La jeune réalisatrice Aïssata Ouarma aborde de manière originale et poignante le phénomène de l’exode des filles mineures à Ouagadougou. Elle donne de la voix au silence de ces filles victimes de leur quête de bien-être. Entre espérance légitime et impatience craintive de leur parents restés dans le petit village de Loroni, la réalisatrice nous plonge dans la quotidienneté de ses filles.
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Vos commentaires
1. Le 19 février 2013 à 18:29, par Momo En réponse à : Le silence des autres
Merci à vous de nous montrer quelques documentaires du Burkina. Cela contribue à la promotion des réalisateurs et autres personnes impliquées. Maintenant que vous nous avez appâté, pourrez-vous s’il vous plaît ouvrir une rubrique (sur la page d’accueil avec des liens. Longue vie à vous.
Quant au documentaire, rien à dire si ce n’est qu’il est bon et nous plonge au cœur d’une réalité que l’on connaît tous si on vit dans les grandes villes ; ce que l’on connaît c’est le départ du village et toutes les implications sociales.
Le 20 février 2013 à 11:18, par Aissata OUARMA En réponse à : Le silence des autres
bonjour comment vous allez ? merci a vous de régardez ce film.