RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
L’avant-dernière vague du Bataillon Laafi 3, en fin de mission au Darfour, au Soudan, a rejoint le Burkina Faso, le mardi 28 août 2012. Elle a été accueillie à l’aéroport international de Ouagadougou par le colonel-major Balibi Ido.
L’avion ramenant les 115 hommes de l’avant-dernière vague du Bataillon Laafi 3 a atterri le mardi 28 août 2012, aux environs de 14h, sous un soleil de plomb. Des soldats portant des tenues à l’effigie des Nations unies, avec des sacs, des blouses et des bidons d’eau minérale sortent de l’arrière de « l’oiseau en fer ». En file indienne, ils se dirigent vers le hall d’accueil. De temps en temps, certains de leurs collègues présents à l’aéroport les interpellent. La hiérarchie militaire a été représentée par le colonel-major Balibi Ido, conseiller technique du Chef d’état-major général des armées (CEMGA), de l’intendant militaire Koudbi Zongo, du lieutenant Tinga Kaboré et du colonel Etienne François Ouédraogo.
« Au nom du commandement, je vous souhaite à tous la bienvenue. Des rapports qui nous sont parvenus, plus celui du CEMGA, vous avez brillamment accompli votre mission », a déclaré le colonel-major Ido, au bataillon. Il a invité les soldats à partager l’expérience acquise avec leurs frères d’armes restés au pays ou qui iront plus tard sur de pareils champs d’opération. Le colonel Etienne François Ouédraogo, chef de division de la planification et du suivi des opérations a, par la suite, livré aux 115 hommes, le programme du camp de démobilisation.
Il a particulièrement insisté sur le bien- fondé des visites médicales qu’ils effectueront dès le lendemain (NDLR : mercredi 29 août 2012) après une nuit de repos à Loumbila. Selon le chef de mission de l’avant-dernière vague, commandent Kwamé Christophe Kambiré, il a fallu du tact, de l’intelligence et du génie pour l’accomplissement des tâches assignées. « Le Darfour ça se vit, ça ne se raconte pas », a-t-il soutenu. Pour l’adjudant-chef major, Mayaga Tanou, la mission a été d’autant plus difficile dans la mesure où il fallait respecter, à la fois les normes des Nations unies et les us et coutumes de ce pays étranger. « La mission a été éprouvante, mais riche en enseignements et nous avons porté haut le flambeau du Burkina Faso », a-t-il ajouté. La soldate de 2e classe, Hortense Somé, a remercié Dieu pour avoir ramené le bataillon sain et sauf. « La terre des Hommes intègres nous a beaucoup manqué et nous sommes heureux de retrouver nos proches dans la joie et la santé », s’est-elle réjouie.
Tilado Apollinaire ABGA & Mamadou DEMBELE
(Stagiaire)
Sidwaya
Vos commentaires
1. Le 29 août 2012 à 22:13 En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
Ce barbare de Tanou Mayaga fait partie du lot ? donc, si cet indiscipline notoire a fait partie du lot sans scandale, les boys se sont bien comportes. Ce sergent esdt d’ umne brutalite digne d’ un legionnaire. Je suis de la 8 eme promotion SNP a Loumbila et il etait le soldat le plus affreux de tous, sans compter le Premiere Classe Dah qui etait la barbarie meme en personne. mais lui au moins etait un illettre. Pardonnable.
Bonne arrivee les garcons et la fille. Vous avez fait honneur au Burkina Faso.
Tanou Mayaga, ca’ c’est le petit peul de barani que tu manoeuvrais quand il te manquait 15 francs pour acheter ta Fine. Au moins tu seras moins dechard avec les sous du Darfour. Juste pour quelques mois. Si tu deviens dechard, je ais me venger. Je te donne deux litres de lait frais a boire par jour comme tu ne pourras meme plus te taper ton droh.
Petit Peul de Barani.
Le 30 août 2012 à 06:43, par ARMEE DECEVANT En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
Moi, epuis hier je ne crois plus à cette armée, ce sont des gens pas sérieux dans tout ce qu’ils font. Il sont allés plus tot allés en ballade au SOUDAN.
Regardez un peu la merde, le désordre qu’ils sont en train de faire dans le recrutement des élèves sous-officers de cette années.
Ils exclus des candidats au cours pourtant ce sont eux qui ont délivré des faux certificats médicaux.
Pauvre de Burkina si le ridicul pouvait tuer
Le 30 août 2012 à 15:29 En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
Tanou Mayaga est mon promotionnaire du LOC. Ila ete exclus a sa 4eme parce qu’ il etait insuppoortable. Il a eu a terrasse un de nos camarades, s’est leve sur lui et a utilise son bras comme les lutteurs americians utilsent le bras de leurs opposants pour faire une barre et kak, ila concasse le bras du pauvre avec son genou. Vous avez raison , mais peut- etre qu’ il a change puisqu’ il a reussi a etre adjudant- chef major. Sinon il etait en tout cas un danger pour ses camarades de lycee.
Traore Ahmed.
2. Le 29 août 2012 à 23:59, par moi En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
a quoi sert de raconter tous sa ?c`est une atteinte a sa personalité.oubien c`est la jalousie ?
3. Le 30 août 2012 à 06:53, par l’armoire au Darfour oui En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
"Le Darfour ça se vit ça ne se raconte pas" Mon oeil oui, si ces MIlitaires ont été recruté comme le concours de ensoa que le Ministère de la Défense lui meme à sa tete le président Blaise COMPAORE cette année là C’est que nous n’avons pas d’armée. Imcompétents sur toute la ligne
4. Le 30 août 2012 à 18:31, par LeDUC En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
N’importe quoi ! on vous attend au mali. Il ne suffit pas d’aller se remplir les poche et venir construire des villas et rouler dans de grosse caisse et dire qu’on est bon milo. beurk
Le 1er septembre 2012 à 01:02 En réponse à : RETOUR DU BATAILLON LAAFI 3 AU BURKINA FASO : « Le Darfour, ça se vit, ça ne se raconte pas », dixit le commandant Christophe Kambiré
En tout cas, au Mali ca sera pas maiis, hein. Les fous de Dieu qui sont presses de mourir pour avoir 23 vierges vous attendent de dard ferme.Reflechissez bien avant d’aller corrompre votre colonels gros et pourris pour vous arranger une plasse dans le contingens.Ca sera un gros Dien Bien Phu pour vous. N’ Gaw.