Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
- Salif KABORE
L’homme est connu dans le milieu de la jeunesse pour avoir en 2005 mobilisé et harangué les foules en faveur de la candidature de Blaise COMPAORE à la présidentielle dont il est un inconditionnel. En effet, c’est d’abord à travers l’Association des jeunes pour la candidature de Blaise COMPAORE en 2005 que l’homme se révèlera au grand public. L’élection présidentielle passée et son candidat déclaré vainqueur, Salif KABORE qui est journaliste de profession transformera son association en l’Action des jeunes pour la construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) pour dit-il accompagner son candidat vainqueur dans la réalisation de son programme politique. Nous l’avons rencontré. Il s’est exprimé sur le programme quinquennal du chef de l’Etat, la pétition, la révision de l’article 37 de notre constitution, son engagement aux côtés du chef de l’Etat, ses regrets, etc. c’est dans un langage de vérité que le président de l’AJCBC, Salif KABORE a répondu à nos questions.
Salif KABORE, journaliste, président de l’aPouvez-vous d’abord nous dire le pourquoi du changement de la dénomination de votre association ?
Salif KABORE (S.K) : Chaque chose a son temps. En 2005 vous n’êtes pas sans savoir que l’actualité politique à l’époque était fortement dominée par la possibilité du président du Faso de se présenter à l’élection de 2005. C’est ainsi que nous avons pensé moi en tête avec un groupe de camarades qu’il fallait créer l’Action des jeunes pour la candidature de Blaise COMPAORE et vous avez un peu vu ce que nous avons fait sur le terrain non seulement pour susciter la candidature du président mais aussi par rapport à sa réélection.
Alors l’Action des jeunes pour la candidature de Blaise en 2005 a atteint ses objectifs dans la mesure où le président du Faso solennellement a déclaré à Ziniaré à quelques semaines du lancement de la campagne qu’il était candidat. Nous avons été très satisfait à ce niveau et nous avons estimé étant entendu que le chef de l’Etat burkinabè a répondu à notre appel qu’il était très important que nous puissions évoluer avec lui dans le cadre des réalisations des objectifs. C’est ainsi que de l’Action des jeunes pour la candidature de Blaise COMPAORE en 2005 nous sommes passés à la construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC). Vous savez bien qu’une chose est de soutenir quelqu’un, de lui demander d’être à la disposition du peuple mais une chose aussi est de l’accompagner dans l’accomplissement de ses missions d’où notre reconversion en AJCBC.
Pourquoi n’avez-vous pas intégré, par exemple, la FEDAP-BC dans le cadre de votre soutien au chef de l’Etat ?
S.K : Ah non, ce serait une erreur. Je m’en vais vous dire que même si au niveau de l’AJCBC, je ne suis pas personnellement membre actif du bureau de la FEDAP-BC ce n’est pas pour dire que nous n’apportons pas notre contribution dans le cadre du rayonnement et de l’atteinte des objectifs de la FEDAP-BC. D’ailleurs j’ai un des membres de l’AJCBC qui fait partie du bureau de la FEDAP-BC. Mais je puis vous dire aussi qu’on aurait souhaité que les choses aillent peut-être mieux plus que ça, je crois que c’est une structure qui est là qui a ses objectifs. L’AJCBC est une structure qui a ses objectifs et qui a aussi fait ses preuves sur le terrain et nous pensons que dans ce cadre-là il n’y a pas de confusion possible à faire dans la mesure ou moi-même au sein de la FEDAP-BC, je suis président d’honneur associé. Je ne peux donc pas me dissocier totalement de cette structure qu’est la FEDAP-BC.
Nous sommes à quelques mois de la fin du 1er quinquennat de Blaise COMPAORE qui était axé sur "Le progrès continu pour une société d’espérance" ; que pensez-vous de la mise en œuvre de ce programme politique ?
S.K : Vous l’avez dit nous sommes toujours dans la poursuite des réalisations des chantiers que le président du Faso a promis à l’ensemble des Burkinabè lors de sa campagne présidentielle. Nous sommes à quelques mois de la fin de ce mandat présidentiel et de mon point de vue depuis 2005, même si au jour d’aujourd’hui nous ne sommes pas à mesure de faire un bilan exhaustif des actions que le président du Faso a menées tout au long de son mandat, il reste tout de même que nous constatons que des réalisations ont été faites. Ces réalisations ne se sont pas faites en dehors du programme quinquennal du chef de l’Etat. Au jour d’aujourd’hui, c’est vrai qu’il y a un problème crucial qui n’est pas forcément propre au Burkina Faso. Nous, nous sommes des jeunes et nous avons mis en place une structure de jeunesse, nous mobilisons des jeunes même si à l’intérieur des hommes et des femmes nous accompagnent, sont restés fidèles à nous.
Le problème de l’emploi au Burkina Faso, par exemple, est criant et je crois que dans le cadre du programme quinquennal du président du Faso des efforts ont été faits dans ce domaine. On a vu des actions qui ont été posées même si il reste entendu qu’on doit redoubler d’efforts à ce niveau. Le président du Faso l’a dit "la jeunesse est le moteur du développement de ce pays". Quand il dit ça cela veut dire que notre pays ne peut pas se construire sans l’apport de sa jeunesse parce que c’est le levier et l’avenir du Burkina Faso. Donc dans ce cadre-là nous devons redoubler d’efforts, être à l’écoute de la jeunesse et accepter que les jeunes fassent des propositions concrètes par rapport à leur propre devenir et c’est en cela que cette jeunesse se sentirait effectivement concernée par l’action du président qui vous savez va dans le sens du développement de notre pays cher à tous.
Vous avez en 2005, à la veille de la présidentielle tenu une phrase devenue célèbre selon laquelle "Le Burkina n’a pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE". Cinq ans après, pensez-vous avoir eu raison ?
S.K : Je pense que sur le plan du fondement même de ce slogan, nous n’avons pas tiré à côté. Nous avons expliqué à l’époque que ce slogan traduit effectivement la valeur intrinsèque de l’homme qu’est Blaise COMPAORE.
Nous avons pris des exemples concrets en disant qu’en Afrique il y a des pays qui sont très riches au niveau du sous-sol, etc. Prenant appui sur ces exemples comparés au Burkina, nous avons estimé que le Burkinabè est travailleur malgré ses maigres richesses. Nous arrivons à sortir la tête de l’eau et pour sortir la tête de l’eau dans cette calamité naturelle qui est la nôtre, il faut effectivement qu’il y ait un homme qui puissent donner des orientations conformes aux réalités des Burkinabè pour qu’ensemble nous réalisons les grands défis. Je crois que c’est dans ce sens que nous avons lancé le slogan.
Et pour ajouter, nous avons dit qu’il y a un pays où il y a beaucoup d’eau. Nous avons également dit qu’il y a un pays en Afrique dont le sous-sol est très riche mais dont il y a plus de 10 ans 15 ans on arrive pas à payer les salaires des fonctionnaires. Ce sont des situations que le Burkina Faso n’a jamais vécues malgré sa situation que nous connaissons tous. Ce sont des faits qui sont là et qui nous confortent dans notre position que notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE.
La prochaine présidentielle c’est pour le 21 novembre 2010, quelle sera la contribution de l’AJCBC ?
S.K : L’AJCBC, est une structure implantée à travers toutes les régions du Burkina dans les provinces, les départements et les villages. Quand nous avons lancé l’AJCBC le 17 avril 2004 à la maison des Jeunes et de la culture de Ouagadougou, beaucoup de personnes pensaient que l’idée que nous avons voulu mettre en place allait aboutir. Nous avons crû en nous mêmes, à ces vaillants travailleurs qui sont au front pour le développement de ce pays. Nous avons crû à la capacité de l’ensemble des Burkinabè, jeunes, hommes ou femmes. Nous avons été accompagné dans le cadre de la réalisation de nos objectifs par toutes ces personnes de bonnes volonté à travers des prieurs, des encouragements et des félicitations pour arriver là où nous sommes.
Par rapport à l’élection présidentielle de 2010, l’actualité politique du moment est dominée par la possible révision de l’article 37 de notre constitution. Aujourd’hui moi je dis haut et fort que ce débat pour l’instant n’intéresse pas l’AJCBC parce qu’il y a un préalable. On dit souvent que tous les chemins mènent à Rome mais pour 2010 force est de reconnaître qu’il n’y a qu’une seule voie qui peut nous amener à Rome et je pense en toute honnêteté que si nous ratons le virage, que si nous-nous trompons de route ce n’est pas évident. Mais il y a un préalable qui est là, qui est très clair et que nous devons tous accepter si nous voulons arriver à bon port. Ce sont des choses sur lesquelles on ne se pose pas aujourd’hui beaucoup de questions.
De mon point de vue la seule solution pour l’ensemble des Burkinabè d’espérer poursuivre l’œuvre de construction entamée demeure Blaise COMPAORE.
Pouvez-vous nous éclairer davantage sur le préalable dont vous avez fait cas ?
S.K : Vous savez l’AJCBC a connu une traversée du désert alors que le président du Faso lors de son investiture le 20 décembre 2005 à Ouaga 2000 avait dit que tous ceux qui ont suscité sa candidature et qui ont permis sa réélection ne seront pas laissés sur le bord de la route.
Mais nous pensons aussi que le Burkina va se construire avec l’apport de tous les acteurs qui oeuvrent inlassablement pour l’atteinte des objectifs pour la réalisation des grands chantiers. Je vous disais un peu plus haut que chaque Burkinabè quel que soit son statut, son niveau à une idée qui peut servir de support pour faire avancer ce pays. Cela est très important. Donc la contribution de l’AJCBC certainement reste et restera aux côtés du président du Faso. Mais il faut aussi que l’ensemble des acteurs conjuguent le même verbe afin que nous puissions mener le bateau à bon port. Cela doit se faire ensemble parce que s’il y a un capitaine il faudrait effectivement qu’il y ait des mécaniciens tout l’équipement nécessaire pour permettre au capitaine de conduire le bateau à bon port.
En tant que structure de jeunesse que pensez-vous de la pétition initiée pour mettre l’article 37 parmi les lois non-révisables ?
S.K : Pour la pétition autour de l’article 37, je vous renvoie en 2005 où un chef de parti politique pour protester contre la candidature du président avait lancé un mouvement qui avait pour credo la désobéissance civile. Personnellement, j’ai désamorcé ce mouvement. Nous avons estimé à l’époque qu’il était malveillant que des Burkinabè lance un tel mouvement. Je crois que le choix du chef de l’Etat n’est pas dicté.
Les Burkinabè sont libres de choisir qui ils veulent. Par rapport à la pétition c’est un droit pour ces gens d’initier cette pétition. Mais il faut aussi dire qu’il y a des hommes et des femmes qui ne partagent certainement pas ce point de vue. Dans ce cas-là, je dirais que c’est sur le terrain qu’on pourra mesurer les actions de tout un chacun. J’ai entendu dire quelque part qu’on ne pourra rien contre la pétition ce qui m’a amené à me poser des questions. Qu’est-ce qu’on fait alors ? Si on ne doit rien faire pour bloquer la pétition, j’allais dire qu’on donne raison à ceux qui sont pour la pétition. Non je crois qu’il faut sortir de là et développer des arguments solides pour un combat intellectuel et d’idées.
On parle de réformes pour renforcer la démocratie que doit-on changer selon vous ?
S. K : La question de réformes est un processus normal dans le milieu politique. Le président du Faso lui-même l’a dit et demande à ce qu’il y ait des réformes. Ces réformes sous-entendent des propositions faites par des structures crédibles qui sont en contact avec la base. Chaque structure à son niveau peut réfléchir avec sa base et conformément aux propositions présidentielles on sort un canevas qu’on soumet au chef de l’Etat qui analyse, trouve le juste milieu et prend en compte les propositions tangibles si elles existent.
Autrement dit, je crois que nous sommes sur un chemin où il y a beaucoup de choses à faire certes, mais reconnaissons qu’on avance même si c’est à petits pas. Cela est très important. Moi je préfère avancer à petits pas que de stagner. Vous savez les gens ont souvent des réflexions assez aiguës. Quand on parle de réformes politiques, de réfondation, ça a commencé depuis quand ? Ceux-là qui parlent beaucoup de cela aujourd’hui on peut se demander où ils étaient quand ces textes sortaient. Ce sont les mêmes personnes qui ont contribué à l’élaboration de ces textes. Pourquoi crient-elles aujourd’hui qu’il faut reformer ? Parce que ça ne les arrange plus.
Oui mais selon vous qu’est-ce qu’on peut changer, qu’est-ce qu’on peut amener comme amélioration à l’étape actuelle de notre démocratie ?
S.K : Je crois qu’au jour d’aujourd’hui dans le cadre du renforcement de notre processus démocratique il faudrait que chaque Burkinabè puisse à son niveau disposer de facilités de la part de l’Etat dans le cadre de la réalisation de ses ambitions. Quand on a une ambition qui se trouve bloquée quelque part par jalousie, méchanceté, etc. tout cela entrave notre démocratie et c’est malheureusement ça qui domine notre pays actuellement et des politiciens profitent de ça pour faire et dire autre chose. Vous voyez s’il y a davantage d’ouverture et de collaboration, plus les Burkinabè auront accès à un certain nombre de service, c’est l’essentiel. Mais vous savez que quand le Burkinabè se lève le matin et il est habité par le désespoir, mentalement traumatisé, etc. on dit ça ne va pas et on met cela sur le compte de la gestion du président du Faso.
A vous entendre vous êtes pour la fin de la limitation des mandats présidentiels consécutifs ; n’avez-vous pas peur que cela n’entraîne des conséquences malheureuses comme ailleurs ?
S.k : Chaque pays à ses réalités. Dans tous les cas il est sûr et certain que nous avons aujourd’hui en Afrique des problèmes à ce niveau-là. Mais là où vous constater ce genre de dérive est-ce que ces pays étaient stables il y a 10 ou 30 ans ? Que représentent ces pays sur le plan du développement ? il faut partir sur la base selon laquelle le développement d’un pays se construit dans la durée. Encore faut-il avoir des hommes capables de prendre la relève. Je ne dis pas qu’il n’y a pas d’hommes compétents dans notre pays, mais soyons sérieux est-ce qu’aujourd’hui quelqu’un d’autre que Blaise COMPAORE peut gérer ce pays comme il le fait. Demandez aux gens dans la rue et ils vous diront qu’ils ne voient que Blaise COMPAORE.
Donc je crois que ce sont des choses qui se préparent et il faut donner le temps maximum à la personne de préparer la relève. Le Burkina Faso a fonctionné plusieurs années sans constitution véritable. Il a fallu qu’en 1991 que Balise COMPAORE instaure la démocratie mettant ainsi fin aux périodes d’exceptions qu’a connues notre pays. Aujourd’hui tout le monde se plait dedans. J’ai foi en Blaise COMPAORE qui au regard des chantiers mis en œuvre, du développement qu’il a apporté au pays saura le moment venu passer une transition en toute tranquillité et dans la paix. Et comme on le dit, je préfère vivre dans une démocratie où il y a la paix que de vivre des situations que certains pays connaissent du fait d’une mauvaise transition au sommet de l’Etat. Je crois que rien ne sert de courir il faut partir à point.
Pensez-vous pouvoir assurer à votre candidat en 2010 la même victoire éclatante qu’en 2005 ?
S.K : L’AJCBC pense qu’on peut le faire. Nous sommes présent dans toutes les régions, les provinces avec nos idées même si on n’a pas tous les moyens nécessaires à leur mise en œuvre. Il faut donner au président du Faso une victoire encore plus éclatante. Vous voyez, la révision des listes électorales les inscriptions. Le résultat est largement en deçà des attentes comparativement à 2005 où nous étions la première association à inviter les gens à aller s’inscrire sur la liste électorale. Nous avons en son temps mobilisé et battu campagne partout au Burkina et le travail a été très difficile. Mais vous connaissez le résultat. C’était la première fois que notre pays connaissait un tel engouement pour une élection. Personnellement, je fais parti de ceux qui ont contribué à donner une victoire éclatante au président. Reconnaissons aujourd’hui que l’AJCBC a fait un travail extraordinaire et exceptionnel jamais vu au Burkina en matière d’élection. Personne ne peut le nier.
Quelles sont les priorités de votre association ?
S.K : Les priorités de notre association est de donner à ce peuple notamment à sa couche jeune les informations, la sensibilisation sur ce que le Burkina Faso doit devenir avec le président du Faso. Il s’agit aussi de montrer au peuple les réalisations faites par le chef de l’Etat. Il faut montrer que le président du Faso a toujours ses capacités à conduire à bon port le navire.
Beaucoup d’associations ont soutenu mais sont absentes à la mise en œuvre et au contrôle. Comment allez-vous y prendre pour faire autrement ?
S. K : C’est la situation que nous avons vécue en 2005 après l’élection présidentielle. Nous avons fait un travail sur le terrain et quand la mayonnaise, la marmite était au feu en train de bouillir ; au moment de partager le repas on nous a écarté. Je crois que cela n’est pas du tout intéressant parce que en tant que Burkinabè nous nous devons de conjuguer ensemble le même verbe.
Que si chacun de nous apporte sa contribution que ses mérites soient reconnus. Cela est très important. Si on continue dans ce sens à un moment donné, ça va être difficile. Il faut travailler à redonner confiance aux gens. Lorsque vous accompagner quelqu’un à une élection présidentielle qui est élu il faut effectivement suivre parce que vous avez un devoir de compte rendu auprès de l’électorat. Il est donc primordial d’être aux aguets de ce qui est fait comme réalisations pour informer les uns et les autres.
Mais encore faut-il que ces associations qui soutiennent le chef de l’Etat ne soient pas écartées ou oubliées à un certain moment.
Pour revenir sur votre soutien à Blaise COMPAORE, vous aviez une place de choix dans son équipe en 2005, peut-on dire aujourd’hui que vous avez bénéficié des retombées de votre engagement ?
S.K : Nous, on a même pas vu le train passer n’en parlons même pas de l’emprunter. C’est ça le problème. Je voudrais donc profiter de votre micro pour dire un grand merci à toute cette jeunesse qui a crû à l’AJCBC et qui continue à croire à l’AJCBC. Personnellement, je reçois jusqu’à présent des coups de fil des différentes provinces du Burkina. Que ce soit les responsables locaux qui ont œuvré au niveau local à la tête des jeunes pour susciter la candidature du chef de l’Etat ou d’autres, je reçois toujours des coups de fil de tout ce beau monde-là. Malgré tout ce qui s’est passé, ils sont restés stoïques et n’ont pas cédé au découragement et ça c’est très important. Pour tout vous dire, l’AJCBC n’a absolument bénéficiér de rien. Ça a été plutôt une traversée du désert que je continue personnellement de vivre. Mais c’est avant tout un engagement que j’assume entièrement. Cela se verra aussi en cette année 2010. Nous serons sur le terrain pour mouiller le maillot.o.
Drissa TRAORE et Angelin DABIRE
L’Opinion
Vos commentaires
1. Le 25 mai 2010 à 02:53, par DAKSOUM LE STATOIS BURKINABE A LOS ANGELES En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
avoir a manger comme un gourma,d otre se ridiculise.
2. Le 25 mai 2010 à 05:16, par Sidbebe New York En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
On n’a pas de petrole mais on a Blaise Compaore ? Bienvenue à l’ere de Bokassa, Idi Amin Dada, Mobutu Sese seko Kunkumbendo Wazabanga au Burkina Faso.Le probleme du Faso est plus grave que je ne le pensais. Waohhhhh.Dieu, sauve ce pays peulplé d’hommes vaillants.
3. Le 25 mai 2010 à 07:20 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
"Nous, on a même pas vu le train passer n’en parlons même pas de l’emprunter. C’est ça le problème."
Mon Dieu ! Apparemment la déception a été grande dè. Il y en a qui ont cru qu’il suffit juste de s’engager en politique et de se réclamer de Blaise pour être appelé à la soupe.
Il y en a qui ne pense qu’à leur ventre. Il n’y a qu’à voir comment l’interviewé parle : "Nous avons fait un travail sur le terrain et quand la mayonnaise, la marmite était au feu en train de bouillir ; au moment de partager le repas on nous a écarté."
Il a goûté à l’entrée mais le plat de résistance s’est fait attendre. Maintenant, il demande au moins un dessert à l’occasion de la campagne 2010.
Lorsque les élections approchent, ça ne manque pas d’idée. Il semble même que naissent des "Clubs de Développement Partagés"...CDP oups ! Il faudra que les initiateurs s’imprègnent bien de ces déclarations car ce sera aussi les leurs très prochainement. A bon mangeur, salut !
4. Le 25 mai 2010 à 08:37 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
ha ha ha ha ha !!!!
hi hi hi hi hi !!!!
Si le ridicule pouvait tuer...
5. Le 25 mai 2010 à 10:35, par Tapsoba En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Mr Salif Kaboré s amuse à se duper lui même.On sent dès le début que vous parlez avec gène sans conviction ce qui tranche avec l appréciation de son interlocuteur qui,lui parle de langue de vérité.à travers tout ce long interview,l on ne constate que du remord et des regrets .Tous ceux qui s agglutinent autour de Blaise défendent plus leurs gombos que l intérêt général et lorsque ces espérences sont décues,chacun fait l autruche.
Dès le début on a déjà senti le malaise mais au lieu d être sincère avec votre conscience et dire que vous aviez été décus des 5 ans d expérience avec Blaise Compaoré,vous avez préféré la langue de bois,pourtant,on n a pas besoin de pincettes pour l appercevoir ce d autant plus que vous êtes incapables d établir un bilan par rapport à ce qui a été prévu au départ dans le cadre du slogan progrès continu pour une société d espérence.Et pour ne rien arranger,vous persisterez par la suite à poser des préalables qu on pourrait résumer en ces termes : Nous avons lutté pour le succès de Blaise.En retour il devait nous gratiffier de postes de responsabilité afin que nous restions aussi dans la soupe comme dirait un certain Kôrô Yamyellé qui s est vu largué au fure et à mésure que le bateau CDP s agrandissait.Donc pour le futur,le préalable à votre soutien est la reconnaissance à votre égard même s il n a pas respecté ses engagements vis à vis du peuple,l essentiel est que vous restiez dans le beurre.
Mr le journaliste dit aussi que ceux qui réclament aujourd hui les réformes étaient où lorsqu on élaborait les textes fondamentaux à l époque ? s ils les réclament c est parce que cela ne les arange plus.Voilà !!Voilà !! Le lièvre a fini par sortir du bois.Si vous n aviez pas évoqué le fait que cela ne les arange plus ,j aurais compris que vous vous adressiez aux réfondateurs.Mais je vois que vous vous en prenez à votre mentor qui sent la fin du règne venir et par ricochet fin de gombos pour les laudateurs.Puisque ces textes ont toujours profité au camp du pouvoir et Autant le président demande les réformes pour garantir ses intérêts,autant l opposition voudrait qu on réfonde les institutions qui puissent garantir l équité,la justice sociale,mais non à la révision de l article 37 qui limite les mendats présidentiels à deux.
6. Le 25 mai 2010 à 10:38, par Tendaogo En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
M.kabore soyez serieux.Il faut excercer votre metié de journaliste dans la dignité au lieu de suivre votre tube digestif.Vos arguments sont plats et insensés.Vous n’avez pas trouvé un coin pour travailler autre que de faires des eloges malsains de BC ?Si il ya un ordre des journalistes vous deviez etre radié avec poursuite judiciaire pour profanation du corp.Merci par M. tendaogo
Le 25 mai 2010 à 18:12 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Si c’est ca, on peut etendre la purge aux juges, avocats, professeurs, officiers, etc., qui ont vendu leur ame a Blaise pour une louchee de bouillie. Chacun se connait.
7. Le 25 mai 2010 à 10:39 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Comment peut-on être journaliste et Président d’une association qui lutte pour un Chef d’Etat ? J’ai vraiment HONTE !
8. Le 25 mai 2010 à 10:56, par Un autre koro En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Pauvre de vous. Vous êtes de la même matière que toutes ces personnes, qui, toute honte bue, vendent leur âme au diable pour quelques retombées de table. Et ça se dit journaliste. Il est vrai que cette profession conduit à tout mais je n’avais pas inscrit la prostitution dans ce tout. Je vous souhaite néanmoins bon appétit.
9. Le 25 mai 2010 à 11:11 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Très triste quand un jeune raisonne de la sorte. Heureusement que c’est une minorité.
10. Le 25 mai 2010 à 11:31, par lance de fer En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Mr le journaliste,
pour votre connaissance,sachez que nul n’est irremplaçable dans ce monde...nul part dans le monde(sauf au BF bien sur,ou les gens excellent dans le griotisme)nous n’avions vu des gens vanter les mérites d’un homme d’État en comparaison au pétrole.dommage que de pauvres jeunes intellos n’ont plus de lucidité intellectuelle...comprenez chers internautes,la vie est très dure pour certains,reste qu’a prendre le balafon et et a se faire les sous avec...
11. Le 25 mai 2010 à 11:32, par bruno En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
le journaliste qui parle de politique doit remuer plusieurs fois sa langue dans sa bouche avant de dire quoi que soit cest une sagesse populaire. Un vrai journaliste a plus à faire dans la recherche de la verité que dans la propangade politique. Sans remettre en cause les competences journalistisques de monsieur Kaboré Salif dont l ’interview ressemble à s y meprendre à une quete de la part du gateau qu il pense en droit de recevoir apres son soutien au President du Faso je lui conseillerai de faire le choix entre ces deux metiers antinomiques que sont le journaliste et le marketer politique. apres une election le president devient le president de tous et non celui de ceux qui ont voté pour lui meme s ils traversent le sahara.
Il est temps que les burkinabé comprennet que chaque chose à son temps , qu ilfaille laisser blaise tranquille faire son travail et que chacun assume ses responsablités en prouvant ce qu il fait pour son pays au lieu de chercher à detourner les privileges du pays vers sa petite personne
12. Le 25 mai 2010 à 11:34, par LEVIGILANT En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
salut
moi quand je lis un jeune comme Salif Kaboré j’ai très honte de mon pays. Ce monsieur n’est rien d’autre leche botte et c’est sur que si l’opposition venaient au pouvoir il changera de camp. Je suis sure que ce monsieur n’est pas fier de son métier de journaliste donc il veut s’enrichir d’une manière malhonnète sinon pourquoi ne pas fusionner ton association a la febapbc. De toute facon l’histoire nous donnera raison. Ce monsieur est en quete d’un poste politique donc il a choisit la manière de courbette pour y arrivé. SVP dites moi ce tritement célèbre journaliste est de quel organe.Salif le pays va très mal. La misère la pauvrété la délinquance la corruption sont les mots qui minent le faso. Les riches deviennent de plus en plus riche et la grande majorité de la population de plus en plus pauvre. En 23 ans de pouvoir qu’est ce qu’ils ont apporté au faso ? Rien si ce n’est que remplir leur poche a tel point qu’ils sont meme partagé le faso et ils ne leur restent plus qu’a le vendre.
13. Le 25 mai 2010 à 11:42 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Honte à toi Salif
Le 25 mai 2010 à 19:36, par kenzo En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Pitié pitié pitié Blaise COMPAORE nommes moi un jour ? j’ai mouillé le maillot en 2005 et jusque là ça "ment" sur moi. Pitié ! cette fois ci ne m’oublies pas. pitié j’ai très faim et j’ai en chantier en cours. En français facile c’est ce que Kaboré est entrain de dire.
14. Le 25 mai 2010 à 11:54, par dj En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
certes, tout un chacun a le droit de soutenir qui il veut. mais ce genre de soutien inconditionnel, et me semble-t-il irreflechi et irrationnel, reste méprisable. il ne s’agit pas d’être contre ou avec blaise, il s’agit de faire un petit bilan des 23 ans.
il est temps que dans notre pays, on fasse renaître nos convictions les plus dignes. il est temps de raser les ambitions. sinon, on ne sera riche que le temps d’une élection et notre burkindi ira mourir dans des abîmes
15. Le 25 mai 2010 à 11:55, par burkinabè vivant aux USA En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Merci mon frère Salif, t’as bien parlé. Malgré l’insuffisance de ressources naturelles au BF, ses populations arrivent à manger à leur faim. De plus vous voyez comment le pays se développe à un rythme accéléré dépuis l’accession de mon Blaiso au pouvoir.
Citoyen et citoyenne du Burkina, soyez vigilants et ne vous laisser pas berner par des opposants avides de pouvoir. C’est sûr que ces gens ne pourront absolument pas faire mieux que Blaise. Alors votre candidat idéal c’est Blaise, c’est lui seul qui peut vous sauver. À bon entendeur, salut
16. Le 25 mai 2010 à 12:18 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
".K : Ah non, ce serait une erreur. Je m’en vais vous dire que même si au niveau de l’AJCBC, je ne suis pas personnellement membre actif du bureau de la FEDAP-BC ce n’est pas pour dire que nous n’apportons pas notre contribution dans le cadre du rayonnement et de l’atteinte des objectifs de la FEDAP-BC. D’ailleurs j’ai un des membres de l’AJCBC qui fait partie du bureau de la FEDAP-BC. Mais je puis vous dire aussi qu’on aurait souhaité que les choses aillent peut-être mieux plus que ça, je crois que c’est une structure qui est là qui a ses objectifs. L’AJCBC est une structure qui a ses objectifs et qui a aussi fait ses preuves sur le terrain et nous pensons que dans ce cadre-là il n’y a pas de confusion possible à faire dans la mesure ou moi-même au sein de la FEDAP-BC, je suis président d’honneur associé. Je ne peux donc pas me dissocier totalement de cette structure qu’est la FEDAP-BC."
Tout ce bla bla bla bla pour finir par se contredire piteusement. Voila ce que ca coute quand on n’agit que sur les besoins primaires. Quand un bebe dit,"maman, j’ai faim", ce n’est pas encore un langage. C’est de l’ instinct. Mais quand il dit, "Maman, je veux manger du riz aujourd’ hui", c’est un langage. Il se desolidarise de sa bestialite en s’ elevant au- dessus des continges de la survie. Beaucoup de burkinabe n’ ont pas encore atteint le stade ou ils usent de langage, cet instrument qui n’ appartient qu’ aux animaux superieurs, pas simplement a ces animaux en fait inferieurs mais qui croient qu’ ils sont superiuers simplement parce qu’ ils marchent debout sur deux pieds alors qu’ en realite, ce sont des ventripodes.
Mepris a tous les reptiliens qui s’’ ignorent. Ils ne meritent pas de pieds puisque leur gosier et surtout leur ventre leur suffit.
17. Le 25 mai 2010 à 12:19 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Pitie. C’est comme ca la lutte pour sortir de la misere au Faso ? Si c’est ca, nous tous on pourra pas.
18. Le 25 mai 2010 à 12:32, par donmozoun En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Il s’attendait à quoi ? qu’on le nomme ministre ou qu’on le gratifie de billets craquants ? C’est honteux pour des jeunes de se laisser aller de la sorte à la facilité. Il pensait réussir en embouchant une trompête ! Je crois que ce monsieur doit revenir à la raison car Blaise n’est pas un enfant ou le dernier des politiques à qui on peut commander des attitudes. Sa décision a été personnelle et je ne crois pas qu’il ait été influencé par qui que ce soit. autrement, je me poserai des questions sur quel type de dirigeant il est pour se laisser influencer aussi facilement. Mon cher, tu ferais mieux de bosser dur pour te réaliser que d’attendre la courte échelle qui ne te parviendra jamais !
19. Le 25 mai 2010 à 12:40, par wend waoga En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Je suis désolé,mr Kaboré ! Vous avez fait tellement de verbillages que je suis étonné de ne pas trouver de réponse à la question de votre confrère sur les Réformes.Quant à la mayonnaise de l’instauration de la Démocratie par "Blaise Compaoré",elle ne prend qu’avec des enfants qui en 91 étaient dans la tranche de 5-10 ans,donc,ne peuvent pas savoir ce qui s’est réellement passé ! C’est eux qui ne savent pas ce que c’est que le discours de la Baule,accompagné de ménace d’embargo économique à tout pays qui n’obtempérerait pas ! Discours qui d’ailleurs,au regard du mode de Démocratie en Afrique aujourd’hui,n’a pa été prononcé,contrairement à ce que ca laissait sous-entendre,pour le bien etre des populations africains,mais pour barrer la route à des éléments "INCONTROLÉS ET INCONTROLABLES" aux commandes d’un pays ! Le cas Thomas Sankara les ayant fait trembler pendant 4ans ! La preuve,tous les subterfuges sont utilisés pour s’éterniser au pouvoir,ce qui en quelque sorte désobéit au mot d’ordre du discours de la Baule,et aucune voix ne s’élève dans le meme sens de ménace pour y mettre fin ! Si on ne nous dit pas pourquoi,nous sommes dotés d’intelligence pour faire les analyses ! Alors mr Kaboré,RECTIFICATIF:les chefs d’États africains ne sont pas allés aux élections de leur plein gré ! Quant à leur mérite sur le terrain,chacun a assez de jugeotte pour apprécier !
20. Le 25 mai 2010 à 13:05, par Boudwarba En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Ça a été plutôt une traversée du désert que je continue personnellement de vivre.
Ce n’est pas bien ça. Nous autres on croyait que tu étais un proche de ton ami. Il t’a oublié comme ça et même son frère, sa famille, ses amis et les autres t’ont laissé au passage du train.
Continue quand même de soutenir BC, Dieu voit les autres. Moi, je sais que BC est très reconnaissant et n’oublie jamais quelqu’un. Ta part a été retenue par quelqu’un cherche bien et tu le dénichecheras. Votre milieu là aussi ! Tout est calculé quoi. Toi tu guettais autre chose que l’élection de BC whaa ?
Le 25 mai 2010 à 18:20 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Toi meme Boudwarba, ton corps doit te traduire en justice pour diffamation d’ un corps prestigieux. Toi meme tu n’es pas mieux qu’ un Salif. Toi ausi tu as refuse d’ utiliser tes meninges pour chanter la gloire du premier venu. C’est pourquoi tu es meme plus meprisable que Salif Kabore. Une moelle epiniere a la place de ton cerveau serait mieux.
Ton Ami devant l’ Eternel.
21. Le 25 mai 2010 à 13:08, par Jacques de Naples En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Vraiment pitié pour la jeunesse africaine mais surtout pour celle de mon cher Faso...Mon cher Salif KABORE, toi qui es un inconditionnel de Blaise COMPAORE tu devrais le conseiller afin qu’il s’occupe plus de sortir son peuple de la corruption de ses cadres et de la misère en lieu et place de s’occuper des problèmes des autres...Enfin tu devrais manger et te taire au lieu de faire des sorties de ce genre qui n’aident aucunement pas ton mentor...!!!
22. Le 25 mai 2010 à 13:09, par bila En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Bonjour,
Je te souhaite une bonne réussite ! lorsque tu mangera de la terre un jour.Tu comprendras que Blaise ce n’est pas du pétrole "Gaou là". Mais un roi d’un village qui à plongé tout un pays dans l’obscurité. "Gaou là" réveil-toi mec
23. Le 25 mai 2010 à 13:21, par Max En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Tantot, c’est le maire de ouaga qui dit de payer la TDC parce qu’on a pas de Petrole. Tantot c’est vous autre qui nous disiez que le BF n’a pas de petrole, mais il a Blaise Compaore.
Quelle contratdiction// ????????
24. Le 25 mai 2010 à 13:59 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
je pense qu’il faut être sérieux le titre déjà de cet article me prend à la gorge Et si Blaise venait à mourir.... donc c’est la fin de notre pétrole... il peut servir le pays sans pour autant être Président du Faso
25. Le 25 mai 2010 à 14:09, par RAWA En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Encore un qui espère que ce larbinisme peu le sortir de sa misère.Et il ose même parler de marmite au feu et de repas à partager. Quelle honte !
26. Le 25 mai 2010 à 14:27, par coul En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
des paroles a dormir débout c’est a cause de ces genres de personnes que le pays est la ou il est, avant blaise le burkina excistais après blaise le burkina vas excisté toujour. Il fait honte ce salif
27. Le 25 mai 2010 à 14:53, par Onymes de Poitiers En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
J’ai très mal au ventre en lisant cet interview ! Je ne voulais pas perdre mon temps pour y repondre, mais je me vois obligé de le faire. d’abord le titre de l’homme ! Un journaliste, est ce un vrai journaliste ce gars là ? Il clame haut et fort qu’il a été laissé au bord de la route ! Donc on voit qu’il n’a pas soutenu Blaise pour le developpement du Burkina Faso, mais pour son propre developpement et il n’a pas honte de le dire ! Mais heureusement que le président du Faso est assez intelligent et assez pragmatique pour appeler des gens comme ça à la soupe !
Parlant des réformes, M. KABORE s’insurge contre ceux qui sont pour les réformes et qui ont assisté à l’élaboration des textes qu’ils ne veulent pas aujourd’hui ! Je pense pour la part que les membres du CDP etait présent lors de la mise en place du verrou du nombre de mandat ! Pourquoi Roch et compagnies disent que l’article 37 est anticonstitutionnelle ? M KABORE a repondu à notre place:parce que ça ne les arrange plus". M. KABORE, si tu etais à l’Université et que jusqu’à présent, t’a pas encore fait ton inscription, tu ne peux qu’être déçu, découragé et amer. Qui est à l’origine des problèmes à l’université ? Le gouvernement de Blaise COMPAORE. Si tu etais comme ce jeune fonctionnaire au fin fond de la brousse de matiakoali, ne voyant point l’horizon, tu ne peu qu’être amer. Tu dis que les salaires sont payés quotidiennement au Burkina. Si tous les autres pays dont tu fais allusion avait la même grille salariale que le Burkina, il pouvait payer 2 ou 3 fois leurs fonctionnaires dans le mois sans qu’il n y’ait une rupture. Dire qu’il n’ya personne qui peut gerer le Burkina comme Blaise, je suis plus que choqué ! L’homme doit avoir au moins une dignité. En 87 à la mort de Sankara, qu’est ce qui prouvait quer Blaise pouvait gerer le Burkina ? Au moins aujourd’hui on a des gens ne serais ce qu’au CDP qui ont chéminé avec Blaise plus de 20 ans et qui sont quand même habitué aux rouages de la politique,donc qui peuvent gerer ce pays ! C’est une injure grave que tu as porter à toute l’intelligence des burkinabé et c’est triste, mais on te comprend aisement, c’est pour esperer être appélé à la table du roi, mais tu viens de rater l’occasion de te faire convier, parce que tu as montrer que c’est ça tu attend et Blaise ne le fera pas car il te connais assez maintenant ! Ne pars pas voir François COMPAORE, car tu viens de dire qu’il ne pas dirigé le Burkina et pourtant c’est l’un de ces ambitions !
Cordialement.
28. Le 25 mai 2010 à 15:22, par GUNT En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
La bouffonnerie à la de beaux jours au Faso. Chaque jour on en découvre une nouvelle race.
Comparé Blaise Compaoré au pétrole surtout quant on voit ce qui sa passe au USA avec le pétrole. Bon vent mon frère tu cherche à manger. as tu entendu parler d’énergie renouvelable ?
29. Le 25 mai 2010 à 15:55, par Ton homo Salif En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Blaise Compaoré : pétrole pour le Burkina ou ...marée noire ?
30. Le 25 mai 2010 à 16:16, par SDO En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Nous avons fait un travail sur le terrain et quand la mayonnaise, la marmite était au feu en train de bouillir ; au moment de partager le repas on nous a écarté. dixit Salif Kaboré de AJCBC
Je ne crois pas ce que je lis...
31. Le 25 mai 2010 à 16:29, par TOME En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
SALIF KABORE MENDIANT ,ON DOIT TE CHASSER DE LA FAMILLE KABORE , QUELLE HONTE.ET AUSSI DE L ORDRE DES JOURNALISTES.
TU RAISONNES COMME UN PIED. EN 23 ANS BLAISE N A RIEN FAIT POUR LE PAYS ,LA PLUS PART DE CE QUI A ETE FAIT SONT DES PROJETS DE THOMAS SANKARA. BC N A FAIT QUE S ENRICHIR LUI ET SA FAMILLE. ACTUELLEMENT LE BURKINA FASO EST A GENOUX .LE PAYS EST CRIBLE DE DETTES ,LA CORRUPTION EST GALOPANTE.LA POPULATION A FAIM.ET TOI TU CONSIDERE BLAISE COMME UN TRESOR. BLAISE FAIT PARTIT DE CEUX QU ON APEL LES PRESIDENTS SATELLITE,C A D IL EST LA POUR LA FRANCE, IL DOIT NEUTRALISER TOUS CE QUI PEU FAIRE AVANCER LE PAYS , ET LES AUTRES PAYS AFRICAINS.IL A PRI LA PLACE D HOUPHOUET
SALIF REVEILLES TOI,ESPECE D IGNORANT TARER
32. Le 25 mai 2010 à 17:02, par PS En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Monsieur le Journaliste, si vous en etes vraiment,
Que de contre verites. Si BC c’est du petrole et les salaires payes, qu’attendez-vous de la marmite au feu ?
Si vous aviez une vision pour BC et le Burkina, pourquoi crier si le train ne s’arrete pas a votre niveau.
Si la jeunesse vous croit, soit elle ignorante, soit elle est comme vous et c’est dommage.
Je vous souhaite bonne chance mais vous plus mechant que les mechants d’en face et on ne donne que ce au’on a. Vous avez de la misere, c’est ce que vous distribuerez autour de vous.
Et si vous essayer de changer, puisque sauf si vous n’avez pas la tete, quand on tente quelque chose et ca ne marche, il faut changer.
PS
33. Le 25 mai 2010 à 17:16 En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Bonjour à tous ;
Salif n’est pas un journaliste. Quelqu’un qui ne peut meme pas ordinner ses idées ?
A la limite, il est comme Charles Blé Goudé qui a triché pour avoir son diplome
Je suis désolé que Blaise accepte des gens pareil autour de lui
34. Le 25 mai 2010 à 17:27, par Koutou Moctar En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Un peu de décence quand même. Vous dites : « Nous avons fait un travail sur le terrain et au moment de partager le repas on nous a écarté ». Moi je vous conseille d’avoir le courage de renommer votre association en « Association des jeunes pour la promotion du tube digestif et de l’estomac ». C’est bien fait pour votre gueule. Après la traversée du désert ce sera la traversée de l’océan. Il faut quitter dans ça. On sait que la vie est dure mais quand on est jeune il faut essayer de gagner sa vie avec honnêteté.
35. Le 25 mai 2010 à 18:14, par anta En réponse à : Salif KABORE, journaliste, président de l’Action des Jeunes pour la Construction avec Blaise COMPAORE (AJCBC) : « Notre pays n’a effectivement pas de pétrole mais il a Blaise COMPAORE »
Le sieur salif a été frappé par la malédiction de son "pétrole BC". Transforme ton AJCBC en Front de démocratisation de la bouffe, à l’instar de ceux du Delta du Niger.Et puis, je connais beaucoup de gens qui peuvent diriger le BF. Ils étaient 14.000.000, mais le crétinisme a malheureusement touché un ( il s’appelle K. salif, journaliste). Il reste quand même 13.999.999 burkinabè jouissant de toutes leurs capacités, Dieu merci.