Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
L’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) fera probablement partie des partis dont les résultats aux futures élections couplées de décembre 2012 seront scrupuleusement scrutés à la loupe. Non seulement pour l’occupation du très contesté poste de chef de file de l’opposition mais aussi dans la perspective de la lointaine bataille présidentielle de 2015. En effet depuis sa création le 1er mars 2010, la formation de l’ancien ministre burkinabè des Finances et ancien directeur régional du groupe Areva, Zéphirin Diabré, n’a jamais cessé de prôner un nouvel ordre sociopolitique basé sur la démocratie, le travail et la solidarité ; cela avant même que les vents du printemps arabe ne soufflent sur le Faso avec son cortège de secousses et de calmants politiques.
Justement, que pense le patron du parti du lion des nouvelles réformes politiques, de l’affaire Bigot, du chef de file de l’opposition ? Comment l’UPC prépare le scrutin couplé du 2 décembre 2012 dont ce serait le premier véritable test pour le parti de mesurer son poids réel sur l’échiquier politique national ?
Bref, à toutes ces préoccupations, Zéphirin Diabré répond, dans un style empreint de pragmatisme et de réalisme, dans l’interview qu’il nous a accordée ce 7 août 2012 à Ouagadougou. Dans ses bureaux privés à la Patte d’Oie où il nous a reçu, l’ex-Administrateur associé du PNUD est plus que jamais actif en cette période de précampagne. Entre ses multiples activités de consultant international, il devrait d’ailleurs décoller incessamment pour l’étranger, le ‘’président’’ comme l’appelle affectueusement son entourage, reçoit, consulte, se prépare avec l’état major de son parti, à affronter le double scrutin dans de meilleures conditions qui soient. Tout en gardant les pieds sur terre. Grande interview exclusive.
Lefaso.net : Le Burkina Faso vient d’adopter ses réformes politiques consacrées par la révision d’une soixantaine d’articles de notre Constitution. En quelques mots, comment qualifiez-vous toutes ces réformes ?
Zéphirin Diabré : En matière de réformes politiques, la démarche importe autant que le fond. Or, ces réformes ont été conduites dans un esprit de cache -cache, avec des intentions plus ou moins inavouées, et une sélection des interlocuteurs qui n’obéissait à aucun critère sérieux.
C’est pour ces raisons que notre parti n’y a pas pris part. Si l’on voulait vraiment une démarche consensuelle visant à renforcer notre démocratie, il aurait fallu faire les choses autrement.
Comment ?
Pour ne prendre qu’un exemple, une démarche plus consensuelle aurait d’abord commencé par un dialogue franc avec l’ensemble des composantes de la société, y compris la majorité, mais à qui on donne une certaine latitude de s’organiser. Or ces assises ont été pilotées par un ministère commis aux ordres et nanti d’une mission précise que tout le monde connait, et qui se résume à tout faire pour obtenir la révision de l’article 37.On aurait pu trouver quelqu’un de plus neutre.
Mais, globalement, quelles sont les réformes qui ont retenu le plus votre attention ?
Comme vous, j’ai lu les comptes rendus livrés par notre presse. Certes, les participants aux assises ont fait de leur mieux. Mais on aurait pu faire encore mieux si un vrai consensus politique avait été recherché. Tout ça pour ça !
N’y a-t-il pas quand même des réformes qui retiennent positivement votre attention ?
Sans vouloir diminuer le mérite de qui que ce soit, avouez que les idées avancées lors de ces assises auraient pu être mises en œuvre sans avoir à recourir à cet artifice. Et j’insiste pour dire que la procédure a faussé les choses.
Que pensez-vous d’une réforme comme la constitutionnalisation du Conseil supérieur de la Communication ?
Cette instance de régulation a un rôle très important en démocratie. Si en la figeant dans le marbre de la constitution on peut en assurer la crédibilité et la pérennité au-delà des alternances politiques, c’est une bonne chose. Mais la meilleure des choses à faire, c’est de la doter en moyens légaux, humains et matériels pour lui permettre de mieux jouer son rôle.
Quelle est votre opinion sur l’amnistie adoptée pour les Chefs d’Etat du Burkina Faso de 1960 à nos jours ?
Ce n’est pas une question taboue. Dans certains pays, on en a même fait une étape importante de la réconciliation et du retour à la démocratie. Tout est donc une question d’opportunité politique. Mais elle doit s’appuyer sur un véritable débat national, au cours duquel des vérités sont dites, des réconciliations prononcées, et des engagements souscrits. Cela en garantit d’ailleurs la solidité. Or, on n’a rien vu de tout cela !
Pour vous qui aspirez au pouvoir, n’est-ce pas un moyen de créer les conditions d’une alternance politique ?
Certains peuvent le voir sous cet angle.
Et vous, comment voyez-vous cela ?
Une alternance politique procède de la volonté populaire, pas d’un arrangement juridique !
Que pensez-vous de la création du Sénat ?
Le bicaméralisme ne fait pas partie de notre tradition politique. Quel rôle va jouer un sénat que ne puisse pas jouer une assemblée nationale nantie de réels pouvoirs ?
Deuxièmement, j’entends dire que certains de ses membres seront élus et d’autres nommés. Or tous auront un pouvoir législatif. Ainsi donc des gens désignés par l’exécutif auront un pouvoir législatif. Cela pose un problème de séparation des pouvoirs.
Enfin il y a la question du coût ! Par ces temps de vaches maigres pour l’ensemble de la population, on peut utiliser différemment le peu que nous avons.
L’article 37 de la Constitution n’a pas été touché par les révisions. C’est quand même quelque chose de positif pour vous, surtout que vous aspirez à assurer la plus haute charge de l’Etat…
Il ne faut pas voir les choses de manière personnelle. Les Burkinabè, dans leur écrasante majorité, sont opposés à la révision de l’article 37, y compris ceux qui apprécient le pouvoir actuel.. Beaucoup de ceux qui la réclament pensent d’abord à eux-mêmes, à leurs intérêts égoïstes, aux affaires qu’ils continueront de faire, et aux privilèges dont ils vont continuer de jouir. Ils ont du mal à envisager un autre Burkina, avec un autre président et un autre système.
Notre position est de principe et nous l’avons clairement énoncé lors du forum sur l’alternance. La limitation des mandats présidentiels permet de dépersonnaliser le pouvoir, de renforcer les institutions qui, elles sont immuables, et d’apporter la vraie stabilité, non pas celle qui repose sur la présence d’un chef fort et omniprésent, mais celle qui repose sur des institutions fortes.
Quelles sont les raisons de votre opposition au pouvoir ?
Notre manifeste dit clairement ce que nous pensons et ce qui nous différencie du pouvoir actuel dans trois domaines fondamentaux :
La construction de notre démocratie : l’UPC souhaite une démocratie républicaine à forte participation citoyenne. Or, on nous sert actuellement une démocratie de façade, arc-boutée sur un système de clientélisme politique, et dont la finalité ultime est d’empêcher à jamais l’alternance
La construction de notre économie : pour nous, celle-ci doit être ouverte à tous les acteurs, et ses fruits profiter à tous. Malheureusement, on assiste à la construction d’une économie clanique, dont les ressorts sont tenus par un groupe restreint de parents, d’amis et d’obligés. Regardez ceux qui bénéficient aujourd’hui des marchés publics ou qui contrôle nos grandes entreprises !
La construction de la société : pour nous, celle-ci doit reposer sur les valeurs qui ont de tout temps caractérisé le Burkinabè : patriotisme, courage, travail, fierté, intégrité, sobriété, etc.. Et le pouvoir politique doit jouer son rôle de promoteur et de vigie. Or, on assiste à une démission en rase campagne du pouvoir. L’un des domaines où cela est le plus choquant, c’est celui de la lutte contre la corruption.
C’est bientôt les élections couplées, comment vous vous préparez à l’UPC ?
Je viens d’achever un marathon qui m’a conduit dans toutes les provinces du pays pour installer nos structures. Cela m’a permis de mesurer la sympathie dont nous bénéficions et la force de notre organisation sur le terrain. A l’occasion de ces rencontres, nous avons exhorté nos militants à se faire enrôler massivement.
La semaine prochaine, je ferai une revue de nos structures dans les arrondissements du Kadiogo, terrain stratégique par excellence. Nous avons réussi à mettre en place un comité de base dans chacun des 30 anciens secteurs de Ouagadougou. A peine ce travail fini, les secteurs de la ville ont été redécoupés et leur nombre a augmenté. Tout cela nous oblige à opérer un redéploiement urgent. C’est de cette manière que nous nous préparons aux élections. Actuellement, nos structures sont en train de confectionner les listes des candidats. Une fois les candidats choisis, nous allons les réunir pour discuter avec eux de la stratégie de campagne.
Serez- vous présent dans toutes les provinces ?
Probablement oui !
Pas de problèmes de leadership pour le positionnement sur les listes électorales ?
La direction n’a pas encore été saisie de tels problèmes. Mais nous sommes en politique et dans ce domaine, les questions de leadership sont des choses naturelles. Si la question se posait, on trouvera le moyen de trancher au mieux des intérêts du parti.
Quelle est votre représentativité sur le territoire national ?
Nous avons des militants et des structures dans toutes les provinces du pays. Mais présence et représentativité sont deux choses différentes. Tout dépend des situations locales, notamment des porte-drapeaux qui vont défendre nos couleurs. Comme vous le savez en Afrique, malheureusement, on vote plus l’individu que le parti qu’il représente. C’est au lendemain des élections qu’on pourra vraiment répondre à votre question.
Envisagez-vous des alliances avec d’autres partis de l’opposition pour aller à ces élections ?
Les textes le prévoient et nous croyons en la force des alliances. Des contacts sont en cours.
Les meilleures alliances électorales sont celles qui procèdent d’une entente sur le terrain, et non d’un diktat des états-majors. Nous avons instruit toutes nos structures provinciales dans ce sens.
Quelles sont vos ambitions pour ces élections ?
Nous n’avons pas de prétention en termes de chiffres. Nous sommes un parti très jeune qui, à l’heure où je vous parle, n’a aucun élu. Nous partons de zéro. Et nous observons aussi le rapport de force entre les différentes formations politiques présentes à l’assemblée. C’est en fonction de tout cela que l’on pourra dire, au sortir des élections, si nous avons bien travaillé.
Comment appréciez-vous l’opération d’enrôlement biométrique ?
Positivement. La CENI fait un travail fantastique malgré des difficultés sur le terrain. Et les premiers chiffres semblent attester d’une hausse sensible des inscriptions.
J’ai été choqué de voir que certaines officines tentent de frauder comme ce fut, semble t-il, le cas à Ouahigouya et à Bobo Dioulasso. Il faut que la CENI soit très vigilante, et qu’elle obtienne de la justice des condamnations fermes et sévères pour l’exemple.
Etes-vous inscrit sur les listes électorales ?
Oui. Je me suis enrôlé le jeudi dernier ici, à Ouagadougou (NDLR : l’interview a eu lieu le mardi 7 août 2012).
Votre parti est membre du chef de file de l’opposition. Etes-vous satisfait de la manière dont l’institution fonctionne ?
Le chef de file de l’opposition fait de son mieux. Mais la question ne se situe pas au niveau du fonctionnement. Elle est plus profonde. Cette institution a été créée dans les pays ou le système politique est bipolaire. Est- elle adaptée au système politique en vigueur chez nous ou par essence, la majorité comme l’opposition sont plurielles ? J’ai des doutes. Ensuite vient la question des attributions. Sur ce plan, la loi a beaucoup d’insuffisances. Par exemple, au nom de quel principe un parti politique qui se dit de l’opposition doit aller faire sa déclaration auprès d’un autre parti pour la seule raison que le second aurait plus d’élus que le premier ?
Quel est le rôle de l’administration ? Si demain les deux premiers partis de l’opposition ont le même nombre de députés, on fait quoi ?
Et puis que signifie un Chef de file ? C’est un chef ? C’est un porte- parole ? C’est un coordonnateur ? Pour le chef de file lui-même, cette situation n’est pas facile car, on lui demande de jouer un rôle sans lui dire de quel rôle il s’agit et sans lui en donner les moyens.
A qui la faute ? La faute n’est pas seulement du côté de l’Etat ?
Le texte qui a créé l’institution comportait déjà les germes de l’inefficacité. Et le pouvoir ne fait rien pour arranger les choses.
Est-ce pour ces raisons que des partis politiques de l’opposition ont refusé d’adhérer à la structure ?
Je ne sais pas. En dépit des insuffisances que j’ai évoquées plus haut, notre parti a sacrifié à la formalité. L’intérêt de la chose, c’est qu’il y a au moins un cadre ou les partis d’opposition peuvent se retrouver, prendre des positions communes sur des sujets donnés, et un canal par lequel l’administration peut les toucher pour les questions qui relèvent de toute l’opposition. En le faisant, nous n’avons pas adhéré à un projet politique ni à une coalition. Mais, nous sommes ouverts à cela. Pour cela, il faut une négociation politique qui ne regarde pas le pouvoir et qui ne se décrète pas par une loi.
Voulez-vous dire que ceux qui refusent d’y adhérer ont tort de le faire ?
Ah pas du tout ! Nos formations sont autonomes. Elles agissent en fonction des choix de leurs adhérents.
Mais, avec toutes ces difficultés au sein de l’opposition, croyez-vous sincèrement que Kossyam sera à votre portée en 2015 si le président Compaoré ne se représentait ?
Il est difficile de prédire aujourd’hui ce que sera la situation politique en 2015. Quand vous observez bien, vous sentez que des recompositions peuvent se faire. Et la configuration de l’opposition ne sera peut être pas la même.
Quels sont les rapports de l’UPC avec les formations politiques ?
Ils sont très bons. Avec les partis de l’opposition, ce sont des rapports de camaraderie militante. Avec les autres partis, ce sont des rapports de respect républicain.
Depuis son dernier congrès, le parti au pouvoir, le CDP, semble connaître des turbulences. Qu’en pensez-vous ?
Je n’aime pas me mêler de la vie des autres. Mais comme c’est le parti qui gère le pays, on est obligé de suivre son évolution. C’est par la presse que j’ai appris ce à quoi vous faites allusion ? Vrai ? Faux ? Je n’ai pas encore vu une manifestation publique de dissidence. Mais ce qui est relaté par la presse est très intéressant.
Intéressant ?
Oui pour tout parti d’opposition, les problèmes que rencontre le parti au pouvoir peuvent offrir des opportunités.
Ledit congrès semble avoir entériné la montée en puissance de François Compaoré, le frère du Chef de l’état, avec ses amis de la FEDAP/BC ? Quelle est votre lecture ?
D’abord le CDP est libre de s’organiser comme il l’entend. Ce n’est pas notre affaire. Ensuite, l’UPC n’a pas de problème avec des individus. Nous sommes opposés à un système et à la politique que mène ce système. Nous militons pour le changement. A l’occasion de toutes les élections que prévoit notre système démocratique, nous seront opposés à ceux et à celles qui représentent ce système. Et les Burkinabè trancheront.
Que pensez- vous de l’affaire Bigot ?
Les propos de Monsieur Bigot sont trop sévères. Et il faut être naïf pour croire que ce qu’il a dit n’engage que lui. Les choses sont plus compliquées que ça. Il y a des choses que M. Bigot a dit qui ne sont pas nouvelles. C’est par exemple le cas de la corruption généralisée et de la confiscation de notre économie par le clan présidentiel. Dans ses propos il y a des choses plus inédites et plus graves comme les remarques faites sur notre armée et sur les supposés trafics dans la sous région impliquant l’entourage immédiat du chef de l’Etat. C’est une accusation très grave.
Vrai ou faux ? En tout cas, cela donne froid au dos et jette un sérieux discrédit sur notre pays. Ce qui pose tout de même problème. En définitive, ces propos sonnent comme un avertissement pour tous les Burkinabè et doivent inciter à une réflexion collective sur la situation et le devenir de notre pays.
Que faites vous maintenant que vous avez quitté Areva ?
Je suis consultant dans le domaine financier et minier.
Interview réalisée par Grégoire B. BAZIE
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 10 août 2012 à 01:18 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
voila un homme qui la tête sur les épaules.
une vraie tête celui là.
Le 10 août 2012 à 09:33 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Sieur zephirin était pendant plus de vingt ans un dinosaure du CDP maintenant qu’il à l’appel du pouvoir il nous dit qu’il à vue le saint esprit et qu’il à changer c’est quand il pilotait le PASS qu’il fallait qu’il pense aux burkinabè. Quand à avoir une tête bien faite je le lui concède Mais une tête bien faite pour être l’instrument de l’impérialisme Quand on a une éthique un idéale on ne le trahi pas. Expliquer moi comment un homme comme lui a pu travailler pour AREVA et de plus responsable AFRIQUE ET MOYEN ORIENT c’est pas de ce genre d’homme politique que nous avons besoin cela ne lui suffit pas d’avoir été l’instrument du colon pour piller nos matière première non il veut maintenant tromper le peuple soyons vigilant !!!!!!
Le 10 août 2012 à 13:10, par farafina En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
mon gars tu te trompes beaucoup . si vous portez a la tete du pays un personnage polique qui n’est pas connu a l’exterieur vous allez peiner plus que vous le faites aujourd’hui . ce monsieur est un vrai acteur de ce business que beaucoup ignorent . Ce messier connait assez beucoup de dirigeant et de futur dirrigeant , rappel toi qu’il a enseigné dans un célèbre université americain .en plus de ca c’est un vrai diplomate chevrone . les hommes capables , on le sait tous , pour ses connaissances des institunions internationales pour ces amitiés exterieurs , son rigueur ......
Le 10 août 2012 à 13:49 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
A Farafina, justement ce sont des hommes politiques comme cela dont on a plus besoin. Ils font plus l’affaire des occidentaux que de s’occuper des problèmes de leur population.
Zeph même sait que son parti n’est pas présent dans toutes les provinces. Evitez de le flatter.
Le 10 août 2012 à 13:51, par coulibaly bama En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Merci farafina vous faite étalage de votre asservissement parcequ’il à été dans une université americaine il est forcement meilleur que nos cher compatriote le néocolonialisme a de beau jour devant lui avec de tel arguments j’attendais de meilleurs arguments de votre part. Pour ce qui est de ces qualité de diplomate je suis d’ accord avec vous il est tres fort pour voler les peuples africain a travers des multinationale AREVA et autres il a été a la bonne école il seras soutenu pas ces dernière pour mieux nous exploité mais le peuple burkinabè seras vigilant
Le 10 août 2012 à 17:06 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
C bizarre que dans cette celebre universite americaine en question, personne ne le reconnaisse la ba. Ya que aux analphabete que lon puisse faire avaler nimporte quoi. Recevoir un diplome dune celebre universite et enseigner dans une celebre universite sont deux choses differentes
Le 10 août 2012 à 13:20, par Ben Baddis En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
N’oubliez surtout pas que Macky Sall a fait parti de l’equipe mascardiere Wade avant de le renverser par la voix des urnes. Il ne faut s’opposer aveuglement a quelqu’un mais il s’assurer que ses arrieres sont protegees et si cela passe par une collaboration temporaire avec lui, je crois que c’est necessaire de le faire.
Le 10 août 2012 à 13:55, par jeune de tanghin En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
C’est bien dit en somme pour le Sieur Zephirin la fin justifie les moyen aucune ethique aucune ligne directrice le pouvoir pour le pouvoir qui a avaler des couleuvre pactiser avec les diable comme voler uranium du niger tres bel perspective de gouvernance
Le 10 août 2012 à 14:12, par tritan condé En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Apres Hermann qui croyait au sopi on a zeph maintenant qui se croit etre le maky sall du Burkina lol il faut savoir que le senegal c’est pas le burkina et SVP arrêté de copier faite votre changement car en voulant transposé cout que cout on peut etre translaté loin du pouvoir
Le 10 août 2012 à 15:38, par Le Sage En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Arrêtez de dire qu’il était du CDP. Arrêtez de dire qu’il est représentant du colon français. Tout ceux-ci n’est pas sérieux. A un moment donné, l’intérêt supérieur de la nation doit l’emporter sur toute autre considération. Et Zéphirin est véritablement notre Macky SALL du Sénégal. Puisque aucun dissident du CDP ne peut ou ne veut faire dissidence, alors, il ne reste plus que Zéphirin et tous les partis d’opposition en ce compris certains partis de la majorité présidentielle actuelle doivent se coaliser pour 2015 afin que le système clanique et exclusif ainsi que la corruption cesse. et le dire est un acte citoyen.
Le 10 août 2012 à 16:18, par Tapsoba En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
"À vingt ans,néolibéraux ou soixante-huitards attardés,nous étions tous de jeunes cons.Aujourd hui ,nous ne sommes plus jeunes",disait Erard de la Reid.Ainsi pour dire que Zéphirin des années 90 n est plus le même qu aujourd hui.Détrompez-vous.
Le 10 août 2012 à 12:53, par mamadou etudiant En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
opposition pouquoi aller au congret du CDP opposition du ventre !!!
Le 10 août 2012 à 14:06, par etudiant a mit temps En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Pour avoir la tête sur les épaule il à la tete sur les épaule le costume bien ajusté on sent qu’il mage a sa fin nu été une photo on aurait cru a un dessin de JJ avec le bouton de la veste qui risque de sauter sous le poids d’une bédene en pleine croissance de quel Burkina il nous parle on voit que nous ne vivont pas les meme réalité
Le 10 août 2012 à 14:27, par militant du CDP noaga kiemtarboum En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Monsieur Zephirin fait par le CDP et Par le president maintenant l’ingrat se trouve une ames de sauveur peuple burkinabé préferer l’originale a la copie vive le CDP et grace au peuple burkinabé le CDP vaincra
Le 10 août 2012 à 15:11 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
detrompez vous mon cher ! Les interets etrangers voient tres loin et ils l’avaient deja preparé pour remplacer blaise et continuer leurs ineterets. Ne te laisse pas avoir. Il fait le gar bien aujourd’hui juste pour ses interets, pas pour le burkina ni les africains
SOME
2. Le 10 août 2012 à 04:02, par Au nom de la démocratie En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Bon courage au parti de l alternance qui continue de faire un travail remarquable sur le terrain. L unique parti à pouvoir se présenter dans toutes les provinces du Burkina et même à l étranger. Aidons le à opérer le changement
Le 10 août 2012 à 10:57, par réaliste En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
ZERO LEMOURDJI MON TYPE. LUI LA IL NE PEUT RIEN CONTRE LE CDP
Le 10 août 2012 à 15:26, par BPM En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Le parti du Lion va se tailler la part du Lion Sur l’arene
Politique Burkinabe.Wait and see
Le 10 août 2012 à 16:53 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Que de la figuration seulement, ben enfin quelqu’un pour remplacement le barbu chef de file de l’opposition. Pour le reste y’a rien en face CDP forever !!!!!
3. Le 10 août 2012 à 05:09 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Voilà au moins quelau´un qui ne reagi pas inpulsivement. Ce que le monsieur Bigot a dit n´es pas tout a fait faux. c´est vrai que ca fai mal en tant que birkinabe d´écouter celá mai il faudra en reflechir plutot que de réagir comme certain le font
Le 10 août 2012 à 10:52 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Celui qui t’avertit n’est pas forcement ton ennemi. C’est dommage que ce ne soit pas pris comme un avertissement. Que Dieu bénisse le Faso.
4. Le 10 août 2012 à 05:15, par Sidnabiiga En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Belle interview ! Objectif:alternance pour tous ! Il faut que tous les partis d’opposition se concertent au délà de la competition pour obtenir l’alternance en 2015 ! Et cela commence par un bon comportement aux élections couplées de 2012 ! C’est cela l’attente du peuple pour démentir Bigot ! Tenez compte que les jeunes que nous sommes n’ont connu que ce régime te on veut essayer autre chose !Dieu sauve le Burkina !
5. Le 10 août 2012 à 07:40 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
C’est un secrêt de polichinelle de dire que le Burkina est impliqué dans toute sorte de trafics et cela ne date pas d’aujourd’hui mais depuis le Libéria et la Sierra Léone. Et, Bigot a raison de dire que le Burkina est impliqué dans divers trafics avec des relations plus que troubles avec les gens du Nord Mali.
6. Le 10 août 2012 à 08:00, par Démocratie En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Bien dit, Mr Diabré. En tout cas on attend le 2 decembre avec beaucoup d’impatience. On va balancer l’Assemblée Nationale à l’Opposition pour équilibrer les pouvoirs au Faso. Le CDP ayant le pouvoir exécutitf, l’Opposition aura le pouvoir législatif. Là on verra si ces lois farfelues vont passer comme une lettre à la poste. En tout cas la vraie Opposition, soyez prête et bien organisée pour gérer ce pouvoir. Voici mon trio gagnant de l’Opposition : UPC - Le Faso Autrement - PAREN. Le changement tant attendu commence le 2 decembre 2012.
7. Le 10 août 2012 à 08:01, par job En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Très bel interview. Les réponses de l’interviewé sont claires et limpides. Cependant je demanderai à l’UPC d’être vraiment tranchant dans ses prises de positions sur la gestion calamiteuse et mafieuse du pays qui a pris en otage tout un peuple depuis bientôt 3 décennies. Monsieur BIGOT n’a fait que dire ce que nous tous nous savons : Quelle est cette armée qui térrorise, viole et vole son peuple ? c’est la nôtre. Je n’ai pas été une victime directe de leurs agissements mais je compatis à la souffrance de mes concitoyens victimes. Quand je vois un militaire, j’ai des nausées, ce qui n’avait pas été le cas avant cette mutinerie (surtout celle de Bobo), bien au contraire.
Pour la politique, les burkinabè sont dans leur majorité méfiants avec les politiciens surtout les faux opposants depuis la trahison du peuple par Me Herman YAMEOGO au début de la décennie 90.
Néanmoins, je souhaite un succès électoral éclatant à l’UPC et que l’alternance devienne une réalité au Faso quelque soit celui ou celle qui l’incarnera sauf le clan mafieux qui nous enfonce chaque jour dans les ténèbres. Que Dieu bénisse le Burkina comme il l’a fait pour le Sénégal récemment.
8. Le 10 août 2012 à 08:23, par Wendkouni En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Voila le futur président du Burkina Faso. Voilà le futur parti politique au pouvoir. Les Burkinabé sont en ordre de marche pour le changement. En 2015 tous ensemble nous sonneront la fin de la récréation pour débuter la recréation du pays.
"Notre parti n’est pas contre des individus, mais contre un système" voila qui est bien dit. C’est ça le vrai sens de l’opposition dans un pays.
Vive l’UPC, vive le Burkina nouveau, vive la démocratie...
Le 10 août 2012 à 12:06, par un médecin en privé En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
convainc dix personnes autour de toi et ton souhait ne sera pas vain
Le 10 août 2012 à 14:08, par Wendkouni En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
C’est déjà fait cher médecin en privé ! C’est juste le temps qui prend son temps pour que les choses soient belles à la note finale...
9. Le 10 août 2012 à 08:45 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Si Mr Diabré n’étais pas un boussanga je me serai inscrit à son parti !!! ce qui me gène chez ces messieurs apparament illumiés, c’est que quand ils arrivent à un poste important ils monopolisent les postes important pour les gens de leurs ethnie : voir ambassades, ministère de la santé dans un passé récent, CAMEG...... en italie il y a l’association des Burkinabè et l’association des bissa... de la folie pure
Le 10 août 2012 à 10:53, par Sanou Val En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Blaise a monopolisé le pays pour son clan non ? Va voir Zignaré. Aucune personne de l’opposition ne peut battre campagne labas ! Ils ont menacé des candidats dans ce village. Feu Lamizana ne s’est pas comporté comme ça quand il était président de ce pays.
Le 10 août 2012 à 15:14 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
merci mon frere
SOME
Le 10 août 2012 à 11:08, par SULTAN 1er En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
c’est regrettable de constater que dans mon cher burkina qu’il existe des ethnies predispoées à gouverner et d’autres non. sommes-ns réellement dans un Etat de droit ?
Le 10 août 2012 à 11:31, par cooll En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
mon frére l’UPC ne compte pas sur ta voix.fai gaffe les mossis vous allez amenez une guerre ethnique au FASO et vous serez etonnez de voir tout les autres se retournés contre vous.a voir vous pensez que seul les mossis ont droit au pouvoir ?n soit pa anlphabet jusqu a ce point ET que dirons les americains a propos d obama.rachiste tu veux tu n veux pa ooh bla
Le 10 août 2012 à 17:49 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Le forumiste n’a pourtant pas dit qu’il était mossi... Et s’il était d’une autre ethnie ? Dans le doute, il est peut-être mieux de ne pas stigmatiser une ethnie particulière, sinon on ne fait pas mieux que ce forumiste...
Le 10 août 2012 à 11:39, par SULTAN 1er En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Diabré est un fédérateur,il n’a pas bésoin des tribalistes dont la vision ne depasse pas le bout du nez.l’exemple de la cote d’ivoire et de la guinée doit donner à reflechir à ceux qui sont dotés d’une intelligence
Le 10 août 2012 à 11:43, par Yaro En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Patrimonisation du pouvoir au Faso, le sais-tu ?
Salif Diallo l’a dit et ça n’étonne personne. Nous le voyons au jour le jour. C’est comme si nous étions dans un royaume mossi.
Le 10 août 2012 à 14:33, par Le vigilent En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Mon frère, tes propos sont ethnicistes et ce sont des propos pareils qui enflammé la Côte d’Ivoire notre pays voisin et frère. Tu es libre d’adhérer au parti que tu veux mais en te basant sur des fondements ethniques pour faire ton choix, tu es déjà mal parti. Fair-play STP
Le 10 août 2012 à 16:06, par Le Sage En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Quelle bassesse d’analyse. Je ne savais pas qu’un burkinabè pouvait encore raisonner de cette manière en terme d’ethnies après ce qui s’est passé au Rwanda et récemment en République de Côte d’Ivoire. On se demande même si ce n’est pas les acteurs du maintien du "statu-quo ante" qui écrivent ces bêtises. Combien de "boussanga" sont actuellement dans le système actuel ? Nombreux, en commençant par Alain Yoda, Vincent Zakané, Ministre délégué à la coopération régionale.
Le 10 août 2012 à 16:26 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Bien dit mont frère. Il faut vivre avec ces gens pour comprendre.
Le 13 août 2012 à 09:43, par Le Patriote En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Celui qui parle d’ass. des burkinabè et d’ass. de bissa en Italie ne connait absolument rien du fonctionnement des ass. en Italie. Je reside en Italie et Président d’association. Je ne sais pas où tu es mais ce sont les esprits malsaints coe toi qui empoisonent et mettent en péril la cohésion au sein de notre communauté ici. De gràce n’inventons les situations. ça se voit que tu es un ethniciste affirmé, mais tiens toi bien ; les burkinabè ne sont plus au stade de tes raisonnement. JUGE L’HOMME PAR SES PROPOS, SES ACTES ET NON PAS PAR SES APPARTENANCES SOCIALES. Nous avons l’habitude, nous qui vivons ici en occident d’accuser les "blancs" de racistes. Que dire des gens comme toi ?
10. Le 10 août 2012 à 08:45, par KV78 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Décidement vous voulez tous la peau de M Bigot ?!!!En quoi ses propos sont-ils une accusation grave ? Heureusement que ce Monsieur Bigot, très intelligent a dit qu’il parlait à titre personnel, parce qu’il connait justement ceux qui serait prêt à en faire un scandale pour rien.
On les reconnait à leur agissement, ceux qui veulent amplifier les propos de Bigot pour en faire forcement un scandale afin qu’on l’enlève de son poste. Si c’était en Afrique ca serait certainement déjà fait.
Franchement je vous croyait au dessus de ces gens...
11. Le 10 août 2012 à 08:55, par BETA En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Ce que M Bigot a dit s’appelle " DIAGNOSTIC" et non " ACCUSATION" c’est dommage qu’un expert de votre rang en fasse la confusion...
12. Le 10 août 2012 à 10:05, par Benson En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Louange à vous Msr DIABRE, belle interview l’assemblée sera balancée du coté de la vraie opposition. Voici un Msr sur qui nous pouvons compté pour le changement.
Que benisse le Faso
Le 10 août 2012 à 13:02, par mamadou etudiant En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Arrêter la mascarade Zéphirin n’est pas vierge il a participé au chaos qu’il décrit depuis plus de 20 ans
13. Le 10 août 2012 à 10:17 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Il incarne l’alternance. Prenons tous conscience pour un changement. 30 ans de pouvoir du CDP, c’est trop.
Le 10 août 2012 à 12:11, par un médecin en privé En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
convainc dix personnes autour de toi et ton souhait ne sera pas vain
Le 10 août 2012 à 14:16, par A boto En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Notre ami médecin en privé est en embuscade. Mail il faut reconnaitre qu’il y a plus de 10 personnes convaincu sur présidence du Zeph dans notre Faso. Seul les néo politiciens à la vision opaque n’ose pas se projeter, n’osent pas revendiquer, n’osent pas se battre : ils ont choisit le chemin de la facilité : celui des lèche-cul.
Nous somme plus de 10 convaincus mon ami
Le 10 août 2012 à 12:28 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
alternance avec un ancien baron du CDP qui a profiter au max du systeme
Le 10 août 2012 à 14:17, par lol En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Va voir au Sénégal : seul les imbéciles ne changent pas.
14. Le 10 août 2012 à 10:36, par DJELIBA En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
C’est bien dit.Le chantre de l’alternance a du mordant et de la suite dans les idées. Ce qui laisse penser que le BURKINA a de la ressource humaine pour diriger le pays sans être affidée au méga parti ou à la "famille".VIVE L’alternance ;c’est possible mais il faut s’enrôler et faire enrôler tout le monde. Sur ce plan, les partis d’opposition sont invisibles sur le terrain.Il faut pousser, pousser,convaincre les villageois, paysans, ouvriers, petits commerçants... à s’inscrire sur les listes électorales. Ensuite,CONTINUER LE TRAVAIL de proximité car ceux d’en face ne dorment pas.Ils sont déjà sur les routes avec les moyens de l’ETAT en direction de leurs patelins respectifs.NI EN LAARA AN SARA...
Le 10 août 2012 à 12:14, par un médecin en privé En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
merci camarade ; tu as tout dit !
15. Le 10 août 2012 à 10:47, par le riche En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Que du vent. Il n’y a rien en face sauf du maïs. En décembre notre parti le CDP va encore démontrer sa capacité à mobiliser, à rassembler, à convaincre et à remporter des élections. La majorité du peuple burkinabè a confiance en nous et c’est en cela qu’après décembre nous allons immédiatement nous atteler à consulter ce peuple pour la suite à donner à l’article 37. Blaise est dans une dynamique de construction du développement et de la paix depuis 1987 et ça serait dommage qu’on mette fin artificiellement à une telle lancée au nom d’un article de notre constitution qu’on peut en réalité réviser.
Le 10 août 2012 à 12:13, par Wendé En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
C’est le même mais d’en face qui va te constiper au moment venu...
Le 10 août 2012 à 12:17, par un médecin en privé En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
ceux ki ont dit ta deuxième phrase sont maintenant a la haye ! à méditer !!
Le 10 août 2012 à 12:21, par autre-façon-de-voir En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Tellement triste. No comment !
Le 10 août 2012 à 16:09, par Le Sage En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Tu seras surpris, Monsieur le Riche. C’est cette arrogance qui est inacceptable et voyez-vous, des gens comme moi qui apprécie personnellement le Président Blaise COMPAORE souhaite quand même le changement car ce n’est pas une question de personne, mais une question de renforcement des institutions.
16. Le 10 août 2012 à 11:04, par Buud yam En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Médecin après la mort
Le 10 août 2012 à 12:02 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Bon vent UPC. Vivement l’alternance dès Décembre 2012 avec Diabré comme premier ministre.
Le 10 août 2012 à 12:18, par Le pacifiste En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
L’anonyme ethnophobe, tu es fais pitié. pense un jour aux pays en conflit et à l’opposé de ces pays, les pays exemplaires et multi-ethnique comme le Ghana et multi-racial comme les US. Arrête ça tu y gagneras.
17. Le 10 août 2012 à 11:31, par SDO En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Belle interview, agréable à lire, dense, mésurée et assez objective.
ça change de nos politicien de la petite semaine et leurs hors sujets et contorsions de plusieurs pages creuses !
Voici l’homme : le futur Président du Faso !
18. Le 10 août 2012 à 11:42, par DUOLO En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Le problème de ce Mr DIABRE c’est qu’il a été l’élève de Blaise Compaoré et aujourd’hui il crie au scandale socio économique et politique du Burkina. A qui la faute ? Personnellement, j’ai des problèmes pour faire confiance à ce type que j’ai connu en moto PUCH OMA sur le campus de Zogona dans les années 87. Tous ceux qui ont collaboré avec ce régime (Gilbert Ouédraogo, Herman Yaméogo, Diabré Zéphirin, Alain Nidawa Sawadogo, etc ;) ne m’inspirent aucunement confiance ni aujourd’hui ni demain.
Le 10 août 2012 à 15:54, par Le Sage En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
M. DUOLO, à l’université toi tu avais quelle marque de mobylette ?
Moi j’avais une Honda dame de couleur verte. De la Puchoma à Areva, c’est plutôt un parcours exemplaire. Au lieu d’admirer un tel parcours, vous préférez tenter un dénigrement. Ce qui prouve qe vous n’avez aucune qualité humaine pour juger cet homme. Zéphirin est un candidt sérieux pour l’alternance au Burkina Faso puisque les autorités actuelles refusent toute ouverture politique dans ce pays.
19. Le 10 août 2012 à 11:57 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Je tire mon chapeau à son excellence M DIABRE. Dites moi où se trouve le siège à Bobo. Merci
20. Le 10 août 2012 à 12:08 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Ne soyez pas dupes ; Le Monsieur Zéphirin est un gestionnaire ultra libéral. Ce type de gestion ne convient pas au BF. Lultraliberalisme exigé par le trésor public américain, le FMI, et la banque dans les 90 a été mis en place et exécuté par les Mr Zéphirin & Co. Ces intellectuels des font parti des lieutenants et fervent défenseur de l’impérialisme de nos jours.
Les Vampires de l’Afrique avancent masqué. Faites gaffes à ceux qui au nom du peuple et pour le peuple veulent le pouvoir.
Le 10 août 2012 à 13:46, par SULTAN 1er En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
mon frère, tout ce que tu avance n’est qu’abstraction vide.il faudra juger mr Diabré à son bilan.lui au moins a osé defier son maitre, qui d’autre sans qu’on ne ressorte les dossiers de ta mauvaise gestion. demande à certains ex-dirigeants ou peuvent-ils aller meme dans leurs profonds reves.n’gaou
Le 10 août 2012 à 16:03, par Le Sage En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Depuis la création des idéologies politiques, on n’a jamais vu des sovkhozes et des kolkhozes développer un pays. Tu rêves mais le libéralisme keynésien est aujourd’hui la seule alternative et applicable au Burkina. l’ultra-gauchisme n’est pas la solution...
21. Le 10 août 2012 à 12:31, par mimi a new york En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
moi je suis derriere ce messieur car iln a une bonne vision des chpses. ens votons le car le pouvoir fai la force
Le 10 août 2012 à 15:20 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
mon pauvre tu vas le regretter ! Malheureusement ! un jour tu te rappelleras ca
SOME
22. Le 10 août 2012 à 12:55, par Bougli En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Je l’ai déjà dit : Seuls les apatrides peuvent parler mal du Burkina, et prédire tout le mal qu’ils souhaitent, en gueulant. Nous sommes sur leur route, et ils ne passeront pas.M Bigot est un ennemi du Faso, et nous le combattons.
Bougli
23. Le 10 août 2012 à 13:03, par abc En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Y’a t’il un système plus nuisible que celui du clientélisme , du népotisme et de la gabégie ?
L’ultra libéralisme a au moins l’avantage de récompenser les plus méritants et de contribuer à une compétition seine.
24. Le 10 août 2012 à 13:05, par fred En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Je suis convaincu que Zeph peut conduire notre cher pays à l’émergence. ceux pour qui le système actuel arrangent vont certainement dire des méchancetés sur lui et lui mettre des bâtons dans les roues mais tôt ou tard ce monsieur sera président du Faso c’est clair il a tout pour (le charisme,l’intelligence, une carrière professionnelle a l’internationale de rêve, le relationnel, l’argent...). VIVE L’ALTERNANCE
25. Le 10 août 2012 à 13:17, par BABEC En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Très belle interview de Mr Diabré que je respecte pour la hauteur de vu et le contenu assez pertinent de son message. Vivement que nos hommes politiques nous amènent sur le terrain du débat à travers leurs programmes et non nous invités à suivre des individus. Le Burkina a besoin de fils de la trempe de Diabré qui a un carnet d’adresse et qui peut concevoir un programme de développement cohérent pour tout le pays et non pour une zone donnée. La question de la planification des investissements au Burkina semble réponde a une logique autre que la planification stratégique basée sur une combinaison de plusieurs variables dont les avantages comparatifs révélés. Bonne chance Mr Diabré car en dépit de ce que certains pensent de vous, le Burkina a besoin de votre intelligence pour sa construction et son développement. Ne vous décourager surtout pas car, l’ALTERNANCE n’est pas un vain MOT mais sera une réalité au Burkina, Tôt ou tard. Mes respects !!
26. Le 10 août 2012 à 13:22, par WAMDE En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Hee mr Zephirin très mal placé pour ces critiques car vous étiez un acteur pour l’encrage de ce système que vous combattez aujourd’hui.
27. Le 10 août 2012 à 13:29, par Lantiga En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Très belle interview voici le futur PF qui émergera le Burkina Nous te soutiendrons et on mettra fin à ce règne chaotique du clan Compaoré
28. Le 10 août 2012 à 13:43, par lafi En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
KORO ZEPH notre ADO. Dieu MERCI
Le 10 août 2012 à 14:50, par Ouvrelesyeux En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Justement , Lafi, régarde ce qu’il y’a en C .Ivoire.
Quand est ce que les burkinabé comprendront que des pantins et des fieuils aux mains de l’impérialisme, qu’ils soient du pouvoir ou de l’opposition ne peuvent jamais faire l’affaire du Burkina. Il faut être d’une naïveté déconcertante pour croire qu’être un bon dirigeant, c’est avoir un carnet d’adresse bien fourni, avoir occupé de grands postes internationaux ou je ne sais encore quel poste au profit de ceux qui boivent le sang des africains depuis des siècles. Quand même, comment peut on être naïf jusqu’à ce point !!!
29. Le 10 août 2012 à 14:46, par job En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Dis-moi quel dirigeant n’est pas ultralibéral ? Blaise est le plus grand ultralibéral avec une économie du pays en coupe réglée comme disait BIGOT (la référence actuellement en matière d’analyse de la situation socio économique du BF, n’en déplaise à ceux d’en face qui veulent nous faire prendre des vessies pour des lanternes). Qui n’a pas flirter avec le régime actuel ? Je ne défend pas ZEPHERIN mais je suis prêt à voter celui qui ose s’affronter au CDP. Je suis même prêt à me battre pour les ROC, SALIF Diallo, pour peu qu’ils aient le courage de s’afficher clairement pour une alternance. Pour l’alternance je me fixerai un objectif de 1000 électeurs potentiel à convaincre sans contrepartie. je ne suis pas politicien mais dans la vie d’un homme il faut savoir donner du sens à celle-ci.
J’ai 43 ans et j’ai combattu le PAS piloté par ZEPHERIN en 90 mais chaque chose a son temps. je précise que je ne suis pas de l’UPC ni d’aucun parti mais je voterai quelqu’un qui incarnera le vrai changement. Ils ne sont pas nombreux (voir inexistant) ceux qui n’ont pas flirté avec le Front Populaire devenu ODPMT, ensuite CDP aujourd’hui FDEABC. Idrissa SECK est un enfant politique de WADE. Il faut féliciter WADE pour avoir forgé une personne (dans la contradiction) qui a le destin du SENEGAL en main aujourd’hui, et C’EST CE QUE NOUS VOULONS QUE BLAISE LE FASSE POUR NOUS AUJOURDHUI. 27 ans de pouvoir en 2015 c’est suffisant. Y’EN A MARRE !!!!
30. Le 10 août 2012 à 15:25, par Tanga En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Je regrette mais il est difficile de faire confiance à tout ceux qui ont participé d’une manière ou d’une autre à l’installation du sytème dont il critique à corps et à cri aujourdhui. Il y aurait fallut le faire bien avant ou au moins tout juste après. Mais après avoir participer activement à la mise en place du Pass qui s’est avéré un fiasco, on s’éclypse on se fait du fric et on vient crier au sauveur, moi je me méfier de tels sauveur. Si le peuple n’avait pas tenu il aurait du disparaître avant votre retour. En tout cas pour convaincre les éclairés il faut un méaculpa sincère et public. Je ne serai même pas étonné que des adversaires commence à balancer d’ici là des dossiers sales pour quelqu’un qui a déjà joué un rôle essentiel dans le système
Le 10 août 2012 à 15:56, par Le Sage En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Savez-vous comment les modalités du PASS ont été mises en oeuvre ? De la seule réponse à cette question que vous ignorez visiblement dépendra de votre capacité à juger du caractère sérieux de la candidature de Zeph et de lui accorder discrètement ton suffrage dans le secret de l’urne.
31. Le 10 août 2012 à 15:30, par Jérôme En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Son Excellence Mr DIABRE a le profil de l’emploi au poste de Président du Faso. Je vote UPC. J’invite tous les Burkinabè opposés au système actuel à s’inscrire massivement sur les listes électorales afin de voter UPC le 02 décembre 2012. L’alternance sera une réalité avec l’UPC. Zeph, je te respecte pour tes compétences. Zeph au pouvoir !!!
32. Le 10 août 2012 à 15:49, par ditout En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Merci Blaise d’avoir réussit à te faire remplacer pour pouvoir te couvrir.le burkinabé ne réfléchit pas trop ce type ne pourra lever le visage face à Blaise.
33. Le 10 août 2012 à 16:11, par SDF En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Zeph le peuple est avec toi, meme si les gens a cause de leur tube digestif ont peur de quitter le CDP(devenu FEDABC). Continu ton travail, seul toi peux libérer le peuple Burkinabé.
34. Le 10 août 2012 à 16:34 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
En avant et tous pour l’UPC. Moi je n’ai jamais voté mais cette fois c’est claire je le ferai avec grand plaisir . Je me suis d’ailleurs déjà fait enrôlé et vous ?
35. Le 10 août 2012 à 17:44, par LeKpètou En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
Je connais même pas où se trouve le siège de l’UPC mais je vote pour lui jusqu’en 2015 pour qu’il y ait l’alternance. Il est mieux que l’opposition historiq que nous connaissons et qui joue la politique de la souris. En plus c’est qu’il a travaillé entre temps avec ce système et qu’il l’a quitter libre de tout engagemment que je vais le voter. enfin c’est parceque le système n’a rien à lui reprocher qu’il a pu organiser pour la 1ere fois au faso un forum sur l’alternance. sinon pourquoi les gens comme Rock, Salif et consort n’osent pas quitter le navire ? n’gaw. je vote pour lui parcequ’il est propre malgré qu’il a cohabité à un moment donné avec ce foutu régime. je pense que c’était juste dans le soucis de servir son pays. je le vote même s’il est boussanga ou viètenamien, pourvu qu’il puisse bien gérer mon pays. vive l’alternance.
36. Le 10 août 2012 à 17:47 En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
"Consultant dans le domaine financier et minier", c tellement vague et variable en terme de revenue. Je pense que la quand mem il s’est trahit. Il sagirait plus de fond provenant de pays exterieur afin dassoir un autre pion sur le trone africain
37. Le 14 août 2012 à 14:39, par l’union fait la force En réponse à : Zéphirin Diabré, président de l’UPC : « Les propos de Bigot sonnent comme un avertissement et doivent inciter à une réflexion collective sur le devenir de notre pays »
je pense que tu est clairvoyant, lucide, anticipatif etc. dans l’opposition j’iamgine que tu aura la clairvoyance necessaire pour faire des alliances stratégique. le faso autrement,PAREN , fasometba etc. en tout cas l’union fait la force