In memoria : Dr TRAORE Fatoumata
HOMMAGE À Dr. TRAORE Fatoumata, Gynécologue obstétricienne - Promotrice de la clinique Avicennes
« C’est à Dieu que nous appartenons et c’est à lui que nous retournons - Maman, Mamy repose en paix sous la protection de Dieu »
28 octobre 2020
28 octobre 2021
Voilà déjà 01 an qu`il a plu à Dieu de rappeler à Lui sa fille bien-aimée notre chère et regrettée Maman, Mamy
Dr Fatoumata TRAORE,
Gynécologue obstétricienne
Promotrice de la clinique Avicennes
En ce jour anniversaire et de souvenirs, sa famille, ses frères et sœurs, ses neveux et nièces, ses enfants et petits-enfants ainsi que ses amis renouvellent leur profonde gratitude et réitèrent leurs sincères remerciements à tous ceux qui ont manifesté amitié et compassion à leur égard lors de cette douloureuse épreuve.
Que tous ceux qui l`ont connue et aimée aient une pensée pieuse pour elle.
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants ». Jean d’Ormesson
« Le malheur de l’avoir perdue ne doit pas nous faire oublier le bonheur de l ‘avoir connue »
Union de prière - Que Dieu vous bénisse !
Vos commentaires
1. Le 27 octobre 2021 à 03:56, par Mechtilde Guirma En réponse à : In memoria : Dr TRAORE Fatoumata
Ce n’est que cette année au moment où nous portions le deuil de Marie Louise Traoré, qu’Adèle m’a appris ton départ également il y avait déjà quelques mois. Aphone je suis restée : la nouvelle était poignante.
Oui Fatimata, nous t’aimions beaucoup. Enjouée et égale à toi-même envers tout le monde comme tu l’étais avec nous tes compagnes du lycée Philippe Zinda et du Cours normal des Jeunes-filles, dès qu’on te voyait, on se demandait déjà ce qu’on venait faire, car le problème qu’on t’amenait semblait, rien qu’à ta seule vue, avoir disparu tout d’un coup, tellement tu étais accueillante rassurante. Preuve que tu aimais ton métier et mieux Dieu t’en a gratifiée la compétence.
Fatimata, repose en paix. Que Dieu garde toute ta progéniture, dans l’espoir également du « demain » et du « lendemain » du Burkina-Faso.
Ta grande sœur Mechtilde qui ne t’a jamais oublié.