« Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
A l’occasion du 25e anniversaire de l’assassinat du journaliste d’investigation, Norbert Zongo et trois de ses compagnons, l’Université qui porte son nom à Koudougou, organise du 13 au 15 décembre 2023 un colloque international pluridisciplinaire. Invité à prendre la parole, Clément Roger Yaméogo, un ami du défunt et économiste de formation, a fait une confidence sur les derniers instants de l’homme.
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1. Le 15 décembre 2023 à 12:30, par Victor yameogo En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Norbert disait a tout ce qui le connaissait qu’il était menacé.il était fréquent au ministère de l’environnement ou j’étais a l’époque.quand il venait pour régler ses papiers de ranch a l’époque il montait toujours au 3eme étage me dire bonjour. Et je redescendais avec lui jusqu’au parking où il garais sa P50 on bavardait un peu et il s’en va et je remonte dans mon bureau.je lui ai dit la dernière fois qu’on s’était vu je crois trois jours avant sa mort en décembre de cesser d’écrire.il ne m’a pas dit qu’elle chose il a ouvert ses deux mains comme pour me dire ’comment je vais faire.je je peux pas cesser d’écrire ’et c’est cette dernière image que je retiens de lui.il me taquinait souvent en m’appelant parent il faut être courageux.trois jours après on nous a annoncé sa mort. Bref ce n’est pas les témoignages qui manquent.c’etait tellement bien organiser pour qu’il ne s’en sorte pas..L ’histoire d’une véhicule utilisé pour la sale besogne n’a pas été creusé..Apres son assassinat il ya eu un autre assassinat jusque-là non élucidé de Pare Tidiani qui était ancien SG du ministère de l’eau devenu directeur des ressources hydrauliques. Je peux penser que le véhicule dont on parle appartenait a sa direction et il a du réclamer sa voiture en vain. Le connaissait il était travailleur et rigoureux.Peut être qu’il menaçait de dénoncer et lui aussi on l’a fait taire.Tout cela je dit que ce sont mes suppositions.
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2. Le 15 décembre 2023 à 14:22, par EL KABOR En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Tout a été dit. Les burkinabè étaient des faux types, des insouciants, des inconscients et des gens méchants. Ils avaient toujours besoin que quelqu’un les réveille et les tienne par la main pour les amener d’un point A à un point B sur la route de leur liberté et de leur bonheur. Pendant que vous les défendez au prix même de votre vie, personne n’allait vous soutenir quand bien même ils savaient que ce que vous faites est bien. Il fallait forcer pour leur faire du bien. Il fallait tout pour ne pas mourir en voulait leur faire du bien, sinon ce serait tant pis pour vous.
DE NOS JOURS, LES BURKINABÈ ONT CHANGE. ILS ONT LES YEUX OUVERTS ET SONT ENGAGES DERRIÈRE TOUT LEADER ECLAIRE ET PATRIOTE QUI VEUT LES FAIRE SORTIR DE LEUR SITUATION DE MISERE ET D’ESCLAVE DE L’OCCIDENT.
VIVE LES PATRIOTE CONSCIENTS ET ENGAGES !
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3. Le 15 décembre 2023 à 15:00, par HUG En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Norbert zongo savait qu il etait menacé il a méme.dit que le jour qu on va le butter les gens vont dire Nous tous on voit les choses mais on ne dit pas.Norbert zongo s est sacrifié pour nous et il est malheureux que ces gens veulent museler les gens.il faudrait que françois compaoré vienne nous dire ce qu il sait de cette mort tragique.S il est innocent il sera relaché.Sa mére defunte l aurait dit d arrêté d écrire mais il aurait repondu que ses écrits ne visent personne.
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4. Le 15 décembre 2023 à 15:40, par Dibi En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Oui, dans ce Burkina-Faso, il y a des gens merveilleux, lucides, probes, patriotes sincères, solidaires et humains ! Une minorité !
Mais la grande masse qui grouillait à l’époque des Compaoré-Kaboré-Damiba, autour de l’Etat et dans les institutions minées par le Compradorat réactionnaire ethnocentré et féodal-obscurantiste, était des gens médiocres, incompétents et politiquement méchants ; des gens aptes aux crimes violents pour défendre des intérêts égoïstes de classes ou individuels mesquins !
Et ce sont de telles raclures, qui par la brutalité criminelle, épouvantable et abominable, se donneront pour mission d’assassiner dès 1987, la RDP, puis par la suite, la fine fleur de l’opposition politique et intellectuelle burkinabè qu’incarnait, entre autres, des figures comme Norbert Zongo !
Jamais, nous ne les oublierons !
Na an lara, an sara !
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Le 18 décembre 2023 à 08:56, par yovis En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Ne serait-ce pas la RDP qui a ouvert le bal des assassinats et des liquidations physiques d’autres Burkinabè ? Les premières victimes furent entre autres Nézien Badembié, Somé Yoria Gabriel, Guébré Fidèle. Qui a ordonné leur exécution ? Les caciques et chantres de la RDP qui vivent encore doivent avoir l’obligation morale de faire "solde de tout compte" avec le peuple (le vrai).
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Le 18 décembre 2023 à 14:04, par jan jan En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
@Yovis, vous avez dit exactement ce que je pensais et ce que j’ai toujours déclaré dans ce forum et que certains internautes tels que les Sacksida et autres me tombent à bras raccourci parceque l’on dit des vérités sur cette fameuse révolution, il ne faut pas du tout toucher à "l’image" de leur dieu Sankara, comme si c’était lui seul qui avait fait la révolution, "oubliant" ses 3 autres compères qui sont Blaiso, Lingani et Henri Zongo. C’est ce groupe qui y compris Sankara qui a amené les tueries d’hommes dans ce pays et comme le sang appel le sang, voilà pourquoi cela c’est répandu dans ce pays, ces révolutionnaires étaient des assassins tout bonnement, ils n’ont pas eu d’exemple de leurs aînés dans la matière, ils avaient la fibre d’assassin en eux c’est tout.
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5. Le 16 décembre 2023 à 04:06, par La Grande Kady En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
`` je lui ai dit la dernière fois qu’on s’était vu ...... de cesser d’écrire``
Clément Roger Yaméogo : Avec cette confidence, vous montrez ici clairement que vous êtes quelqu’un qui n’a pas le courage de ses opinions, qui peut se cacher et pire vous pouvez décourager les hommes forts et intègres et rares comme Norbert Zongo qui peuvent aller jusqu’au sacrifice suprême pour faire avancer de manière qualitative la société via leurs écrits !
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6. Le 16 décembre 2023 à 09:42, par HA En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Pauvre Norbert Zongo !
Cette affaire est très complexe et en même temps très curieuse. Qui a assassiné Norbert Zongo ? Il est légitime de se poser cette question malgré le discours officiel. Il y a deux cas probables :
(1.) Ceux qui ont assassiné Norbert Zongo étaient des contre-revolutionnaires
(2.) Ceux qui ont assassiné Norbert Zongo voulaient chuter dramatiquement la légitimité du régime Blaise Compaoré pour mieux combattre son régime monarchique constitutionnel
Ces types d’assassinats sont légions dans les sociétés à transition insurrectionnelle, vu la manière très choquante et abominable dont Norbert Zongo et ses compagnons ont été tués et calcinés.
Cette situation semble souvent avoir des implications importantes pour la tactique de la direction révolutionnaire. Plutôt que de saper la légitimité du régime sur une longue période avec des révélations quotidiennes sur la petite corruption, il est bien plus efficace de garder le silence pendant de longues périodes et d’accumuler une seule dénonciation percutante (2.). En effet, le coup de poing unique n’a pas besoin d’être aussi « lourd », si l’on veut, que la « somme » des détails quotidiens. (La réduction ponctuelle de la légitimité n’est pas nécessairement aussi importante que la somme de tous les deltas progressifs.) C’est peut-être la raison pour laquelle Mao s’enfermait régulièrement dans les montagnes en prévision d’une réapparition dramatique, et pourquoi le retour des dirigeants révolutionnaires en exil – comme Lénine et Khomeini – sont accueillis avec une telle appréhension par les autorités. C’est peut-être aussi la raison pour laquelle les « événements déclencheurs » dramatiques (par exemple les assassinats pour la réduction de légitimité) occupent une place si importante dans la littérature sur ce sujet (mouvement insurrectionnel) ; il s’agit souvent de cas dans lesquels la légitimité du régime chute soudainement. De la même manière, la méthode précédente (réductions progressives de la légitimité) explique la valeur contre-révolutionnaire des agents provocateurs (1.) : ils incitent les agents les plus lésés à devenir actifs prématurément, leur permettant d’être arrêtés avant de pouvoir catalyser la rébellion plus large. Bien que souvent suffisant , les fortes réductions de légitimité ne sont pas le seul mécanisme inflammatoire des mouvements insurrectionnels.
N’est il pas assez légitime de se poser cette question malgré le discours officiel : Qui a assassiné Norbert Zongo ?
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7. Le 16 décembre 2023 à 19:31, par Max En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
A la Grande Kady qui dit :"Clément Roger Yaméogo : Avec cette confidence, vous montrez ici clairement que vous êtes quelqu’un qui n’a pas le courage de ses opinions, qui peut se cacher et pire vous pouvez décourager les hommes forts et intègres et rares comme Norbert Zongo qui peuvent aller jusqu’au sacrifice suprême pour faire avancer de manière qualitative la société via leurs écrits !" je me permets de dire (je ne suis pas Clément Roger et je ne le connais pas non plus) que comme beaucoup de burkinabé, elle n’est pas du tout honnête car ce n’est pas du tout honnête et c’est même criminel d’encourager les hommes intègres et rares comme Norbert à aller au sacrifice suprême pour faire avancer la société via leurs écrits. La vie de ces hommes intègres ne vous intéresse point, seul leur apport à l’amélioration de votre condition de vie personnelle vous importe. Depuis 25 ans que cet homme intègre (Norbert) a été trucidé de la plus atroce manière qui puisse exister, qu’avez vous fait personnellement pour perpétuer un tant soit peu le combat de notre illustre martyr. Personnellement, si j’avais été confident de Norbert, à la différence de Clément Roger, je ne lui aurais pas conseillé de cesser d’écrire car sa génitrice n’avait pas réussi à le faire (l’écriture était devenue sa raison d’être), mais je lui aurais conseillé de se réfugier dans une ambassade, de s’exiler pour continuer son combat titanesque et solitaire. Je doute fort qu’il aurait accepté mon conseil car disait-*il dans ses écrits qu’il était lâche de profiter des acquis que les autres ont obtenus au prix de leur sang. Alors quelle option restait-il à Norbert ? Celle de pédaler comme Sankara pour escalader la montagne à pente raide avec des précipices à gauche et à droite. Voyez vous donc Mme Kady, cela fait bien deux hommes intègres, rarissimes que vous et moi et d’autres burkinabé avons abandonné à leurs tristes sorts et dont nous bénéficions des acquis. Le minimum pour nous est donc de ne blâmer personne car nous le sommes nous mêmes pour notre manque de courage, pour ne pas dire notre lâcheté.
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Le 18 décembre 2023 à 13:41, par La Grande Kady En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
@Max :
Je ne suis pas sûr de comprendre vos points car beaucoup de contradiction dedans, mais parlez plutôt votre manque de courage à vous, vous ne savez absolument rien pour les autres, surtout pas le mien !
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Le 18 décembre 2023 à 20:51, par Max En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
"Clément Roger Yaméogo : Avec cette confidence, vous montrez ici clairement que vous êtes quelqu’un qui n’a pas le courage de ses opinions, qui peut se cacher et pire vous pouvez décourager les hommes forts et intègres et rares comme Norbert Zongo qui peuvent aller jusqu’au sacrifice suprême pour faire avancer de manière qualitative la société via leurs écrits !"
Avec cette apostrophe, Mme la Grande Kady, vous semblez vous définir contrairement à Mr Clément Roger comme étant courageuse, qui ne se cache pas et surtout qui "encourage les hommes forts et intègres et rares comme Norbert Zongo qui peuvent aller jusqu’au sacrifice suprême pour faire avancer de manière qualitative la société via leurs écrits".
Effectivement au Burkina de tels profils sont légions, "les courageux qui ne se cachent pas et qui "encourage les hommes forts et intègres et rares comme Norbert Zongo qui peuvent aller jusqu’au sacrifice suprême pour faire avancer de manière qualitative la société via leurs écrits", pour que eux en bénéficient très calmement.
Je préfère les non courageux comme Clément à ces courageux là
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8. Le 16 décembre 2023 à 21:03, par Max En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Mr HA vos hypothèses nous amènent aux tout premiers jours de l’assassinat de Norbert en décembre 1998. En fin 1999 déjà, de telles hypothèses n’étaient plus valides. Alors ne nous faites pas reculer de plus de 20 ans. Aujourd’hui tous les soupçons, sauf votre théorie de révolutionnaires et de contre révolutionnaires (pour noyer le poisson dans l’eau), sont dirigés sur François Compaoré qui se tient prudemment hors de portée pour ne pas mettre à l’eau votre théorie qui ne tient pas débout
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Le 18 décembre 2023 à 10:58, par HA En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
M. Max,
Une hypothèse n’est pas une théorie, c’est juste des tendances. Donc de 13 décembre 1998 au 30 juillet 1999 date d’adoption du rapport du collège de sages (composé de Sangoulé LAMIZANA, Saye ZERBO, Jean-Baptiste OUEDRAOGO, Monseigneur Anselme SANOU, Monseigneur Paul OUEDRAOGO, Boinzenwendé Freeman KOMPAORE, Yemdaogo Jean-Charles OUEDRAOGO, Mama SANOU, El Hadj Mahamoudou TIEMTORE, Tibo Augustin CONGO, Sidiki SANOU, Bila Charles KABORE, Moussa KONE, Maurice Arsène OUEDRAOGO, Mme Henriette BARY, Mme Pauline HIEN WINKOUN) ces hypothèses prévalaient ? Je connais très bien ce discours officiel sur l’affaire Norbert Zongo. Nous sommes dans un monde complexe et tout ce que je souhaite est que justice soit rendue à Norbert Zongo et ses compagnons qui ont été tué lâchement et de façon abominable pour choquer l’opinion nationale et je crois cet objectif (choquer l’opinion) a été atteint. Maintenant, je vois que tu t’alignes sur l’hypothèse (1.). C’est noté !
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9. Le 18 décembre 2023 à 07:25, par HUG En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Mr HA vous hypothèses bien vrai qu elle soit des hypothèses ne résistent pas à l analyse. Car Norbert Zongo s enquêtait sur la mort de David ouedraogo tiorrure a mort par la milice de blaise Compaoré appelé RSp à l époque..Aussi on a essayé de le corrompre avec plus de 50 millions de francs CFA et il a refusé l argent bien qu il soit versé dans son compte.Ceux qui tué Norbert Zongo sont à rechercher dans les proches du pouvoir de blaise Compaoré.
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Le 18 décembre 2023 à 11:17, par HA En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
M. Hug,
En politique tout peut arriver, j’ai juste posé une question. Depuis 1982 la Haute Volta devenue Burkina Faso 2 ans plus tard est rentrée dans un cycle de violence jusqu’à nos jours avec le terrorisme qui nous assaille actuellement et la dynamique ne s’arretera pas ici. Il faudra inclure cette dynamique globale dans votre analyse.
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10. Le 18 décembre 2023 à 11:28, par le burkina En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
Qu’as-tu fait pour empêcher la mort de Norbert Zongo en son temps ? Comme il le disait : « Le pire n’est pas la méchanceté des gens mauvais mais le silence des gens bien »
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11. Le 18 décembre 2023 à 13:08, par HUG H En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
HA que dites vous des six suspects serieux qu on avaient identifiés comme ceux qui ont tué Norbert zongo et ses compagnons ? Ils venaient tous du rsp de blaise compaoré. Un des six suspzcts etait plus proche de blaise compaoré er autres dont françois compaoré ? Que dites vous ?Voyez vous ne cherchons à tromper l histoire ? Qui a.voulu corrompre Norbert zongo ?Pourquoi les six suspects sont tous morts de façon mysterieuse ?
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Le 18 décembre 2023 à 15:00, par HA En réponse à : « Trois semaines avant son assassinat, Norbert Zongo savait qu’il allait mourir et se sentait abandonné », témoigne Clément Roger Yaméogo, un ami du journaliste
M. HUG H,
Tes questions sont pertinentes et quelles sont les conclusions que tu tires de tes questions ? A combien pourcents (20%, 80% ou 100%) pour l’hypothèse (1.) ?
Je réclame la justice pour ce crime abominable ! Ces pratiques abominables ne faisaient jamais partie de la culture africaine : tuer et bruler vif des etres humains ne faisaient pas partie de notre culture !
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