Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Depuis mardi 21 mai 2013, la question de l’institution du Sénat comme deuxième chambre du Parlement burkinabè a été tranchée par l’Assemblée Nationale qui a adopté le projet de loi y afférent. Institution censée apporter un plus à la démocratie au pays des Hommes intègres, le Sénat est cependant diversement apprécié des uns et des autres avec une cristallisation des positions au niveau des partis politiques, notamment siégeant à l’AN. Pour mieux comprendre la pertinence, les tenants et les aboutissants de la création du Sénat ainsi que la position du parti majoritaire, le CDP, sur la question, nous avons rencontré le président de son groupe parlementaire à l’Assemblée nationale. Alain Bédouma YODA, avec le verbe facile qu’on lui connaît et le langage accessible, nous entretient ici sur le sujet de l’heure au plan politique au Faso. Lisez plutôt.
La loi sur le Sénat a été adoptée le mardi 21 mai 2013. Comment avez-vous vécu les travaux en séance plénière qui ont abouti au vote de cette loi ?
Alain Bédouma YODA (ABY) : Il serait bon de vous rappeler qu’avant que le texte n’aille en plénière, il y a eu bien évidemment les travaux de commissions. Dans les commissions, le travail s’est fait normalement. Comme à l’accoutumée, c’était l’occasion pour les députés d’apporter leurs amendements, de poser des questions au gouvernement et, par groupe parlementaire, de discuter des questions qui posent problème. C’était aussi l’occasion de voir les points sur lesquels on peut faire des concessions nécessaires pour que ce soit une loi qui représente les avis des députés de toute l’Assemblée nationale. Evidemment, il y a des députés qui ont boycotté ces travaux en commissions. C’est leur droit ; mais je dirai que ces comportements ne rendent pas service à la démocratie.
Le microcosme politique national et le monde associatif de la société civile s’entredéchirent actuellement sur la création du Sénat. Quelle lecture faites-vous de cette montée d’adrénaline ?
ABY : Je voudrais vous dire que ce n’est pas une montée d’adrénaline subite. Si vous vous souvenez bien, après le CCRP, il y a eu les Assises régionales et nationales ainsi que la remise des conclusions consensuelles et non consensuelles du CCRP au Président du Faso qui a pris solennellement la décision de faire appliquer les propositions consensuelles. Vous vous souviendrez aussi que depuis que le CCRP a été lancé, il y a un certain nombre de partis politiques de l’opposition, les mêmes, et certaines associations de la société civile qui étaient contre l’idée du CCRP en disant que rien n’en sortirait.
Malheureusement pour eux, comme vous l’avez constaté, les questions sur lesquelles ils pensaient qu’il y aurait forcing n’ont pas connu de forcing. Au CCRP, c’est lorsqu’une proposition n’a pas connu d’opposition expresse, qu’elle était considérée comme un point consensuel. En conséquence, je pense qu’on a voulu créer artificiellement une montée d’adrénaline mais, en vérité, on connaissait les positions des uns et des autres avant que le projet de loi n’arrive devant l’Assemblée nationale.
Dans une république, chacun joue son rôle que ce soit l’opposition, la majorité ou la société civile. De même, les institutions de la république fonctionnent au regard de ce que la Constitution a donné comme prérogatives à chacun, En l’occurrence, il n’y avait plus qu’une mise en œuvre d’une réforme constitutionnelle qui a été votée en juin 2012, juste après les conclusions consensuelles du CCRP. Il est donc tout à fait compréhensible que ceux qui avaient boycotté le CCRP continuent dans leur attitude. Mais comme notre groupe parlementaire l’a relevé, c’est une erreur politique. Parce que, s’ils avaient été au CCRP, les points sur lesquels ils n’auraient pas été d’accord, n’auraient pas été consensuels. Et il n’y aurait pas eu de mise en œuvre.
Maintenant que la réforme constitutionnelle a eu lieu, on ne pouvait plus ne pas mettre en œuvre ce que notre loi fondamentale a décidé. J’ajoute que le débat était faussé dans la mesure où dans les propositions consensuelles, il y a eu par exemple l’obligation de renforcer le pouvoir du Parlement en équilibrant davantage les pouvoirs exécutif et législatif. C’est en ce sens que lorsqu’un Premier ministre est nommé, il doit faire une déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale qui est suivie de débats et de vote. Et il faut que cette déclaration soit adoptée par la majorité des députés pour que sa nomination vaille investiture.
C’est ainsi que vous avez dû remarquer qu’à la dernière déclaration de politique générale, l’opposition a saisi l’occasion de façon goulue pour apprécier ou critiquer. Mais c’était tout à fait normal. Cependant, s’il faut reconnaitre que ce sont des réformes consensuelles qui ont abouti à cette possibilité, il faut également qu’on accepte que les autres réformes consensuelles qui sont dans la Constitution puissent être mises en œuvre. Pour nous donc, ce n’est pas une montée d’adrénaline brusque. C’est une chose qui a été préparée de longue date et qui, malheureusement pour l’opposition, était une erreur de départ avec le fait de n’avoir pas participé aux travaux du CCRP.
Mais la position de votre partenaire, l’ADF/RDA, qui a voté contre le projet de loi, semble pour le moins un pied de nez. Comment vous l’expliquez ?
ABY : C’est une question qui devrait être posée à l’ADF/RDA. Comme vous le savez, l’ADF/RDA a participé aux travaux du CCRP et donc à la prise des propositions et des recommandations consensuelles. Elle a également voté la loi constitutionnelle qui institue un Sénat et d’autres réformes qui figurent dans la Constitution. Il était donc pour le moins étonnant pour nous que l’ADF/RDA refuse de voter pour la mise en œuvre de la deuxième chambre du Parlement. Cela étant, nous pensons que c’est son droit le plus absolu sur le plan politique. La majorité est plurielle, il y a des fois où on peut s’entendre et il y a des moments où on ne peut pas s’entendre. Ce que l’on peut simplement dire c’est que cette position ne donne pas à l’opinion une lecture d’une constance politique. C’est ce qui est un peu regrettable.
Leurs critiques portent, entre autres, sur la non prise en compte des jeunes. Que répondez-vous ?
ABY : C’est comme je viens de vous l’expliquer. Au CCRP, il y a eu des discussions et des propositions consensuelles dont les projets de lois qui viennent a l’Assemblée sont le fruit . Ils étaient là et ils étaient d’accord. Ils ne découvrent donc pas brusquement les composantes du Sénat. Bien que comparaison ne soit pas raison, je voudrais vous rappeler que lors des élections municipales et législatives passées, les partis avaient largement la possibilité de faire représenter les jeunes. Je ne néglige pas ce que chacun a essayé de faire mais si vous regardez parmi les députés c’est notre parti qui a le plus de femmes, presque 30%, et le plus de jeunes. Il ne me semble donc pas crédible, après avoir participé aux travaux du CCRP, après avoir bien vu que cette décision consensuelle ne concernait qu’un certain nombre de catégories de personnes, et venir à l’Assemblée nationale se prévaloir de cet argumentaire pour ne pas voter la deuxième chambre du Parlement. Je pense qu’il doit y avoir d’autres raisons que seul le parti en question pourrait vous donner.
Selon le CGD, une enquête par sondage qu’il a lui-même dirigé indiquerait que seulement 23% des Burkinabè sont favorables à la création du Sénat. Qu’en dites-vous ?
ABY : J’ai beaucoup de respect pour le CGD. Je pense que c’est une association qui essaye d’animer la vie sociale et politique au Burkina Faso. Mais, à moins que je ne sois pas bien informé, il ne me semble pas que le CGD soit un institut de sondage. D’ailleurs, nous allons probablement, au cours de cette législature, proposer une loi sur les instituts de sondage afin qu’ils soient reconnus comme tels avec des éléments scientifiques bien déterminés car, il serait bon, compte tenu de l’évolution du Burkina Faso, qu’il y ait une législation qui clarifie cette question afin que des instituts de sondage puissent être créés avec des règles que tout le monde connaît. De ce fait, lorsque les résultats seront publiés, évidemment ce sera sur des bases scientifiques que personne ne peut contester.
Cela étant, j’ai appris comme vous ce qui a été publié par le CGD et je vous renvoie à ce que je viens de dire sur la question de l’institut de sondage.
Ceux qui s’opposent à la création du Sénat invoquent les questions de coûts et d’opportunité. N’y voyez-vous pas tout de même quelques raisons objectives ?
ABY : D’abord, sur la question du coût, il n’y a pas une institution de la république qui ne coûte pas de l’argent. L’Assemblée nationale coûte de l’argent, le Gouvernement coûte de l’argent, la Justice coûte de l’argent. Je vous rappelle également que la presse coûte de l’argent, de même que les partis politiques et le Chef de file de l’Opposition, etc., en ce sens qu’ils bénéficient de subventions de l’Etat. Si on veut que rien ne coûte, il n’y aura pas d’institutions de la république. S’il n’y a pas d’institutions, la république elle-même n’existera pas. Et si la république n’existe pas, je ne sais pas dans quel Etat nous serons. C’est vrai qu’on peut se poser des questions sur le coût mais nous nous sommes engagés dans un système démocratique qui impose d’avoir des institutions de la république. J’aurais souhaité qu’on se pose des questions sur le plus que va apporter le Sénat. C’est vrai que nous sommes dans un pays pauvre où on doit faire attention à tout ce qui doit coûter comme argent aux citoyens lambda. Mais je pense que nous nous sommes engagés aussi dans un processus démocratique d’amélioration continue.
Quant à la question d’opportunité, il y a eu 3500 personnes qui ont été consultées sur un éventail large de questions dont les réformes politiques. Ces 3500 personnes ont représenté les communautés coutumières et religieuses, les syndicats, la société civile, les partis politiques, les jeunes, la diaspora ... pour ne pas dire toutes les couches sociales du pays. Ces 3500 personnes ont estimé que c’était bon d’avoir une deuxième chambre au Parlement. Ce souhait a été pris en compte dans la constitution en juin 2012. A partir de ce moment, on ne discute plus de la question de l’opportunité puisque ce serait quand même ne pas considérer ces représentants de toutes les couches sociales du Burkina d’une part, de la loi constitutionnelle d’autre part. De toutes les façons, dans une république, il y a toujours des problèmes à gérer. Mais, il me semble qu’il est beaucoup plus indiqué de voir dans quelle mesure on peut faire en sorte que les institutions que nous mettons en place apportent toujours un plus à notre jeune processus démocratique.
Justement, en quoi le Sénat va-t-il apporter un plus à notre démocratie ?
ABY : Vous savez bien qu’actuellement c’est l’Assemblée nationale seule qui vote les lois. Alors qu’à l’Assemblée nationale, ce sont des représentants des partis politiques qui sont élus au niveau des populations compte tenu du fait que notre système politique est partisan. Vous savez que dans un système partisan, il n’y a que les partis politiques qui décident. Alors, la deuxième chambre du Parlement va apporter un plus en ce sens qu’on aura des personnes qui ne sont membres d’aucun parti, il y aura également des personnes qui ont une certaine expérience de la vie ou qui ont une certaine culture de toute nature.
En faisant appel aux coutumiers, aux religieux, aux syndicats, aux politiques, à la société civile, à la diaspora... pour constituer le Sénat dans les proportions qui ont été indiquées, ils auront une distance que les partis politiques n’ont pas forcément. Ce sont des personnalités qui seront dans des composantes bien précises et qui ont une vision de notre processus démocratique, de notre économie et de notre vie sociale. Comme cela a été dit au CCRP et ailleurs, nous pensons que c’est de cette façon qu’on peut avoir beaucoup plus de sérénité pour discuter des propositions et des projets de lois qui pourraient plus correspondre aux attentes des populations puisque l’aspect partisan sera tempéré.
A partir du moment où nous aurons d’autres composantes de la société qui seront moins partisanes, plus empreintes à considérer la volonté des populations à la base, je pense que cela apporte énormément à la loi qui sera beaucoup plus polie, sereine et concentrée sur les préoccupations des populations. Par ailleurs, le fait que les collectivités territoriales vont participer au Sénat, beaucoup de leurs problèmes concrets seront pris en compte. En toute objectivité, il me semble que nous avons beaucoup plus de chance d’améliorer notre processus démocratique avec une deuxième chambre moins politique et moins partisane que l’Assemblée nationale qui, du reste, continuera de faire son travail.
Certains, pour ne pas dire tous ceux qui sont contre la création du Sénat, disent qu’en réalité il y a, derrière, la modification de l’article 37. Que leur répondez-vous ?
ABY : L’article 37 a été discuté au CCRP et il n’y a pas eu de consensus. Le Président du Faso s’est engagé à ne faire mettre en œuvre que les propositions consensuelles. Du reste, a contrario, je voudrais vous faire comprendre que si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre. L’Assemblée nationale en votant la loi constitutionnelle de juin 2012 l’a fait avec une majorité qualifiée dont on avait besoin. De plus, il y a d’autres voies pour modifier. En fait, ce sont nos contempteurs qui pensent qu’on a besoin d’une autre structure pour modifier l’article 37 mais ils oublient que les modifications consensuelles ont été faites sans la deuxième chambre. Je pense donc que c’est une mauvaise compréhension de croire que le Sénat est mis en place pour pouvoir modifier la Constitution. C’est une fausse liaison parce que sans le Sénat nous avons fait des modifications constitutionnelles. Ce n’est vraiment pas l’objectif. Si c’était l’objectif, on l’aurait dit. On peut reprocher tout ce que l’on veut au chef de l’Etat parce qu’on est de l’opposition mais on ne peut pas dire que c’est quelqu’un qui ne tient pas parole.
Alors, quel message pouvez-vous adresser aux Burkinabè en ces moments où ceux-ci se posent beaucoup de questions sur l’avenir de la paix sociale qui est menacée ?
ABY : Je voudrais d’abord dire à vos lecteurs qu’ils soient convaincus que le Sénat viendra approfondir notre processus démocratique, que la Constitution a déjà été modifiée dans ce sens et que nous sommes conscients qu’il est de notre devoir de mettre en œuvre ce que la Constitution a prévu. Ce sont les raisons qui justifient que cette deuxième chambre soit mise en œuvre. Ensuite, vous savez que chacun a souffert dans sa chair les problèmes qu’on a vécus en 2011. Que l’on soit commerçant, homme politique, syndicaliste, étudiant ou élève, simple passant ou touriste... chacun a vécu des moments douloureux. Je pense qu’il n’est pas de l’intérêt du Burkina de retomber dans cette situation. Il est constant que lorsque les explications complètes ne sont pas données, les gens se posent des questions. C’est légitime.
Mais je réaffirme que la mise en œuvre du Sénat est une décision consensuelle de plus de 3500 personnes et qui tend à approfondir notre processus démocratique. Avant, il n’y avait pas d’Assemblée nationale et c’est grâce à la Constitution de juin 1991 que nous avons maintenant une Assemblée nationale, des contrepouvoirs comme la presse, la société civile. Tout cela, c’est parce que l’Etat existe. Le jour où ces structures ou ces institutions ne seront pas là, ce sera la loi de la jungle et je crois que personne n’a intérêt à ce qu’on en arrive là.
Les derniers événements dans des pays de la sous-région nous montrent bien qu’on a intérêt à ce que notre paix sociale ne soit pas vendue à vil prix. C’est quand on ne l’a plus qu’on se rend compte que la paix sociale est extrêmement importante pour un pays.
Mais la décision de l’ADF/RDA de voter contre la loi sur le Sénat n’ouvre-t-elle pas une boîte de pandore quant au respect des décisions consensuelles prises au sein du CCRP ?
ABY : Il me semble, sans être de l’ADF/RDA, que cette décision de ne pas voter une proposition consensuelle qui est sortie du CCRP auquel ce parti a participé est purement conjoncturelle. Je voudrais cependant vous demander de vous approcher peut-être de l’ADF/RDA pour savoir si elle n’a pas ouvert la boite de pandore sinon je ne saurais répondre à cette question. Ce que je puis dire, c’est que je pense que les décisions consensuelles qui ont été prises au niveau du CCRP vont continuer à être mises en œuvre. Je crois et j’ai confiance au chef de l’Etat qui a pris cet engagement.
Drissa TRAORE
L’Opinion
Vos commentaires
1. Le 10 juin 2013 à 14:45, par beogo En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
bien dit Mr YODA pas besoin du sénat pour l’article 37. Merci pour ces éclaircissements
Le 10 juin 2013 à 17:55, par le voyant En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
pas besoin du sénat pour l’article 37, pas besoin du dilatoire, de la démagogie pour mettre en place des conories et sa s’appelle sénat pour s’éterniser au pouvoir. On en a mar.
Le 11 juin 2013 à 19:15, par Le défenseur d’Alain YODA En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Le voyant, tu es de mauvaise foi. L’interview est claire comme l’eau de roche. Vous les burkinabé vous voulez qu’on vous porte sans vous toucher. Comment est-ce possible,
2. Le 10 juin 2013 à 15:05, par lemoaga !! En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
yes !!! modifier on va voir. c’est plein midi vous aller quitter le pays.
Le 11 juin 2013 à 08:52, par samspade En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
surtout lui, il parle fort or on se sait comment il a fait quand c’était chaud
Le 11 juin 2013 à 10:29, par BILI-BILI En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
M.YODA.. la champagne là n’est pas doux toi seul dans ta bouche dèh !!.nous aimons tous ce qui est doux comme vous ( villa-voiture-jolie femmes-voyager en aviont-comptes en banque-...). et on sait, c’est parceque c’est doux que voulez pas partir, voilà pourquoi vous trouvez toujours des mots pour defendre l’indefendable. je voulais te faire savoir que ce pays n’est pas lapropriété privée de qui que ce soit. Vous et votre prophete BLAISE avez fait plus d’un quart de siecle aux affaires, donc laissez d’autres BURKINABE prendre le volan.C’est tout ce qu’on demande.Le reste, tu peux parler comme tu veux..te moquer de l’oposition...traitez les autres d’aigris...comme vous êtes toujours saint et vous detenez le monopol de la verité, ya pas de probleme.
Le 11 juin 2013 à 13:27, par WendGuudi En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Mr Yoda, mesurez vos mots.En parlant de la sorte, vous voulez nous faire savoir que vous pouvez manipuler, modifier ou même vous foutre de la constitution quand vous voulez. Je pense que le Burkina n’a pas besoin ces genres de provocation actuellement. Nous avons beaucoup de préoccupations et ces interventions écoeurent davantage les gents. Apprenez à vous cacher pendant qu’il est temps.
Le 11 juin 2013 à 19:48, par Le défenseur d’Alain YODA En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Wendguudi est-ce que vous avez vraiment lu le même article que tous les internautes, je vous invite à le faire avant d’étaler votre ignorance et votre tare congénitale à la face du monde entier. Taisez-vous si vous ne savez pas ce que vous racontez. La sagesse enseigne qu’il y a des gens qui parlent avant de chercher à comprendre leur parole. Vous êtes de ceux-là
3. Le 10 juin 2013 à 15:19 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Honorable député, vous avez une manière de vous exprimez à l’hémicycle qui ne permet pas une émergence de la démocratie. Vous ne tenez pas compte des points de vue des autres alors ce que vous dites n’engage que vous, nous ne sommes pas favorable pour la mise en place du sénat. Il était de même pour le CCRP. Pour être logique dès lors que le chef de file de l’opposition a refusé de participer au CCRP vous auriez dû surseoir à sa mise en oeuvre. Pensez vous que les communautés religieuses en particulier la communauté catholique siégerait au sénat si bon nombre de ses fidèles sont opposés. Wait and see. Nous avons du respect pour nos leaders religieux. Nous attendons.
Le 11 juin 2013 à 19:53, par Le défenseur d’Alain YODA En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Vous verrez que les religieux catholiques siégeront au Sénat. Vous n’aurez donc que vos yeux pour pleurer. Les religieux ne sont pas au-dessus de la loi. Les burkinabè, même les députes racontent et écrivent n’importe quoi.
4. Le 10 juin 2013 à 15:33, par GANDHYY En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
""Ce n’est vraiment pas l’objectif. Si c’était l’objectif, on l’aurait dit. On peut reprocher tout ce que l’on veut au chef de l’Etat parce qu’on est de l’opposition mais on ne peut pas dire que c’est quelqu’un qui ne tient pas parole.""
On le tient au mot, dit ouvertement et publiquement. Tout citoyen (a commencer par la presse) doit garder une copie de cet article pour contrarier publiquement le CDP (car ABY parle au nom du CDP et de la majorite) et ses vautours si jamais ils nous parlent de modifier l’article 37 par referendum ou par voie parlementaire
Bonne soiree.
Que Dieu benisse le Burkina.
GANDHYY
Le 11 juin 2013 à 19:57, par Le défenseur d’Alain YODA En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Gandhi aurait honte à ta place. Alain a le mérite d’avoir fait une déclaration. On s’en tient à cette déclaration un point un trait. Quant à vos supputations et autres gérémiades, épargnez-nous de votre ignorance
5. Le 10 juin 2013 à 15:37, par Otiolo En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Bjr,
J’ai du respect pour le president du groupe CDP mais je pense aussi qu’il ne faut pas qu’il nous prenne pour des "cons" ou de prendre ses rêves pour des réalités. Tout le monde connait M. YODA depuis son RSI jusqu’à où il est aujourd’hui. C’est la roublardise. (Ce qui lui a toujours réussi d’ailleurs). mais un jour cela prendra fin car on ne peut pas jongler tout le temps.
L’histoire nous renseignera et nous dira dira tout
Le 14 juin 2013 à 10:25, par QFD En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
A partir du moment où quelqu’un ne veut pas se prendre pour un con, c’est que l’idée de la connerie est déjà dans sa tête.
C’est comme quelqu’un qui vous dit, je ne suis pas contre toi. A partir du moment où il le conceptualise, l’idée est déjà dans sa tête et, à coup sûr, il est contre toi. QFD.
6. Le 10 juin 2013 à 15:55, par waongo-pa-yalama dèèè ! En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Le coût annuel du sénat est de 6 milliards ! Mettez cet argent dans l’agriculture ou tout au plus augmenter les salaires des travailleurs avec cette somme and wait and see ! Burkina Faso sera prospère. La FEDAP/BC a confirmé à kombissiri que sa lutte de 2013 est axée sur la modification de l’article 37 de la constitution. De grâce, n’enflammez pas le Burkina maintenant ! Juste vous dire que si les accidents mortels conduisent le public sur la rue spontanément, pire sera l’accident de l’article 37 de la constitution !
7. Le 10 juin 2013 à 15:57, par samspade En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
ras comme d’habitude,
8. Le 10 juin 2013 à 16:25, par zagas En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
héé !oû se trouvent les internautes ...Réagissez mais de façon objectif,sinon les ga vont vous mettre la honte dhè !je suis un arbitre impartial !
9. Le 10 juin 2013 à 16:25 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Arete beydouma tu n’es pas grillot tu a rendu un grd service au bf qd tu etais à la santé je dirai que etais meilleurs mais aujourdhui je te sent pas tu es l’ombre de toi mème.
10. Le 10 juin 2013 à 16:35, par Conscience du Faso En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Pas de Sénat au Faso pour le moment. Pas de modification de l’article 37 et à jamais ; pas plus de 2 mandats présidentiels au Faso encore. Celui qui veut règner à jamais, peut aller dans son village pour être le chef de son village jusqu’à sa mort s’il le veut. Maintenant, si vous voulez les problèmes, alors on va ensemble y faire face. Si en 2015, le CDP n’est pas en mesure de presenter un candidat autre que Blaise Compaoré, dans ce cas les élections se derouleront sans le CDP. Avec ce pléthore d’hommes politiques, présidentiables que le CDP a, si vous ne pouvez pas avoir un autre candidat, c’est votre problème.
Le 11 juin 2013 à 21:12, par Le défenseur de Yoda Alain En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Conscience du faso, on ne peut forcer un âne à boire ou à manger du foin. Si ce n’est par cupidité, est-ce que Yoda Alain dit plus que tu n’aies écrit ? Je me demande si tu as lu l’interview jusqu’au bout. Je t’invite à le relire et à t’agenouiller devant l’auteur.
11. Le 10 juin 2013 à 16:57, par On les connait En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Sur la question de la modification ou non de l’article 37, nul autre que le président Blaise Compaoré n’est compétent pour trancher. Les déclaration de ABY n’engage que lui seul. Il n’y a pas de doute qu’il se pliera à la volonté du chef le moment venu et qu’il trouvera en son temps suffisamment d’arguments pour se justifier.
12. Le 10 juin 2013 à 17:02, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
ALAIN ! Méfie-toi ! Ton langage n’est pas du tout propre ! Faut pas fuir un jour en abandonnant ta valise !
Par Kôrô Yamyélé
Le 11 juin 2013 à 07:40, par CI En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
rien de nouveau sous le soleil c’est encore le même ton des thuriféraire du capitaine un jour vinedra ou tous ces comptentateur n’ouront plus de bouche pour raconter des ineptie.
Le 11 juin 2013 à 21:17, par Le défenseur de Yoda Alain En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Kôrô, c’est Alain le maître à penser de la boutique CDP. Il est écouté par le boss. Si Alain Yoda le dit, c’est que c’est vrai. On peut s’en tenir à cette déclaration sérieuse.
13. Le 10 juin 2013 à 17:04, par Bibega En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Il parle très bien ce monsieur. je me dis alors que si nous nous en tenons à un combat verbale et théorique contre la monarchisation du pouvoir, le combat est d’avance perdu pour nous. à quand le coup de crosse vengeur ? à quand le coup de poing libérateur de toutes ces sangsues ?
14. Le 10 juin 2013 à 17:13, par article 37 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Alain,
tu as fait combien de parties avant d’atterrir au CDP. Dans la religion, on a toujours dit de faire attention au zèle des nouveaux convertis. Voici quelqu’un qui devait prendre sa retraite depuis longtemps qui s’accroche en espérant de redevenir ministre.
Alors pour un sénat alors que nous les Burkinabès, n’avons même été consulté par référendum ?
De toutes les façons, vous êtes tous vieux et dépassés. Comme le CNR et le FP sont arrivés par coup de force, je crois que si vous ne prenez pas les bonnes décisions, le peuple vous renverra comme en janvier 1966.
15. Le 10 juin 2013 à 17:17, par article 37 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Alain, griot du CDP. Que ne ferait-on pour se maintenir à son poste. Où sont passé les Simon, Rock et Salif ? Ils ont été dix fois plus puissant que toi. Ton tour va arriver et ce sera un plaisir pour les Burkinabès de voir que tu va te taire sans broncher.
Le 14 juin 2013 à 10:37, par Le défenseur d’Alain YODA. En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Alain YODA doit même être fier que tu le traite de griot du CDP en tant que Président du groupe CDP à l’Assemblée Nationale. Pourquoi les internautes réagissent aussi stupidement ?
16. Le 10 juin 2013 à 17:42, par Songré En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Monsieur YODA, l’on n’a pas besoin d’un sondage pour savoir que les burkinabè ne veulent pas d’un SENAT. Vous êtes de ceux là qui, par leurs déclarations incendiaires cristallisent les rancoeurs, les vexations, toute chose à même de mettre le feu au pays. Vous parlez de paix sociale tout en posant des actes, en imposant des institutions qui vicient cette paix dont vous parlez.
17. Le 10 juin 2013 à 17:45, par le voyant En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Monsieur Bedouma, vous même vous reconnaissez que l’AN est partisane. Alors que vous y avez demeurer pendant 22 ans. Si le CDP n’a pas de velléités de modification de la constitution que le chef d’Etat déclare officiellement son retrait pour mettre fin aux soupçons. Dans les tous les cas les femmes sont déjà dans la danse. On vous tient à l’œil. Attention dè !!!!
18. Le 10 juin 2013 à 17:50, par mistykal En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
N’importe quoi, continuez à vous faire des places au détriment de mon peuple. Je vous le répète malheur à celui qui ballonne le peuple.
19. Le 10 juin 2013 à 18:02, par yop En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
"Le Président du Faso s’est engagé à ne faire mettre en œuvre que les propositions consensuelles" ça alors voila qui contraste avec ce que Alpha YAGO un autre membre du bureau du CDP a dis sur BF1 il ya 2 semaines . Il a clairement dis que le CDP avait l’intention de sauter le verrou de l’article 37. Pour lui l’art 37 doit être et sera modifié. Dans tous les cas tous cas, on verra. NGaw !!!
20. Le 10 juin 2013 à 21:17 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Alain Yoda....!!!!! Ce monsieur là n’est pas rassasié ? En fait ce qui fait le plus mal ce n’est même pas qu’ils pillent le peuple. C’est qu’ils prennent les autres pour des idiots. On sait que l’avenir du pays ne leur dit rien. La mort, ni de leurs proches, ni des citoyens inconnus mourant dans les hôpitaux en manque de produits de première nécessité... Tout cela ne dit rien aux gens de sa trempe. Méfiez-vous d’eux. Ils sont prêts a construire des buildings sur vos tombeau. Ils n’ont plus rien à gagner après le pillage sur cette terre. Ils ont vendu leurs âmes.... Méditez bien ce passage de l’Évangile : "A quoi sert à l’homme de gagner tout l’univers s’il le paie de son âme ?"
21. Le 10 juin 2013 à 21:18, par Le sage. En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Franchement, j’ai souvent des divergences d’appréciation avec Alain, mais là, il a fait une belle interview. C’est surtout son hypocrisie de temps à autre et son sectarisme qui me gênent. Sinon sur l’interview je lui tire mon chapeau. Bravo mon frère, ce sont des honnêtetés intellectuelles comme celà que les citoyens attendent des hommes politiques. L’ADF/RDA doit réagir par un message d’explication, notamment par l’absence de concertation sur la loi organique. Alain, vous devez savoir les raisons du vote négatif de l’ADF/RDA, mais vous refusez de voir la vérité en face. Quand on a un ami, on le traite comme tel.
22. Le 10 juin 2013 à 21:20, par boueto En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
pardon on veut pas de mensoge.on veut la paix yoda
23. Le 10 juin 2013 à 21:23, par IDM En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
VOUS VOYER N’INSULTER PAS NOTRE INTELLIGENCE CHAACUN DE NOUS SAIS QUE C’EST LES POLITICIEN VOUS ALLER PLACE AU SENAT VOUS PARLEZ DE TOUTE LES COUCHE SOCIAL SI VOUS VOULEZ ETRE ONNETTE AVC VS MEME C’EST 3500 PERSONNES TOUCHER SONT LES SEUL BURKINABÉS ET DE SUR QUOI C’EST LES MÊME GENTS AVC QUI VS COMPLOTER ENSEMBLES ILS N PEUVENT PAS ETRE CONTRE VOS PROPOSITION ET ENCORE JE M DEMANDE SI ILS ONT EU DS EXPLICATIONS FIABLE BANDE DE MENTEUR
Le 10 juin 2013 à 23:13, par Le révolté En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Mr Alain Yoda, vous défendez l’indéfendable. Le peuple burkinabé a déjà tout compris et dit non ! Le Sénat n’est pas une urgence pour notre pays. Justement c’est parce que toutes institution coûte cher que nous ne voulons pas en rajouter. Celles qui sont là, oeuvrons à ce qu’elles fonctionnent comme il se doit. Que la justice soit pour tous la même justice, que les Guiros ne restent pas impunis comme c’est le cas. Vous ne pouvez pas ne pas faire confiance à Blaise Compaoré puisque vous êtes passé de ministère en ministère dépuis que vous avez sauté pieds joints dans le CDP. Ce que le peuple vous demande n’est pas la mer à boire. Arrêtez la mise en place de cette chambre à aire sinon elle s’explosera en plein figure de ceux qui s’entêteront à nous forcer la main. Les choses passaient très facilement de par le passé. Le temps du jeux de cache cache est révolu. Si vous craignez véritablement les événements de 2011, stoppez ce crime que vous planifiez. La balle est dans votre camp. Mais rassurez vous, rien ne sera comme avant. Vous particulièrement vous avez un pied dans le côté triste et lugubre du Burkina. Vous avez contribué à succer le sang des fils et filles de ce pays. Nous disons que c’est assez, on en a marrrrrrrre !
Le 11 juin 2013 à 21:05, par le visionnaire En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Quelle raison a - t - on avancé pour libérer guiro ?
Je suis vraiment sidéré par ce comportement inconscient. Je sais maintenant que nos prisons sont faites pour les pauvres.
Un conseillé municipal qui avait été arrêté pendant l’affaire Séraphine ( Maire de Boulmiougou ), pour avoir en sa possession, 80 parcelles. Tenez vous bien, il est libre il y a 2 ans.
Trop d’injustice dans ce pays et je jure avec tout mon coeur, que le CDP et ses accompagnant verront leur SANG sur voies publiques. Volez et payez les grosses voitures, le jour arrivé, nous allons vous mettre en BROCHETTE.
Quand je pense aux CHEFS COUTUMIERS, le jour J nous ne les connaissons pas. SENAT,SENAT, nous avons FAIM, on n’a pas besoin de ça ici.
LUC ADOLPH THIAO, doit demissionner après avoir été chasser comme une biche à l’UO.
24. Le 10 juin 2013 à 22:52, par burkibila En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Si vous êtes courageux et si vous vous estimez populaire et majoritaire alors lancer un referendum et pour le sénat et l’article 37, le peuple va vous mettre la honte. De grâce pensez à la retraite et laisser la jeunesse aux commandes.
25. Le 11 juin 2013 à 00:13, par Adjara En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Les candidatures indépendantes à elles seules battent en brèches cette histoire de Senat. Si l’Assemblée avec sa coloration actuelle est reconnue partisane, c’est à dire qu’elle répond aux seules exigences des partis politiques qui y siègent et non à la volonté du peuple qui élit, c’est qu’on a longtemps menti au peuple en lui faisant croire qu’on y allait pour les seuls intérêts de ces derniers. Oublions ce mensonge et revenons à l’opportunité de votre si cher Sénat. En autorisant les candidatures indépendantes, avec des hommes crédibles n’obéissant à aucun mot d’ordre d’un quelconque parti ou d’un chef donné, le contrepoids tant recherché est trouvé.
La question : de qui avez-vous peur en n’ouvrant pas le jeu démocratique ?
26. Le 11 juin 2013 à 01:29, par DT En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Je pense qu il est temps que Alain Yoda aille se chercher un autre boulot, qu il aille se reposer. Toujour la a parler du chef de l Etat !! on vous averti que vous etes entrain de mettre le pays en danger, lui il parle de Blaise compaore. Les Simon et Rock se sont chercher, lui il s accroche toujours !!!
27. Le 11 juin 2013 à 01:31, par ZORO En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
du n importe quoi. democratie democratie comme s il sagissait seulement de sortir ce mot de la bouche(commence a faire la lumiere sur les nombreux crimes qui vous sont imputer). bande de voleurs et d assassins. combien sont ces pauves qui meurent chaque jpur que dieu fait par faute de moyen financier(parfois par manque de simple medicament contre le paludism) et aussi materiel ( no hopiteaux sont sous equipes ). ce qui est sure tout a une fin. il faut aussi que le peuple "mouton " se reveille enfin. qu on puissent chasser ses charognard de notre cher FASO.
28. Le 11 juin 2013 à 01:48, par if En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
SALUT. Je voudrais féliciter YODA pour ces réponses justes, réalistes et réalisables. Ce pays ira de l’avant avec ces pourritures d’opposants assoiffés, ambitieux du pouvoir et inutiles en démocraties. Nous serons du RDV, s’ils sortent encore faites donc la même chose et nous allons soutenir le BOSS dans ces oeuvres et longues marches de l’émergeance sincère et participative. On va enterrer l’opposition d’ici là
Le 18 juin 2013 à 12:19, par MARDIA En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
enterrer l opposition revient au parti unique. de toute facon on enterrera 75 pour cent de la population. comme la CPI et la Communauté internationale sont aussi là l histoire nous le dira. c est trop court comme idée.il faut rappeller que Alain etait de l opposition avant de venir au CDP, vous avez la memoire très courte
29. Le 11 juin 2013 à 01:49, par Sidpasata - Veritas En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
« Parce que, s’ils avaient été au CCRP, les points sur lesquels ils n’auraient pas été d’accord, n’auraient pas été consensuels. Et il n’y aurait pas eu de mise en œuvre. » -------------------- La tricherie d la majorité est dans ce CCRP qui lui même était non-consensuel alors que l’on déclare ses avis consensuels. Puisque tout le monde n’était pas d’accord quand le Président du Faso a créé ce CCRP, c’est un mensonge de dire que les propositions des ce CCRP ont l’accord de tout le monde au Burkina : c’est faux, elles ne peuvent jamais avoir l’accord de tout le monde et ne devaient pas être considérées comme consensuelles pour tout le Burkina. Le CDP a triché pour forcer et faire injustement les réformes pour protéger ses intérêts égoïstes et partisans. Ce n’est pas pour le Burkina que ces réformes ont été faites comme cela !
30. Le 11 juin 2013 à 02:30, par L’ALCHIMISTE En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Vraiment, on est foutu.
Aucun citoyen digne de ce nom, ne peut pas ne pas tomber des nues en parcourant cette interview. Finalement, qu’est-ce que ces messieurs ont dans le crane ? A-t-on réellement besoin du sénat pour consolider notre démocratie ? Et ce sera à quel prix ? Toutes les ressources financières du pays serviront seulement pour la démocratie ? Vous dites que le pays est pauvre pour vous dérober de vos devoirs les plus élémentaires et vous trouvez moyen de créer des dépenses supplémentaires pour en faire des choux gras, uniquement pour vous !
S’il vous plait Messieurs les dirigeants, ce peuple a beaucoup fait pour vous ! Ce peuple a beaucoup perdu à cause de vous au point de ne ressembler qu’à sa propre ombre ! Ne faite pas ça, réorientez ces ressources financières dans d’autre secteurs beaucoup plus vitaux et plus bénéfiques à tous les Burkinabé.
On peut citer entre autres : l’électricité, l’eau, le bitumage des voies, la question de l’augmentation des salaires, l’amélioration des services de santé.....
Ne suivez pas votre instinct de cupidité car vous le regretterez non seulement ici jusqu’au seuil de l’au-delà !!!!!!!!
31. Le 11 juin 2013 à 05:16 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
This guy lost his soul ! You’ll regret one day but I’ll be late !
32. Le 11 juin 2013 à 06:11, par if En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Et oui, c’est un très beau entretien et un bel article. Je crois qu’il faut être réaliste et réalisable dans ce pays. Tout le monde crie à la démocratie mais beaucoup récule dès qu’on annonce une avancée majeure dans ce domaine. Je répète le BOSS restera au pouvoir si nous le décidons. En Europe, dans ces pays démocrates on a des rois, reines.... qui sont honorés et vénérés. Le BOSS est desormais ROI DRS ROIS et c’est tout. Si l’opposition sort encore, nous sortirons en force pour demontrer que nous soutenons blaise. OK/
33. Le 11 juin 2013 à 08:11, par Le vent En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Belle rhétorique pour un vuvuzela du fantôme de kossyam. On vous a à l’œil. Une virgule en plus ou en moins à l’article 37, vous voilà en route pour la CPI où Taylor et compagnie vous attendent.
34. Le 11 juin 2013 à 08:22, par le Sage En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
écouter, le peuple dit qu’il ne veut pas du SENAT, pourquoi, insister, Pour le changement de la constitution, c’est pas compliqué, on est au faso, si vous êtes garçon CHANGEZ LA
35. Le 11 juin 2013 à 08:35, par Beton En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Bel interview, mais Mr TRAORE, je ne sais pas si vos questions étaient préparé d’avance, mais, il est tout de même étonnant que malgré tout ce que Mr YODA à développé sur l’apport du SENAT à notre démocratie ; que vous ne l’allai pas posé la question à savoir en cas de divergence sur une loi, le vote de quelle chambre primais.
C’est en cela que vous alliez apercevoir l’absurdité de ce SENAT. Car malgré sa prétendu hauteur de vue tant loue par Mr YODA, le SENAT ne prime sur l’AN que dans deux cas : les questions relatives aux burkinabé de l’extérieur et aux collectivités territoriales. Les quelles , je puis vous rassurer ne sont pas les plus débattu à l’hémicycle.
36. Le 11 juin 2013 à 09:10 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
il faut arreter de nous distraire
37. Le 11 juin 2013 à 09:19, par FIRE En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
ON SENT QUE ABY EST TROP FAN DU PRESIDENT.
38. Le 11 juin 2013 à 09:39, par Hamane En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
"Avec un ou des si on mettrait Paris en bouteille". ce qui signifie qu’avec des hypothèses, tout devient possible.
39. Le 11 juin 2013 à 09:58, par sac En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Bedouma Alain YODA !?! C’est un nom qui sonne grand ; mais qui resonne faux malheureusement. Je ne vais pas mentir, je n’est pas lu cet article en question, mais je sais qu’il est vide d’arguments. Avec préjugés, serait-on obligé de dire, je pense que vous défendez tout seulement votre poste qui tient à ça ; mais qu à cela ne tienne, que gagnerez-vous après tant de temps passé à faire le va-et-vient entre opposition et pouvoir. J’ai juste une question, vous en tant qu’intellectuel et honnêtement : QUE PEUT APPORTER LE SENAT DE PLUS QUE L’ASSEMBLEE NATIONALE, si seulement vous avez la ferme volonté de mieux faire marcher cette Assemblée ? Même si vous avez des bons arguments mais est ce que la situation des priorités du Burkina actuellement permet une telle décision. Permettez moi de dire que la Deuxieme chambre a fait ses preuves. Sachez seulement, qu’on n’est jamais à l’aise quand on mange devant un pauvre ; Sachez aussi que vos fils et petit-fils seront avec nos fils et petit-fils. Un changement et vite arrivé ; et imaginez que moi mon fils deviennent Président du SENAT ! Ce n’était pas prévu dhè !!!!!!
40. Le 11 juin 2013 à 10:27, par michou En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Quand on prend l’habitude de mentir ; quand on a du plaisir à instrumentaliser les institutions pour ses propres intérêts ; quand on n’a pas pitié des gens en les roulant sans cesse dans la farine ; que voulez-vous ? Même quand vous serez de bonne foi, personne ne vous croira. Qui a menti, mentira ! Sur la question de la participation des 3500 personnes, Alain peut-il nous dire sur quelles bases certains ont été choisis pour participer au CCRP et aux assises ? Qu’on dise la vérité aux gens. Le débat sur les réformes politiques n’ont été francs. Sur ce fait, tout le monde est responsable ! Bonne journée à tous
41. Le 11 juin 2013 à 10:45, par djemadou En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Quelqu’un peut-il nous faire la situation sur le cout de tous nos institutions : AN, CES, etc, Déjà que celui du senat est connu
42. Le 11 juin 2013 à 10:46 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Continuez à être arrogant l’histoire vous rattrapera surement !
Le 11 juin 2013 à 11:09, par la tension monte En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
MON cher Alain sachez que quand vous parler ,vous n’etes pas le plus intelligents des burkinabe,vous avez a faire a un peuple non a un individu,donc mesurer vos propos et sachez encore que c’est l’’avenir de tes enfants ,tes parents et memes tes proches que vous hypothequez,donner leur la chance de vivre dans la quietude apres votre passage .OUBIEN vous ignorer que vous n’etes pas etrenel, ? Et que le peuple va demander des comptes tot ou tard regarder ce qui ce passe un peu partout ,ceci est un conseil d’un de tes beaux
Le 12 juin 2013 à 11:08, par Yamamlawoto. En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
En quoi cette interview est-elle arrogante ? L’incivilité c’est aussi le manque de respect à l’égard de l’autre même si celui-ci a des idées différentes des nôtres. De plus, respectons nos aînés surtout si ceux-ci sont oints d’attributions légales en politique. C’est l’un des gros problèmes de notre pays qu’il conviendrait de régler dans les années à venir. Je me demande qui sont ces individus qui s’en prennent vertement aux autres sans fondement argumentaire sérieux et que peuvent-ils enseigner à leurs progénitures si ce n’est la merde.
43. Le 11 juin 2013 à 10:52, par la tension monte En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
LA FIN EST PROCHE DONC PARTER HONORABLEMENT AU LIEU DE GASPILLER LES ENERGIES
44. Le 11 juin 2013 à 11:07, par Rocky En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Salut le faso.net. Mais il faut que votre ABY soit honnète envers lui mème et qu’il prenne la population au sérieux !!! De quelle démocratie parle t il lui ? Qu’est ce qui la chassé du gouvernement ? Etait il le plus compétent, le plus doué, le plus jeune ? Nono, non et non !!! Voilà qu’il quitte le gouvernement pour l’assemblée à un moment où certains ténors du vrai CDP s’en vont !!! Alors qu’il arrête de nous divertir sur son bien fondé du sénat. Croit il que l’opposition n’est pas en mesure d’accepter une proposition de la majorité ? L’histoire du sénat ne tient pas elle ne tient pas. Certes des institutions coûtent mais des dépenses sur des dépenses ne feront que alourdir le budget de l’état. Les gens ne sont pas contre le sénat mais estiment qu’à l’heure actuelle les populations ont d’autres priorités. A moins que le sénat ne soit pas appelés à résoudre les problèmes de populations. Elles ont besoins d’éducation, de santé, ...... Qu’est ce que votre prétendu sénat pourra faire ? Ah j’oubliais !! Ce qui est évident c’est que le sénat va absorber les fonds qui pourrait être affecté à cela. Ou bien il croit que le sénat pourra acroite les financement au près des PTF ? Mais non !!!!
45. Le 11 juin 2013 à 11:11, par patlechat En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Mon frère Yoda,on ne sais même pas qui dit la vérité au CDP,vos suiveurs FEDABC par son président a dit clairement kil veulent que le peuple se prononce:on a tous fait CP1 et lorsqu on dit de se prononcer,c ;est pour changer<
,qui ne connait pas le CDP:On sent votre declin car chacun dit ce kil v
Le 11 juin 2013 à 13:38, par kiga En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
lorqunil ynaura une chasse a la sorciere je serai le premier a descendre chez Aby.il parle mal .tu n’est pas le seul a pouvoir parler .attendez vous allez voir
46. Le 11 juin 2013 à 13:03, par tarbala En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Bonjour,si j ai un conseil à donner au président,c est d écarter une bonne fois pour toutes ce monsieur du sérail politique.Je sens en lui un POUTONEDA quelqu un qui veut détruire.
47. Le 11 juin 2013 à 13:43 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
TRES CHERS INTERNAUTES.QUAND VOUS LISEZ UN ARTICLE,VEUILLEZ PRETER ATTENTION A LA SIGNATURE POUR NE PAS VOUS LAISSER DISTRAIRE.POURQUOI PAS UN JOURNALISTE DE L’OBSERVATEUR OU DE LE PAYS QUI POSE LES QUESTIONS A L’HONNORABLE DEPUTE MAIS PLUTOT CELUI DE L’OPINION(JOURNAL PARTISAN).TOUT A ETE PREPARE A L’AVANCE.
Le 11 juin 2013 à 16:56, par le citoyen En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
monsieur le representant des bissas à ouagadougou cette fois ci on aura ta peau on connait ou se trouve ta cachette !n’est ce pa à saaba
Le 11 juin 2013 à 20:03, par z h de b En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Attention le senat va nous conduire en syrie.une revolte d la nation entiere
48. Le 11 juin 2013 à 18:00 En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
"Si on veut que rien ne coûte, il n’y aura pas d’institutions de la république.". Comment peut on se permettre d’analyser le création d’un sénat de la sorte. Mr ABY, l’Etat continuera d’exister sans le sénat et je crois bien que vous nous dites tous les jours que notre démocratie est bien encré !("25 ans de démocratie sous BC"). Je ne vois pas comment ce sénat peut rejéter un projet de loi adopté à l’AN ! des gens qui seront nommés pour la plupart....
49. Le 11 juin 2013 à 18:53, par gbi de fer En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
merci pour toutes ces précisions M. yoda. je voudrais juste savoir une chose :
quand le CGD à publier son sondage sur les élections présidentielles de décembre pourquoi ne nous ont ils pas dit qu’il n’étaispas un institut de sondage comme on veux nous le faire croire aujourd’hui.
cela dénote l’hypocrisie de l’homme politique. de toute façon on est tous dans ce pays et la paix ne se décrète pas mais se vit. on verra tous et on conclura en temps opportun
50. Le 11 juin 2013 à 19:18, par Lajustice En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Article 37 ou pas vous allez tous foutre le camp de ce pays !!si le presi a fui son Kosyam ce ne sont pas vous ses marionnettes qui feront l’exception.c’est vraiment honteux quand je vois des intellectuels qu’on utilise comme des moutons sans aucune dignité des béni oui oui !!ça pitié
51. Le 11 juin 2013 à 20:06, par Le défenseur d’Alain YODA En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Je n’ai jamais vu les burkinabé féliciter quelqu’un parce qu’il avait ou écrit quelque chose de bien. Alain dit que l’article 37 ne sera pas modifié et que le Président respectera sa parole. Malgré tout ça, il y’a des têtes félées et anti-républicains qui ne sont pas contents. Que voulez-vous, mais enfin...
Le 11 juin 2013 à 21:00, par Le peuple En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Remarquez que tous ceux qui défendent le Sénat ont une chose en commun. Aucun d’entre eux n’est crédible. Aucun n’est sérieux,aucun ne mérite respect. Ils ont tous vendu leur âme. Alors, ils tentent le tout pour le tout sinon en réalité ils savent leur fin a sonné.
52. Le 15 juin 2013 à 15:00, par KINDA Rabi Edmond En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
M. YODA, vous êtes quelqu’un à qui le sénat profite ; d’ailleurs vous êtes un maître illusionniste de la population burkinabé. Chacun de nous sait que le sénat a pour but de couvrir une seule famille au Burkina Faso(la famille COMPAORE). La paix est vôtre dernier soucis dans ce pays. L’homme saurait fabriquer ou chercher la paix si il ne fait pas la paix. Et enfin, le sénat est loin du peuple. Vous êtes trop subjectif, la minorité que regroupe les hommes politiques de la quatrième république est vôtre point focal à sauvegarder.
53. Le 16 juin 2013 à 17:57, par Ben Barka En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Les gens sont toujours à leur aise pour s’exprimer sur la situation nationale. Pourtant tout le monde sait que ce pays va mal. Dans tous les cas personne ne ratera personne à la prochaine crise.
54. Le 19 juin 2013 à 09:18, par Bandjougou En réponse à : Alain Bédouma YODA, président du Groupe parlementaire CDP « Si on voulait modifier la Constitution, on n’avait pas besoin de la deuxième chambre »
Si vous aimé ce pays je vous prie dite au Président que nous burkinabé nous lui remercions pour tout ce qu’il a fait pour ce pays mais qu’il est temps qu’il parte se reposer vous n’allez pas me dire qu’il est le seul a pouvoir diriger ce pays ainsi vous rentrerez dans l’histoire.Le Burkina a besoin d’homme fort actuellement