Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Voilà deux semaines que le Président du Faso a appelé au dialogue politique. Deux semaines au cours desquelles opposition et majorité ont essayé d’accorder leur violon sur la crise politique sur fond de modification de l’article 37 de notre Constitution que traverse le Burkina Faso. Peine perdue ? L’impasse dans laquelle se trouve l’initiative du Président du Faso n’incite en tout cas pas à l’optimisme. Le Professeur Ibriga, avait- il raison ? La semaine dernière que nous l’avons rencontré, cet enseignant-chercheur en droit constitutionnel à l’Université de Ouagadougou n’y croyait pas véritablement. Après ses éclairages sur le débat contradictoire portant sur le référendum, nous revenons dans cette deuxième partie sur l’appréciation que l’homme de droit et activiste politique faisait déjà de ce cadre de dialogue proposé par le Chef de l’Etat. Il ne manque pas dans son propos de faire des propositions pour une sortie de crise apaisée.
Lefaso.net : Comment avez- vous accueilli l’initiative de dialogue du Président du Faso ?
Pr Luc Marius Ibriga (LMI) : La première impression est positive dans la mesure où quand les acteurs politiques prennent langue, cela augure d’une situation dans laquelle on recule le potentiel de violence qui s’accumule au niveau de la crise actuelle au Burkina Faso. De prime abord, c’est une appréciation positive. Mais cette appréciation positive est teintée de scepticisme, non pas parce qu’on appelle au dialogue mais scepticisme par rapport à la mise en place d’un véritable dialogue. Parce que quand on regarde le passé- et c’est ça qui est important-, alors que dans notre histoire politique on tente de nous rendre amnésiques par rapport à ce qui s’est passé et qui doit nous instruire pour comprendre la situation présente et peut-être imaginer l’avenir. Si on prend la passé, on voit que le dialogue a émaillé la quatrième république. Chaque fois que le pouvoir a été dos au mur, il a appelé au dialogue, au sursaut patriotique pour le Burkina Faso. Les gens y ont cru, ils sont allés de bonne foi et on a produit des résultats. Mais on remarque que chaque fois que les signes de la crise s’éloignent, on revient aux mêmes pratiques de monopolisation du pouvoir, d’exclusion et cela est une réalité de notre vie politique. Aujourd’hui si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer.
Lefaso.net : De quels dialogues vous parlez ?
Pr Ibriga : Si on avait appliqué les conclusions du collège des sages, nous ne serions pas en train de discuter de l’article 37 ; si on avait appliqué les travaux du comité national d’éthique que l’on a créé suite à la journée nationale de pardon et qui a disparu comme ça, c’est comme on dit en droit c’est une absence ou une disparition parce que on ne nous a pas dit que le Comité national d’éthique est dissout mais il est non fonctionnel. Si on avait appliqué les conclusions du MAEP (Mécanisme africain d’évaluation par le pairs, ndlr) on n’en serait pas là. Et tout près de nous, après les élections de 2011, on a appelé au dialogue pour les réformes et on a posé des règles du jeu : ce qui est consensuel on réforme, ce qui n’est pas consensuel on n’y touche pas. Le CCRP (Cadre de concertation sur les réformes politiques, ndlr) s’est tenu, les délégués n’ont pas réuni le consensus sur la révision de l’article 37. La question était résolue. Mais on se rend compte que dans tous ces dialogues, ç’a toujours été des entourloupes, des dialogues alibis, des dialogues instrumentalisés pour sauver la mise, se donner du temps et conserver le pouvoir. Et donc on s’est retrouvé dans une situation où aujourd’hui on peut douter de la sincérité du dialogue. Et donc on s’est retrouvé dans une situation où aujourd’hui on peut douter de la sincérité du dialogue.
Lefaso.net : Autrement dit, vous n’y croyez pas ?
Pr Ibriga : Non ! Ce n’est pas que je n’y crois pas. Mais je suis devenu un Saint Thomas, il faut que je vois pour croire. Si ç’avait été une fois, on aurait dit que c’est peut-être une erreur. Mais j’ai l’impression que chassez le naturel, il revient au galop. Parce qu’il y a cette tendance à vouloir toujours contourner les règles quand elles vous imposent quelque chose. Et je dis, pour que je puisse apprécier véritablement ce dialogue, il y a trois interrogations auxquelles il faut répondre : comment dialoguer, quelle est la méthode du dialogue ? Avec qui dialoguer, quelles sont les acteurs du dialogue ? Et troisièmement quel est le but du dialogue, la finalité du dialogue ? C’est en réponse à ces trois interrogations qu’on peut dire si le dialogue il est sincère ou pas. Mais avant toute chose, le dialogue dans une société en crise normalement doit être un dialogue ouvert, inclusif et participatif. Dans le dialogue, la question fondamentale est de savoir quel est le problème au cœur de la crise. Et en ce moment on se rend compte que c’est la révision de l’article 37 qui est au cœur de la crise. Il faut d’abord résoudre ce problème. Aujourd’hui que l’on veut réviser l’article 37, la question que nous devons nous poser est de savoir qui a intérêt à la révision de l’article 37 ? Quand on analyse la situation, on se rend compte qu’au Burkina Faso il y a un seul individu qui a intérêt à la révision de l’article 37, c’est le Président en exercice monsieur Blaise Compaoré. Aucun autre Burkinabè qui remplit les conditions pour être candidat à l’élection présidentielle n’est barré par l’article 37.
Lefaso.net : Dans le même temps certains du parti au pouvoir vous répondront qu’ils ont intérêt dans la révision de l’article 37 !
Pr Ibriga : Non ! Dans la mesure où si vous prenez l’article 37, il l’alternance individuelle. Il ne prescrit pas l’alternance de parti. Le CDP (Congrès pour la démocratie et le progrès, parti au pouvoir, ndlr) peut toujours garder la présidence du Faso aux prochaines élections. Mais notre Constitution dit, un individu à qui l’on confie la fonction de Président ne peut pas faire plus de deux mandats. Parce qu’elle veut instituer une circulation des élites non seulement de façon générale, mais au sein des partis politiques. Parce que cette alternance, si c’est un militant du CDP qui est élu en 2015, cette alternance permet la circulation des élites et permet le fonctionnement démocratique des partis politiques. Et c’est là un élément important. Parce qu’aujourd’hui, qu’on me dise au CDP qu’il n’y a pas de présidentiable à telle enseigne qu’on doit reconduire quelqu’un contre le prescrit de la constitution, en ce moment le CDP est un parti qui a son avenir derrière lui. Or il n’y a pas longtemps, après les événements de 2011, le CDP s’est empressé de dire qu’il va rajeunir les cadres du parti. Mais on a l’impression que ce rajeunissement ne doit pas toucher la fonction présidentielle. Or, sur ce plan, il y a quelque chose que je vais vous lire, cela est très intéressant dans la mesure où ce sont les propos du Président Faso lui- même. Ce qui montre qu’aujourd’hui nous avons une crise artificielle et factice créée de toutes pièces, parce qu’il suffit que le Président du Faso dise qu’il n’est pas candidat à l’élection de 2015 pour que ce qu’on appelle crise soit fini. Le Président en exercice disait ceci le 07 juillet 1997 dans Sidwaya, le n°3296 : « Je vais vous dire franchement, là où je suis, ce qui me ferait le plus plaisir, ce n’est pas de rester éternellement à la tête du Burkina Faso. Mais c’est plutôt de voir un jour après moi que les structures fonctionnent, que la constitution est respectée et appliquée. Je crois que cela serait pour moi le plus grand plaisir. Ce qui me préoccupe, c’est de voir comment le système auquel je crois peut fonctionner avec des Burkinabè sans moi. » C’est une affirmation du Président Compaoré en 1997. L’occasion lui est donnée aujourd’hui de gouter à ce plaisir.
Lefaso.net : Il peut avoir changé d’avis…
Pr Ibriga : Qu’il nous dise maintenant pourquoi et qu’est ce qui fait que cette affirmation n’a plus droit de cité aujourd’hui. Parce que s’il a changé d’avis à ce niveau, cela va en droite ligne de ce que je disais tout à l’heure, c’est- à dire le non respect de la parole donnée. Quand vous prenez le discours de la journée nationale de pardon vous vous dites au Burkina Faso nous serons dans un paradis. Avec toutes ces résolutions qui ont été prises. Rien ! Quand on prend le discours du Président quand il a reçu les conclusions du MAEP, quand on prend l’invite et la règle de base du CCRP, on se retrouve dans la même situation chaque fois. Comme on dit, c’est à prendre les autres pour des nez percés. Et ça dénote d’une vision de la politique qui n’est pas bonne et que l’on développe dans l’opinion publique, à savoir que la politique c’est l’art du dribble, de la feinte, de la magouille, etc. Toutes choses qui n’ennoblissent pas la politique. Aujourd’hui il suffit que le Président Compaoré dise malgré l’appel de ses partisans « Je suis Président du Faso, j’ai juré de respecter et de faire respecter la constitution dans mon serment. La constitution considère comme le crime le plus grave l’attentat à la constitution. Et en tant que respectueux de l’Etat de droit républicain, moi je vais respecter la constitution, je ne me présente pas. » Et c’est terminé. Voilà pourquoi je dis, normalement ce dialogue ne devrait même pas durer. Il ne devrait même pas durer parce qu’on a la solution aux problèmes que nous avons aujourd’hui.
Lefaso.net : Entre autres solutions, vous vous proposez dans le cas ultime de coupler le référendum à la présidentielle de 2015.
Pr Ibriga : Le CFOP (Chef de fil de l’opposition politique, ndlr) dit, il faut respecter la constitution, et donc deux mandats, pas plus. Le Front républicain et le CDP disent, il faut interroger le peuple pour savoir s’il veut ou non la limitation des mandats. Je dis, la question est résolue parce que le respect de la constitution s’impose au Président du Faso. Donc nous disons, on respecte la constitution, et donc le Président Compaoré est disqualifié pour se présenter en 2015. Lors des élections de 2015, on couple l’élection présidentielle d’un référendum au cours duquel on va demander aux Burkinabè : « Etes-vous pour ou contre la limitation des mandats ? ». Et si les Burkinabè décident qu’ils sont contre la limitation des mandats, à ce moment, on va engager la procédure de révision en respectant la constitution. Pas comme ce qu’on veut faire en violant la constitution. Et on aura dans la constitution burkinabè la fonction présidentielle sans limitation. Si tant est que pour le CDP et le Front républicain la révision ne vise pas à permettre à monsieur Blaise Compaoré de se présenter. Donc il y a les acteurs qui avancent masqués. Mais la réalité c’est de dire la question fondamentale qu’on doit poser au peuple burkinabè pour qu’on parle de référendum. Il s’agira de demander, « est- ce que vous êtes pour ou contre la révision ? ». Mais pourquoi on veut que cette question intervienne avant 2015 ?
Lefaso.net : Dans le même temps, Professeur, pourquoi elle ne pourrait pas intervenir avant 2015 ?
Pr Ibriga : Non ! Parce que même si elle intervient, celui qui y a intérêt ne pourrait pas normalement en jouir.
Lefaso.net : Et pourquoi ?
Pr Ibriga : Vous vous souvenez qu’en 2005, le Conseil Constitutionnel par rapport à la loi de révision qui réduisait le mandat à cinq (05) ans et qui mettait la limitation des mandats, a considéré que cette loi n’est pas rétroactive et qu’elle s’appliquait à la fin du mandat du Président. Ce qui a permis au Président Compaoré de pouvoir encore avoir deux mandats de cinq (05) ans. Si cette jurisprudence a été appliquée en 2005, elle doit normalement être appliquée en 2015. Ça veut dire que même si on révise la constitution, le Président Compaoré ne pourra pas en jouir. A moins que le Conseil Constitutionnel n’ait pas de la cohérence et de la suite dans les idées et nous sorte une jurisprudence aux ordres. Sinon, la nouvelle loi s’appliquerait après le mandat du Chef de l’Etat, ce qui fait que c’est l’article 37 qui continue à le régir jusqu’à la fin de son mandat. Dans cette situation, le Président du Faso ne peut pas. A moins peut-être qu’il démissionne avant la fin de son mandat pour pouvoir en bénéficier. Puisqu’il pourrait dire à ce moment qu’il n’a pas fait deux mandats de cinq ans mais un mandat de cinq et un mandat de quatre ans. Encore là nous rentrons dans un autre système et il n’est pas certain que le Chef de l’Etat puisse après revenir parce que cela aurait aiguisé les appétits de certains et qui vont faire qu’on risque fort d’aller vers un échec. Donc je dis, aujourd’hui, c’est le caractère républicain et la hauteur de vue du Président du Faso. C’est lui qui détient la solution au problème. Ce n’est ni le CDP, ni le CFOP qui ont la solution. Parce que leur discussion va aboutir à quoi ? Si les discussions doivent aboutir à des résolutions dans lesquelles le Président comme d’habitude va piocher ce qui l’arrange pour l’appliquer, en ce moment, ce n’est pas la peine de discuter, ce n’est pas la peine de dialoguer. Parce qu’un proverbe de chez nous dit qu’ « on ne piétine pas les couilles d’un aveugle deux fois. » De ce point de vue il y a la solution.
« La solution est entre les mains du Président Compaoré »
Puisque d’aucuns claironnent que quand on va au dialogue, chacun doit mettre de l’eau dans son vin. Ok. Le CFOP met de l’eau dans son vin en disant oui ! Le référendum va se tenir mais il se tiendra avec l’élection présidentielle. Le CDP met de l’eau dans son vin et dit, la constitution sera respectée. Et le problème est résolu. Et il peut même être résolu de façon plus rapide si l’intéressé à la révision sort et dit : « Peuple burkinabè, j’ai juré sur la constitution de la respecter et de la faire respecter, et je m’en tiens au prescrit de la constitution, je ne suis pas candidat en 2015. » On va voir que cette crise dont on parlait va retomber comme un soufflet. Ceux- là qui sont appelés à dialoguer, à se concerter n’ont pas la solution du problème. La solution est entre les mains du Président Compaoré. C’est lui qui, pour ma part, avance masqué parce que personne ne peut dire qu’il n’y a que lui. Imaginons que dans le pire, comme on dit, je crache par terre, que le CDP se réveille un matin et le Président Compaoré n’est pas là. Qu’est ce qu’il fait ? Il ne peut plus avoir de candidat ? Non ! Je pense qu’aujourd’hui nous devons méditer ces paroles de l’Archevêque de Bobo qui disait au moment de la crise du Sénat : « Nous sommes tous des contingences, seul Dieu est indispensable aux hommes. » Pour comprendre que si nous voulons une démocratie, ce n’est pas sur les épaules d’un individu que nous devons asseoir notre constitution démocratique. Fut- il un leader charismatique et autre. Parce que les systèmes fondés pour ou sur des hommes conduisent à long terme sur l’instabilité. Et l’expérience de la sous région l’a démontré à suffisance. De ce point de vue, les qualités qui sont reconnues au Chef de l’Etat, homme de paix, médiateur, facilitateur, devraient l’amener à porter comme il a voulu le faire et comme il veut le faire actuellement, son habit de Chef d’Etat. Contrairement à ses déclarations à Réo où il se voyait le Chef de fil d’une majorité dans laquelle il disait « Nous allons imposer notre point de vue parce que nous sommes majoritaires. »
« Le Président peut appeler à un référendum pour poser une question au peuple et non réviser la Constitution »
Et voilà pourquoi je dis, on respecte la Constitution, premier niveau. Dans le respect de la Constitution, le Président Compaoré n’est pas susceptible d’être candidat. Deuxième situation, le Président a la possibilité d’appeler le peuple à un référendum pour lui poser une question mais pas pour réviser la Constitution. Pour lui poser une question. Et là je dis, pour éviter d’avoir des frais extraordinaires, le référendum est couplé à l’élection présidentielle puisqu’ils sont devenus des spécialistes des élections couplées. Donc nous allons coupler les élections présidentielles et le référendum, à ce moment le peuple burkinabè va se prononcer en toute objectivité. Et non pas comme on veut le faire : lui proposer un plébiscite. Parce que la question ne sera plus « Etes- vous pour ou contre la limitation des mandats ? », mais si on le fait comme on veut le faire, la question sera : « Etes- vous pour ou contre Blaise Compaoré ? » A ce moment nous ne sommes plus dans un référendum, nous sommes dans un plébiscite. Et ça, c’est travestir le référendum.
Propos recueillis par Samuel Somda
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 6 octobre 2014 à 21:52, par ouvre tes yeux En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
De quel Dialogue parlez vous ? ces dialogue sont frappé de caducité mon cher Ibriga , il faut plutôt le referendum
2. Le 6 octobre 2014 à 21:58 En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Rien à redire. Les citoyens sincères ont le même raisonnement que vous depuis 2 ans que dure ce cirque ridicule à la face du monde et à la face du peuple burkinabè. Si demain, Blaise se cogne la tête contre un mur à la nigérienne, il ne pourra que s’en prendre qu’à lui-même.
3. Le 6 octobre 2014 à 22:01, par lion d’or En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
oui,Mr ibriga,c’est avec un grand plaisir que j’ai lu ton article,mais il faut que tu sache que malgré ton titre de prof a l’université vous ne pouvez pas venir dire des choses a des jeunes qui n’ont pas ete présent lors de cette déclaration du président,donc arrêter de nous donner des cours de droit sue le site.
4. Le 6 octobre 2014 à 22:04, par Le Camarade En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
M Ibriga encore en plein élucubration. Que dire de se temps professeur qui dans le temps était une référence mais aujourd’hui n’est plus d’actualité. Le problème qui se pose ne peut nullement trouver sa solution dans le passé car si cela est le cas nous retournerons dans la royauté alors que nous vivons en démocratie. Pour preuve vous conviendrai avec moi qu’aujourd’hui votre élève Loada vous faites de l’ombre
5. Le 6 octobre 2014 à 22:08, par JEK En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Voilà ce qui est bien dit. Il n’y a de pire aveugle que celui qui ne veux pas voir. On veux bien que le Noir devienne Blanc ! Pardon : Nous sommes tous des contingences, seul Dieu est indispensable aux hommes.
6. Le 6 octobre 2014 à 22:09, par MADOU En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
A la question de savoir si un partis politique doit opter un autre candidat pour les présidentielles laisser moi vous dire que vous êtes mal placer pour l’imposer a qui que se soit. Ni vous ni aucune autre entité ne peut imposer sa vision des choses a une parti. Bien vrai quand démocratie la liberté d’expression n’est pas a faire fi mais dans le respect solennel de la liberté d’expression et non du libertinage vous devez vous content de nous faire par vos point de vue. Il appartient au CDP selon ses critères de choisir qui le représentera au présidentielle
7. Le 6 octobre 2014 à 22:10, par ouvre tes yeux En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Qu’il nous dise maintenant pourquoi et qu’est ce qui fait que cette affirmation n’a plus droit de cité aujourd’hui. Parce que s’il a changé d’avis à ce niveau, cela va en droite ligne de ce que je disais tout à l’heure, c’est- à dire le non respect de la parole donnée. Quand vous prenez le discours de la journée nationale de pardon vous vous dites au Burkina Faso nous serons dans un paradis. Avec toutes ces résolutions qui ont été prises. Rien ! Quand on prend le discours du Président quand il a reçu les conclusions du MAEP, quand on prend l’invite et la règle de base du CCRP, on se retrouve dans la même situation chaque fois. Comme on dit, c’est à prendre les autres pour des nez percés. Et ça dénote d’une vision de la politique qui n’est pas bonne et que l’on développe dans l’opinion publique, à savoir que la politique c’est l’art du dribble, de la feinte, de la magouille, etc. Toutes choses qui n’ennoblissent pas la politique. Aujourd’hui il suffit que le Président Compaoré dise malgré l’appel de ses partisans « Je suis Président du Faso, j’ai juré de respecter et de faire respecter la constitution dans mon serment. La constitution considère comme le crime le plus grave l’attentat à la constitution. Et en tant que respectueux de l’Etat de droit républicain, moi je vais respecter la constitution, je ne me présente pas. » Et c’est terminé. Voilà pourquoi je dis, normalement ce dialogue ne devrait même pas durer. Il ne devrait même pas durer parce qu’on a la solution aux problèmes que nous avons aujourd’hui. ; ; ; De cette partie de l’intervention de l’enseignant , il ressort clairement qu’il vit dans les théorie ,il ne sait rien de la réalité , je profit lui dire que c’est justement à cause des gens comme lui que tout ce qui se décide dans ce pays est voué à l’échec ; quand on sait que pour des raison personnelle et surtout interet personnel met frein au dispositif mis en place pour la bonne marche du programme du gouvernement comment voulez vous que ce qui se dit se fasse ? soyons sérieux la !
8. Le 6 octobre 2014 à 22:12, par ouvre tes yeux En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
De cette partie de l’intervention de l’enseignant , il ressort clairement qu’il vit dans les théorie ,il ne sait rien de la réalité , je profit lui dire que c’est justement à cause des gens comme lui que tout ce qui se décide dans ce pays est voué à l’échec ; quand on sait que pour des raison personnelle et surtout interet personnel met frein au dispositif mis en place pour la bonne marche du programme du gouvernement comment voulez vous que ce qui se dit se fasse ? soyons sérieux la ! Qu’il nous dise maintenant pourquoi et qu’est ce qui fait que cette affirmation n’a plus droit de cité aujourd’hui. Parce que s’il a changé d’avis à ce niveau, cela va en droite ligne de ce que je disais tout à l’heure, c’est- à dire le non respect de la parole donnée. Quand vous prenez le discours de la journée nationale de pardon vous vous dites au Burkina Faso nous serons dans un paradis. Avec toutes ces résolutions qui ont été prises. Rien ! Quand on prend le discours du Président quand il a reçu les conclusions du MAEP, quand on prend l’invite et la règle de base du CCRP, on se retrouve dans la même situation chaque fois. Comme on dit, c’est à prendre les autres pour des nez percés. Et ça dénote d’une vision de la politique qui n’est pas bonne et que l’on développe dans l’opinion publique, à savoir que la politique c’est l’art du dribble, de la feinte, de la magouille, etc. Toutes choses qui n’ennoblissent pas la politique. Aujourd’hui il suffit que le Président Compaoré dise malgré l’appel de ses partisans « Je suis Président du Faso, j’ai juré de respecter et de faire respecter la constitution dans mon serment. La constitution considère comme le crime le plus grave l’attentat à la constitution. Et en tant que respectueux de l’Etat de droit républicain, moi je vais respecter la constitution, je ne me présente pas. » Et c’est terminé. Voilà pourquoi je dis, normalement ce dialogue ne devrait même pas durer. Il ne devrait même pas durer parce qu’on a la solution aux problèmes que nous avons aujourd’hui.
9. Le 6 octobre 2014 à 22:14, par Malika En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
L’initiative du dialogue entamer par le président du Faso est gage de sa bonne fois mais comme à l’accoutumer cette bonne fois se voit tacher par le radicalisme qui n’ a pas son nom de l’opposition. La mouvance a plusieurs fois par des actes a témoigner qu’elle était prête à mettre de l’eau dans son vin. Le président du Faso en sa qualité d’homme de paix a fait son devoir mais cela s’avère infructueux nous attendons de voir s’il y aurait parmi les opposants certains qui vont convoquer le référendum pour que l’on puisse en finir avec cette question
10. Le 6 octobre 2014 à 22:24, par ouaga inter En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Mr ibriga,il faut que vous sachez que ;le pays des hommes intègres n’est un champs de mil et moins un champs d’arachide ou on peu venir faire ce que l’on veut.donc faite un peu de preuve de sagesse de votre titre de prof,,car si vous ne le faite pas je dirais que c’est vous qui amener ces jeunes juristes a nous dire des choses comme ce que nous voyons sur tous les site burkinabé,
il faut que vous sachiez que au delà de cette constitution que vous parler au temps existe un force qui est plus forte que celle de ce que tu parle et cette forte est celle de ce que le président doit appeler par le collège électoral.
11. Le 6 octobre 2014 à 22:25, par jackmani En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Monsieur Ibriga dans un monde en perpétuel évolution il n’y a pas de remède passe partout pour résoudre un conflit, mais cela vous le savez déjà. Dans le temps le problème n’a été que contourner personne n’a chercher à résoudre le problème. Mais comme vous ne voulez pas traiter vos congénères d’incapable OUPS ! j’ignorais que vous étiez de la troupe ! Mais bon vous et votre bande vous êtes des incapables ! Aujourd’hui nous, la nouvelle génération nous n’a plus contourner le problème on va tirer cela au claire à travers un référendum et avancer
12. Le 6 octobre 2014 à 22:25, par sanou En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Bien dit professeur. Le peuple burkinabè se souviendra toujours de vous comme étant un digne fils du pays qui l’a conduit vers sa marche triomphale.
13. Le 6 octobre 2014 à 22:30, par J’aspire au savoir En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Une question ,qu’appelle t on respect d’une règle de droit ? monsieur le maître de conférence Ibriga . Sans quoi je comment à me faire une opinion de toi dèh , je risque de te classer parmi les individus là qui pour le fait de la chance ont eu la possibilité de porter des titres usent de ces derniers les titres bien entendu pour tromper les moins éduqués Faites attention sinon quand ils sauront ah vous seriez mal vu cher doyen !
14. Le 6 octobre 2014 à 22:35, par Le Guetteur En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci Pr Ibriga.
Je pense que vos rappels des propres propos du président Blaise Compaoré ajoutés à votre lucidité d’analyse ôtent le sommeil paisible au Monsieur qui devrait sans doute se demander pourquoi j’ai dit ça, fait ceci et n’avoir pas pensé à tout cela. La réponse est simple, on ne peut pas dribbler tout le monde tout le temps au risque de se dribbler soi-même à un moment donné. Et le passé te rattrape.
15. Le 6 octobre 2014 à 22:39, par Dabire harouna En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Que cela soit de la majorité ou de la mouvance ils ont tous intérêt a ce que l’article 37 soit révisé. Le peuple à plus que conscience aujourd’hui que même si l’article 37 ne s’y est pas elle a le plein pouvoir de décider de qui doit le diriger. Il n’est question de laisser le temps faire la décantation pour permettre à certains d’accéder au pouvoir sans le mérité. Là nous sommes dans une ère nouvelle et seul les meilleurs se verront attribuer le titre de président du Faso. Vive le choix du peuple
16. Le 6 octobre 2014 à 22:45, par D8D8 En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Mr ibriga,il faut que ce prof sache que nous sommes en 2014 donc qu’il arrête de nous dire des choses comme ce qui nous dit dans son article,si toi même tu peut te te rappeler de ce que tu a dit quand tu étais devant le président du Faso ?donc si on veut te faire des rappels de tous ce que tua eu a dire tu voir que toi même on doit te faire un cour de prise de conscience.
17. Le 6 octobre 2014 à 22:53, par Alex Kiba En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Je ne peux lire cet article sans mettre en exergue les talent d’historien de monsieur Ibriga. Non seulement il est passé champion en retranscription d’histoire mais est capable de faire sortir du néant des similitudes entre ce qui a été et ce qui n’a jamais été. Pour évitez de parler de charlatanisme nous tournerons autour du pot et qualifierons monsieur Ibriga de diseur de bonne aventures. Chose que son critère de prof nie mais n’empêche pas l’exercice. Monsieur Ibriga vue que vous avez un talent de plus que les autres candidat pourquoi ne pas vous présenter au présidentielles en tant que candidat ou bien votre boule de cristal n’est que du bleuf. Oui ça doit être cela donc arrêter de nous bercer avec des points de vue a réveiller un cadavre
18. Le 6 octobre 2014 à 23:05, par ngaw En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
on aura tout entendu de la part de ce fameux professeur , le tout n’est pas de parler gros mot mais de connaitre la réalité , de s’imprégner des aspirations du peuple pour le diriger , c’est là qu’on parle de démocratie , et non lui imposer des vieilles théories qui n’ont rien avoir avec notre réalité , alors cher monsieur épargnez nous de vos compréhension européenne ou Étasunienne des choses ici nous sommes au Faso !
19. Le 6 octobre 2014 à 23:24, par tche gbe En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
ce prof veut quoi a la fin.quand est ce qu’il va comprendre que ce pays ne peut se comporter comme ce qu’il veut,et si c’est a cause de son titre de prof qu’il réagit ainsi il faut que notre prof comprenne que ces propos et celui de ces amis ont eux a créer une mauvaise tentions dans la tête des honnêtes citoyens de ce pays et c’est pour cela que le président du Faso doit nous donner une date de la tenue du référendum pour trancher et savoir si le président Blaise doit ou pas se représenter au prochain élections du pays,.
20. Le 7 octobre 2014 à 00:56, par Sinamarou En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Pr Luc Marius Ibriga voici un enfant qui a fait un bon CE2. Sa lecture est claire, la Constitution est claire, l’article sur le Reférendum est claire. Aussi, tes diplomes sont sans tache. Salut Pr.
Tout le contraire d’un autre Ph D Djiga ou Djibo Mamadou qui a surement étudié sur la planete Mars. Apres cet écrit, Cher Professeur Ibriga, évite de t’éloigner des gens. Comme on le dit, on ne sait jamais. Merci encore Professeur Luc Marius Ibriga. Mon prochain enfant s’appelera Sinamarou Luc Marius Ibriga.
21. Le 7 octobre 2014 à 01:30, par salaka En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
tu as tout dit. ce récit enseignera et la majorité et l’opposition. je me dis aussi que tous ce que le prof a dit, blaise, la majorité et le FR connaissent plus mais blaise a peur d’aller à la CPI vue les rapport de l’ONU et CPI.
22. Le 7 octobre 2014 à 03:04, par kewino En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Très belle analyse. Les sorties du Professeur sont toujours édifiantes. Il fait partie des rares intellectuels qui ont pour souci d’éclairer le peuple. Courage et que Dieu vous y accompagne
23. Le 7 octobre 2014 à 07:12, par SANOU Bala Wenceslas En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
« Aujourd’hui si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer » dixit Pr Ibriga. Cela suscite en moi le besoin d’avoir en un tenant lesdites résolutions, et mieux si l’on peut aussi avoir un bilan contradictoire de l’application de ces différentes résolutions. Le débat démocratique en cours peut-être enrichissant (malgré le risque de prise en otage des règles démocratiques), et il serait quelque part intéressant de traduire dans les langues et diffuser les différentes résolutions et le bilan de la mise en œuvre (ce qui a pu être appliqué, et ce qui n’a pas pu l’être et pourquoi). Si l’on veut avancer, il est indispensable de savoir où l’on en est avec les initiatives précédentes.
24. Le 7 octobre 2014 à 08:33, par Mawuéna En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Si on couple présidentielle de 2015 et référendum, il n’ y a plus crise : c’est certes un jugement à la Salomon mais qui nous fait gagner sur tous les plans, surtout que nos ressources sont limitées. J’ai toujours pensé que la probabilité pour 5 burkinabè soient "frappés" par l’article 37 est si infime, que sa révision ne peut être une question d’intérêt national au point d’imposer un référendum. Bravo Pr ! pourquoi n’êtes vous pas conseillé à la présidence du Faso ?
25. Le 7 octobre 2014 à 09:18, par Djibril BAssavé En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
tout est bien dit.Merci Pr pour cette consultation juridique gratuite. elle nous édifie au plus haut point, et là je reconnais mon professeur !
26. Le 7 octobre 2014 à 10:09, par SomSom En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Le Prof Ibriga connaît bien l’homme. C’est pour cela que je m’étonne toujours de sa proposition de coupler l’élection présidentielle avec un référendum. Faites le et vous serai encore plus déçus. Vous serez encore roulés, pas dans la farine mais cette fois dans de la poudre insecticide. Vous avez dit "chassez le naturel et il reviendra au galot ?".
27. Le 7 octobre 2014 à 10:39, par pas de negociation En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Pourquoi coupler le referendum et les présidentielles ? est ce reconnaître que l’article 37 est modifiable ? Laissez mous dire ,on fera le referendum bien avant les présidentielles , vive le referendum , vive le président Blaise Compaoré
28. Le 7 octobre 2014 à 10:48, par Filsdupays En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci professeur. Que ceux qui ont des oreilles entendent ! Personne n’est indispensable sur cette terre, même dans ce beau pays qu’est le Burkina. Le dialogue devait plutôt se porter sur le comment sortir le président par une porte honorable que les points qu’ils ont cités. Franchement je ne comprends pas BC. Peut-on être aussi égoïste jusqu’à ce point de sorte que même au sein de son parti personne ne puisse le remplacer ? C’est peut-être une malédiction car Qui tue par l’épée périra par l’épée.
A BC, je lui dis simplement de ne pas brûler notre beau pays après s’être battu pour son développement.
29. Le 7 octobre 2014 à 10:57, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci Mr Pr IBRIGA et que le SEIGNEUR vous bénisse. Vous avez dit tout, c’est parfait on ne peut rien ajouter
30. Le 7 octobre 2014 à 11:05, par gouly En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Excellent, comme disait Djaffar si Blaise est un bon professeur il doit savoir choisir un de ces élèves pour le succeder
31. Le 7 octobre 2014 à 11:38, par KONAN En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
La démocratie est le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple , de cette définition de la démocratie on dira que le peuple est le seul maître de la décision dans un système démocratique , ainsi les acteurs politiques n’arrivent à s’accorder sur un point dans l’organisation de la cité alors démocratiquement il faut faire recours à l’avis du peuple , lequel avis s’obtient par un vote dénommé referendum , et donc comme les conditions de tenue d’un referendum sont réunies ici au Faso alors allons y au referendum dans la fraternité pour la paix et la stabilité
32. Le 7 octobre 2014 à 12:15, par ABDOUL NAS1er En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
MERCI PROF,C’EST DU PROPRE .
33. Le 7 octobre 2014 à 12:20, par Passeck En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
N’est-ce pas celui là un Pr ? En français, simple, limpide te facile, il arrive à se faire comprendre par ses lecteurs. Pas comme un certain DJIBO qui me rappelle le chef lieu de la province du Soum, qui non seulement n’écrit que pour répondre au autres, surtout à un imminent Pr comme s’il voulait le contester son titre, mais le fait dans un français purement philisophique, preuve qu’il ne fait que plagier ce qui’il a lu, sans apporter son analyse propre.
Comme un autre là dit, je pense que ces contribitons comme celle des Pr Luc ne devrait pas seulement être ponctuelle ou occasionnelle.
Vou devrez créer des occasions pour vous faire écouter, pour éduquer, enseigner, car aujourd’hui nos diriogenats vont tous pour deseouvrer la jeunesse, pour la désorienter et se faire un chemin pour un rène sans partage. Nous comptons sur vous, pour les aider à voire certaines choses, à prendre conscience de certaines choses. Merci pour cette contribition énorme qui ne soufre pas d’ambiguité. J’espère ue le Président est un inconditionnel du faso.net. Nous attendons donc sa réaction
34. Le 7 octobre 2014 à 12:20, par gnine En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
j’espère que les gars du conseil constitutionnel liront cet article. Même si le référendum est fait avant 2015, la non limitation des mandats présidentiels ne devrait pas être retroactive.Il faut donner une leçon de démocratie à ce Blaise, qui se croit indispensable.
35. Le 7 octobre 2014 à 12:44, par commando invisible En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Monsieur le professeur a ce que je sache nous sommes dans un pays de droit Dieu merci et non dans la jungle,ce que vous dite ne tient pas dans la mesure où dans ces genres de régime c’est le peuple qui décide de tout,pourquoi n’est pas laisser ce peuple se rendre dans les urnes pour faire son choix,tout ça est ambiguë et insensé de votre part,il faut suivre les règles du jeu,ne venez donc pas nous parler de question d’éthique et de morale car tout ceci n’a pas de sens dans ce cas de figure.
36. Le 7 octobre 2014 à 13:17, par sidnoma sana En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
LUC est un intellectuel honnête, un grand homme. Je vous apprécie énormément Il faut des hommes comme vous et le pays vas décoller
37. Le 7 octobre 2014 à 13:30, par geomacien En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
belle analyse. vous ete honnete. sai sa on appel l bn sens. blaise mm au fon d lui sai qil doit respecter la constitution.
38. Le 7 octobre 2014 à 14:00, par le buffle bleu En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Pr, vous pouvez un jour vous taire et nous laisser respirer ? Si le PF décide de convoquer un référendum, votre de front de résistance n’a qu’à déposer un recours au conseil constitutionnel. Vous pensez être plus constitutionnaliste que les autres ? Ya koi même ?
39. Le 7 octobre 2014 à 14:07, par Tougma En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Très édifiant. Raisonnement très correct à mon avis passible de critiques. De mon point de vu je suis plus que certain que même ceux qui défendent la majorité et le président sortant BC ne peuvent ne peuvent apporter des critiques soutenus par des arguments solides qui puissent faire ressortir la nécessité d’aller au référendum ici et maintenant au regard des propositions de solutions du Pr Luc Marius Ibriga. Que celui qui ose essaie et on verra. Bravo Pr.
40. Le 7 octobre 2014 à 14:37, par CONGO Amidou En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Hitler était un monstre mais il y avait des gens qui trouvaient en lui un messie et c’est exactement le cas avec notre Blaise. Au fond des CDPistes ils savent que c’est un forcing mais ils nous trouveront sur leur chemin. Vous imaginez, tout un président qui n’a pas de parole donnée ? Nous sommes fichus. Au moment du CCRP la question était posée à YODA Alain sur le sort de l’article 37 et la réponse de ce dernier fut" on dit seul les points consensuels seront appliqués et vous parlez de l’article 37 encore". Quand les gens disent que c’est l’entourage de blaise je dis non c’est sa volonté à lui.Il n’est pas un enfant.
41. Le 7 octobre 2014 à 16:18, par boureima En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
DEOS GRACIAS MERCI MON DIEU QU IL Y EST TOUJOURS DES INTELECTUELS COMME IBRIGA DANS LE PAYS
MERCI POUR CETTE DEMONSTRATION CLAIRE ET NETTE .ET BON VENT A VOUS PROFESSEUR
42. Le 7 octobre 2014 à 16:36, par le pays reel En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
merci professeur, tout est claire pour celui qui veut comprendre. votre analyse montre que blaise doit etre objectif avec lui meme et sortir par la grande porte sinon...
43. Le 7 octobre 2014 à 16:48, par le pays reel En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
merci professeur, tout est claire pour celui qui veut comprendre. votre analyse montre que blaise doit etre objectif avec lui meme et sortir par la grande porte sinon...
44. Le 7 octobre 2014 à 16:54, par ZHENS En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci Professeur ! Comment un homme après avoir donné tant de sa personne pour un pays puisse accepter de voir son peuple se perdre ? Tout comme un père de famille qui aime ses enfants, un président qui aime son peuple doit lui offrir la meilleure éducation pour lui permettre d’affronter l’avenir et se défendre dans toutes les situations. Cher PF, j’ose espèrer que ce que vit le peuple Burkinabé n’est qu’une partie de la culture du dialogue que vous lui enseignez. L’opposition et la majorité qui s’affrontent en ce moment ne font que l’exercice qui leur offrira les bases du dialogue pour la plus grande stabilité du pays. Si ma vision est juste à la fin de cette épreuve qui fait tant couler d’encre et tant damer les rues des villes du Burkina, vous ferez votre conférence de presse pour déclarer que vous n’allez pas vous présenter aux élections, que vous vous assurerez de son bon déroulement, et que vous êtes fier de ce peuple qui a appris à se battre pour les bonnes causes. Ce sera une conclusion honorable, et votre succès incontestable d’avoir réussi à préparer le peuple pour des lendemains meilleurs. Vous restez un grand stratège cher Président, ne nous laissez pas la pire des images de vous.
45. Le 7 octobre 2014 à 17:47, par Egalite En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci Professeur !!! Vous etes un homme digne, dans cet interview vous venez de tout dire. Si Blaise veux qu’il accepte ou pas. Ce que je sais est tout fini pas se resoudre tot ou tard, dans la douleur comme dans la paix. Cela fait parti de l ordre naturel des choses. Dieux benisse le Faso.
46. Le 7 octobre 2014 à 19:00, par Sucrettte En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Je voudrais particulièrement m’adresser à M. Konan et au soit disant commando invisible, je ne sais pas quelle lecture vous avez fait de cet article mais j’ai l’impression que vous n’avez rien compris ou que même vous ne l’avez pas du tout lu ! ou encore que vous n’avez pas le niveau pour le cerner, ou en dernier lieu vous fermez les yeux sur une évidence ! Pr. MERCI de tout cœur ! vous êtes un éclaireur averti !! C’est ça aussi être PATRIOTE !
47. Le 7 octobre 2014 à 20:09, par Jeunehomme En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Difficile de trouver quelque chose à redire sur cet article à moins d’etre analphabète ou prisonnier de la COPAOROSE...
Merci professeur de continuer à eclairer les gens dôtés d’un minimum de bon sens.je vous prie de prendre bien soins de vous afin d’eviter ce qu’ils apellent ACCIDENT
48. Le 7 octobre 2014 à 20:20 En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Pour une fois je lis un intellectuel burkinabé avec des mots simples à la porté du peuple.
Sublimissime Pr.
49. Le 7 octobre 2014 à 20:47, par osez changer avenir ! En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Mon Président je vous aime car vous avez diriger le Faso dans le progrès mais prenez vite une décision car avenir du pays est entre vos mains car le peuple ne vous pardonnera jamais si vous ratez occasion de faire de votre pays une havre de pays une référence en matière de DÉMOCRATIE.Je vous salue que DIEU BÉNISSEZ LE FASO AVEC SES HOMMES.
Le Président en exercice disait ceci le 07 juillet 1997 dans Sidwaya, le n°3296 : « Je vais vous dire franchement, là où je suis, ce qui me ferait le plus plaisir, ce n’est pas de rester éternellement à la tête du Burkina Faso. Mais c’est plutôt de voir un jour après moi que les structures fonctionnent, que la constitution est respectée et appliquée. Je crois que cela serait pour moi le plus grand plaisir. Ce qui me préoccupe, c’est de voir comment le système auquel je crois peut fonctionner avec des Burkinabè sans moi. » C’est une affirmation du Président Compaoré en 1997. L’occasion lui est donnée aujourd’hui de gouter à ce plaisir.
50. Le 7 octobre 2014 à 21:24, par The last of the mohicans En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
J’ai toujours cru que tout le tapage sur l’article 37 via le referendum n’est qu’un jeu stratégiquement calculé pour avoir l’onction, le pardon du peuple. Car quand Blaise va déclaré « Peuple burkinabè, j’ai juré sur la constitution de la respecter et de la faire respecter, et je m’en tiens au prescrit de la constitution, je ne suis pas candidat en 2015. », la tension va tomber d’un cran comme un soufflet, le charbon ardant s’éteindra. Le peuple applaudira, et nous verrons en lui l’homme qui a été capable de dépassement et qui sauve le Burkina. Et, qu’il faudrait absolument pardonner les erreurs. Et malheur à quiconque voudrait réveiller de vieux démons, car le même peuple n’acceptera que cela soit fait. Par ailleurs, déclaré de manière inopportune (maintenant ou depuis lors) qu’il ne se présentera pas (il n’a d’ailleurs jamais dit qu’il compte se présenter), c’est semer à mon avis le chaos. Comme dans les vieux temps, quand un roi meurt, ou quand le soleil s’éteigne, c’est le pillage systématique dans les marchés du royaume. Donc, ce silence trouble sauve de peu le peu qui nous reste de patrimoine.
L’article du Pr instruit à plus d’un titre, et c’est la panachée qui vient d’être trouvée pour contenter parti au pouvoir et opposition, permettant ainsi de sauver le pays des hommes intègres de la crise factice entretenue. Si tant est qu’un gramme de bonne volonté et d’honnêteté nous reste encore. Merci à vous Professeur !
51. Le 7 octobre 2014 à 21:58, par Dengue Dengue En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci Pr. IBRIGA pour ces éclaircissements. On va demander aux journalistes de fasonet d’interviewer le Pr D. MILLOGO, Président de la Cour Constitutionnelle de nous éclairer en toute honnêteté, intégrité, en tant qu’homme de droit, digne de sa personne et personnalité et sans ambiguïté sur la question de la rétroactivité (jurisprudence appliquée en 2005 et qui doit s’appliquer en 2015). Sa pourrait calmer les ardeurs des uns et des autres. Merci d’avance mes confrères journalistes.
52. Le 7 octobre 2014 à 22:21, par BF2015 En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
il ne faut pas abuser de ton titre de prof pour nous laisser des messages qui son pas de cette date ou les choses sembles être très compliquer entre les burkinabé si le référendum venait a ce dérouler dans ce pays qu’allez vous dire a cette jeunesse qui a plein d’estime pour vous,rien que une mauvaise image de leur prof,
53. Le 7 octobre 2014 à 22:31, par Neekré En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci Prof. Avec d’autres comme Hervé Somé, Sayouba Traoré, vous avez apporté votre eclairage sur le tripatouillage en projet de notre constitution. Était ce vraiment nécessaire ? Car tous, pro comme anti referendum savons la verité. Merci tout de même d’avoir sacrifié de votre temps afin de laisser ces témoignages à la posterité. Maintenant, comme les nuages s’assombrissent dans le ciel du Faso, soyez rassuré que la jeunesse ne vous decevra pas dans ce combat qui ne fait que commencer pour une alternance democratique dans notre pays.
54. Le 8 octobre 2014 à 00:07, par Gédéon En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Les choses sont très claires. Le président à la juste mesure de la situation. Maintenant, je voudrais qu’une voix qui a de l’autorité dise au président d’être courageux. S’il tient vraiment à son fauteuil, qu’il sorte de son silence calculateur et convoque le referendum. Si après l’annonce, il fait encore 24h à la présidence, ça veut dire qu’il y sera pour tout le restant de sa vie. Qu’il fasse le pari.
55. Le 8 octobre 2014 à 00:09, par alex djanou En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Vous savez le référendum n’est pas pressé , on peut toujours l’envisager après les présidentielles de 2015 si en tout cas il est d’intérêt national. En l’état, il sera difficile de l’accepter, car cela ne profite qu’à un seul bonhomme et c’est le chef de l’état actuel. J’ai vraiment du respect pour lui mais qu’il sache qu’on ne gagne pas toujours dans la vie. C’est pourquoi il faut être un bon joueur c’est à dire qu’il faut savoir perdre et c’est cela aussi l’homme courageux. Pour moi le dialogue inclusif dont on parle peut avoir ce compromis là. Je suis donc d’accord avec le professeur
56. Le 8 octobre 2014 à 23:32, par Oumarou Compaoré En réponse à : Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
Merci prof. Je pense que si vous étions nombreux au Faso, le BF allait vite prendre son décollage. Que Dieu vous donne longue vie pour vous permettre de nous éclairer toujours. Même si c’est papa Ibriga qui voulais faire cela, Prof vous direz la verité.
Juste pour ceux qui s’entête pour le référendum, nous sommes fatigués. Vous nous avez loupé la nuit, c’est pas le jour que vous allez nous avoir. Assaillant partez de chez nous.