Burkina Faso : Un couvre feu décrété, les établissements scolaires fermés pour 48 heures
Par un décret signé du président du Faso, un couvre-feu est en vigueur au pays des hommes intègres de 20h à 5h30, à compter de ce dimanche 23 janvier 2022 jusqu’à nouvel ordre.
Par ailleurs, un communiqué du ministre de l’éducation nationale annonce la fermeture des établissements scolaires les 24 et 25 janvier 2022.
L’accès à l’internet mobile dans le pays a également été suspendu dans la journée de ce dimanche 23 janvier 2022.
Ces mesures interviennent 24 heures après une manifestation de certaines organisations de la société civile et des tirs nourris dans certaines casernes du pays peu avant 5 heures du matin ce dimanche 23 janvier 2022.
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 23 janvier 2022 à 21:33, par Cisse En réponse à : Burkina Faso : Un couvre feu décrété, les établissements scolaires fermés pour 48 heures
Vraiment çest autocratique cher president emmanuel macron te donne Des ordres et tu Les execute vraiment home a vous disant politiciens nous voulons Des elections en afrique a cause Des elections que Les français gagne Les soit disant politiciens voleurs pour manipuler le peuples Les diviser et volé leur bien l’or le petrole et resources allez y la france l’afrique ne vous veulent plut a bas Les elections en afrique
2. Le 23 janvier 2022 à 21:40, par Tim En réponse à : Burkina Faso : Un couvre feu décrété, les établissements scolaires fermés pour 48 heures
C’est les coupures d’internet là qui vont faire tomber ce gouvernement.
3. Le 24 janvier 2022 à 09:30, par Trente Six Soixante Six En réponse à : Burkina Faso : Un couvre feu décrété, les établissements scolaires fermés pour 48 heures
Finin l’incompétence de Kabore a assez duré. L’Armée Burkinabé a pris une sage décision. Trop c’est trop. Trop de Burkinabè sont mort. Il faut arrêter ça.
4. Le 24 janvier 2022 à 11:31, par Windin-nmy En réponse à : Burkina Faso : Un couvre feu décrété, les établissements scolaires fermés pour 48 heures
Monsieur le Président,la dictature n’est pas burkinabè et vous le savez mieux que quiconque. Le peuple vous a donné un mandat pour la gestion du bien de la nation, n’en abusez pas, et rappelez vous de la souveraineté du peuple.