dialogue et autres ayant échoué cela doit être un honneur pour le leader de l’opposition d’invité au référendum pour trancher sur le objet de désaccords. Nul dans les deux camps n’a mené ses actions en désaccord avec la constitution et si les position diverge cela veut dire qu’un recours à la constitution serait un non sens ! Vive le référendum ! Que Dieu bénisse le Burkina Faso
84. Le 24 octobre 2014 à 20:51, par acteur En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
on est fatiguéééééééééééééééééééééééééééééééé de tous gens
Allons gouter à une autre sauce
85. Le 24 octobre 2014 à 20:58, par boureima En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Il claire que pour ne pas se retrouvé mêler dans boutades l’UPC ferait mieux de rappeler sa marionnette de CIBAL et laisser le MPP émettre ces derniers gémissements ! Malgré la maison de Simon transformer subitement en commissariat où des civils jugent des policiers et l’arme à intox de Salif le RSS et le MPP se retrouve dos au mur. La seul question qui reste sur toute les lèvres est : Qu’est ce que nous ferons de cette bande de jouisseur après la consultation populaire ? Ce qui est sûr pour l’instant est que Roch veut entraîner dans sa chute Zephirin !
86. Le 24 octobre 2014 à 21:17, par serge En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Mes arrêtez de vous prendre trop au sérieux ! comment peut on dire que si l’on quitte un partie en deux mois s’en est fini de se parti ! On a trop entendu les sornettes du genre avec Saran et compagnie. Malgré le fait que vous avez eu même a séquestré des policiers cela fait plus de deux mois que vous êtes parti mais le régime en place est toujours caler et sans vous bien-sure ! RSS arrêtez de faire preuve de mauvaise fois
87. Le 24 octobre 2014 à 22:08, par serge En réponse à : Lettre ouverte N°1 de Pargui Emile Paré à Blaise Compaoré : Au nom de la démocratie, de la stabilité politique, de la paix et de la sécurité du peuple et du pays, je vous demande de démissionner.
Le parti du soleil levant mais où se croit ils non de Dieu ? Au Japon ? Le MPP= abandon de nos cultures